PRODUCTION / GRAND THEATRE DE LUXEMBOURG

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PRODUCTION / GRAND THEATRE DE LUXEMBOURG
PRODUCTION / GRAND THEATRE DE LUXEMBOURG
COPRODUCTION / COMPAGNIE NTB - CDDB-THEATRE DE LORIENT
THEATRE DU BEAUVAISIS /
Laurent Delvert +33 6 80 63 40 53 [email protected]
TARTUFFE
de Molière
MISE EN SCENE
LAURENT DELVERT
SCENOGRAPHIE
COSTUMES
FREDERIC REBUFFAT
LUMIERE
FREDERIC MILLOT
CREATION SONORE
MADAME MINIATURE
AVEC
SANDRINE ATTARD
STEPHANE DAUBLAIN
LOUISE DESCHAMPS
VANESSA DEVRAINE
GILLES JANEYRAND
MARTINE PASCAL
VINCENT SCHMITT
(DISTRIBUTION EN COURS)
PRODUCTION GRAND THEATRE DE LUXEMBOURG
EN COPRODUCTION AVEC NTB - CDDB-THEATRE DE LORIENT
THEATRE DU BEAUVAISIS
UNE PREMIERE VERSION DE CE SPECTACLE A ETE CREE LE 17 OCTOBRE 2005
AU CDDB-THEATRE DE LORIENT, CENTRE DRAMATIQUE NATIONAL
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TARTUFFE…
L’Hypocrisie, La Religion.
En 1664, Molière écrit une pièce fustigeant l’Eglise et le Jansénisme qui possède un pouvoir
très puissant et domine la pensée politique. Dans cette première version le titre “l’Hypocrite“
affiche clairement la donne. La pièce proposée devant le roi dans une lecture mise en
espace mettant en jeu un personnage dont l’habit possède un petit collet, élément notable
d’un ecclésiastique, fait scandale. L’ostentation d’une fausse sainteté d’un homme d’église
est qualifiée dans la gazette du 17 mai 1664 d’ “injurieuse à la religion et capable de produire
de très dangereux effets“.
La censure oblige Molière à réviser et adoucir par deux fois au moins le contenu sulfureux de
la pièce. Ainsi, dès 1667, apparaît un changement déjà très important : le personnage de
Tartuffe porte désormais en place d’un petit : un grand collet. Il devient un dévot hypocrite, et
la pièce sera libre d’être jouée en 1669 sous son titre actuel “Le Tartuffe ou l’imposteur“. Elle
n’est plus vouée à critiquer l’Eglise mais uniquement la fausse dévotion qui devient
maîtresse de la société avec une entière sécurité d’insolence.
J’ai souhaité retrouver le débat que proposait cette première version, plus directe, plus âpre
aussi et donc plus vibrant aujourd’hui.
Chrétien, dans mes réflexions, je suis parfois effrayé devant l’évolution de ma religion au
cours de l’histoire ou en tout cas en question face à ce qu’elle peut avoir comme
responsabilités. Je me dis que celle que l’on m’a enseignée est coupable de tant de méfaits.
L’homme ne cesse pas de fabriquer des préceptes afin d’aménager l’Eglise et de garder
ainsi, au nom de Dieu, un contrôle sur ses contemporains. Notre société est marquée par
cette culpabilité judéo-chrétienne qui interdit à l’homme son indépendance face à son désir,
à sa capacité d’être, au nom de la morale et de la notion de péché originel. Comme le
souligne Nietzsche “Depuis qu’il y a des hommes, l’homme s’est trop peu réjoui, c’est ceci
notre seul péché originel.”. Péché dont on lave et purifie toujours les enfants lors du
baptême. L’histoire doit évoluer et en finir avec cette culpabilité qui, imposée par le temps et
les hommes, nous contrôle et nous gouverne. Chaque religion nous enseigne que sa
doctrine est celle en laquelle il faut croire afin d’être sauvé. Chaque religion démontre que
l’autre ne peut avoir raison. Ainsi, en oubliant l’amour et le respect de l’autre qui en sont
leurs simples fondements, chacune ne crée que l’intolérance.
