Les travailleurs du Chemin de Fer
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Les travailleurs du Chemin de Fer
QUI TRAVAILLAIT SUR CET IMMENSE CHANTIER ? (de la compagnie d’Orléans) Voici ce que nous apprend l’état civil de la commune. L’ENCADREMENT Le clan LAMOTHE (écrit aussi LAMOTTE) originaire de Loriol dans la Drôme, deux frères et une sœur dont les parents sont Pierre Lamothe † à Loriol en janvier 1882 et Thérèse Fraisse, âgée de 67 ans en 1882, propriétaire à Loriol au quartier de la Maladière. Le clan comprend également deux beaux-frères. Pierre Louis Jules Lamothe est marié à Marguerite Pauline Pangaud. Ils sont domiciliés au Breuil pendant la durée des travaux sur la commune et leur fille Gabrielle Claire y naît le 18-041882. Il a 38 ans, elle en a 25. Le témoin est Saint Thomé TERRASSE, comptable et futur beaufrère. Gabrielle Claire épousera Jules Marius FOUILLOUX le 07-02-1907 à Auzances. Pierre Louis Jules Lamothe est entrepreneur de travaux publics. C’est lui ou son frère qui, en dehors de leur rôle de chef des travaux, ont fait les plans de la maison du Clos et de la maison Fayolle. Louis Ferdinand Joseph Lamothe, le frère, est quant à lui, surveillant de travaux publics. Il est marié à Marie Mélanie Robert. Ils sont domiciliés au bourg où naissent deux fils : Gaston Henri, le 24-06-1882 (les parents ont 35 et 27 ans) qui décède à 17 jours ; Lucien Louis Paul, le 31-12-1883 (ira se marier dans la Drôme à Loriol en 1906 et décèdera dans l’Ardèche en 1961). Marie Lucie Fanny Lamothe est née dans la Drôme en 1853 à Loriol. En septembre 1882 elle épouse à Lignerolles le chef comptable (contrat chez Me Piquand), Joseph Antoine Saint Thomé TERRASSE. Elle a ses deux frères comme témoins. Joseph Antoine Saint Thomé Terrasse est né à Etoile dans la Drôme en1843, fils de Jean Antoine, docteur en médecine et négociant et de Camille Madeleine Lacroix. Il est domicilié à Loriol et il est le comptable de l’entreprise de travaux publics. Une histoire de famille puisqu’en 1882, à Lignerolles, il épouse Marie Lucie Fanny Lamothe Louis Pangaud a 24 ans en 1883 et il est surveillant de travaux publics, domicilié à Lignerolles. En plus du clan Lamothe apparaissent quatre autres cadres : - Félix Virard, âgé de 31 ans en 1883, conducteur des Ponts et Chaussés . - Jean Pierre Marie Théophile Meige, également conducteur des Ponts et Chaussés qui demeure au bourg avec son épouse, Gilberte Octavie Brody. En 1883, ils ont 29 et 24 ans. Un fils leur naît en août mais qui décèdera à 7 mois en mars 1884. - Annet Sarty, surveillant de travaux publics, 52 ans en 1883, qui est logé sur la commune. - Joseph Faure, âgé de 40 ans en 1882, est chef de chantier. LES TERRASSIERS ET LES MINEURS Ils sont domiciliés à Lignerolles et apparaissent dans l’état civil alors qu’il n’y a trace ni des maçons, ni des tailleurs de pierre (il devait pourtant être nombreux à construire les bâtiments, les ponts, les piles du viaduc et les aqueducs), ni des riveteurs, des charrons, des charretiers, ni des géomètres et des ingénieurs et tout le personnel de l’intendance. Le chantier devait être impressionnant. Où mangeaient les hommes, où dormaient-ils ? Avaient-ils des congés et quand ? Les terrassiers qui ont dû fournir des efforts