Opto-Presse PRINTEMPS 2010 - Ordre des optométristes du

Bulletin officiel
de l’Ordre
des optométristes
du Québec
Printemps 2010
2010 :
Le 100e de « notre » école
et l’année des grands défis
p. 2
Diagnostic optométrique :
Du nouveau!
p. 3
Modifications au rapport
d’examen visuel de la SAAQ
4
Message du CPRO
5
Activités
récentes et futures
de la FMO
6
Campagne
de sensibilisation
sur le Web
7
Mot de la présidente
2010 :
LE 100 e DE « NOTRE » ÉCOLE
et l’année des grands défis
Dre Lise-Anne Chassé, optométriste
Présidente de l’Ordre des optométristes du Québec
Chers confrères et chères consoeurs,
2
sommaire
Modifications au rapport
d’examen visuel de la SAAQ
4
Message du CPRO
5
Activités récentes et futures de la FMO 6
Campagne de sensibilisation
sur le Web
7
Notre profession, sous tous ses aspects, a maintenant un siècle d’âge confirmé, après le centenaire de
l’existence légale de l’optométrie québécoise célébré
en 2006, c’est celui de l’École d’optométrie de
l’Université de Montréal que nous célébrons en 2010.
Cent ans, c’est à la fois beaucoup et si peu. Cette
carrière que j’ai choisie il y a déjà 33 ans a-t-elle
bien vieilli? Son futur est-il prometteur pour nos
jeunes diplômés? Quels sont les défis immédiats
à relever et ceux qui l’attendent?
Voici quelques éléments de réponses qui décrivent
assez bien l’étendue des défis à l’horizon :
Opto Presse est publié quatre (4) fois par année :
Ordre des optométristes du Québec
1265, rue Berri, bureau 700
Montréal (Québec) H2L 4X4
Téléphone : 514 499-0524
Télécopieur : 514 499-1051
Responsables de la production :
Dre Louise Mathers, optométriste
présidente du comité des communications;
Mme Claudine Champagne,
chargée d’affaires administratives;
• D’abord, celui de la déréglementation, à l’instar
de certaines décisions prises récemment par
les autorités réglementaires de la ColombieBritannique, qui ne laisse planer aucun doute
quant au fait qu’il faudra continuer à convaincre
nos décideurs que la lunette et les lentilles
cornéennes ne sont pas des produits de consommation ordinaires et que la réfraction n’est pas
qu’une simple technique.
• Bien sûr, celui de la progression constante
du « phénomène Internet » et, malheureusement,
de certaines de ses dérives, ainsi que des actions
de certains intervenants commerciaux qui ont
pour effet de compromettre le professionnalisme
requis pour la dispensation des orthèses visuelles.
M Jacqueline Houle,
secrétaire.
me
Design graphique et électronique :
La reproduction de ce bulletin est interdite
en tout ou en partie sans autorisation
de l’Ordre des optométristes du Québec.
• Enfin, celui d’un « chantier » visant la modernisation des champs d’exercice du secteur oculovisuel, qui a été lancé récemment, sous l’égide
de l’Office des professions du Québec.
En choisissant ce papier écologique 100 % postconsommation
pour imprimer ce document, nous aidons l’environnement
de la façon suivante :
Arbres sauvés
1
Évite la production de déchets solides de
33 kg
Réduit les émissions atmosphériques de
73 kg
Réduit la quantité d’eau utilisée de
3 152 L
MC
SGS-COC-006469
Pour relever ces défis, il est incontournable de
collaborer, avec un esprit d’ouverture, avec nos
partenaires, notamment les représentants des
opticiens d’ordonnances et des médecins ophtalmologistes, mais en ayant à l’esprit des orientations
claires, soient celles qui constituent le fondement
de ce qu’est notre profession.
L’optométrie est une profession accessible, qui
offre une approche globale à une variété de besoins
de la population en matière de santé oculo-visuelle.
C’est auprès d’un optométriste qu’on peut trouver
une correction réfractive ou de vision binoculaire
et, en même temps, le dépistage et le traitement
de plusieurs pathologies oculaires. Par ailleurs,
nous avons aujourd’hui la confiance de plusieurs
de nos collègues ophtalmologistes, qui veulent
coopérer avec nous pour répondre à une variété
de besoins de la population, dans le respect
des compétences de chacun. Aussi, entre nous
ou avec nos collègues opticiens, nous avons
développé des outils, (regroupement d’achats,
bannières, etc.) nous permettant de faire face
à la compétition et ainsi offrir des orthèses de qualité
et à juste prix.