…en 2010
Aujourd’hui ce courant de dévotion n’existe plus. Les seuls personnages représentant
l’institutionnelle Eglise Catholique auprès du peuple sont donc les prêtres. Le prêtre, même
s’il se fait rare, a cette place privilégiée qui, lors d’un repas, lui fait prendre le centre de la
table et en fait un personnage que l’on écoute et que l’on révère. On place en son discours
une totale confiance puisqu’en homme d’Eglise il rapporte ce que celle-ci tient de Dieu. Cela
reste vrai sur nos familles, au quotidien, mais le contrôle de l’Eglise sur le monde est tel,
qu’aux Etats-Unis, lors des campagnes présidentielles de 2004, ont été utilisées des
pancartes aux slogans électoraux : “VOTEZ JESUS – VOTEZ BUSH !”, parce que ce dernier n’a
pas hésité à séduire dans son discours l’électorat chrétien. Cette récupération s’opère aussi
bien sûr en France. L’importance des valeurs de notre identité nationale est tout autant
utilisée. Souvenons-nous du débat sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat qui fut remise en
cause à la veille des élections de 2007, par exemple. Le principe de Laïcité si chère à notre
démocratie et république française n’est pas des plus évidents. Le trouble reste, l’ambiguïté
est entretenue, à gauche comme à droite, par l’utilisation de petites phrases très
évangéliques au milieu d’un discours politiques ou lorsque le président de la République est
reçu au Vatican et prononce son discours à Latran…
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Enfin, je souhaite participer au débat sur le célibat des prêtres et l’hypocrisie faite sur leur
sexualité. Je crois que les autoriser à avoir une vie d’homme ne les propulserait que mieux
dans une sincère réalité et ne les rendrait pas pour autant moins bons pasteurs, je souhaite
faire de Tartuffe ce que Molière avait lui-même écrit en 1664 : un prêtre, et un prêtre
d’aujourd’hui.
Alors dans son machiavélisme et usurpation d’identité afin de réaliser ses mésactions,
Tartuffe un Prêtre, faux prêtre ? Ou prêtre hypocrite dans sa fonction ?
Une histoire de famille
Orgon le chef de famille a perdu sa femme. Au lendemain du deuil, la famille recomposée
tente de se reconstruire. Après des années de faste et de forte implication sociale, Orgon
entame une retraite de ses activités mondaines, une quête sur lui-même et spirituelle.
Renonçant également aux apparences du luxe, la famille vit dans un espace qui n’est ni un
intérieur, ni un extérieur, un lieu en construction qui tente de laisser sa place au passé, qui
tente de l’intégrer, refuge fragile durant cette parenthèse de recherches d’identités.
Ring où tomberont les masques pour recommencer à vivre.
Orgon dans son désir de parfaire sa vie, cherche à transmettre. Ses enfants qui ont des
préoccupations d’adolescents, et sa très jeune femme Elmire qui est pleine de vie, cherchent
à se rencontrer, à s’unir, à s’aimer. Eloigné de ces problématiques, Orgon rencontre en
l’oreille attentive de Tartuffe un autre fils, spirituel. Celui-ci du même âge que Damis et
Valère, et séduisant par sa bonhomie, devient leur sérieux et dangereux rival. Il prend très
vite la place de Valère en étant promis en mariage à Mariane. Puis en devenant seul héritier
d’Orgon, il prend la place de Damis, celui-ci étant déshérité et chassé de la maison.
Manichéisme ?
Elmire est esseulée, tenue à l’écart par son époux. Comment ne peut-elle pas être troublée
par la déclaration d’amour que lui adresse Tartuffe ? Lui-même, n’est-il pas sincère dans sa
déclaration d’amour ?
Je souhaite mieux comprendre Tartuffe. Dans une vision non manichéenne, quelle humanité
peut-on déceler chez lui ? Avant de le juger, il faudra analyser et comprendre comment un
enfant, innocent, que l’on a élevé dans la religion catholique a pu devenir ce personnage
machiavélique. Quels traumatismes aura-t-il subit pour être emmené dans une errance où
peut-être une seule personne connaît la vérité de ses plans : Laurent, son valet et
confident ? Et ce dernier, qui est-il ? De quelle nature est leur relation, que signifie t’elle ?…
Peut-on également réduire le personnage d’Orgon à un benêt qui se ferait avoir par
Tartuffe ? Les relations entre un séducteur et un être séduit sont elles si simples, si
évidentes ? Lequel finalement a le pouvoir, manipule ?
Enfin, nous analyserons comment le pouvoir provoque des bouleversements et comment,
même infimes, ceux-ci transforment un homme. Dès lors, dans sa possession et sans
volonté première de mal agir, il est armé du danger de mal l’utiliser et de manipuler.
