Sujets de bac : Suites
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Sujets de bac : Suites Sujet n°1 : Antilles – Guyane – juin 2006 Partie A On considère les suites de points et définies pour tout entier naturel de la manière suivante : sur un axe orienté ; donné en annexe, le point a pour abscisse 0 et le point a pour abscisse 12. Le point est le barycentre des points pondérés ; 2 et ; 1 et le point est le barycentre des points pondérés ; 1 et ; 3. 1) Sur le graphique, placer les points , , et . 2) On définit les suites et des abscisses respectives de points et . Montrer que . On admet de même que . Partie B 1) On considère la suite définie, pour tout entier naturel , par . a. Montrer que la suite est géométrique. En préciser la raison. b. Donner l’expression de en fonction de . c. Déterminer la limite de la suite . Interpréter géométriquement ce résultat. 2) a. Démontrer que la suite est croissante (on pourra utiliser le signe de ). b. Etudier les variations de la suite . 3) Que peut-on en déduire quand à la convergence des suites et ? Partie C 1) On considère la suite définie pour tout entier naturel par 3 Montrer que la suite est constante. 2) Déterminer la limite des suites et . 4 . Sujet n°2 : Asie – juin 2007 Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct ; ; . L’unité graphique est 4 "#. Soit $ un nombre complexe non nul et différent de 1. On définit, pour tout entier naturel , la suite % de nombres complexes par : % 0 ( & % $% ' On note ) le point d’affixe % . 1) Calcul de % en fonction de et $. a. Vérifier les égalités : % ' ; % $ 1' ; % $ $ 1' b. Démontrer que, pour tout entier positif ou nul, % * + , *+ ' 2) Etude du cas $ '. a. Montrer que % 0. b. Pour tout entier naturel , exprimer % en fonction de % . c. Montrer que ) est l’image de ) par une rotation dont on précisera le centre et l’angle. d. Représenter les points ) , ) , ) , ) et ) dans le repère ; ; . 3) Caractérisation de certaines suites % . a. On suppose qu’il existe un entier naturel - tel que $. 1. Démontrer que, pour tout entier naturel , on a l’égalité %. % . b. Réciproquement, montrer que s’il existe un entier naturel - tel que, pour tout entier naturel , on ait l’égalité %. % alors $. 1. Sujet n°3 : Centres étrangers – juin 2005 1ère partie On appelle / et 0 les deux fonctions définies sur l’intervalle 10; ∞1 par /3 ln1 3 3 et 03 ln1 1) Etudier les variations de / et 0 sur 10; ∞1. 2) En déduire que pour tout 3 9 0, 3 :; < ln1 3 < 3. 2ème partie On se propose d’étudier la suite de nombres réels définie par : 3 1 et =1 >. 2 2 1) Montrer par récurrence que ? 0 pour tout entier naturel 9 1. 2) Montrer par récurrence que pour tout entier naturel 9 1 : 1 1 ln ln =1 > ln =1 > @ ln =1 2 2 3) On pose A @ @ ; B et C ; B . A l’aide de la première partie, montrer que : 3 . 2 3 3 1 > 2 1 A C < ln < A 2 4) Calculer A et C en fonction de . En déduire les limites de A et C en ∞. 