Sachant que jamais l’optométrie n’a baissé les
bras devant les difficultés et a su avancer malgré
les obstacles, je crois qu’avec la belle maturité
de son centenaire, elle va continuer à se battre
pour assurer une offre de services professionnels
de qualité pour le public.
C’est dans cet esprit qu’avec mes collègues
du conseil d’administration de l’Ordre, je compte
entreprendre ce nouveau mandat que nous
sollicitons en cette période d’élections. Suivant les
choix qui seront alors faits par les membres de
l’Ordre, je puis vous assurer que nous mettrons tout
en œuvre pour être à la hauteur de votre confiance
et de vos attentes.
Dans l’immédiat, je vous invite à vous joindre
à nous pour souhaiter à « notre » École et à toute
son équipe un magnifique centenaire et, à
l’instar de l’optométrie, un futur à la hauteur de
nos espérances.
Dre Lise-Anne Chassé, optométriste
Mise à jour
des lignes directrices :
« Diagnostic optométrique »,
publicité et pratique
de l’optométrie par Internet
Assemblée
générale
annuelle 2010
de l’Ordre
des optométristes :
Cette année encore l’AGA
aura lieu dans le cadre
des Journées optométriques
du Centre de Perfectionnement
et de Référence en Optométrie
(CPRO).
L’évènement se tient
exceptionnellement à l’Université
de Montréal, à l’occasion
des évènements liés
au 100e de l’École d’optométrie
de l’Université de Montréal.
Veuillez noter que l’assemblée
est prévue le 21 mai 2010
à 15 h 30 et aura lieu au local M-415.
Nous vous attendons en grand nombre.
Au plaisir.
Depuis plusieurs années maintenant, l’Ordre procède régulièrement à l’adoption
de « lignes directrices » afin d’informer ses membres et le public quant à l’interprétation qu’il privilégie relativement aux lois et règlements applicables à l’exercice de
l’optométrie. Il s’agit certainement là d’un exercice utile afin de clarifier la portée
de dispositions qui, en raison de leur complexité ou de leurs interactions avec un
ensemble d’autres règles, peuvent s’avérer nébuleuses.
Pour conserver sa pertinence toutefois, cet exercice
suppose qu’une révision régulière des lignes directrices adoptées soit réalisée, afin de tenir compte
de l’évolution des pratiques professionnelles, de
la technologie, des changements législatifs et
réglementaires, de la jurisprudence, etc.
C’est dans ce contexte que récemment, l’Ordre a
procédé à la révision de lignes directrices adoptées
il y a quelques années déjà. Mises à part certaines
modifications qui visent à clarifier ou à préciser le
sens du texte antérieur, le résultat de cette révision
est le suivant:
•« Diagnostic optométrique » : Alors qu’il était
apparu il y a quelques années, que l’utilisation du
terme « diagnostic » pour décrire le résultat du
processus d’évaluation des conditions pathologiques ou des dysfonctions oculo-visuelles par les
optométristes pouvait se heurter à des contraintes
juridiques, il semble en être autrement maintenant
suivant certains développements jurisprudentiels
et réglementaires. Dans ce contexte, l’Ordre a
modifié les Lignes directrices sur les titres, désignations et mentions utilisés par les optométristes dans le cadre de messages publicitaires
ou publics pour préciser qu’un optométriste peut
utiliser l’expression « diagnostic optométrique »
pour décrire le résultat de ses activités en matière
d’examen oculo-visuel, l’important étant d’éviter
de créer une confusion à l’effet qu’il s’agirait d’un
diagnostic médical ou d’un diagnostic émis par un
autre professionnel de la santé. On comprendra
qu’il s’agit essentiellement d’un changement à «
caractère sémantique », puisqu’il n’est lié à aucun
élargissement du champ d’exercice de l’optométrie, que ce soit en santé oculaire ou autrement.
•« Description des activités professionnelles » :
En modifiant ces mêmes lignes directrices, l’Ordre
vise aussi à préciser que, s’il est toujours interdit à un optométriste de se présenter comme
étant un « spécialiste » ou d’utiliser un titre de
spécialiste, il ne lui est pas interdit, dans le
cadre de sa publicité ou de toute autre communication publique, de décrire des activités
professionnelles qu’il réalise ou des services
professionnels qu’il offre au public. On peut
penser, par exemple, aux mentions « lentilles
cornéennes », « rééducation visuelle », etc.,
que plusieurs optométristes utilisent dans leurs
annonces ou affiches publicitaires.