Laurent Delvert.
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Scénographie
Un espace scénique qui n'est pas la reconstitution d'une époque passée.
Un objet qui entraîne le spectateur au cœur du drame.
Comme une maison abstraite, un espace clos qui s'ouvre doucement sur l'intime.
Un jeu de construction-déconstruction qui réduit l'espace, le complique ou le vide pour guider le regard du public.
Une scénographie qui met en lumière la vie d'une famille dans son quotidien le plus trivial - manger, dormir, se laver
- et qui révèle aussi les tensions, les rapports de force entre les individus.
Un lieu où les repères basculent, rien n'est sûr. Le dedans et le dehors se confondent.
Tout bouge ou peut bouger, pas un fonctionnement systématique mais plutôt
organique comme si la maison était un personnage à part entière.
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Laurent Delvert – mise en scène
Issu de l’Ecole Régionale d’Acteur de Cannes, il reçoit en 1996 le “Prix du jeune talent“.
Membre d’une manécanterie pendant plus de dix ans, il participe à la création d’un quatuor de
gospel a capella, à4, puis donne deux tours de chant, Brel, Bécaud, Brassens au Pari’s AllerRetour et Histoires Vécues au Théâtre de Chaillot.
Au théâtre, il a travaillé avec Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff (Zampa, Les Brigands),
Jérôme Savary (Irma la Douce, La Périchole, Zazou), Bernard Sobel (La Tragédie Optimiste,
Le Juif de Malte), Catherine Marnas (L’Héritage, Célibat, Une Antigone), Christian Rist
(6 Métamorphoses), Simone Amouyal (Peines d’Amour Perdues), Pascal Rambert (Long Island,
Gilgamesh part III), Frédéric de Golfiem (Une Forte Odeur de Pomme), Alain Maratrat (L’Ecole de
Danse), Abbès Zahmani (Chère Eléna Serguéievna), Vincent Schmitt (Les Plaideurs)
Au cinéma et à la télévision, on a pu le voir dans Julie Lescaut (Dominique Tabuteau), Elles me
disaient « Tenez bon » (Sébastien Grall) et Les Insolés (Jean-Marc Simonet)
Laurent est l’assistant de Jérôme Deschamps pour sa mise en scène du Fil à la Patte de Feydeau
à la Comédie-Française. De décembre 2007 à septembre 2008 en résidence à la Schaubühne de
Berlin, il y assiste Thomas Ostermeier pour Die Stadt de Matin Crimp, Der Schnitt de Mark
Ravenhill puis Hamlet de Shakespeare (Festival d’Athènes, Cour d’Honneur du Palais des PapesFestival d’Avignon). Avec Jérôme Savary, il a été assistant-stagiaire à la mise en scène de
Mistinguett puis 1er assistant pour Liberté-Liberty, festivités du 60ème anniversaire de la Libération
de Paris.Il a également assisté Frédéric de Golfiem pour la mise en espace d’Une Forte Odeur de
Pomme d’Eiras au Théâtre de Nice. Il est stagiaire-réalisateur pour le film Rue du Retrait de René
Féret.
En 2002, il fonde la compagnie NTB et met en scène Les Guerriers de Philippe Minyana à Bar-leDuc et au Centre Wallonie Bruxelles à Paris. Tartuffe de Molière au CDDB-Théâtre de Lorient,
Centre Dramatique National, au Trait d’Union de Neufchâteau et à l’ACB-Scène Nationale de Barle-Duc. amOuressences d’après De Quevedo, Labé et Shakespeare au Festival RenaissanceS de
Bar-le-Duc, Le Joueur d’Echecs de Stefan Zweig au Théâtre Daniel Sorano de Vincennes et au
Théâtre des Béliers d’Avignon, réalisé le spectacle musical à4 Tour 2006. En 2007 il participe au
système Plateaux Lorrains au Carreau-Scène Nationale de Forbach où il réalise une première
étape de son futur projet Cinna… de Corneille, une deuxième étape aura été présentée en
septembre 2008 au Centre Wallonie Bruxelles de Paris.
Il a mis en lecture Fitness de Jacques De Decker à la SACD et Rêver-Penthésilée d’après Kleist
dans le cadre des lectures du Théâtre 13.
