The Valley of Astonishment
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The Valley of Astonishment
Théâtre Du mercredi 15 au vendredi 17 octobre à 20h30 The Valley of Astonishment Pascal Victor ArtComArt BaseGVA basedesign.com Peter Brook – Marie-Hélène Estienne Théâtre Forum Meyrin, Place des Cinq-Continents 1, 1217 Meyrin / +41 22 989 34 34 / forum-meyrin.ch Service culturel Migros, rue du Prince 7, Genève, +41 22 319 61 11 / Stand Info Balexert, Migros Nyon-La Combe Mercredi 15, jeudi 16 et vendredi 17 octobre à 20h30 The Valley of Astonishment Peter Brook - Marie-Hélène Estienne Spectacle en anglais, surtitré en français L’histoire Il y a maintenant vingt ans, dans L’homme qui et Je suis un phénomène, Peter Brook adaptait superbement deux livres du psychiatre anglais Oliver Sachs. On y rencontrait des êtres humains chez qui la maladie neurologique, avec des syndromes qui parfois n’ont même pas de noms, ouvrait des contrées effrayantes, mais aussi des possibilités humaines et poétiques insoupçonnées. Ces spectacles révélaient des espaces invisibles nichés au coeur de l’être humain, et qui paraissaient aussi vastes que l’univers. Après le magnifique The Suit accueilli la saison dernière à Meyrin, le grand metteur en scène anglais revient maintenant au cerveau et à ses mystères, mais sous un autre angle, plus directement lié à l’art. Dans cette « Vallée de l’étonnement », les individus vivent la couleur, le goût, les images ou la mémoire avec une telle intensité qu’ils passent d’un moment à l’autre du paradis à l’enfer. Le titre du spectacle est emprunté à La Conférence des oiseaux, un autre précédent succès de Peter Brook. Dans ce grand poème persan de Farid al-Din Attar, trente oiseaux doivent parcourir sept vallées toutes plus difficiles à franchir les unes que les autres. La sixième est celle de l’étonnement. Lorsque nous entrons sur ce territoire, dit le metteur en scène, « nos pieds avancent solidement sur terre, mais à chaque pas, nous pénétrons dans l’inconnu. » Bon voyage ! La note d’intention « Le théâtre est là pour nous étonner et il doit réunir deux éléments opposés : le familier et l’extraordinaire. Dans L’homme qui, notre première aventure à l’intérieur des cerveaux des malades neurologiques – qui dans le passé étaient souvent relégués au rang de fous – nous avons trouvé en face de nous des êtres humains comme nous dont le comportement, à cause de la maladie, devenait imprévisible. C’était souvent pénible, parfois très comique et toujours émouvant – ils étaient nous, nous étions eux. Aujourd’hui, nous voulons explorer à nouveau le cerveau, mais cette fois le spectateur va se trouver confronté à des individus chez qui la musique, la couleur, le goût, les images, la mémoire font vivre des expériences d’une telle intensité qu’ils passent d’un moment à l’autre du paradis à l’enfer. Dans le grand poème persan de Farid Al-Din Attar, La Conférence des oiseaux, trente oiseaux doivent terminer leur recherche en parcourant sept vallées toutes plus difficiles les unes que les autres à traverser. Cette fois, en entrant dans les monts et vallées du cerveau humain, nous nous trouvons dans la sixième vallée, celle de l’étonnement. Nos pieds avancent solidement sur terre, mais à chaque pas nous pénétrons dans l’inconnu. » Peter Brook The Valley of Astonishment Les metteurs en scène Peter Brook Il est né à Londres en 1925. Tout au long de sa carrière, il s’est distingué dans différents genres : théâtre, opéra, cinéma et écriture. Il met en scène de nombreux textes de Shakespeare pour la Royal Shakespeare Company, tels que Peine d’amour perdu (1946), Mesure pour Mesure (1950), Titus Andronicus (1955), Le Roi Lear (1962), Marat/Sade (1964), Le Songe d’une nuit d’été (1970) et Antoine et Cléopâtre (1978). A Paris, en 