5) Etude de la convergence de la suite . a. Montrer que la suite est strictement croissante. b. En déduire que est convergente. Soit D sa limite. c. On admet le résultat suivant : si deux suites et E sont convergentes et telles que < E pour tout entier naturel , alors limHI < limHI E . J Montrer alors que K < lnD < 1 et en déduire un encadrement de D. Sujet n°4 : France – septembre 2007 1) La suite est définie par : 2 et M 3 suite . L pour tout entier naturel . a. On a représenté dans un repère orthonormé direct du plan en annexe la droite d’équation L et le point de coordonnées 2; 0. Construire sur l’axe des abscisses les quatre premiers termes de la b. Démontrer que si la suite est convergente alors sa limite est D N. c. Démontrer que pour tout entier naturel , on a : 9 . N 2) d. Etudier la monotonie de la suite et donner sa limite. a. Soit un entier naturel supérieur ou égal à 1. Démontrer que : O .P 1 1 1 1 =1 > c'est‐à‐dire . 90 10 10 10 1 10 @ 1 1 1 =1 > 10 90 10 b. La suite est définie par 1,2777 … 7 avec décimales consécutives égales à 7. Ainsi 1,2 ; 1,27 et 1,277. En utilisant le , démontrer que la limite de la suite est un nombre rationnel [ (c’est-à-dire le quotient de deux entiers). 3) La suite et la suite sont-elles adjacentes ? Justifier. Sujet n°5 : France – septembre 2010 On considère la suite définie par 5 et pour tout entier dans ], :+ ^ + . ^ On considère la fonction / définie sur _2; ∞1 par /3 : et alors on a / pour ` ]. On donne ci-dessous la courbe représentative de la fonction / ainsi que la droite a d’équation M 3. 1) a. Sur l’axe des abscisses, placer puis construire , et en laissant apparents les traits de construction. b. Quelles conjectures peut-on émettre sur le sens de variations et sur la convergence de la suite ? 2) a. Démontrer par récurrence que, pour tout entier naturel , on a 1 ? 0. b. Valider par une démonstration les conjectures de la question 1b. 3) Pour tout entier naturel , on ose . ^ + terme. a. Démontrer que la suite est une suite arithmétique donc vous préciserez la raison et le premier b. Exprimer puis en fonction de pour tout ` ]. c. En déduire la limite de la suite . 6 5 4 3 2 1 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 -1 -2 -3 Sujet n°6 : Nouvelle Calédonie – novembre 2004 On considère les deux suites et définies, pour tout entier naturel , par : 4 3 ( ( b b 2 2 1) Calculer ; ; et . 2) Soit la suite E définie pour tout entier naturel par E . a. Montrer que la suite E est une suite géométrique de raison . b. Exprimer E en fonction de et préciser la limite de la suite E . 3) Après avoir étudié le sens de variation des suites et , démontrer que ces deux suites sont adjacentes. Que peut-on en déduire ? 4) On considère à présent la suite c définie, pour tout entier naturel , par c a. Démontrer que la suite c est constante. b. En déduire la limite des suites et . d ^ . Correction sujets de bac : Suites Sujet n°1 : Antilles-Guyane – juin 2006 Partie A 1) A0 0 1 2 3 A1 4 5 A2 7 6 2) Par définition de , nous avons 2 3 1 2 3 3 B2 8 B1 9 10 B0 12 11 13 14 et en passant aux abscisses : Partie B 1) a. Pour ` ] : 5 3 2 3 9 8 4 5 5 5 12 4 3 12 12 12 J Donc la suite est géométrique de raison et de premier terme 12. J J b. Pour ` ] : , fg 12 , fg 2) c. La raison de est strictement comprise entre 1 et 1 donc elle converge vers 0. a. Pour ` ] : + d or ? 0 car c’est une suite géométrique de raison et de premier terme positif. Donc est croissante. b. Pour ` ] 3 h0 4 4 4 Donc la suite est décroissante. 3) est croissante, est décroissante et la différence a pour limite 0 donc les suites et sont adjacentes. On peut en déduire qu’elles convergent et qu’elles ont la même limite. Partie C 1) Pour ` ] : 3 4 2 3 3 4 Donc la suite est constante et toujours égale à 3 4 48. 