Besoin des statistiques - Ligue de Hockey Les Supers Croulants
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Besoin des statistiques - Ligue de Hockey Les Supers Croulants
Vendredi 9 décembre 2016 Semaine 14 Sommaire : L’histoire derrière Louis Massicotte ET Le sapin de Monsieur Ontréal Cette semaine. L’Histoire derrière Louis Massicotte nous fera connaître ce sagittaire qui, par définition, est profondément bon et généreux mais qui peut parfois manquer de tact avec la gent féminine. Fiction ou réalité, il faudrait le demander à sa compagne. Pour nous il est un coéquipier toujours de bonne humeur qui se veut un fidèle lecteur du blogue. Ni moi, ni le blogueur, ni Monsieur O n’avons eu la chance de faire partie de la même équipe que Louis dans la ligue. D’ailleurs, en écrivant l’histoire d’un fidèle lecteur, je me demande toujours si cela ne va pas réduire sa fidélité. Le blogue est un peu comme une belle fille qui intéresse les hommes jusqu’à ce qu’ils aient eu ce qu’ils voulaient et qui la délaissent par la suite. Maudits hommes. Vous pourrez admirer aussi le fameux sapin de Montréal qui sert d’image pour l’un des buts accordés par vous devinez qui vendredi. Il y a en effet une similitude entre les deux : le sapin fait la fierté de Montréal et Monsieur O fait la fierté de la LHSCSF. Drôle de fierté dans les 2 cas. L’Histoire derrière… Louis Massicotte Comme plusieurs joueurs de la ligue, Louis est né dans les années 60, plus précisément en 1965. L’histoire ne dit pas si ses parents se sont établis au Cap-de-la-Madeleine à la suite d’un pèlerinage dédié à la Vierge Marie, mais toujours est-il que Louis est un Madelinois (à ne pas confondre avec Madelinot, un habitant des Îles-de-la-Madeleine). Entre les prières, les études et les sports, Louis considère qu’il a eu une des plus belles enfances qu'un enfant peut avoir. Il était un garçon sportif et, fait rare pour les garçons, il était aussi studieux. Il était entouré de plusieurs groupes d’amis et d’amies. Un grand sportif multidisciplinaire qui a gagné plusieurs trophées, surtout au tennis. Puis un jour, surpris par une tempête de neige en allant jouer au tennis, il découvre un nouvel usage à sa raquette de tennis et commence à faire des courses en raquettes. Il était doué aussi pour ce sport qui l’a amené aux Jeux d'hiver du Québec en 1977 à LaSalle. Il a également participé au championnat provincial de hockey sur gazon (NDLR : Sport qui est né lorsqu’une partie de hockey sur glace commencée en mars s’est terminée en prolongation en juin). Un des plus beaux moments de son enfance est l’obtention d’une mobylette à 14 ans. La liberté devenait enfin accessible. Les filles allaient s’intéresser à lui. Les Hells Angels ont également voulu le recruter parmi leurs membres mais sans succès. Après sa mobylette, il a eu accès à d’autres moyens de transport pour se rendre jusqu’à l'Université de Sherbrooke pour y compléter un baccalauréat en génie, puis à l’Université Laval pour un certificat en planification financière. Il a presque terminé un autre bacc à l’UL en enseignement des mathématiques au secondaire mais il n’est pas certain d’avoir la patience nécessaire avec les jeunes (NDLR : Il n’a qu’à aller en prison comme Michel Beaudoin. Pour y enseigner naturellement, pas pour y séjourner). Avec 2 bacc, on voit pourquoi Louis back beaucoup au hockey (NDLR : Gag facile, j’en conviens). Pour financer tous ces sports, Louis a travaillé comme ingénieur de projet chez Hydro-Québec et ingénieur principal pour la conception de la Cité de l'énergie et du nouveau funiculaire du VieuxQuébec (pas celui qui est tombé en 1996). Au travers de ses exploits sportifs, éducatifs et professionnels, Louis se lance dans la pratique d’un sport extrême, l’Amour. Sa partenaire est Martine Bilodeau et ils font équipe depuis le 20 septembre 1997. Inévitablement, la pratique du sport de l’amour finit par les conduire à un autre sport encore plus extrême, être les parents de 2 adolescents, Marilou et Alexis. (NDLR : Je présume que le joli prénom de Marilou vient de la fusion de MARtIne et LOUis). Le nom de totem de Louis est Loup sauvage. Le challenge de sa blonde est de parvenir à l’apprivoiser. Comme il veut retrouver les bons moments de son enfance, Louis joint d’abord la ligue de hockey des Croulants de Ste-Foy lors de son retour à Québec en 1997, sur les conseils avisés de