colossaux et les mineurs qui avaient l’énorme responsabilité de faire sauter des mines pour creuser les passages dans les rochers et les divers monticules, semblent avoir été logés sur place pour leur éviter les baraquements et/ou les longs trajets à pied. Au vu de leurs noms et des départements dont ils sont originaires, la question est : où et quand l’entreprise de TP les a-t-elle recrutés ? Nous avons les noms de quatre mineurs : - Pierre Chaurang et son épouse Jeanne Augustine Tuffeau (30 et 36 ans en 1883) demeurent à Mont. Jeanne Augustine accouche d’un petit garçon en juillet 1883, prénommé François. - Pierre Eugène Bruneto et son épouse Justine Philippine Philippeau sont domiciliés à La Garde. En décembre 1883 (ils 31 et 28 ans), naît un garçon, Michel, qui meurt à 7 mois 28 jours en août 1884. - Louis Reboul (31 ans en 1883). - Auguste Genouillac (26 ans en 1883). Les plus nombreux à apparaître dans notre état civil, ce sont les terrassiers : - Paul Sarciron (29 ans en 1883) et son épouse, Marie Louise Dannaud, logés à La Garde. Ils ont un fils en mai 1883, Gustave Jean Paul, qui a dû aller s’installer plus tard à La Chapelaude. - Mathurin Pierre Le Masson (42 ans en 1884) et son épouse Marie Joseph Le Corrédic (un nom breton ?), logés à Château Gaillard. En janvier 1884, naît une fille, Marie Léontine qui épousera en 1905 à Cheffreville-Bonnencourt Jules Alphonse Henri Cautrel et décèdera à Liourot dans le Calvados en 1967. - Jean Bernard (28 ans en 1883), également logé sur la commune. - Léonard Joiny (24 ans en 1882) et son épouse Marie Godet, logés à La Vialle. En novembre 1882, Marie Godet accouche d’Alice Julia Louise qui décèdera à Montluçon en avril 1942. - Noël Buisson (30 ans en 1883) et son épouse Marie Blin, logés à La Vialle. Ils y ont 2 garçons, le premier, Gilbert Alexandre en janvier 1883 et le second, Pierre, en septembre 1884. Pierre décèdera à Marseille en décembre 1960. - Jean Baptiste Collinet (39 ans en 1883) et son épouse Victoire Elisabeth Rondreux, logés à La Garde. Ils ont une fille morte à la naissance en mai 1883. - Sylvain Lépinard (54 ans en 1883), logé à La Garde. - Claude Masson (23 ans en 1883), logé à La Garde. - - Claude Romanson (49 ans en 1882) est né en février 1833, fils de Claude et d’Antoinette Dobeau, vivant dans le canton est de Riom dans le Puy-de-Dôme. Il se marie à Lignerolles en novembre 1882 avec Antoinette Lebourg du Petit Cougour. Elle est âgée de 48 ans et veuve de Jean Gillard. Elle est née en 1834 à et a grandi à Quinssaines. Sa fille, Hélène Gillard, épouse Guillot, accouche en 1890 dans sa maison. En fait, Antoinette et Claude sont restés au Petit Cougour où Claude est resté terrassier (1886) puis est devenu cultivateur. Jean Chantelauze (34 ans en 1883) et son épouse Marie Petit, logés au Breuil. En février 1883, naît Jean Marie qui épousera en août 1910 Alphonsine Cécile Laurencin à La Chapelle sur Loire en Indre-et-Loire. En août 1883, Jeanne Petit, âgée de 66 ans, décède au Petit Cougour. Elle est veuve d’Antoine Petit, terrassier domicilié à Thouars dans les Deux-Sèvres de son vivant. Jeanne Petit est née au Luminier, commune de Dore l’Eglise dans le Puy-de-Dôme, fille d’Antoine et Marguerite Ducat. Deux remarques sur ce décès : Jeanne