2) On note i la limite commune de et . Alors la suite converge vers 7i. Par unicité de la limite, nous avons 7i 48 d’où i N L Sujet n°2 : Asie – juin 2007 1) a. % $% ' ' % $% % $% ' $' ' $$ ' $ 1' 1' ' $ $ 1' b. Par récurrence sur , on va montrer que % * + , *+ '. Initialisation : on veut montrer que la propriété est vraie au rang 0, c’est-à-dire que % Or $ 1 0 donc on a bien l’égalité. Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un rang , c’est-à-dire que % On veut montrer qu’elle est vraie au rang 1 c’est-à-dire que % *kl + , *+ *j + *+ * + , *+ '. Or : , '. '. % $% ' $$ 1 ,' $1 'm $ – $ $1 1o , ' $ – $ $ 1 $ 1 ,' ,' $1 $1 Conclusion : d’après le principe de récurrence, la propriété est vraie pour tout , c’est-à-dire : % 2) Dans cette question $ '. a. % *p + , *+ * + *+ ,'. ' d’après la question précédente et $ ' 1 donc % 0 b. Pour ` ] : $ 1 $ , $ 1 $ 1 % ,' ,' , ' % car $ 1 $1 $1 $1 c. Pour ` ] : % $% ' r % '% ' ) est l’image de ) par la rotation de centre Ω d’affixe t et d’angle u r % t v wx % t Par identification, on doit donc avoir : v wx ' et t v wx t ' On en déduit u y w 12z_ et t +w +w . M2 ) est l’image de ) par la rotation de centre Ω d’affixe 3) w 1 M1 y et d’angle . A a. On suppose que $. 1. Pour tout ` ] : M3 M0 $ 1 $ , $. 1 $ 1 0 ,' ,' , ' % %. $1 $1 $1 b. On suppose maintenant que pour tout ` ], %. % . $. 1 $ 1 %. % r ,' , ' r $. 1 $ 1 car $ { 1 $1 $1 r $ |$. 1} 0 r $ 0 ou $. 1 Comme cette égalité est vraie pour tout ` ], elle est vraie en particulier pour 1 et alors la première possibilité . $ 0 est fausse. Finalement, $. 1 . Sujet n°3 : Centres étrangers – juin 2005 1ère partie 1) / est la somme de deux fonctions définies et dérivables sur 10; ∞1 donc elle est dérivable sur 10; ∞1 et : 1 1 1 3 3 / 3 1 1 3 1 3 1 3 Le dénominateur est clairement positif sur 10; ∞1 alors que le numérateur est clairement négatif. Donc /3 est négatif pour tout 3 ` 10; ∞1 et / est décroissante. 0 la somme de deux fonctions définies et dérivables sur 10; ∞1 donc elle est dérivable sur 10; ∞1 et : 1 1 1 3 3 3 3 0 3 1 3 1 3 1 3 1 3 Le dénominateur et le numérateur sont clairement positif sur 10; ∞1 donc 03 est positif et 0 est croissante. 2) /0 0 et / est décroissante sur 10; ∞1 donc / est négative sur 10; ∞1. 00 0 et 0 est croissante sur 10; ∞1 donc 0 est positive sur 10; ∞1. Ceci signifie que, pour tout 3 9 0, ln1 3 3 < 0 et ln1 3 3 3 3 9 0 ou encore 3 < ln1 2 2 3 < 3 2ième partie 1) Montrons par récurrence sur ? 0 pour tout entier naturel 9 1. Initialisation : montrons que la propriété est vraie au rang 1, autrement dit que ? 0. Or donc la propriété est vérifiée au rang 1. Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un rang 9 1, autrement dit ? 0. 1 Montrons qu’elle est vraie au rang Or ? 0 et 1 kl 1, c’est-à-dire que 9 1. 9 1 donc, en multipliant membre à membre les deux inégalités (ce qui est autorisé car tout est positif), on obtient : ? 0. Conclusion : d’après le principe de récurrence, ? 0 pour tout entier naturel 9 1. 