Le Genre Humain
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Le Genre Humain
Les Films 13 présentent Le Genre Humain UNE TRILOGIE DE CLAUDE LELOUCH [ première partie ] • Les parisiens • à Ticky CE DOSSIER DE PRESSE EST DISPONIBLE SUR LE SITE OFFICIEL DE LA TRILOGIE www.legenrehumain.com DANS LA RUBRIQUE ESPACE PRESSE Pour accéder à l’espace presse, il vous suffit de rentrer les infos ci-dessous : «Pas d’intrigue, pas d’autre nœud qu’un fil, ce fil qui s’atténue quelquefois au point de devenir invisible mais qui ne casse jamais, ce fil mystérieux du grand labyrinthe humain. Car je considère le genre humain comme un grand individu collectif». Login : presse Mot de passe : ag Vous pouvez y trouver les éléments suivants téléchargeables : - Une sélection de photos du film libres de droit Photos de travail Portraits d’acteurs L’affiche du film La filmographie de Claude Lelouch Celles des principaux acteurs Sur le site, vous pouvez : - Visionner les films-annonces (formats : windows media player, real player) - Écouter quelques notes de la musique originale Vous pourrez aussi avoir accès à de nombreuses autres informations sur les films de Claude Lelouch en liaison avec le site officiel des Films 13 : www.lesfilms13.com Distribution mondiale Les Films 26 Jean-Paul de Vidas Tél. : 01 56 80 26 26 e-mail : [email protected] presse & communication Arlette Gordon Assistée de Valérie Taborin Tél. : 01 44 13 11 13 [email protected] distribution france Les Films 13 Barbara Schweyer Tél. : 01 44 13 11 13 / 01 44 13 11 40 Fax : 01 44 13 11 47 [email protected] [email protected] Durée : 1h59 SORTIE LE 15 SEPTEMBRE • page 2 • Victor HUGO «La Légende des siècles» Note d’intention - LE GENRE HUMAIN Synopsis - LES PARISIENS Liste artistique Une question à Claude Lelouch Deux questions à quelques Parisiens Tourner sans pellicule La musique Liste technique CD audio • page 4 • • page 5 • • • • • • • • • • page page page page page page page page page 07 09 11 13 15 39 42 46 51 • Le Genre Humain • Une histoire sans fin Voici une modeste note d'intention en forme de confession pour un projet immodeste. J'aime à rappeler cette évidence : "La vie est le plus grand artiste de l'univers". Aucun autre n'a eu autant d'imagination, autant de talent dans l'élaboration des lumières et des décors, autant de génie dans les inventions, autant d'inspiration dans le miracle des caractères. La vie a toujours été et demeure ma référence absolue. Je n'en suis que l'observateur, le serviteur fasciné. C'est ce qui me rend sans doute un peu plus curieux que la moyenne des ours. Enfant, je trouvais que les personnages que je voyais au cinéma étaient plus attachants que ceux de la réalité : plus courageux, moins lâches, plus fiables ; des gens de la rue mais réussis. En devenant metteur en scène, je n'ai pas eu d'autre ambition que de faire en sorte que mon cinéma ressemble à la vie... J'ai toujours avec moi un carnet sur lequel je note au vol tous les petits cadeaux que la vie veut bien me faire : les histoires qui m'amusent ou m'émeuvent, et, d'une manière générale, tout ce que je recueille en observant les hommes et les femmes à travers mon petit microscope personnel. Depuis quarante ans les carnets s’accumulent. Depuis longtemps je rêve d’en faire un film-somme… C’est pour cela que j’ai choisi le principe de la trilogie, comme une valse à trois temps sur ce que je connais le mieux : LA SOCIÉTÉ DU SPECTACLE ET LE SPECTACLE DE LA SOCIÉTÉ. Il va de soi que je parlerai encore et toujours de l’amour, de son usure, de son éternel et merveilleux recommencement, de nos rêves, de nos angoisses, de Dieu et de ses absences, bref L’HISTOIRE DE GENS ORDINAIRES À QUI IL ARRIVE DES CHOSES EXTRAORDINAIRES. • page 6 • • page 7 • [ première partie ] • Les parisiens • synopsis - les parisiens - Imaginons un satellite-espion survolant notre globe, flashant sur un échantillon d’individus (et comme une goutte d’eau peut résumer un océan, Paris pourrait symboliser ce monde) des individus aussi humains qu’inhumains : un banquier ruiné, un SDF pour qui la fin est préférable à la faim, le patron d’une brasserie Gare du Nord en quête d’aventure, un commissaire de police fou amoureux de la femme de son collègue, un réalisateur à la recherche d’un sujet, une vendeuse de bijoux… qui n’est en réalité qu’une croqueuse de diamants, un faux chauffeur de taxi mais véritable escroc, un impresario aussi séduisant que machiavélique, un agent immobilier véreux, une vache folle égarée