•Vente de lentilles ophtalmiques par Internet :
Déjà, en 2001, alors que le phénomène de la
vente de lentilles ophtalmiques par Internet était
plutôt marginal, l’Ordre croyait utile de prendre
les devants afin d’identifier certaines règles qui
devraient être respectées par les optométristes
qui souhaiteraient faire évoluer leur pratique
dans cette direction, en adoptant les Lignes
directrices sur l’exercice de l’optométrie
par Internet et par d’autres moyens de
télécommunication (titre révisé). Près de
dix années plus tard, à la lumière des développements récents à ce chapitre, l’Ordre estime
que pour vendre ces produits par Internet
ou par un autre moyen de télécommunication,
un optométriste doit détenir une ordonnance
valide à cette fin, en plus d’avoir, par le biais
d’un extrait d’un dossier-patient ou par une
communication avec un autre professionnel
autorisé, les paramètres précis des lentilles
devant être remises au patient.
Le texte complet des lignes directrices
ainsi modifiées est disponible dans la section « Publications et communications » sous
Guide d’exercice du site Web de l’Ordre
(www.ooq.org).
Printemps 2010
L’Ordre apporte des précisions
3
Modifications au rapport d’examen visuel
de la Société de l’assurance automobile du Québec
(SAAQ)
Comme plusieurs d’entre vous l’ont déjà
noté, la SAAQ a modifié récemment
ses formulaires de « Rapport d’examen
visuel par un ophtalmologiste ou un
optométriste ».
4
Plusieurs changements ont ainsi été apportés
dont un plus majeur qui consiste à ne plus évaluer
la vision binoculaire et la stéréoscopie. Par
ailleurs, la diplopie en position primaire demeure
incompatible avec l’obtention d’un permis, tant
qu’elle n’est pas corrigée adéquatement.
Dans le cadre de la révision complète du
Règlement sur les conditions d’accès à la
conduite d’un véhicule routier relatives à
la santé des conducteurs qui a débuté dès
2007, l’Ordre des optométristes a été consulté
et a fait plusieurs recommandations, notamment
en rapport • Aux normes de champs visuels actualisées à la
condition binoculaire qui devraient être de 120
degrés continus et 15 degrés au-dessus et en
dessous de l’horizontale;
• Aux conditions relatives à la binocularité, qu’il
y aurait lieu de demander un minimum de
stéréoscopie de 30 % aux conducteurs de
véhicules lourds et d’urgence;
• Au délai de quelques mois avant la conduite dans les
cas de perte subite d’un œil apparaîtrait pertinent;
• À la vision des couleurs, l’exigence de reconnaissance des protanopes (versus les protanomals)
serait pertinente.
Ainsi, il nous apparaissait que les conditions
pour l’accès à la conduite d’un véhicule devaient
être, au Québec, les mêmes que celles recom-
mandées par l’Association Médicale Canadienne et
soutenues par la Canadian Ophthalmic Society.
Nous réitérions aussi nos préoccupations relativement à l’évaluation des habiletés compensatoires
pour les conducteurs qui ne rencontrent pas les
conditions réglementaires ainsi qu’à l’augmentation
de la fréquence des examens obligatoires.
Or, les modifications qui ont été finalement
retenues par la SAAQ et qui sont entrées en vigueur
le 31 décembre 2009, visent à ce que les conducteurs, pour lesquels une classe particulière est
requise, ne soient pas soumis à des normes
plus exigeantes que les normes canadiennes
approuvées et adoptées par le Conseil canadien
des administrateurs en transport motorisé (CCATM)
et ce, de manière à pouvoir faciliter leur passage
aux États-Unis, conformément à une entente
intervenue entre le Canada et les États-Unis.
Changements au formulaire :
• Section 1 « Acuité visuelle » :
l’acuité visuelle binoculaire
a été placée à la première
ligne puisqu’elle est maintenant
obligatoire pour déterminer
si la condition visuelle du titulaire
du permis rencontre les normes.
• Section 2 « Champs visuels » :
la SAAQ doit savoir s’il existe
une anomalie dans le champ
visuel binoculaire.
•Section 5
« Perception des couleurs » :
seul un déficit sévère
doit maintenant être signalé.
•Section 4
« Vision binoculaire » :
a été retirée du formulaire.