Mike Penney (NDLR : Le frère de l’ancien gardien Steve du CH). Puis il réalise qu’il commence à être vieux et il transfère dans notre ligue en 2006. Sa carrière comme hockeyeur : Fiche en carrière : o 103 buts – 123 passes – 226 points – 34 minutes de punition – 199 parties; o 4 tours du chapeau – 1 tour de la tuque – 12 buts victorieux. Ses plus beaux souvenirs : o Ses saisons à Sainte-Foy avec les Croulants. Sa meilleure est celle de 1998 ou 1999 avec 30 buts et 30 passes; o La victoire en finale en 2008-2009 avec les Aigles de Philippe Robert. Celui-ci apportait des ailes de poulet dans la chambre avec 2 caisses de 24. L'équipe était très unie et les barrages routiers plus rares. Son gardien préféré : o Le plus redoutable est Monsieur O (NDLR : Il en est très flatté). Il fait toujours des arrêts sans le savoir (NDLR : Il en est moins flatté). Son évaluation personnelle comme joueur : o Joueur moyen avec un bon potentiel lorsqu’il est bien entouré. Son plan de carrière : o Jouer encore 20 ans et faire des tournois 50 ans+ une fois par année au moins; o Actuellement il fait des tournois 45 ans+ dans la région. Calibre très fort où son équipe gagne 1 partie sur 3 chaque année. Calibre plus fort que dans notre ligue. Son plus grand exploit : o Avoir gagné un tournoi de tennis classe A vers 1990 à Sainte-Geneviève-de-Batiscan par le pointage de 2-6, 7-5 et 6-4, après avoir tiré de l’arrière 0-5 dans la 2ième manche. Son entraîneur personnel, son préparateur physique et son psychologue, c’est-à-dire luimême, lui ont alors suggéré de jouer plus défensif, avec la victoire comme résultat. Ses atouts : la rapidité et l'anticipation qui compensaient pour une technique moins développée car Louis ne jouait que l'été alors que son adversaire jouait à l'année. (NDLR : Louis va recevoir dans les prochains jours un appel d’une joueuse de la WTA et lectrice assidue du blogue, Eugénie Bouchard, pour qu’il l’aide dans sa préparation. Cela va de soi pour un gars avec un bacc en génie. Mais il devra faire attention lorsqu’il va lui laver le dos dans la douche car Génie risque une autre commotion cérébrale). Ses autres talents particuliers : o Joueur de tennis et de ping-pong ainsi que boursicoteur (NDLR : Ce n’est pas un tricoteur de bourses en laine). Ses faits cocasses ou niaiseries : o Avoir pêché les lunettes que son père avait échappées une heure plus tôt lors d’une partie de pêche aux petits poissons des chenaux; o Avoir réussi à convaincre Monsieur O de jouer pour lui dans un tournoi 45 ans+ à Notre-Dame-de-Montauban. Heureusement pour lui, son gardien a été disponible à temps pour le tournoi (NDLR : Heureusement pour Monsieur O aussi car l’aréna est en fait une glace naturelle recouverte d’un toit, aussi appelé un frigidaire); o En parlant de frigidaire, Louis se définit comme un bon vendeur car il en a déjà vendu un à un esquimau. Ses réflexions philosophiques : o Il aime bien la formule actuelle du repêchage, sauf en 2013-2014 lorsqu’il avait été le 62e choix, dans l'avant-dernière ronde (NDLR : Heureusement qu’il n’a pas été le 67e choix de la dernière ronde comme Monsieur O cette année); o Oui pour les filles dans les équipes, surtout pour leur laver le dos après les parties. Il l’a dit qu’il avait un bon potentiel lorsqu’il est bien entouré. Le Coin des poolers Les gardiens sont tellement dominants que le statisticien se plaint de manquer d’ouvrage. Heureusement qu’il lui reste Monsieur O pour faire noircir la feuille de pointage. Les 3 étoiles Sylvain-Paquet François Racine Gilles Perron Christian Imbeault Interblocs Blouin (Blancs) DataDis (Bleus) Toitures des 2 Rives (Rouges) François : Il a fait voir plus qu’une étoile à Reggie; Gilles : Même en ne jouant pas, il stimule ses coéquipiers qui pensent à lui; Christian : Lâche pas, tu te rapproches de Gilles. Le Coin des fans Les fans pour la partie Blancs-Jaunes avaient quitté pour la partie Rouges-Bleus. Il me restait mon fidèle fan, le gardien Thomas Bédard (Chevaliers de Val-Bélair Novice A-1) qui n’a pas été impressionné par son Ge-Py (NDLR : Grand-père) surtout sur le sapin. Échos de vestiaire du mercredi 7 décembre L’équipe de Monsieur O avait non pas une grande chambre, mais une chambre plus grande de 6 pouces que lors de ses 12 dernières parties, ce qui a permis de caser 2 joueurs de plus; 13 des 14 joueurs se sont exclamés en entrant dans le vestiaire