sur la voie d’un TGV, une prostituée aussi honteuse que maternelle, un restaurant clandestin qu’on ne trouve dans aucun guide, un Christ crucifié devant le Sacré-Cœur, des politiciens mélomanes et échangistes, bref tout un inventaire à la Prévert, tout un échantillon d’hommes et de femmes qui rêvent tous d’être sur le même échelon de ce que nous pourrions appeler l’échelle amoureuse de Richter. Evidence : on est rarement sur le même échelon que l’autre… ET ON EST FIDÈLE TANT QUE L’ON N’A PAS TROUVÉ MIEUX… On est même tous, par rapport à l’autre, en permanent décalage horaire. C’est bien connu A aime toujours B qui aime C qui lui préfère D… Racine en faisait des tragédies, nous vous proposons, quant à nous, de décliner cette quête d’amour en pure comédie ; on pourrait même dire presque en comédie musicale puisque le fil rouge des PARISIENS est tissé par un couple de chanteurs (Shaa et Massimo) qui commentent en chansons ce microcosme humain. Ces deux chanteurs vont même devenir peu à peu les personnages principaux de cette aventure, et à eux seuls symboliser quelques unes des joies et des difficultés à vivre dans la ville lumière… • page 8 • • page 9 • • Liste artistique • LES PARISIENNES Mathilde Seigner Maïwenn Arielle Dombasle Agnès Soral Alessandra Martines LES PARISIENS Massimo Ranieri Michel Leeb Ticky Holgado Francis Perrin Pierre Santini GrÉgori Derangère Constantin Alexandrov Et par ordre alphabétique : Michèle Bernier Laurine Bressler Evelyne Buyle Cyrielle Clair Géraldine Danon Christelle Dominguez Alexandra Kazan Lise Lametrie Sachka Lelouch Salomé Lelouch Sarah Lelouch Shaya Lelouch Sylvie Loeillet Sophie Mayer Nathalie Marshak Julie Messean Mélanie Page Mireille Perrier Karine Pinoteau Cristiana Réali Nadia Samir Saskia Catherine Tavernier Thiam Annabella Vilaseca Mathilde Vitry • page 10 • • Thierry Antoine Sébastien Bihi Régis Bouquet Frédéric Bouraly Axel Brucker Denis Brandon Guillaume Cramoisan Xavier Deluc Angelo di Domenico Julien Drach Antoine Duléry André Falcon Patrick Fierry Charles Gérard Richard Gotainer Stéphane Hossein Patrice Kerbrat Didier Lockwood Roland Marchisio Jean-Michel Martial Lionel Ménard Jean Michel Meunier Olivier Mine Robert Namias Fabrice Roux Yannick Soulier Jean-Marie Retby Roger Van Hool Eric Viellard page 11 • • Une question à Claude Lelouch • «Les Parisiens» n’est que le premier volet d’une trilogie dont «Le Genre Humain» constitue le titre générique. Faut-il s’attendre à une sorte de concentré de vos quarante films précédents ? Il est évident que chaque film invente celui d’après et crée un nouveau désir. Cela dit, le cerveau d’un réalisateur qui raconte ses propres histoires est un lieu très tortueux. Il m’arrive parfois de découvrir mes films quand ils sont terminés. Ce n’est qu’à ce moment-là que je peux dire ce que je voulais vraiment faire. Je suis comme un type qui rêve de voyage en regardant une carte. Ce n’est qu’au retour qu’il pourra dire si le voyage lui a plu. Au cinéma, le scénario c’est ma carte, c’est ce qui permet d’alimenter mon désir. Pour cette trilogie, tout a commencé au début des années 80 quand je suis tombé par hasard sur la phrase de Victor Hugo que j’ai mise au début du film et de cette brochure. Filmer l’invisible, ce fil mystérieux qui nous rattache les uns aux autres et qui ne casse jamais. Des hommes et des femmes lancés dans une folle course de relais pour essayer de côtoyer, de temps en temps, ces fameux parfums de vérité et d’espoir dont nous raffolons. Après quarante films et près de cinquante ans de cinéma, je dois l’avouer, j’ai vu plus de belles choses que de vilaines. Je serais bien ingrat de ne pas en faire un film. C’est l’un des thèmes principaux de ce premier épisode : l’histoire d’un film et de ceux qui iront le voir à travers l’étonnante compétition que se livrent les bons et les mauvais moments de la vie pour nous séduire. Bref, un “genre humain” que j’ai longtemps hésité à appeler le “genre féminin”. • page 12 • • page 13 • • Ticky Holgado • … 2 questions à quelques parisiens… • page 14 • • page 15 • • Mathilde Seigner • • Maïwenn • Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Deux Parisiennes jumelles qui rêvent d’ailleurs. L’une des deux m’échappe complètement et je ne sais pas pourquoi et comment je ressemble à l’autre. Maïwenn : Mathilde seigner : J’interprète une Parisienne qui galère, qui a des rêves superficiels et éphémères. J’ai l’impression que c’est une partie de moi que je n’exploite pas