1971, Peter Brook fonde le Centre International de Recherche Théâtrale (CIRT), lequel devient, lors de l’ouverture des Bouffes du Nord, le Centre International de Créations Théâtrales (CICT). Ses productions se remarquent par leurs aspects iconoclastes et leur envergure internationale : Timon d’Athènes (1974), Les Iks (1975), Ubu aux Bouffes (1977), Mesure pour Mesure (1978), La Conférence des oiseaux (1979), L’Os (1979), La Cerisaie (1989), Le Mahabharata (1985), Woza Albert ! (1989), La Tempête (1990), L’homme qui (1993), Qui est là (1995), Oh ! Les Beaux Jours (1995), Je suis un Phénomène (1998), Le Costume (1999), La Tragédie d’Hamlet (2000), Far Away (2002), La Mort de Krishna (2002), Ta main dans la mienne (2003), Glückliche Tage (2003), Tierno Bokar (2004), Le Grand Inquisiteur (2005), Sizwe Banzi est mort (2006), Fragments de Samuel Beckett (2007) et The Suit (2012). Il dirige plusieurs opéras : La Bohème (1948), Boris Godounov (1948), Les Olympes (1949), Salomé (1949) et Les Noces de Figaro (1949) au Covent Garden de Londres, Faust (1953), Eugène Onéguine (1957) au Métropolitain de New York, La Tragédie de Carmen (1981) et Impressions de Pelléas (1992) au Théâtre des Bouffes du Nord, Don Giovani (1998) pour le festival d’Aix-en- Provence et Une Flûte Enchantée au Théâtre des Bouffes du Nord (2011). Ses principaux livres sont L’Espace vide (1968), Points de Suspension (1987), Le Diable, c’est l’Ennui (1991), Avec Shakespeare (1998), Oublier le Temps (2003), Entre deux silences (2006) et Avec Grotowski (2009). Peter Brook est aussi réalisateur de Moderato Cantabile (1959), Sa Majesté des Mouches (1963), Marat/Sade (1967), Tell me lies (1967), Le Roi Lear (1969), Rencontres avec des hommes remarquables (1976), Le Mahabharata (1989) et The Tragedy of Hamlet (2002). The Valley of Astonishment Marie-Hélène Estienne Aux côtés de Peter Brook depuis 1976, elle travaille avec lui sur le casting de Timon d’Athènes, puis rejoint le Centre International de Créations Théâtrales (C.I.C.T.) en 1977 pour la création de Ubu aux Bouffes. Elle est d’abord l’assistante de Peter Brook pour La Conférence des oiseaux, La Tragédie de Carmen dont elle cosigne le scénario pour la version filmée, et Le Mahabharata. Puis elle collabore à la mise en scène de La Tempête, Impressions de Pelléas, Woza Albert !, La Tragédie d’Hamlet (2000). Elle travaille à la dramaturgie de Qui est là. Elle est coauteur de L’homme Qui et de Je suis un phénomène de Peter Brook présenté au Théâtre des Bouffes du Nord (1998). Elle adapte en langue française la pièce Le Costume d’après Can Themba, et de Sizwe Bansi est mort de Athol Fugard, John Kani et Winston Ntshona. En 2003, elle fait une adaptation pour le théâtre en français et en anglais du Grand Inquisiteur – The Grand Inquisitor d’après Les Frères Karamazov de Dostoievski. Elle est l’auteur de Tierno Bokar en anglais, Eleven and Twelve d’après Amadou Hampaté Ba en 2005 et en 2009. Elle cosigne la mise en scène avec Peter Brook de Fragments, cinq pièces courtes de Beckett et enfin crée avec Peter Brook et Franck Krawscyk Une Flûte Enchantée d’après Mozart et Schikaneder ainsi que récemment The Suit d’après Can Themba, Mothobi Mutloatse et Barney Simon. Les comédiens Kathryn Hunter Née de parents Grecs à New York, élevée à Londres, parlant le grec moderne, le français et l’italien, Kathryn a étudié la langue Française et l’Art Dramatique à l’Université de Bristol, puis est retournée à Londres pour travailler sous la direction d’Hugh Crutwell à la Royal Academy of Dramatic Arts. Kathryn a joué les farces d’Alan Ayckbourne au UK Rep avant de se joindre à Chattie Salaman dans Common stock et de suivre l’enseignement des techniques de Grotowski. Une autre révolution s’est produite quand elle s’est jointe au Théâtre