•Le patient doit maintenant
autoriser, par sa signature,
l’échange de renseignements
médicaux entre la SAAQ
et le professionnel qui a rempli
le formulaire.
Printemps 2010
Message du CPRO
Chers collègues,
Je suis bien content de vous parler des Journées
optométriques 2010. Les inscriptions ayant débuté
à la fin mars, vous avez été nombreux à vous
Àinscrire jusqu’à maintenant. Nous sommes par
ailleurs actuellement à travailler sur les derniers
préparatifs du congrès afin de nous assurer que
l’organisation soit à la hauteur de vos attentes.
Je vous rappelle que les Journées optométriques
auront lieu à l’Université de Montréal et qu’elles
se tiendront sur deux jours, soit les 21 et 22 mai
prochain. Cette année, le congrès est organisé
conjointement avec l’École d’optométrie et ce, afin
de commémorer le centenaire de son existence.
Plusieurs nouveautés vous attendent. Pour commencer les conférenciers seront majoritairement des professeurs, chercheurs et cliniciens
de l’École ainsi que quelques-uns de nos plus
illustres diplômés. Pour permettre à tous de
s’exprimer, nous avons dû restreindre la durée
des conférences à 20 minutes. Ainsi, il y aura plus
de 40 conférenciers qui présenteront au cours
du congrès. Nous avons également organisé
l’horaire pour vous permettre de choisir certaines
conférences en fonction de vos intérêts. La formation du vendredi matin sera offerte dans plusieurs
salles pour la tenue de conférences simultanées.
Vu le nombre élevé de conférences, les notes
de cours ne seront pas imprimées. Par contre,
nous tenterons de les rendre disponibles sur
notre site Internet quelques jours avant la tenue
du congrès.
Pour souligner le centenaire de l’École d’optométrie
d’une façon encore plus éclatante, le congrès sera
accompagné d’un souper spectacle qui aura lieu à
la Gare Windsor et ce, le samedi 22 mai. Plusieurs
surprises sont prévues au cours de la soirée
et nous vous annonçons, entre autres, la présence
de l’humoriste québécois bien connu Daniel Lemire.
Le souper et la soirée sont inclus dans le coût
d’inscription aux Journées optométriques. Pour
ceux et celles qui ne désirent pas participer
au congrès, il vous est aussi possible de vous
inscrire au souper seulement.
Nous espérons intéresser le maximum d’optométristes pour cet événement qui s’annonce
grandiose. Vos conjoints et conjointes sont les
bienvenus, n’hésitez pas non plus à en parler
à vos collègues de promotion!
Pour vous inscrire en ligne, ou pour obtenir plus
d’information sur le programme des Journées
optométriques, je vous invite à consulter notre site
Web au www.cpro.ca
Au plaisir de vous croiser lors de notre prochain
congrès.
Dr Érik Zwarts, optométriste
Président
5
Activités récentes et futures
de la FMO
Tel qu’annoncé au sein des parutions précédentes
de l’Opto Presse, la Fondation des maladies de l’œil a
poursuivi l’hiver dernier ses activités de dépistage en
milieu scolaire au sein de certaines écoles primaires.
Ainsi au cours de l’hiver 2010, les villes de Longueuil,
Châteauguay et Sherbrooke ont été visitées. Nous
profitons de cette occasion pour remercier les optométristes qui ont participé à ces activités.
Veuillez noter que les activités de dépistage se poursuivront au cours des mois de mai et juin prochain, la
Fondation se rendra cette fois à Val-Bélair et à Québec
ainsi qu’à Ottawa et à Toronto. La FMO étend ainsi ses
activités en Ontario. Nous invitons les optométristes
intéressés à s’impliquer à contacter directement Mme
Lucie Marleau, de la Fondation des maladies de l’œil,
au 1.877.654.0835 (418.654.0835).
La Fondation effectuera aussi son tournoi de golf annuel
le 14 juin prochain au Club de Golf Le Mirage situé à
Terrebonne, évènement qui sera suivi d’un souperspectacle-bénéfice mettant en vedette les humoristes
André Sauvé et Sylvain Larocque. Pour les intéressés
à s’inscrire au tournoi de golf et/ou au souperspectacle-bénéfice, prière de contacter Mme Marleau
de la FMO aux coordonnées indiquées plus haut.