toujours dans la vie. Je pense que chacun de nous possède un côté pervers, fou, déraisonnable… Êtes-vous une parisienne ? Mathilde seigner : Non, je n’aime plus Paris. Êtes-vous une parisienne ? Moi, une Parisienne ? Je ne peux pas vivre sans Paris. Les vacances m’ennuient la plupart du temps. Maïwenn : • page 16 • • page 17 • • Arielle Dombasle • • Agnès Soral • Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Une Parisienne isolée dans son château à la campagne. Une Parisienne à la curiosité aiguisée par la présence d’un nouvel homme dans sa vie, une Parisienne qui s’amuse du spectacle de la nuit et qui se laisse emporter dans de nouveaux voyages citadins de la ruée vers les plaisirs... une Parisienne aux aguets... une Parisienne survoltée. AGNès soral : Arielle Dombasle : Une Parisienne qui se hâte vers ce qu’elle veut de la vie, un peu d’humour pour maquiller l’angoisse et du désir pour que cela bouge ! Elle est comédienne, s’habille comme moi et m’emprunte quelques uns de mes mots. Êtes-vous une parisienne ? Êtes-vous une parisienne ? Paris est inconnu comme les poètes célèbres... J’invente une ville et c’est à Paris que je la trouve. Des villes et des villages s’y cachent, cherchez-les... disait Cocteau. Oui, Paris est ma ville, elle l’est devenue. Américaine immigrée. J’aime me sentir parisienne, un peu... beaucoup... passionnément. Arielle Dombasle : • page 18 • AGNès soral : Si être parisienne, c’est connaître de Paris son mode d’emploi pour en choisir les bons moments, les bons endroits, alors oui j’en suis une ! Je l’explore pour son côté villages. Paris petit, mais aussi Paris grand, où la foule parfois vous efface pour vous laisser à votre intimité, même si la notoriété fait perdre ce privilège. Je suis une Parisienne avec plus de sourires. • page 19 • • Alessandra Martines • • Michèle Bernier • Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Quel genre de parisienne interprétez-vous ? La plus italienne des Parisiennes ! Et c’est la première fois que je n’interprète pas un rôle de composition. Michèle Bernier : Alessandra martines : Êtes-vous une parisienne ? Alessandra martines : Je suis une vraie Parisienne quand je vais à Rome et une vraie Romaine lorsque je suis à Paris. C’est une Parisienne qui travaille dans un club. Elle est très amoureuse de son patron, qui lui, ne veut pas d’elle. Elle me ressemble dans la mesure où mes histoires d’amour, sur l’échelle de Richter de l’amour, ne sont jamais sur le bon niveau. J’essaie de lui donner un peu de ce que j’ai moi. Êtes-vous une parisienne ? Ah oui, de souche. Je suis née à Paris, c’est ma vie. Il n’y a que là où j’aime être, il n’y a aucun autre endroit au monde où je me sens heureuse. Michèle Bernier : • page 20 • • page 21 • • Cyrielle Clair • • Mathilde Vitry • Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Elle est chic, amoureuse et peureuse, plutôt conservatrice, sûre de sa position sociale et de son bon goût, à l’affût de la nouveauté, avec l’angoisse de rater quelque chose, et finalement assez préoccupée du regard des autres, tout en étant prompte à la critique. Mathilde Vitry : Cyrielle Clair : Une opportuniste. Comme dit Claude, on est fidèle tant quand on n’a pas trouvé mieux, je n’hésite pas à tromper mon mari pour trouver mieux, quelqu’un qui va faire avancer ma carrière. Êtes-vous une parisienne ? êtes-vous une parisienne ? Absolument ! Toujours pressée, voir stressée ; un brin frivole, et ne supportant pas le carcan de la vie provinciale (du moins ce que l’on peut imaginer). Cyrielle Clair : • page 22 • Mathilde Vitry : Ah oui ! Une pure Parisienne. Même à St-Rémyde-Provence ou aux Portes-en-Ré, je cherche toujours un peu de Paris. • page 23 • • Michel Leeb • • Massimo Ranieri • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Quel genre de parisien interprétez-vous ? Un Parisien issu d’une famille d’émigrés russes, autodidacte et bosseur surbooké. Bref, c’est un aventurier. Massimo Ranieri : Michel Leeb : êtes-vous un parisien ? Michel Leeb : J'interprète un Italien qui n’a rien à voir avec un Parisien, mais qui a beaucoup à voir avec Paris. Je crois que mon personnage cherche comme moi à faire son métier avec dignité et honnêteté. Non. êtes-vous un parisien ? Massimo Ranieri : Je suis napolitain et nous avons eu des Françaises dans notre famille, donc j’ai quelque chose de parisien dans le sang. • page 24 • • page 25 • • Régis Bouquet • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Régis bouquet : Un SDF qui