2) Montrons par récurrence que ln ln f1 g g ; ln f1 @ ln f1 g pour 9 1. Initialisation : on veut montrer que la propriété est vraie au rang 1, c’est-à-dire que ln ln f1 Or donc ln ln fg ln f1 g. Hérédité : On suppose que la propriété est vraie pour un rang 9 1, c’est-à-dire ln ln f1 ln ln f1 1 > 2 g g ln f1 ln f1 g ; g ; @ @ ln f1 ln f1 g et g montrons qu’elle est vraie au rang ln f1 kl g. 1, c’est-à-dire g Or 1 1 1 1 > @ ln =1 > ln =1 > ln ln =1 > ln m =1 2 2 2 2 ln Conclusion : d’après le principe de récurrence, la propriété est vraie pour tout 9 1. ln =1 ln =1 1 2 >o 3) En appliquant la 1ère partie pour 3 puis pour 3 ; , … et enfin pour 3 , on trouve : 1 1 1 1 1 = > < ln =1 >< 2 2 2 2 2 1 1 1 1 1 = > < ln =1 >< 2 2 2 2 2 … 1 1 1 1 1 = > < ln =1 >< 2 2 2 2 2 En additionnant terme à terme toutes ces inégalités, on trouve : 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 @ = @ > < ln < @ 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 Ou encore : 1 A C < ln < A 2 4) A est la somme des 1er termes de la suite géométrique de 1er terme et de raison . 1 1 1 1 f2g 1 1 A , , m1 = > o , 2 1 = > 1 2 2 2 2 12 C est la somme des premiers termes de la suite géométrique de 1er terme et de raison . 1 1 1 f4g 1 1 4 1 1 C , , m1 = > o , m1 = > o 1 4 4 4 3 3 2 14 fg est le terme général d’une suite géométrique de raison qui est strictement compris entre 0 et 1 donc la limite de fg en ∞ est 0. On en déduit que A converge vers 1 et que C converge vers . 5) Pour 9 1 : =1 1 2 > , 1 2 Or, d’après les questions précédentes ? 0 et comme 2 ? 0, nous pouvons dire que est strictement positif donc est strictement croissante. D’après les questions précédentes, ln < A pour tout 9 1, or A 1 fg < 1 donc ln < 1 et comme la fonction exponentielle est strictement croissante, < v. La suite est donc croissante et majorée par v donc elle converge. On utilise la propriété énoncée avec A C < ln < A et on trouve : 5 1 1 1 , < lnD < 1 ou encore < lnD < 1 2 3 6 Comme la fonction exponentielle est strictement croissante, nous avons v < D < v Sujet n°4 : France – septembre 2007 1) a. Voir la courbe b. On suppose que la suite converge et on note D sa limite. Comme, pour tout ` ], L, en passant à la limite, nous obtenons : D , D 1 23 2 23 23 3 23 r D rD , rD D ,D 3 27 3 27 27 2 18 Donc, si est convergente alors sa limite ne peut être que N . L Or : . c. Par récurrence sur entier positif, nous allons montrer que 9 N. Initialisation : on veut montrer que la propriété est vraie pour 0, c’est-à-dire que 9 N. Or 2 et 2 ? N donc la propriété est vraie au rang 0. Hérédité : on suppose que la propriété est vraie au rang , c’est-à-dire que 9 N et on veut montrer que la propriété est vraie au rang 23 1 1 23 1 23 23 r 9 , r 9 18 3 3 18 3 27 54 Donc la propriété est vraie au rang 1 . 9 1, c’est-à-dire que 9 N. Or : 23 23 r 9 27 54 23 , 2 69 23 r 9 r 9 54 54 18 Conclusion, d’après le principe de récurrence, 9 N pour tout entier naturel . d. Pour ` ] : 1 23 23 2 23 2 2 23 2 23 Or 9 et donc < , ou encore < 3 27 27 3 18 3 3 18 3 27 Et donc < 0 et ceci montre que la suite est décroissante. La suite est donc décroissante, minorée par N donc elle converge et d’après la question , sa limite est N. 2) a. On considère la suite E géométrique, de 1er terme E ; et de raison . Nous avons donc, pour tout entier naturel : E E , fg ; , k; . O .P 1 1 . 10 10 1 10 @ 1 E 10 E @ E+ Il s’agit donc de la somme des premiers termes d’une suite géométrique : 1 1 1 f g 1 10 1 1 1 10 1 1 1 10 O . E , , , =1 > =1 > 1 9 10 10 10 9 10 90 10 1 10 .P 10 L L L L .7 1,2 .. b. Pour ` ], 1,2 777. ; B p kl donc : chiffres 1 1 1 6 1 1 7= .. > 7 , =1 > 10 10 10 5 90 10 10 ? 