Semaine 8 - Ligue de Hockey Les Supers Croulants

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Semaine 8 - Ligue de Hockey Les Supers Croulants
Vendredi 28 octobre 2016 Semaine 8
Sommaire :
L’histoire derrière Daniel Berrouard ET Le clin d’œil de Patrick O.
Mes collets à lièvres ont donné des résultats. Contre toute attente, j’ai réussi à convaincre 2 parfaits
inconnus de devenir des vedettes en participant à l’Histoire derrière… . J’ai bon espoir d’avoir
d’autres prises dans les prochaines heures-jours-semaines-mois-années.
La semaine prochaine je vous parlerai de Gilles Flower Mainguy. La question quizz de la semaine
est : Le surnom Flower fait-il référence au talent d’hockeyeur de Gilles comparativement à un
certain joueur de la Sainte-Flanelle ou est-ce un clin d’œil à son métier. La réponse dans le
prochain blogue. Réservez dès maintenant votre copie en librairie.
En attendant, plein feu sur un vieux qui est plus jeune qu’il n’en a l’air, le petit-fils d’Adam et Ève,
Daniel Berrouard. Vous verrez qu’il a fait autant de millage dans la vie que sur une patinoire et que
comme plusieurs vieux irréductibles, comme il se définit, il ne se décide pas à fréquenter les mots
retraite du hockey.
L’Histoire derrière…
Voici donc l’histoire derrière Daniel Berrouard, un rapide ailier des Noirs mais qui a joué la
majeure partie de sa carrière sous les ordres du gérant André Jacques. Malgré son talent indéniable,
il n’atteindra les ligues majeures (la LHSCSF) qu’en 2010 et sa fiche à date est de 29 buts et 43
assistances pour un total de 72 points en 132 parties et seulement 16 minutes de pénalité.
L’année 1952 est une année de grand cru pour le Québec de 2 façons. D’abord, la naissance de
Daniel et ensuite, l’arrivée au Québec d’une nouvelle invention, la télévision. D’accord, elle était
en noir et blanc, à tube cathodique (NDLR: À ne pas confondre avec catholique) et non plasma ou
LED, sans télécommande pour les 2 canaux disponibles et loin des 50 pouces et plus de nos jours.
Contrairement aux jeunes d’aujourd’hui qui n’ont connu que la révolution du Printemps érable,
Daniel a vécu une partie de la Grande noirceur de Maurice Duplessis mais surtout la Révolution
tranquille des libéraux de Jean Lesage.
On peut dire qu’il a visité tous les racoins de la province. Il vient au monde à St-Léonard, dans le
comté de Portneuf, puis à titre de biologiste pour le Gouvernement du Québec, il travaille dans le
Grand Nord, soit à la Baie James et au Nunavik (NDLR : l’ancien Nouveau-Québec). Il est donc
passé de léonardois à nunavimmiut (NDLR : Je vous mets au défi de dire ce mot rapidement).
Pendant son enfance, il s’adonne au hockey comme tous les jeunes (NDLR : Que voulez-vous faire
d’autre à St-Léonard). Sa passion continue de se développer dans le Grand Nord où il peut jouer 12
mois par année, mais dehors c’est frette. Il n’a pu profiter du Programme de développement par le
hockey mis sur pied dans cette région par Joe Juneau car celui-ci n’était pas encore né.
Pour se réchauffer dans le Grand Nord, il est accompagné par sa conjointe Francine. Profitant de
ses nombreux temps libres de fonctionnaire, il développe non seulement son coup de patin mais
aussi son travail d’équipe autant dans la chambre des joueurs que dans la chambre familiale.
Son travail acharné dans les coins de la patinoire et de la chambre ne lui procure peut-être pas la
coupe Stanley mais elle lui procure une belle petite famille composée de 3 belles filles.
Voici Daniel, sa conjointe Francine et
ses 3 filles, Rachel, Catherine et
Mariane, surnommées les bébés-James
(Baie-Baie James, la pognez-vous).
Pour se garder jeunes, les grandsparents ont 4½ beaux petits-enfants.
À l’instar de Monsieur O, Daniel peut se permettre d’arriver en retard aux séances de repêchage
sans pour autant manquer le spectacle. Mais, comme le dit la parabole des ouvriers de la 11ième
heure : Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers.
Tristan, un de ses petits-fils agé de 4 ans, demandait il y a quelques semaines à sa mère pourquoi il
n’avait pas encore la carte de grand-papa dans sa collection des joueurs Tim Horton. Très bonne
question. Daniel a simplement demandé à sa fille de continuer à laisser planer le mystère … du
moins jusqu’à sa retraite. Monsieur O espère avoir le même désir de jouer lorsqu’il aura cet âge.