croit avoir rencontré Dieu. • Francis Perrin • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Francis perrin : J’interprète le directeur de la boîte de jazz de l’hôtel Méridien à Paris. êtes-vous un parisien ? Régis bouquet : Pas du tout. Je vis à la campagne, avec mes chevaux et quelques proches. • page 26 • êtes-vous un parisien ? Francis perrin : Oui, je suis profondément un Parisien ; un Parisien amoureux de sa ville. • page 27 • • Pierre Santini • • Grégori Derangère • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Quel genre de parisien interprétez-vous ? Pierre santini : Un Parisien un peu particulier, comme tous les Parisiens d’ailleurs, un homme d’affaires juif, qui a d’énormes problèmes d’argent dans son business et dans sa vie privée. GrÉgori Derangère : êtes-vous un parisien ? êtes-vous un parisien ? J’adore Paris. Paris est une ville terrible, une ville difficile à conquérir, difficile à assumer, je ne sais pas… mais Paris est ma ville. GrÉgori Derangère : Pierre santini : • page 28 • Un Parisien qui arnaque d’autres Parisiens. Ceux qui ont même les moyens d’habiter de beaux appartements dans cette ville. Il prend l’argent là où il est. Non. (et… oui) • page 29 • • Constantin Alexandrov • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Constantin Alexandrov : Complexe, comme tout Parisien. êtes-vous un parisien ? Constantin Alexandrov : De temps en temps. • Xavier Deluc • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Un flic qui a une dizaine d'années de métier, mais qui se passionne pour la peinture. Bref, c'est un Parisien de comptoir, un héros affaibli par les "apéros" en trop et les clopes qui ne cessent d'enfumer son moral. Il n'est plus qu'un alibi de lui-même. XAVIER DELUC : êtes-vous un parisien ? XAVIER DELUC : Non. Je suis normand, mais Parisien d'adoption depuis 25 ans. • page 30 • • page 31 • • Patrick Fierry • • Robert Namias • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Quel genre de parisien interprétez-vous ? Un crooner, cachetonneur, butineur, lâche que c’en est un bonheur ! ! Robert namias : Je joue le rôle d'un patron de groupe de presse, très puissant ou plutôt qui croit l'être… Il est à l'image de beaucoup de ces Parisiens de pouvoir que l'on peut trouver dans l'univers de la politique, de la presse, du spectacle et même de la culture. Patrick fierry : êtes-vous un parisien ? Patrick fierry : Avec un peu de terre sous la semelle. êtes-vous un parisien ? Robert namias : Je suis parisien, né à Paris, de parents parisiens, petits-fils d'émigrés juifs grecs et j'ai une véritable passion pour cette ville. J'aime le Paris multiculturel, tolérant, ouvert, et surtout pas le Paris des snobinards et des faux-penseurs. • page 32 • • page 33 • • Richard Gotainer • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Richard gotainer : Un patron de brasserie. êtes-vous un parisien ? Richard gotainer : À mort ! • Yannick Soulier • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Yannick SOULIER : C’est un jeune type doué pour tout, un touche à tout de génie mais qui au final ne fait rien de sa vie... presque SDF, émouvant, paradoxal, capable du meilleur comme du pire, forcément dangereux. êtes-vous un parisien ? J’ai toujours eu une relation un peu violente avec cette ville, attraction-répulsion, désir-rejet, envie-éloignement, mais j’ai un vrai besoin d’air, d’espace, de lumière, de vent, de chahut, de tempête, de mer... alors à quand Paris au bord de l’Atlantique ? Yannick SOULIER : • page 34 • • page 35 • • Antoine Duléry • • Guillaume Cramoisan • Quel genre de parisien interprétez-vous ? Quel genre de parisien interprétez-vous ? Antoine duléry : Je crois que j’interprète un restaurateur qui a une vie mystérieuse autour de lui. Guillaume cramoisan : Un auteur-compositeur qui écrit pour de jeunes chanteurs sous contrat avec un gros impresario parisien. êtes-vous un parisien ? êtes-vous un parisien ? Oui. Je suis un parisien du 5ème, né à Paris, "un flâneur de la rive gauche". Je me déplace beaucoup à pieds. C’est une ville qu’on aime quand on la voit de loin. C’est un peu comme une belle femme qu’on abandonne pour mieux la retrouver. Guillaume cramoisan : J’aime Paris mais je viens de la banlieue. J’avais juré de ne jamais y habiter, mais maintenant je ne pourrai jamais retourner en banlieue. Antoine duléry : • page 36 • • page 37 • • Tourner sans pellicule • Par Gérard de battista Est-ce que vous pouvez nous dire simplement qu’est-ce que la HD ? La HD