Petit est peut-être la mère de Marie Petit (à vérifier). Veuve et sans ressources, elle a dû suivre sa fille sur le chantier. Enfin, il est à noter que les terrassiers devaient être très mobiles, se déplaçant au gré des embauches, vivant certainement dans une communauté forte de travail et de chantier. Vu la pénibilité et l’importance de ce travail, vu la durée du chantier, ils ont le droit de vivre en famille. - Louis Marcel Selb, meurt à 50 ans au domicile de Gilbert Eugène Besse à Mont, ce qui tend à prouver que les terrassiers et familles du chantier sont logés chez l’habitant. Louis Marcel Selb est dit « sans domicile fixe ». Il est né à Montluçon, fils de Michel et Marie Moreau, a épousé Anne Pacaud qui semble être domiciliée à Saint-Amand dans le Cher. - Michel Philippeau (54 ans en 1884) (est-il parent avec Justine Philippine Philippeau, épouse de Pierre Eugène Bruneto, mineur ?) perd sa femme Marie Le Masson (est-elle parente avec Mathurin Pierre Le Masson ?). Elle est native de La Souterraine en Creuse et décède à Lignerolles en décembre 1884. - Gilbert Charnet (41 ans en 1883), logé à La Garde, est né en 1842 à Saint Pont dans l’Allier où son père est vigneron. Il épouse à Lignerolles en avril 1883 Jeanne Autissier, 44 ans, journalière à La Garde. Elle est native de Vallon et veuve de Jean Queune décédé à Urçay. - Jean Blondin, 46 ans en 1883. - Jean Robinet, 47 ans en 1883. Apparaissent également : - un charron, Jean Segondo, âgé de 53 ans en 1882, - et un charretier, François Beauvard qui est logé à La Garde avec sa femme, Anne Farigot (26 et 23 ans en 1884) qui y accouche d’un garçon en septembre 1884, Marie Joseph qui épousera en janvier 1909 à Saint Priest-la-Vetre Marie Fournet-Fayard. QUI TRAVAILLAIT ENSUITE AU CHEMIN DE FER DE LIGNEROLLES ? (à la compagnie d’Orléans) Voici ce que nous apprend l’état civil et les dénombrements de la commune. Aux gares de voyageurs et de marchandise travaillait un chef de station de la Compagnie d’Orléans D = Dénombrement EC = registre de l’état civil Chef de station D Jean Marchiani, 1886 45 ans D 1891 Gilbert Deschery, 25 ans EC Elie Dufour, 1892 32 ans EC Gilbert Lebourg, 1894 37 ans D 1896 Gilbert Lebourg, 38 ans D 1901 Jean Bournet, 46 ans D 1906 Jean Bournet ° 1855 à St-Martial D 1911 Gilbert Tronche ° 1876 à Viersat EC Félix Sanvoisin, 1918 49 ans D Eloi Mazeau 1921 ° 1882 à St Front d’Alemps (24) Famille (épouse et enfants) Marguerite Dethurand, 32 ans Victorien, 4 ans Célestine Picandet,27 ans Victoria, 6 ans Hélène Pouzeau, 28 ans ° d’un garçon en mars 1892 qui † en août 1892 Marguerite Durand, 29 ans ° 05-07-1894 Maria Jeanne Camille qui & Marcel Gilbert Gabriel en 1920 à Paris 11e et qui y † en 1946 Marguerite Durand, 32 ans Gabriel, 9 ans, Marcel, 8 ans et Armand, 7 ans Fernande, 6 ans, Marguerite, 4 ans et Jeanne, 1 an Louise Touzac, 35 ans François, 12 ans, Albert, 11 ans Antoinette, 8 ans Louise Touzac ° 1867 François ° 1889 à Clermont Béatrice ° 1893 à St-Ours (est-ce Antoinette ?) Eugénie Marteau ° 1886 à Montluçon Roger ° 1904 à Montluçon Son épouse, Anne ° 1884 à Savignac Raymonde ° 1914 à Commentry D’après le registre de l’état civil, Jean Bournet est encore chef de gare en 1908. Aux deux barrières du Peu Milan et du Petit Cougour