de Complicité où elle a travaillé sur Anything for a quite life, Help I am alive, Out of a House walked a Man. Ses autres productions avec Complicité comprennent : Foe, The Winter’s Tale et The Visit de Durenmatt dans le rôle de Clara Zachanassian. Ses pièces les plus appréciées sont : King Lear avec Helena Kaut Howsen, Richard III au Shakespeare’s Globe, Faraway de Caryl Churchill mis en scène par Peter Brook et The Skriker au Royal National Theatre, Mr Ido avec Hideki Noda, Spoonface Steinberg de Lee Hall avec Annie Castledine et Marcello Magni. Kathryn a également mis en scène Glory of living de Rebecca Gilman au Royal Court, Mr Puntilla and his man Matti de Brecht pour l’Almeida, Les Oiseaux d’Aristophane pour le Royal National Theatre avec Marcello Magni et des acrobates aériens ainsi que Comedy of Errors au Shakespeare’s Globe avec Marcello Magni. Kathryn est une grande fan de Sally Potter avec qui elle a collaboré sur Orlando, et de Mike Leigh avec qui elle a travaillé sur All or Nothing. Plus récemment elle a incarné Mrs Figg dans The Order of the Phoenix, le dernier film de la saga Harry Potter. The Valley of Astonishment Marcello Magni Né à Bergame en Italie, Marcello fait ses études à DAMS à l’Université de Bologne, mais s’échappe pour Paris où il entame sa formation théâtrale. Diplômé de l’Ecole Jacques Lecoq, il continue ses études avec Pierre Byland, Philippe Gaulier et Monica Pagneux. Il est comédien, metteur en scène, directeur de mouvement et enseignant (Ecole Jacques Lecoq). Co-fondateur du Théâtre de Complicité à Londres, il y travaille pendant vingt ans et y crée ses premiers spectacles. Il participe nottamment à : A Minute Too Late, More Bigger Snacks Now, Anything for a quite life, Please, Please, Please, Help I am Alive, Out of a House Walked a Man, The Visit, The Winter’s Tale, Street of Crocodiles, Foe. Parallèlement, il travaille avec d’autres compagnies, développe un intérêt pour le monde du Masque et la Commedia dell’arte et joue dans des mises en scène de spectacles de Marivaux, Molière, Ruzzante. Il a récemment crée un spectacle en solo d’Arlecchino en collaboration avec Jos Houben et Kathryn Hunter. Le théâtre a offert à Marcello l’occasion de collaborer avec Mark Rylance, Hideki Noda (Japon), George Kimoulis (Grèce), Annie Castledine, Neil Bartlett, Helena Kaut Howsen (Pologne & UK), Mike Alfred, David Glass, Jack Sheppard, Nancy Meckler et surtout avec Kathryn Hunter. C’est avec elle qu’il a créé des spectacles d’après Aristophanes, Shakespeare, Tennessee William, Berthold Brecht, Lee Hall, au National Theatre, Shakespeare’s Globe, RSC et Théâtre Clwyd. Marcello a également joué dans Fragments et il s’est occupé du travail corporel d’Une Flûte Enchantée, deux spectacles mis en scène par Peter Brook. Pour la télévision, Marcello Magni a joué dans Act Without Words de Beckett sur FilmC4 mise en scène de Enda Hughs. Jared McNeill Il a été formé à l’Université de Fordham au Lincoln Center de New York où il a décroché en 2008 son diplôme en théâtre et arts visuels. Il a eu son premier rôle cette même année dans She likes Girls de Chisa Hutchinson au Lark Theatre. Jared Mc Neill a joué plusieurs rôles dans les saisons 11 et 12 de Peter Brook. Depuis, il a joué dans Fences de August Wilson au Geva Theater Center et dans plusieurs chapitres de Brothers/Sisters Trilogy de Tarell Mccraney au Pittsburgh’s City Theater ainsi qu’à la Marin Theater Company et au American Conservatory Theater de San Francisco. Récemment, Jared a travaillé comme doublure dans la production de Stephen Karam Sons of the Prophet à la Roundabout Theater Company et a repris le rôle de Desmond dans The Shipment de Young Jean Lee. Il a joué dans La vie de Galilée de Brecht dans une production new yorkaise où il interprétait