c’est la télévision haute définition. Comme en film il y a plusieurs formats. Le DV, le mini DV, le format numérique standard de la télévision et puis la haute définition, la HD. La haute définition est surtout intéressante pour un très grand écran puisque le rapport d’agrandissement est plus petit. Si on transfert de la HD sur de la pellicule pour projeter sur un grand écran cinéma, on a une qualité de projection qui est quasiment équivalente à une image 35mm. Et on est donc toujours obligé d’avoir du film en projection ? Pour le moment oui. Il n’y a pas d’exploitation à grande échelle en numérique donc on est obligé pour utiliser le parc de salles existant de transférer sur pellicule 35mm. • page 38 • • page 39 • • Tourner sans pellicule • • Tourner sans pellicule • Pourquoi y a -t-il de plus en plus de films en HD ? De quoi profitait-il le plus ? Le matériel commence à être au point, il est pratique, pas encombrant. En 35mm avec une caméra lourde on arrive à faire un maximum de 8 minutes, alors qu’en HD avec une caméra plus légère et portable on fait 40/45 minutes. Deuxièmement l’intérêt c’est la manière dont les caméras HD répondent dans les très basses lumières. On peut tourner la nuit dans les rues des villes sans rajouter de lumière. De même on peut filmer en numérique des gens éclairés à la bougie, des gens éclairés avec une lampe à pétrole etc. De tout. Ne pas recharger tout le temps, pouvoir tourner quarante minutes, pouvoir tourner pratiquement partout, sans avoir à beaucoup changer la lumière, aller encore plus dans le sens du film c’est à dire la réalité, le vrai. Le fait d’avoir une caméra libre avec des zooms dont on a pas d’équivalent en 35mm lui a permis de faire des scènes impensables en film. Une caméra au métro Georges V et les acteurs dans la foule au métro Franklin Roosvelt, avec de très longues focales, et la nuit ! Et aussi l’aspect économique car plus de pellicule. Et pour en revenir au genre humain, à la lumière est-ce qu’on peut Tourner sans pellicule ne veut pas dire tourner sans lumière, on parler de la lumière «des parisiens» ? reste, avec un travail de lumière ? Ce que demandait Claude c’était qu’on y croie, qu’on soit avec les gens dans la vie au niveau de la lumière au niveau des cadres et des places des caméras. Qu’on ait l’impression que les acteurs sortent de la foule, d’où les utilisations de très longues focales qui, encore une fois, n’existent qu’en numérique d’une manière légère et de jour comme de nuit. Quant à la lumière elle-même c’était une lumière qui respectait la réalité des endroits, des cafés, des lumières de voitures, la nuit etc. L’interprétation un peu artistique qu’on a fait de temps en temps fut de rajouter des petits contrejours, de manière à emmener la vraie lumière dans notre sens. Absolument. La lumière qui existe dans les rues, qui existe partout n’est pas forcément la lumière qui à le sens qu’on a envie de donner par rapport au film qu’on fait. On travaille avec un metteur en scène dans une direction artistique. Le fait d’impressionner l’image n’est pas suffisante. Comment ça s’est passé avec Claude Lelouch dans sa décision de passer au numérique ? Je crois qu’il en avait envie depuis quelque temps. Il a vu LA PETITE LILI de Claude Miller qui a été tourné en HD ça lui a plu, et c’est à la suite de ça qu’il m’a appelé. Après cela on a fait des essais comparatifs en 35 et HD en allant jusqu’au bout de la chaîne c’est-à-dire pas seulement en montrant le confort de tournage mais aussi le résultat une fois transféré en 35mm. On a vu ça en projection et c’est à la suite de ça qu’il a pris la décision. En sortant de la projection il a dit avec un grand enthousiasme : c’est la caméra dont je rêvais depuis toujours. • page 40 • chez les acteurs est-ce qu’il y avait un comportement différent par rapport au numérique ? Un comportement différent fondamentalement non. Certains étaient étonnés de ne pas savoir où commençait et où finissait le plateau. Traditionnellement un plateau de cinéma est suréclairé par rapport à notre univers de tous les jours. On sait quand on est dans le champ à cause de la lumière. En numérique entre le champ et le hors champ il y a très peu de différences au niveau de la lumière. • page 41 • [ la musique ] • Francis Lai • Voilà presque quarante ans, Pierre Barouh me présentait un jeune réalisateur qui allait marquer le cinéma français : Claude Lelouch. Cette rencontre fut décisive pour la suite de ma carrière. La musique a toujours eu