L`abus d`autorité et l`abus de pouvoir

L'abus d'autorité et l'abus de pouvoir :
un acte méconnu mais très largement utilisé.
Un abus, est un mauvais usage, un usage excessif, injuste ou pernicieux de quelque chose. L'abus
est aussi le fait d'outrepasser certains droits, d'aller au-delà d'une règle. De ce fait, l'abus est
illégitime et répréhensible de par la loi.
Plus largement, l'abus d'autorité, dans un sens proche de l'abus de pouvoir, est une contrainte morale
exercée sur quelqu'un par une personne qui se sert de son autorité de fait ou de droit, pour obliger à
accomplir – ou pas – un acte contraire à ses intérêts.
L'abus d'autorité est l'acte d'une personne qui dépasse les limites légales de sa fonction, pour faire
un usage déloyal, qui peut se traduire par des actes d'intimidation, de harcèlement, de menace, de
chantage, de coercition ou d'incitation..
Le procureur de la république de Lorient, lors de mon entretien du 19
juillet 2012, m'a incité à mettre mon action civile en sursis, en utilisant
cette tromperie inégalée qui consistait à attendre le renoncement de
l’État turc au jugement pénal. Cette magistrale embrouille – par un
moyen déloyal et en toute connaissance de cause – représente
l'élément constitutif matériel de la définition pénale « d'abus
d'autorité. » Fait prévu et réprimé par l'article 432-1 du code pénal.
L'abus d'autorité ou de pouvoir est un acte fasciste par excellence, puisqu'il s'opère et
s'exerce sous le pouvoir de la « puissance publique », donc du pouvoir d’État.