1 donc la limite de 10 en ∞ est égale à ∞ (c’est le terme général d’une suite géométrique de raison 10 1,2 strictement supérieur à 1 donc la suite diverge vers ∞). Donc : 6 7 1 6 7 6 , 18 7 115 23 =1 > HI HI 5 90 10 5 90 90 90 18 est une suite décroissante d’après la question 1d. Pour ` ] : 1 1 1 1 1,2 77. .7 1,2 77. .7 1,2 7 = . . > 1,2 7 = 10 10 10 10 chiffres chiffres lim lim L k; ? 0 donc la suite est croissante. Comme sa limite est , N ceci montre que, pour tout ` ], < 1 .. 10 1 > 10 . N Nous avons donc : décroissante, croissante et 9 pour tout ` ]. 23 23 De plus lim 0 HI 18 18 Donc les suites et sont adjacentes. 4 Sujet n°5 : France – septembre 2010 1) 3 a. Voir le graphique b. Il semble que la suite soit décroissante et 2 qu’elle converge vers 1. 2) 1 a. Initialisation : on veut montrer que la propriété est vraie au rang 0, c’est-à-dire que 1 ? 0 or 5 donc 1 4 ? 0. -1 0 1 2 3 4 5 6 Hérédité : on suppose que pour un entier naturel , la propriété est -1 vraie, c’est-à-dire que 1 ? 0. On veut montrer que la propriété est vraie au rang 1, c’est-àdire que 1 ? 0. Pour cela, nous allons étudier les variations de / sur _2; ∞1. / est une fonction rationnelle donc dérivable sur son ensemble de définition et / 3 :;. Donc / est positive sur _2; ∞1 donc / est strictement croissante sur cet intervalle. Par hypothèse de récurrence, ? 1 et comme / est croissante sur 11; ∞1, on a / ? /1, autrement dit ? 1. Conclusion : d’après le principe de récurrence, pour tout entier naturel , 1 ? 0 . b. Etude des variations de : on va montrer par récurrence que est décroissante, autrement dit que : h est vraie pour ` ]. Initialisation : on veut montrer que , c’est-à-dire que h or ,J+ J et L 5 donc on a bien h . Hérédité : on suppose que pour un entier naturel , est vraie, c’est-à-dire h . On veut montrer que est vraie , c’est-à-dire h . Comme 1 h h et que / est croissante sur 11; ∞1 alors / h / autrement dit h . Conclusion : d’après le principe de récurrence, pour tout entier naturel , h donc est décroissante. Convergence de : est une suite décroissante minorée par 1 donc elle converge. Si on note D sa limite, alors comme / et que / est continue sur 11; ∞1 alors D /D. 4D 1 D /D r D r D 2D 4D 1 0 r D 2D 1 0 r D 1 0 r D 1 D 2 Donc la seule limite possible est 1 et donc converge vers 1. 3) a. Pour ` ] : 1 1 1 1 2 1 2 3 1 1 4 1 1 1 4 1 2 1 3 3 3 3 2 1 1 3 1 3 Donc la suite est arithmétique de raison et de premier terme . J+ b. Pour ` ] : , 1 1 1 12 r 1 r 1 donc 1 3 4 c. 4 15 4 lim lim lim 1 HI HI 4 HI 4 3 Donc la suite converge bien vers 1. 1 15 4 3 4 Sujet n°6 : Nouvelle Calédonie – novembre 2004 1) 7 7 15 7 2 4 15 1 15 2 4 29 59 ; , ; 2 2 2 2 2 2 2 2 4 8 16 2) a. Pour tout ` ] : 1 2 1 , E E 2 2 2 2 2 2 2 4 4 4 4 4 Donc E est une suite géométrique de raison . b. Pour ` ] : E E , fg avec E 4 3 1 donc : E E est une suite géométrique dont la raison est strictement comprise entre 1 et 1 donc elle converge vers 0. 3) Pour ` ] : E 2 2 2 Or E ? 0 pour tout entier naturel donc est croissante. 1 1 1 1 E 2 2 2 2 4 4 2 4 4 Or E ? 0 donc est décroissante. est croissante, est décroissante et l’écart entre et converge vers 0 car E converge vers 0 donc et sont adjacentes. On en déduit qu’elles convergent et qu’elles ont la même limite. 4) a. Pour ` ] : 2 2 2 c c 3 3 3 3 3 dj ^j Donc la suite c est constante et toujours égale à c . d ^ b. Notons i la limite des suites et alors c converge vers car il s’agit d’addition de limite et de multiplication d’une limite par un nombre non nul. Par unicité de la limite, nous avons : i 2i 11 11 ou encore i 3 3 3