une importance fondamentale dans les films de Claude. Il fit le pari de me confier la musique d’un film qui deviendra mythique : UN HOMME ET UNE FEMME. La musique et les chansons dont les textes étaient de Pierre Barouh furent enregistrées avant le tournage du film. Notre interprète était Nicole Croisille. Cette méthode de travail se pérennisera jusqu’à aujourd’hui Son nouveau film LE GENRE HUMAIN ne dérogera pas à cette règle. Lors d’une première rencontre Claude me raconta l’Histoire de sa trilogie : nous nous retrouvâmes une seconde fois, Claude, Boris Bergman et moi, (normal pour une trilogie) pour écouter les premières ébauches des chansons car Boris, qui écrit à la vitesse de la lumière, m’avait déjà envoyé deux textes sur lesquels j’avais cherché quelques départs (il fallait suivre...). Claude avait déjà une idée précise de l’univers musical dont il rêvait : un univers très jazz, déclinable en chanson puis en symphonique (pas facile…). Voilà donc posées les bases de la musique du film LES PARISIENS premier du triptyque LE GENRE HUMAIN, très proche d’une comédie musicale. Nous avons enregistré les huit chansons, cinq avec des textes de Boris Bergman, et trois avec des textes de Pierre Barouh. Ce fut une joie de nous retrouver pour cette nouvelle aventure. C’est toujours comme cela que nous procédons : Claude a besoin de s’imprégner de l’ambiance musicale. Il écoute les thèmes sans arrêt pendant le tournage : sur le plateau, avant, pendant et après une prise, seul dans sa voiture… Quel plaisir aussi pour moi qu’il engage Massimo Ranieri que je connais depuis longtemps, c’est un "artiste multiple",qui sait tout faire, chanter, danser, jouer la comédie, une véritable star en Italie. Ecrire pour lui était relativement plus aisé grâce à ses possibilités vocales sans limite. Avec Maïwenn, c’était un peu différent, elle chante pour la première fois : sa fragilité vocale nous donne avec Massimo des duos très émouvants. Pour les enregistrements nous avons associés les meilleurs musiciens français : Laurent Couson pour sa culture jazz et son talent d’arrangeur, Didier Lockwood violoniste virtuose que l’on ne présente plus, Roland Romanelli qui donne si bien cette couleur "Paris" avec son accordéon, le quartet (Piano, Basse, Batterie, Guitare) formé des meilleurs jazzmen actuels, l’orchestre symphonique. Merci à tous du plaisir qu’ils m’ont procuré. Francis Lai [ la musique ] • Boris Bergman • Tout d’abord Claude te raconte le film… non il te le montre… Juste assez pour que le parolier puisse visualiser : un plan général du chanteur des rues faisant le Père Noël… le gros plan d’une chanteuse en vogue. Claude énumère les 5 thèmes qu’il souhaite… et quelquefois c’est son découpage qui définit la structure et la longueur du texte. Certains thèmes reviendront sous des formes différentes (le genre humain). Comme la chanson de cette Joséphine Baker reprise par une chanteuse de cabaret avec quelques variations dans la langue de FASSBINDER pour un parterre d’officiers allemands. … En effet ce jeu de pistes ressemble à celui que Claude avait initié dans LES UNS ET LES AUTRES ou la chanson avait déjà son importance… pour LE GENRE HUMAIN elle est, dans ce film, son attribut incontournable… • Pierre Barouh • Pour Claude, Plus ou moins conscient de la "Pensée Oulipienne" évoquant le fait que la contrainte sollicite l'imagination, Claude Lelouch, lors de notre rencontre provoquée par Gérard Sire, m'a emporté dans le tourbillon de sa disponibilité et sa volonté d'apprivoiser les impondérables... Contrainte : les modestes moyens de nos premières expériences communes UNE FILLE ET DES FUSILS, UN HOMME ET UNE FEMME. Disponibilité : la rencontre d'un jeune compositeur-accordéoniste niçois, Francis Lai avec qui, depuis des années je partageais une amitié (qui se prolonge) et une passion d'artisans pour "la chanson". Rencontre engendrant l'impondérable : la présence de chansons s'intégrant au propos imagé inaugurant ainsi une écriture que le temps ratifie car, sans jouer aux historiens, si ces deux modes d'expression populaire se sont toujours cotoyés la chanson apparaissait alors soit en situation*, dans les comédies musicales ou à l'origine du récit*. Claude Lelouch, illustrant la pensée de Vinicius de Moraès : "La vie c'est l'art des rencontres", a intégré à ses histoires des chansons existantes* et provoqué l'écriture de chansons nouvelles. C'est à nouveau le cas pour LE GENRE HUMAIN et je suis très heureux que nous nous retrouvions