plusieurs numéros musicaux au trombone et au clavecin. Pendant la saison 2012 / 13, il a incarné le rôle du Maphikela dans The Suit mis en scène par Peter Brook et Marie-Hélène Estienne. The Valley of Astonishment Entretien avec Marie-Hélène Estienne Après L’homme qui et Je suis un phénomène que vous avez montés avec Peter Brook dans les années 1990, The Valley of Astonishment apparaît comme un troisième volet sur les neurosciences. Qu’est-ce qui vous a amené à revenir sur ce territoire ? Il y a d’abord eu notre envie, à Peter et moi, de nous replonger dans le cerveau, en insistant sur la question des sens et des différences de perception cachées. Mais ce qui nous a aussi guidé, c’est la notion d’étonnement, cette émotion qui vous ouvre et qui est source de vie et de partage. La synesthésie est une condition qui touche beaucoup de gens, environ 3 à 4% de la population, ce qui est énorme. Les personnages du spectacle qui manifestent cette faculté correspondent-ils à des cas réels ? Ils correspondent à beaucoup de cas que nous avons ensuite mélangés. Nous avons travaillé avec beaucoup de sources différentes, que ce soit des personnes qui nous ont raconté leur expérience, des médecins qui étudient cette faculté, mais aussi des émissions, des films, des conférences, internet. Ce qui est beau avec ce spectacle, c’est que chaque histoire en amène une autre. C’est une véritable boîte de Pandore. Même après la première, nous avons continué à récolter tous les jours de nouvelles histoires. Des personnes viennent nous voir et nous racontent leurs expériences. Certains spectateurs découvrent qu’ils sont synesthètes pendant le spectacle... Aujourd’hui, nous avons beaucoup de matériel supplémentaire, largement de quoi monter un deuxième Valley of Astonishment. The Valley of Astonishment La différence avec L’homme qui et Je suis un phénomène, c’est que les personnages cette fois ne sont pas des malades ou des blessés, ce sont des êtres apparemment « normaux ». Oui, L’homme qui montrait des gens extraordinaires dans la maladie. Les personnes capables de synesthésie ne sont pas des gens malades. Ce sont seulement des personnes qui vivent dans un univers qu’ils ignorent parfois totalement. Lorsqu’il prend conscience de sa mémoire prodigieuse, le personnage de Sammy Costas subit d’abord un choc. Il vit une émotion immense et une reconnaissance qui est une sorte de libération. Mais ensuite, il doit produire un acte de volonté énorme pour échapper à sa mémoire. Il doit refuser de se souvenir pour être enfin véritablement lui-même. Il ne faut cependant pas voir The Valley of Astonishment comme un spectacle documentaire sur la synesthésie… Non, nous n’avons pas voulu faire un documentaire. Les personnages peuvent être clairement liés à des personnes réelles, comme le peintre par exemple, qui correspond à une femme de 70 ans, qui est réellement peintre ; le magicien est inspiré d’un véritable prestidigitateur que j’ai d’abord vu dans un film et qui faisait des tours de magie incroyables. Ses gestes et ses paroles me sont apparus comme la poésie même et je me suis dit qu’il fallait le mettre dans le spectacle. Sammy Costas est liée à un homme qui s’appelle Solomon Cherechevski, un Russe qui a réellement vécu la fascinante expérience qu’elle raconte. Sa tête explosait. Il a dû dire non à sa mémoire. Il a dû la guider. Du paradis, il est passé à un enfer dont il a dû s’échapper. Tous les faits qui sont racontés dans le spectacle sont réels, ils ne sont simplement pas incarnés dans des corps qui existent. Pourquoi ne pas raconter les personnes telles que vous les connaissez ? Nous ne voulions pas que les histoires se limitent à des cas. Nous avons toujours cherché à équilibrer chaque expérience avec d’autres. Et puis, on ne peut pas empêcher