travaillaient deux garde-barrière de la Compagnie d’Orléans G B = garde barrière EC = registre d’état civil ° = naissance & = épouse, mariage † = décès Famille Famille GB GB Peu Milan Petit Cougour D Jean Baptiste Clémentine Lamarre, 24 ans Jean Lépineux, Marie Dumas, 40 ans 1886 Tarriant, 26 36 ans Alexandre, 8 ans, Marien, 5 ans ans Félicie, 10 ans EC Jean Baptiste Marie Sinturel, 27 ans 1888 Quintalet, ° 31-12-1888 d’Elisabeth qui & en 1917Antoine Laligue à 31 ans Tours (Indre-et-Loire) et qui † à Coutansouze (03) le 11-12-1955 1891 Jean Baptiste Marie Sinturel Jean Gilbert Marie Dumas, 44 ans Quintellé, Louis, 8 ans, Pierre, 7 ans, Lépineux, Félicie, 14 ans Alexandre, 12 ans, 33 ans Jean Baptiste, 5 ans et 36 ans Marien, 9 ans Elisabeth, 2 ans Matrice cadastre Pierre Dutron est dit G B En 1891,Pierre ° 1834 Sidiailles et Marie Berthon ° 1858 Ars (63) font construire une petite maison au Grand Cougour Gilbert Lépineux, 48 a Marie Dumas, 50 ans EC 1898 † Marie Dumas Gilbert Lépineux, 48 ans, chef d’équipe au chemin de fer, demeure au Pt Cougour EC 1900 François Gazut 38 ans Marie Chappe, 32 ans François Gazut 39 ans Marie Chappe, 31 ans Louise, 6 ans Marie Goy Pierre Gasteau, employé au ch de fer 08-04-1901 † à 11 mois d’un garçon Marie Goy ° 1861 Laqueuille Pierre Gasteau, poseur ° 1859 1896 1901 François Dubouis, 32 ans Caroline Lougnon, 31 ans Marie Lafaye, 7 ans, enfant en garde 14-09-1898, 53 ans ° Treygnat de Jean et Marie Bigouret François Dubouis, 38 ans Caroline Lougnon, 37 ans Marie Lafaye, 12 ans, enfant assistée EC 1901 ° d’un garçon en avril 1900 qui † en septembre à 5 mois né à Chateauneuf-sur-Cher 1906 EC 1908 1911 Louise Guillemard, 31 ans, ° 1875 à Courçais C’est le père, Alfred Carlier qui est dit GB Louis Courtebeuf ° 1877 Corquoy D 1921 et EC Alfred Carlier, 36 ans, ° 1870 Paris, poseur à la Cie d’Orléans Lucie, 10 ans, ° 1896 Montluçon, Marguerite, 8 ans, ° 1898 Désertines Gustave, 5 ans, ° 1901 Désertines, Léa, 2 ans, ° 1904 La Celle 10-02-1908 † Gustave Raymond à 6 ans, fils d’Alfred, 38 ans et de Marie Louise Guillemard, 32 ans Marie Louise Bouillé ° 1881 à Sauxay René ° 1904 La Celle Marie Louise Pierre Gasnon ° 1884 Budelière Robin / Gasnon Albertine ° 1909 Budelière ° 1887 à Hyds Simone ° 1914 au Peu Milan dite journalière Amélina ° 1918 au Peu Milan Philomène ° 1887 Charbonnière, Marie ° 1888 Volvic, Joseph ° 1890 et Louis ° 1894 à St Sano - Marguerite Barbier ° 1829 à Merlines, belle-mère Virginie Chambareau ° 1864 Audes Jean Chambareau, chef d’équipe Virginie Chambareau ° 1864 Audes Jean Paul Chambareau, ° 1858 La Chapelaude et deux fils, Pierre ° 1885 Courçais, monteur mécanicien et Albert ° 1893 Budelière, dessinateur ° 1858 La Chapelaude employé au ch de fer, Cie d’Orléans La famille Gasnon restera à Lignerolles et les 3 filles Gasnon vont s’y marier : - Albertine Annette & en 1926 Henri Victor Georges Martin ((1901-1976) ; leur fille a gardé la maison rue du Forgeron. Suzanne Simone ° 20-11-1914 (les parents ont 30 et 27 ans et c’est la mère qui est G B). Suzanne Simone & en 1931 François Aucouturier. Amélina ° 02-08-1918 (les parents ont 34 et 31 ans et c’est la mère qui est G B). Amélina & en 1936 Marcel André Bideau. Elle décède en 2004. La compagnie d’Orléans embauche