Frédéric Rebuffat – Scénographe
Frédéric a travaillé avec Stéphane Braunschweig pour qui il a conçu une dizaine de scénographies
pour le théâtre et l’opéra. Il a également collaboré plusieurs fois avec Jean-Pierre Rossfelder,
Simone Amouyal et Marc Quentin. Il participe aux spectacles de Improvisator, aux mises en scène
de Guillaume Cantillon, Frédéric Garbe, Sophie Le Carpentier, Alexandra Giuliano, Joël Dragutin.
Il a également travaillé au Cinéma avec Olivier Dahan pour les costumes de La Vie Promise et
avec Roger Planchon pour les décors de Louis Enfant Roi
Avec Laurent Delvert il a réalisé les décors et les costumes des Guerriers, Tartuffe,
amOuressences, et le Joueur d’Echecs.
Fred Millot – Créateur Lumière
Issu de l’éclairage architectural, Fred a fait ses débuts scéniques au CNAT de Reims sous la
tutelle de Roger Glab. Il travaille ensuite à l’opéra de Metz, à Expressions et avec le groupe à4
pour lequel il conçoit l’éclairage de 400 églises en 6 ans. Il a été assistant-stagiaire d’Alain Poisson
sur “Irma la Douce“ de Jérôme Savary à l’Opéra-Comique, puis assistant pour Guy Bedos à
l’Olympia.
Il travaille avec les Poubelles boys, Giancarlo Ciarapica, Clémentine Célarié, Maxime Martin…
Avec Laurent Delvert il a réalisé les lumières des Guerriers, Tartuffe et le Joueur d’Echecs.
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Madame Miniature – Création Sonore
Médaille d'or 87 de la Classe de Composition. Electroacoustique du Conservatoire National
de Lyon, Miniature travaille pour la danse contemporaine, le film documentaire et le théâtre avec :
Laurent Gutmann, Catherine Marnas, Charles Tordjman, Jacques Rebotier, Daniel Mesguich,
Georges Werler, André S.Labarthe, Georges Lavaudant, Catherine Anne, Patrick Pinault, Marise
Delente, Michel Kelemenis, Joël Jouanneau
Avec Laurent Delvert elle a réalisé la création sonore de Tartuffe.
Les Acteurs
Sandrine Attard – Dorine
Sandrine débute sa formation théâtrale à l’Ecole Claude Mathieu avant d’entrer à l’Ecole du Théâtre
National de Strasbourg.
Au théâtre, Sandrine a travaillé avec Olivier Foubert, Bernard Sobel, Jérôme Deschamps, Enzo Cormann,
Joël Jouanneau, Michel Didym, Adel Hakim, Christophe Perton, Julie Brochen, Doclan Donnellan, Balazs
Gera, Claude Yersin, François Béchu, Julia Duchaussoy…
Au Cinéma, elle a joué sous la direction d’Isabelle Gerbaud et Pascale Ferran…
Avec Laurent Delvert elle a joué dans Tartuffe de Molière, dans amOuressence.
Stéphane Daublain – Cléante
Stéphane a reçu l’enseignement de Jacques Bonnafé, Roland Bertin, John Berry, Camilla Saraceni,
Isabelle Sadoyan, Jaco Van Doermal, Serge Poncelet…
Au théâtre, il a travaillé avec Marc Tamet, F. Grognet, Guy Naigeon, Steven Taylor, Laurent Fréchuret,
Anne Courel...
Au cinéma, il a joué sous la direction de Philippe Lioret, R. Schneider et Jean Becker.
Stéphane est également conseiller artistique au Théâtre de la Platte à Lyon, et metteur en scène.
Avec Laurent Delvert il a joué dans Les Guerriers de Philippe Minyana et dans Tartuffe de Molière.
Louise Deschamps – Mariane
Louise débute âgée de neuf ans avec Chantal Morel au Théâtre de l’Athénée. Un an plus tard, dans les
Brigands d’Offenbach, mis en scène par Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Elle suit la formation de
l’école Le Magasin à Malakoff, des Cours Florent, de l’Ecole de Chaillot et d’Yves Beaunesne à la Haute Ecole
de la Manufacture de Lausanne et des cours de hip-hop au café de la Gare puis à Chicago.
Au théâtre, elle a joué et dansé avec José Montalvo, Dominique Hervieu, Juliette Deschamps, Thierry Lopez,
Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff.
Au cinéma, elle a joué dans Staring Girl, film parrainé par Tim Burton, puis sous la direction de Pascal Hérold,
Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff, Simon Wallon, Patrice Leconte.