l’imagination du théâtre. La réalité n’existe pas au théâtre. Ce qui est beau, c’est de se baser sur la réalité pour ensuite ouvrir sur un questionnement. A mon sens, c’est à cela que sert le théâtre. Il nous permet d’entrer dans quelque chose qui vous transcende. Chaque histoire doit pouvoir voyager en nous et nous ouvrir. Il ne s’agit pas de bonne parole. Peter Brook et moi détestons la bonne parole. Il s’agit seulement de créer quelque chose qui aide les gens. Propos recueillis par Pierre-Louis Chantre pour le Théâtre Forum Meyrin The Valley of Astonishment La presse en parle « Le maître britannique, qui vient de fêter ses 89 ans, revisite depuis quelques années tous les grands chapitres de son théâtre. Avec The Valley of Astonishment, c’est le Brook explorateur du cerveau humain qui est de retour, dans la lignée de L’homme qui, spectacle légendaire du début des années 1990. » Fabienne Darge, Le Monde « La mémoire n’est pas seulement le sujet central de The Valley of Astonishment. (...) Elle en détermine aussi la forme. The Valley of Astonishment, qui emprunte son titre à une pièce « historique » de Brook, La Conférence des oiseaux, inspirée du poète soufi Farid Uddin Attar et présentée aux Bouffes du Nord en 1979, est construit en souvenir d’autres spectacles du metteur en scène. » René Solis, Libération « Écrit par Peter Brook et Marie-Hélène Estienne, à partir de rencontres avec des « patients », des chercheurs, professeurs, médecins, spécialistes…, The Valley... pourrait verser très vite dans le théâtre façon cours du soir, ou documentaire. Elle en évite tous les pièges, grâce, en grande partie, à une extraordinaire direction des comédiens. » Didier Méreuze, La Croix « Le travail d’un maître. Cela faisait bien longtemps que l’on n’avait pas eu ce sentiment d’évidence et de joie que procure l’accomplissement, au théâtre, d’un propos. Une heure dix. Pas plus que cela n’est nécessaire à Peter Brook et à Marie-Hélène Estienne pour nous conduire très loin et nous ramener à bon port. » Armelle Héliot, Le Figaro The Valley of Astonishment Distribution Mise en scène Peter Brook et Marie-Hélène Estienne Lumières Philippe Vialatte Avec Kathryn Hunter, Marcello Magni et Jared McNeill Musiciens Raphaël Chambouvet et Toshi Tsuchitori Eléments scéniques et régie plateau Arthur Franc Assistante costumes Alice François Production CICT – Théâtre des Bouffes du Nord Coproduction Theater for a New Audience – New York, Les Théâtres de la ville du Luxembourg Coproducteurs associés (en cours) Théâtre d’Arras – Tandem Arras-Douai, Théâtre du Gymnase – Marseille, Warwick Arts Centre, Holland Festival – Amsterdam, Attiki Cultural Society – Athènes, Musikfest Bremen, Théâtre Forum Meyrin, CIRT, Young Vic Theatre – Londres Crédit photo Pascal Victor Durée 1h20 En résonance ↗ Sur un fil, The Tightrope Film documentaire de Simon Brook Lieu : Salle de projection / Entrée : 5.Mercredi 15, jeudi 16 et vendredi 17 octobre à 18h30 Théâtre et neurosciences Rencontre avec Gabriele Sofia, enseignant et chercheur Vendredi 17 octobre à 19h Location et renseignements Théâtre Forum Meyrin Place des Cinq-Continents 1 1217 Meyrin (GE) Billetterie au Théâtre Forum Meyrin Du lundi au vendredi de 14h à 18h ou par téléphone au 022 989 34 34 www.forum-meyrin.ch Prix des billets Plein : 55.-/ 45.Réduit : 50.-/ 40.Mini : 35.-/ 25.Avec le Pass Forum : 35.-/ 25.Avec le Pass Éco : 25.Autres points de vente Service culturel Migros Stand Info Balexert Migros Nyon-La Combe Partenaire Chéquier culture Les chèques culture sont acceptés à nos guichets Relations presse Responsable : Ushanga Elébé [email protected] Assistante : Chloé Briquet [email protected] T. 022 989 34 00 (10h-12h et 14h-18h) Photos à télécharger dans l’espace Médias http://www.forum-meyrin.ch/media/spectacles