des cantonniers et des poseurs pour entretenir la voie mais aussi des employés dont la fonction n’est pas précisée et qui, pour la plupart travaillent hors de Lignerolles source EC 1884 D 1886 D 1886 EC 1891 EC 1893 EC 1902 EC 1907 employé du chemin de fer Jean Gilbert Mercier, 32 ans employé au chemin de fer Grand Cougour Gilbert Päilleret, 39 ans employé au chemin de fer Petit Cougour Claude Romanson, 52 ans terrassier (où travaille-t-il ? à Teillet ou à Budelière ?) Petit Cougour Jean Bouillé, 36 ans employé au chemin de fer Sérignat Elie Dousset, 26 ans employé au chemin de fer Aubusson (Creuse) Jean Dumontet, 23 ans poseur au chemin de fer Sérignat famille Léonie Philomène Gayet, 22 ans ° 03-04-1884 Edouard Nicolas qui & Lamaids 06-08-1912 Suzanne Marthe Cheville et qui † 22-01-1970 Lamaids Clarisse Sémon, 28 ans Antoinette Lebourg, 51 ans et sa petite fille, Célestine Matonière …. Meneteaux, 33 ans, couturière ° 11-07-1891 Gabriel qui & Vanves 20-09-1917 Séverine Louise Boussaton et qui † 05-03-1967 Paris 14e Madeleine Dupuy, 18 ans ° 26-04-1893 Jean Lucien, en la demeure de son grand-père Dupuy, au bourg de Lignerolles Marguerite Margot, 23 ans ° 13-05-1902 Marcel François qui & Merlines (Corréze) 06-061925 Madeleine Eugénie Augustine Constanty et qui † 25-121972 Mérinchal (Creuse) ° 27-01-1907 Antoinette Catherine, fille naturelle de sa sœur, Françoise Mallet, 21 ans, petite fille de Joseph Mallet, 54 ans, cultivateur à Sérignat 1) Marie Louise Liconnet, 27 ans ° 14-03-1917 André Barraud Marien Mallet, 28 ans poseur au chemin de fer Sérignat EC 1) Jean Barraud, 31 ans 1917 employé au chemin de fer Sérignat D 2) Jean Baptiste Barraud, employé 2)Marie Louise Barraud ° 1889 Ronnet 1921 Sérignat Léontine ° 1914 Teillet et André ° 1917 Lignerolles EC 1) Francisque Danys, 35 ans 1) Marie Eugénie Echégut, 26 ans ; 1920 poseur au chemin de fer ° 14-09-1920 Marcelle ; elle & 11-09-1943 à Moulins Charles Petit Cougour René Narcisse Debonne et † en 2003 à Dompierre / Besbre (03) D 2) Francisque Danys, cantonnier 2) Marie Danys ° 1894 Fleuriel 1921 ° 1889 Monestier Germaine ° 1915 Deneuille, Marie Louise ° 1917 Deneuille et Petit Cougour Marcelle ° 1920 au Petit Cougour & = mariage ° = naissance † = décès Après la seconde guerre mondiale, les compagnies sont nationalisées et deviennent la SNCF En 1946, Lignerolles compte Des employés SNCF - Robert Ribière fils d’Arthur ° 1925, du Grand Cougour Françoios Joseph Vayssier ° 1897, du Breuil Robert Fournier ° 1910, du Breuil Georges Soulier ° 1912, de Sérignat Léon Ribière °1911, du bourg ; il est aiguilleur Raymond Auclaire ° 1910, du bourg André Collin ° 1925, de La Mothe Des retraités du chemin de fer / SNCF - Marien Mallet ° 1878, de Sérignat Léon Roch ° 1881, du bourg Un chef de station et sa famille à la gare - Roger Pradinas ° 1908, avec son épouse, Paulette ° 1909 et leur fille, Monique ° 1942 Un couple à la barrière du Petit Cougour et ses enfants - Raymonde Pracastin ° 1916, en charge de la barrière et son mari Henri Pracastin ° 1911, ouvrier SNCF ; leurs deux enfants, Daniel ° 1935 et Madeleine ° 1938. Un employé à la barrière du Peu Milan et sa famille - Louis Lafarge ° 1899, avec son épouse, Augustine et leur fille, Eugénie ° 1922, employée des PTT