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Coût : 225 $ par personne
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Vice-président
Ventes Assurances
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Vice-président
Ventes Assurances
Individuelles QC,
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Ventes Assurances
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Réservation 418-654-0835 ou 1 877 654-0835
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Coût : 225 $ par personne
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Réservation 418-654-0835 ou 1 877 654-0835
[email protected]
Coût : 225 $ par personne
Réservation 418-654-0835 ou 1 877 654-0835
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Un premier aperçu
Rappelons que la campagne publicitaire sur le Web
a débuté lundi le 15 mars 2010 pour une durée
d’un mois et ce, du lundi au vendredi en raison des
habitudes de navigation du public cible visé par
la campagne. Cette publicité a été mise sur les
sites Web de Sympatico.ca (sur la page d’accueil,
la section divertissement ainsi que la section santé)
et Msn.ca (en rotation sur tout le site).
Au moment de la rédaction du présent Opto Presse,
deux semaines s’étaient écoulées depuis le début de
notre campagne publicitaire relativement à la vente
en ligne de lentilles ophtalmiques et les premières
statistiques ont été comptabilisées. La première
semaine, 906 600 visiteurs (nombre de contacts
visuels sur le site de l’annonceur) ont été exposés
à notre publicité, de ceux-ci, 1 264 internautes
ont interagi avec nos 2 bannières (jeux interactifs)
et 428 de ces internautes ont consulté le site
Web informatif de la campagne (www.magasinerdeslentilles.com). Au cours de la deuxième semaine,
la publicité s’étant intensifiée, ce sont 2 740 198
visiteurs qui ont vu notre publicité alors que 6 671
internautes ont interagi avec les bannières et 2 259
se sont rendus sur le site Web.
Ces statistiques préliminaires sont assez encourageantes, les statistiques se situant au-dessus de
la moyenne au niveau des taux d’interaction avec
les bannières, sans compter que les internautes
interagissent en moyenne un peu plus d’une minute
avec ces bannières, ce qui est aussi très bon
pour ce type de campagne publicitaire. Nous vous
aviserons quant aux derniers développements lors
de l’Assemblée générale annuelle en mai prochain
ainsi que dans l’édition estivale de l’Opto Presse.
Avis de l’Ordre des optométristes du Québec
INTERDICTION D’EXERCER L’OPTOMÉTRIE
POUR M. ARNOLD STEINMAN
Conformément à l’article 108.10, par. 4, du Code des professions (L.R.Q., c. C-26), l’Ordre des
optométristes du Québec communique les informations suivantes relativement à l’un de ses anciens
membres, M. Arnold Steinman, dont la dernière adresse connue est située à Côte Saint-Luc :
• M. Steinman n’est plus un optométriste, puisqu’il n’est plus inscrit au Tableau de l’Ordre
des optométristes du Québec depuis 2004.
• En conséquence, M. Steinman n’est pas autorisé à porter un titre réservé aux optométristes, de
même qu’il n’est pas autorisé à exercer l’optométrie. Ainsi, M. Steinman n’est donc pas autorisé
à poser tout acte qui a pour objet la vision et qui se rapporte à l’examen des yeux, l’analyse de
leur fonction et l’évaluation des problèmes visuels, ainsi que l’orthoptique, la prescription, la pose,
l’ajustement, la vente et le remplacement de lentilles ophtalmiques.
• Différentes informations obtenues par l’Ordre sont à l’effet que M. Steinman chercherait à exercer
l’optométrie, alors qu’il serait actuellement illégal pour lui de le faire et qu’il pourrait compromettre la santé et la sécurité du public, n’ayant toujours pas complété différentes activités de
perfectionnement qui lui ont été imposées afin de remédier à des problèmes de compétence
professionnelle.
L’Ordre tient également à rappeler qu’une personne physique ou morale qui permettrait
à M. Steinman d’exercer l’optométrie dans ces circonstances, notamment en le recrutant, en
lui prêtant ou en lui louant des locaux à cette fin, est susceptible de commettre une infraction
pour laquelle une poursuite pénale peut être intentée conformément au Code des professions et à
la Loi sur l’optométrie (L.R.Q. c. O-7).
Toute personne qui est informée de faits, d’agissements, d’interventions, etc., qui concerneraient l’exercice illégal de l’optométrie par M. Steinman ou l’utilisation illégale d’un titre réservé
aux optométristes par ce dernier, est priée de communiquer avec Me Marco Laverdière,
secrétaire et directeur général de l’Ordre des optométristes du Québec (514-499-0524, poste 225,
[email protected]).
Printemps 2010
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