Encore une petite chambre ***. Seul Monsieur O, car il ne chiale plus, était satisfait de l’ampleur démesurée de la chambre; J’ai failli oublier la partie. Victoire trop facile de l’équipe de Monsieur O. Le pauvre David Dubé va devoir attendre la retraite de Monsieur O avant de savourer la victoire à ses dépens. Échos de vestiaire du vendredi 9 décembre Les Blancs avaient non pas une grande chambre, mais une chambre plus grande de 6 pouces que lors de leurs 12 dernières parties, ce qui a permis de caser 2 joueurs de plus (NDLR : Il me semble que je me répète); 10 des 12 joueurs des Blancs se sont exclamés en entrant dans le vestiaire Encore une petite chambre ***. Seuls le gérant Luc, naturellement, et Monsieur O, car il ne chiale plus, étaient satisfaits de l’ampleur démesurée de la chambre (NDLR : Il me semble vraiment que je me répète); Vous avez peut-être remarqué une espèce de tache verte à la droite de la page. Vous avez sans doute reconnu le plus grand sapin au Canada et comparable à celui de New-York, soit le sapin de Montréal. L’objectif de cette image est double. D’une part, rire de la ville de Montréal dont les équipes sportives, le Canadien et les Alouettes pour ne pas les nommer, ressemblent à ce sapin tout croche et d’autre part vous parler d’un des buts accordés par Monsieur O vendredi. Un méchant sapin. Un immense sapin. Un faible lancer de la ligne rouge par Yves Lessard qui a trottiné lentement sous le bâton et entre les patins de Monsieur O pour dépasser à peine la ligne des buts, tellement le lancer n’était pas fort. L’explication de Monsieur O : Mon défenseur m’a déconcentré en me parlant. Comme s’il pouvait se concentrer. Mettre cela sur le dos de ses défenseurs qui lui sauvent les miches plusieurs fois par partie. On espère que la retraite approche. Et tout cela sous les yeux de son petit-fils qui s’est caché sous les bancs dans les estrades après ce but, avec une expression qui en disait long sur son état d’âme. Monsieur O demande cependant au blogueur de préciser que ce conifère n’a pas coûté de points aux Blancs, ni pour la période ni pour la partie. Le seul coût a été dans la fierté de Monsieur O; 2 étoiles sur 3 pour les gardiens. Et si Monsieur O n’avait pas fait dévier dans son but le lancer de Gilles Mainguy et laissé passer cet immense pinophyte, il aurait eu une étoile lui aussi au lieu de François; Le blogueur a eu peur de se rendre dans la chambre des Jaunes après la partie. Il y a quelqu’un qui n’était pas content de la décision de l’arbitre de ne pas pénaliser François pour avoir presque décapité un de ses joueurs. Je ne le nommerai pas pour ne pas qu’il censure le blogue, mais sa poignée de main après la partie était très virile, je vous en passe un papier; Dans une entrevue exclusive, François a expliqué au blogueur qu’il voulait seulement jouer au limbo avec Reggie mais que ce dernier a perdu car il n’a pas été capable de passer sa tête sous le bâton de François. En fait, Reggie a essayé de retenir son bâton avec sa mâchoire, geste pour lequel il aurait dû être puni. Réflexions philosophiques Si la tendance se maintient, la ligue va devoir accepter des filles, au moins pour la douche. On perdrait seulement Claude Poirier comme joueur, ce qui serait un dommage collatéral acceptable; La glace est tellement belle pour jouer à tomber sur le cul. Plusieurs joueurs ont participé à ce grand concours mercredi et vendredi. Rendez-vous la semaine prochaine pour l’Histoire derrière Marc Giguère. On peut d’ores et déjà affirmer que Marc n’est pas né entre le 22 novembre et le 21 décembre car l’homme Sagittaire n’est pas un homme à femmes. Il semblerait cependant qu’un groupe de femmes, composé de Lady Tremaine (la belle-mère de Cendrillon), de la méchante sorcière Maléfique (Belle-au-Bois-Dormant), de la reine Grimhilde (Blanche-Neige), de Cruella (Les 101 dalmatiens), de Mme Doubtfire et de Mme Lebrun ait déposé une injonction pour empêcher la publication de ce blogue. Elles accusent le blogueur d’âgisme et veulent aussi raconter leurs aventures de cougar avec Marc, en plus de ses aventures de puma. À suivre. Cela pourrait d’ailleurs retarder la publication du prochain blogue. Monsieur O a reçu 2 appels pour remplacer comme gardien cette semaine. Il en était très honoré jusqu’à ce qu’on lui dise qu’il était le dernier sur leur liste et qu’ils étaient mal pris. À+. Michel