Louise est également metteur en scène, elle a mis en scène La Vraie Vie est ailleurs d’après Pierrot le Fou de
Jean Luc Godard, Les Privilèges des Chemins de Fernando Pessoa, Mon Petit Gérard ! Ou rêveries d’enfance
autour de Jacques Tati.
Elle a en outre créé l’univers visuel du clip Le Roi des ombres de Mathieu Chedid.
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Vanessa Devraine – Elmire
Après avoir été au Conservatoire National Supérieur de Danse, Vanessa restera quatre années au
sein de la troupe de Roland Petit. Elle rentre à l’école d’acteur des Enfants Terribles, puis suivra
les cours d’ Eva St Paul, de Philippe Duclos et du Centre Dramatique de Varna en Bulgarie.
Au théâtre, Vanessa a travaillé à de multiples reprises avec Jérôme Savary, et avec Jacques
Connort, Gheorgui Mikhalkov, Martin Kotchovski, Armando Bora…
Au cinéma et à la télévision, avec Pierre Akhine, Edouard Baer, Jean-Denis Robert, Gérard Marx,
Pierre Földes…
Avec Laurent Delvert elle a joué dans Les Guerriers de Philippe Minyana et dans Tartuffe de Molière.
Gilles Janeyrand – Monsieur Loyal, l’Exempt
Comédien et Chanteur, au théâtre, Gilles a travaillé avec Jérôme Savary, Robert Hossein, Robert
Fortune, Dominique Conte, Serge Noël, Jean François Philippe, Jean Pierre Dravel, Andréas
Voutsinas, Bruno Carlucci, Paul Weawer, Bernard Rousselet, Alain Sachs, Vincent Schmitt…
Au cinéma et à la télévision, il a travaillé sous la direction de Jérôme Enrico, Nicolas Ribowski
Jacques Ertaud, Michel Andrieu, Alain Nahum, Antoine Perset, Patrick Saglio, Danièl Moosmann,
Jean Pierre Desagnat, Bertrand Tavernier, Bertrand Gautier, Yannick Bellon, Jacques Monnet…
Avec Laurent Delvert, il a joué dans Les Guerriers de Philippe Minyana, dans Tartuffe de Molière,
dans amOuressence, et dans Le Joueur d’Echecs de Stefan Zweig.
Martine Pascal – Madame Pernelle
Martine Pascal, issue d’une famille de grands artistes, est très tôt bercée par le théâtre. Elle a travaillé avec de
nombreux metteurs en scène et a elle-même dirigé une compagnie durant 15 ans.
Au théâtre, Martine a travaillé avec Stuart Seide, Jean Claude Fall, Jean Christian Grinewald, Gabriel Garran,
Robert Hossein, Francis Huster, Jean Louis Martin Barbas, Anne Marie Lazarini, Jean Claude Amyl, Jean
Louis Thamin, Simone Benmoussa, Marcel Maréchal, Gilles Bouillon, Pierre Tabard, Michel Souter...
Au cinéma et à la télévision, elle a participé a de nombreux films dont Jeanne la pucelle de Jacques Rivette
et Les Misérables de Robert Hossein.
Avec Laurent Delvert elle a joué dans Tartuffe de Molière.
Vincent Schmitt – Orgon
Il débute sa formation à l’Ecole Florent avant d’intégrer le Conservatoire National d’Art Dramatique
de Paris dans les classes de Viviane Théophilidès, Michel Bouquet et Gérard Desarthe.
Au théâtre Vincent a travaillé avec Patrice Chéreau, à de multiples reprises avec Jean-Pierre
Vincent et Stuart Seide, Jérôme Savary, Pierre Debauche, Jacques Rosner, Léonidas
Strapatsakis, José-Luis Gomez, Claude Yersin, Claudia Stavisky, Balazs Gera…
Au cinéma et à la télévision, avec Véra Belmont, Philippe de Broca, Coline Serreau, John Frankenheimer,
Alain Robak, Harriet Marin, Bertrand Tavernier, Eric Veniard, D.Bourdon & B.Campan, Jean-Paul
Rappeneau, Abder Isker, J-Dominique de la Rochefoucault, Jean-Paul Sassi, Daniel Collas, Dominique
Giulani, Jacques Weber, Philippe Venault, Heinz Peter Schwartz, Josée Dayan, Philippe Triboit, Vincent
Monnet, Jean-Pierre Prevost.
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20, rue de Polval
55000 Bar le Duc
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Laurent Delvert
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