avec Francis, Claude et LES PARISIENS pour cette nouvelle aventure "du genre humain". Pierre Barouh * Charlot LES TEMPS MODERNES - Jean Gabin LA BELLE ÉQUIPE. * LES PARAPLUIES DE CHERBOURG * SAMBA SARAVAH - PLUS FORT QUE NOUS - UN HOMME ET UNE FEMME. DES RONDS DANS L'EAU - VIVRE POUR VIVRE. • page 42 • • page 43 • [ la musique ] • Laurent Couson • [ la musique ] • Musiques Originales : Francis LAI • Paroles : Boris BERGMAN & Pierre BAROUH 20 février 2004, 8h30 du matin, dernier jour de tournage, me voici chez Claude en train d’enregistrer les thèmes du film du genre humain sur un piano mécanique, qui va rejouer comme un fantôme les mélodies du genre humain. Un fantôme, la musique en est bien un qui plane en permanence sur ce film. Pour un musicien passionné de cinéma, travailler sur un film de Claude Lelouch semble une place idéale et rêvée. D’abord il y a le bonheur de travailler avec cet homme merveilleux de talent et d’humilité qu’est Francis Lai. Par sa sensibilité, il a su trouver pour ce film quelques-unes de ses plus belles mélodies et chacune semble une évidence, une description musicale du genre humain. Mon travail a consisté à construire avec Francis et Claude, chaque morceau comme une histoire à part entière, un moment de vie, en lui donnant la couleur orchestrale de chaque scène, le tout dans une ambiance de jazz mélancolique. Le challenge était d’autant plus intéressant qu’il s’agissait de chansons interprétées par les acteurs mêmes du film, et qu’il fallait trouver l’espace musical pour qu’ils puissent exprimer leurs émotions de comédiens, tout en sublimant la mélodie. Pour aller au bout de cette idée, Claude a demandé à tous ceux qui ont participé à l’enregistrement de la musique de jouer dans le film, ainsi ce sont les mêmes musiciens qui interprètent toutes les scènes musicales du film. Je ne m’attendais pas à jouer mon propre rôle et à me retrouver sur le plateau de tournage pendant plusieurs jours. Ce fût une des expériences les plus intéressantes qui soit, car la musique est véritablement l’un des personnages du film et je pouvais poursuivre mon travail en direct avec les musiciens et les comédiens sur le tournage. Fait rarissime au cinéma, et certainement inédit en France, Claude veut que la première chose enregistrée pour le film soit la musique. Nous avions donc avant le premier jour de tournage définit toutes les scènes musicales et enregistrées toutes les musiques du film. De plus, j’ai joui des libertés les plus totales pour la réalisation de la musique : un orchestre symphonique, évidemment, le plus beau studio de Paris, tout de suite, faire venir les meilleurs musiciens de jazz du moment, sans hésitation ! Ainsi nous pouvons entendre tout au long du film les solos de Didier Lockwood, André Ceccarelli, Jean Marie Ecay ou Eric Legnini... En ne commençant son tournage qu’avec l’intégralité des musiques, Claude réalise en fonction d’elle, créant ainsi une véritable osmose ; l’utilisant comme direction d’acteurs, elle met les comédiens dans une situation de vérité absolue, emportés par l’état musical. Ce qui m’a frappé dans ce travail avec Claude, c’est la parfaite connaissance qu’il a de la musique, et la visualisation immédiate qu’il en a avec ses images. De ce fait le travail d’arrangement devient très précis, dirigé comme un acteur, il n’y a plus qu’à «jouer». Il a voulu particulièrement sur ce film que la musique soit un personnage du genre humain, et que chacune des chansons soit une étape de la vie des personnages, en suivant son humeur et ses émotions. Il en ressort une de mes plus merveilleuses aventures humaine. Laurent Couson • page 44 • Arrangements et Direction Musicale : Laurent COUSON • Musiciens Jazz-Club Frédéric Delestré - Batterie. Éric Jacquot - Contrebasse. Jean-Marie Ecay - Guitare. Laurent Couson - Piano. Didier Lockwood - Violon • Musiciens Palais des Congrès Guillaume Becker, Anne-Sophie Boissenin, Bénachir Boukhaten, Maryse Castello, JeanPierre Como, Sigfried Courteau, Laurent Couson, Robin De Fives, Frédéric Delestré, Jean-Marie Écay, Éric du Faÿ, André Feydys, Christophe Gavrier, Stéphane Guieux, Frédéric Haffner, Éric Jacquot, Paul Lepicard, Tiana Alsina Meritxell, Cyril Normand, Jan Orawiec, Lise Pathé, Michel Perrin, Élodie Peudepièce, Alexandre Piquion, Thomas Petiron, Magda Rebacz, Jean (Joan) Rouaud, Nadine Schneider, Vimala Sitthsack, Zorica Stanojevic, Faustine Tremblay. • Enregistrement : Studio Guillaume Tell Arrangements et Direction Musicale : Laurent Couson Copiste : Muriel Varandas Régie : Nolwenn Bertholet Booking Orchestre : Pascale Olivier-Lagier Chant : Anne-Laure Savigny Musiciens : Marie Belin, Philippe Bernhard, Anne-Sophie Boissenin, Bénachir Boukhaten, Laurent Camatte, Maryse Castello, Julia Collin, Laurent Couson, Sigfried Courteau, Anne-Sophie Courderot, Robin De Fives, Éric du Faÿ, Christophe Gavrier, Raphaël Gouthière, Stéphane Guieux, Harold Hirtz, Diego Imbert, Éric Jacquot, Manoubia Kéfi, Vahé Kirakusia, Dominique Lemonnier, Laurent Marfaing, Tiana Alsina Meritxell, Nathalie Meseguer, Cyril Normand, Jan Orawiec, Lise Pathé, Michel Perrin, Olivier Perrin, Élodie Peudepièce, Alexandre Piquion, Thomas Petiron, Magda Rebacz, Lætitia Ringeval, Peter Ruzicka, Vimala Sitthsack, Zorica Stanojevic, Emmanuelle Touly, Faustine Tremblay, Dragan Ulric, Christophe Voituron. • • page 45 • • Liste technique • • Liste technique PRODUCTION-RÉGIE COSTUMES Producteur délégué : Jean-Paul de VIDAS Scénario original : Claude LELOUCH Adaptation et dialogues : Claude LELOUCH & Pierre UYTTERHOEVEN Directeur administratif et financier : Anne-Simone DIEP Directeur de production : Rémi BERGMAN Gestion des contrats : Tia SACKDA Administrateur : Mathilde UMHAUËR Régisseur général : Philippe LENFANT Régisseurs stagiaires : Rodolphe VIÉMONT, Vincent LEFEUVRE, Logan LELIÈVRE Chauffeur de production : Francis BRUNEL Stagiaire production : Lucy HAWKES Loges : Kémal GUKLI, Jérôme TOMAT, Pascal ROUVRAIS, Patrick NINET Chef costumière : Arine SERRANO Habilleuse : Joana GEORGE-ROSSI Stagiaire aux costumes : Mattia BALLERINI post-PRODUCTION Chef monteur image : Stéphane MAZALAIGUE Assistante monteuse image : Charlotte LECŒUR Chef opérateur son auditorium : Jean-Charles MARTEL Assistant opérateur son auditorium : François HORS Chef monteur son : Jean GARGONNE Assistant chef monteur son : Benoit GARGONNE Bruiteur : Pascal CHAUVIN Assistant bruiteur : Franck CEVEN Perchman post-production : Martin BOISSAU Chef opérateur son musique : Bernard MOULINIER Traduction anglaise : Eric COLLINS Traduction italienne : Giacinto PIZZUTI PRESSE COMMUNICATION Directrice de la communication : Arlette GORDON Webmaster : Carol ORIOT MISE EN SCÈNE 1er assistant : Do COMBE Assisté de Christophe VALLÉE, Vania PEIRANI-VIGNES, Stanislas GRAZIANI, Katia DEVIDAS, Marion PIN Casting figuration : Célina BLANC & Alain ASTRESSE IMAGE Chef opérateur image : Gérard de BATTISTA A.F.C. Cadreur steadicam : Didier FRÉMONT 1er assistants opérateur : Stéphane DEGNIAU, Luis-Armando ARTÉAGA 2ème assistants opérateurs : Philippe de VAUCELLE, Mathilde PERREAU Photographe de plateau : Éric CARO SON MAQUILLAGE COIFFURE Chef maquilleuse : Michèle CONSTANTINIDES Coiffeuse : Catherine CRASSAC MACHINERIE ÉLECTRICITÉ Chef machiniste : Thierry CANU Machinistes : Philippe CANU, Gilles HUSSON Chef électricien : Pascal LOMBARDO Électriciens : Roland DONDIN, Marc MULERO CONSEILLERS SPÉCIALISÉS Chant : Ahmed LARINOUNA Rollers : Tanao TERRA, Xavier "Pikachu" DEROIN, Emmanuel MAIRESSE CASCADEURS Réglages bagarres : Jean-Louis AIROLA, Gilles CAPPELLETTO (voiture travelling), Niels DELAGARDE (Voiture travelling), Alain BARBIER, Patrick MÉDIONI, Francis AUGUY, Loïc SAINTILAN, François HULLARD CONSTRUCTION Chef machiniste : Joël NICOLAS Machiniste : Frédéric MARTIN Peintre : Patrice FASOLA TECHNICIENS RENFORTS Régie : Jonathan VIÉNOT, Sandra MARTHON, Dominique Lionel GRANDIN Caméra : Jean LEGRAND, Raphaël BAUCHE Son chef opérateur essais : Harrik MAURY Décoration : Anthony LAVENANT Maquillage : Annouchka Odile FOURQUIN, Catherine GEORGES, Véronique JONIN, Laurence GROSJEAN Coiffure : Charlotte ARGUILLIÈRE, Jeanne MILON, Olivia LEQUIMENER Machinerie : Antoine HUSSON Électricité : Frédéric THUROT Conducteurs de groupe : Bernard CAROFF, Patrice BIRZIN, Christian THUROT, Serge THUROT ÉQUIPE VAR Régisseur général : Gaelle CAYATTE Régisseur stagiaires : Raphaël CAPOTORTO, Sébastien CHARRIÈRE, Hugo RICHAUD Conducteur de groupe : Pascal VILLANUEVA Ingénieur du son : Harald MAURY, Jean-Charles MARTEL Assistant son : Philippe BOUCHEZ MAKING OF CCC-Isabelle CLARKE & Daniel COSTELLE DÉCORATION Chef décorateur : François CHAUVAUD Régisseur d'extérieurs : Jean-Marie LHOMME Accessoiriste : Jean-Laurent AGRINIER Stagiaire décoration : Romain SANDERE Rippers : Frédéric Le GAVRIAN, Stéphane LEROY • page 46 • • www.legenrehumain.com www.lesfilms13.com • page 47 • • Notes • • page 48 • • Notes • • page 49 • • page 50 • crédits non contractuels