Le Coin des poolers

Rien de succulent à se mettre sous la dent.
Les 3 étoiles Sylvain-Paquet
Richard Leclerc
Toitures des 2 Rives (Rouges)
Serge Villeneuve
DataDis (Bleus)
Gilles Perron
DataDis (Bleus)
Richard : Juste pour me faire mentir, tu te décides à avoir la 1ère étoile. Un merci à Monsieur O?
Serge : Il a créé un précédent en demandant un recomptage judiciaire, ce qui lui a permis de ravir
la 2ième étoile à Pascal Blais (Zizanie chez les Bleus???);
Gilles : Malgré un nombre assez élevé de sélections depuis le début de la saison, on ne peut pas
dire petit train va loin mais plutôt gros train va loin.
Le Coin des fans
Les estrades n’étaient pas complètement pleines. En fait, on pouvait compter
les fans sur 1 seul doigt. En plus, elle se tenait derrière la vitre, bien au chaud.
Voici Julie Racine, la conjointe de Yves Groleau des Noirs. Elle ne voulait pas
jouer les gérants d’estrade car c’est moi qui va payer pour après mais elle avait
des petits conseils à lui donner, ce qu’elle va faire en privé, sur l’oreiller.
Pour l’encourager, elle lui a envoyé plein de petits bisous qui vont sûrement le
faire gagner s’il les reçoit (NDLR : Malheureusement, il y avait une grève des
Postes ce soir-là et le colis n’a pu être livré, d’où la défaite des Noirs).
Elle voulait avoir l’opinion de Monsieur O sur les Noirs mais il a préféré que ce soit elle qui se
compromette, par peur de stimuler trop les Noirs contre lui lors leur prochaine rencontre. Pour
favoriser son chum sans pénaliser les autres joueurs, elle a tenu à préciser que c’est un sport
d’équipe (NDLR : Conclusion politiquement correcte). Merci Julie.
Échos du mercredi 26 octobre
 Le coiffeur de Vincent se nomme Lui-même. D’habitude, les parents cachent les ciseaux pour
que les enfants ne jouent pas avec, mais la femme de Vincent les cache pour qu’il ne se coupe
pas les cheveux seul;
 Avant de se prendre pour Menick, Vincent fréquentait le salon de coiffure Bain Beau Museau,
salon de tonte et de toilettage comme son chien Snoopie. Il a dû changer de coiffeur car son
chien était tanné de faire rire de lui par ses amis canins qui le comparaient à son maître;
 René Blais prend sa petite voiture le mercredi pour être certain de ne pas ramasser les gilets à
laver car il n’y a pas assez de place;
 Heureusement que j’avais d’autres sujets à vous parler que la partie de hockey car il n’y avait
rien pour se pâmer. Les méchants ont su résister à la remontée des bons.
Échos de vestiaire de Toitures des 2 Rives (Rouges)
 Même vieille rengaine : Une partie des séries;
 J’aime mieux cette vieille rengaine : Les gardiens ont été très bons;
 Le menuisier Jean-Guy Alain des Blancs a troqué son marteau (hockey) contre un arrache-clou
pour ralentir les pauvres petits Rouges sans reproche (NDLR : Je ne sais pas pourquoi je parle
de Jean-Guy car il ne lit pas le blogue, parce qu’il n’a pas internet);
 Après un impossible arrêt par Monsieur O, Richard a cru apercevoir un clin d’œil à la Patrick
Roy. En fait, Monsieur O ouvrait simplement les yeux après avoir fait l’arrêt les yeux fermés.
Échos de vestiaire de Assurancia (Noirs)
 Pas grand chose à dire mis à part que le pointage n'indique pas l'allure de la partie. L'effort y
était mais pas le résultat (NDLR : J’ai laissé le texte de la semaine dernière);
 Ils doivent avoir hâte aux séries pour finir en champions.
Échos de vestiaire de Banque Laurentienne (Jaunes)
 Pour une 2ième semaine consécutive, les Jaunes n’ont rien fait sur la glace. Mais au moins cette
fois-ci, ils avaient l’excuse d’être en congé.
Échos de vestiaire de DataDis (Bleus)
 Tranquille cette semaine (NDLR : On s’habitue vite aux victoires qui deviennent de la routine);
 Ils auraient aimé chanter Joyeux anniversaire à Martin comme pour Monsieur O mais ils
n’étaient pas au courant.
Échos de vestiaire de Interblocs Blouin (Blancs)
 Incroyable mais vrai, les Blanc ont fini par perdre une partie.
Réflexions philosophiques
 Je laisse cela à chacun cette semaine.
Il y en a qui sont plus discrets que d’autres concernant leur anniversaire. BONNE FÊTE, un peu en
retard, à Martin Dubé.
À+.
Michel