2004 - Musicomédia
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2004 - Musicomédia
En accord avec Mukalo à Bruxelles En accord et en collaboration avec le Café de la Danse à Paris Sortie d’un DVD au printemps 2005 “Quel choc. En quelques secondes , vous voilà projetés dans un monde de pavés humides, de filles perdues, de singes meurtriers et de rues sombres noyées dans le brouillard…. Où sommes-nous ? Dans le Londres de Jack l’Eventreur ? A Paris sur le boulevard du Crime ? Dans une nouvelle d’Edgar Poe ? Comment font-ils pour convoquer sur la scène tant de monstres, de goules et de pitres pitoyables ? Pour nous emmener d’un geste, d’un accord de piano, au cœur de leurs rêves avant de nous plonger une seconde plus tard dans un cauchemar ? Mystère. …” “… D’emblée, la salle vibre de l’énergie exceptionnelle dégagée par cette musique de nostalgie, d’ivresse, d’amours douloureuses ou emportées. Les accordéons respirent à fond, les violons s’envolent et les cymbalums s’emballent. Certes, il y aura toujours des puristes pour chipoter sur les écarts orientalisants du Taraf. Mais qu’importe, Taraf de Haïdouks déjà s’élève pour une balade poignante la voix déchirée de Marin, un des capitaines Haïdouks de cette formation ad hoc. A tous ceux qui dans la variété française usent et abusent de la musique manouche et balkanisent péniblement leurs morceaux, un petit tour chez Taraf est conseillé.” Bernard Loupias, Le Nouvel Observateur Le Canard Enchaîné, 7 juillet 2004 «… Ils ont la virtuosité des meilleurs jazzmen, la fougue des rockers et la grâce des chanteurs de flamenco. Ils ne se laissent cependant enfermer dans aucun style, aucune chapelle… » Serge Lacroix, Arts et Spectacles Le Cirque des Mirages “C’est l’un des spectacles les plus saisissants du moment. Un duo aux envolées envoûtantes, aux récits inquiétants, qui vous plonge dans un univers sans âge ni repère, où la chanson, le théâtre, le mime, le cabaret et l’expressionnisme se mêlent et se fondent. … Auteurs de ce crime quasi parfait, deux hommes : Fred Parker au piano - petit, sec, nerveux -, et l’étrange Yanowski, à la parole dite et chantée. Quand il déploie son corps immense, tel un oiseau qui chercherait l’envol, il est sidérant. Et quand il lance sa voix puissante dans cet espace soudain habité, les scènes les plus improbables se matérialisent sous nos yeux. Ce n’est pas un mirage, c’est un miracle.” En accord et en collaboration avec les Arbres Verts “…Toute vêtue de velours sombre, la grande Anne décrit la vie comme elle est, parfois triste, parfois cocasse. Ses textes sont formidablement écrits, chacun de ses mots sonne juste, et ses mélodies si caractéristiques créent une ambiance unique, à des années-lumière de la variété actuelle. Voilà une artiste qui se moque des tendances, qui a quelque chose à dire et sait le faire partager. Avec entrain et bonne humeur, elle nous entraîne hors du temps, loin des concepts à la mode, et on a l’impression, en l’entendant, que l’on se réapproprie le temps que l’on vit, tout simplement…” François Delétraz, Le Figaro Magazine Anne Sylvestre Musicomédia - 21, avenue d’Italie - 75013 Paris - Tél. : 01 53 79 00 03 - Fax : 01 53 79 04 23 - Email : [email protected] “… Accompagnée d’un piano et d’une clarinette, Anne Sylvestre, dont la seule présence suffit à habiter la salle, distille sa poésie : vifs, tendres, piquants ou gorgés d’humour, ses mots et ses histoires, dans lesquels transparaît son engagement personnel, évoquent sans mièvrerie des sujets graves ou légers. Emouvante quand elle interprète “Berceuse de Bagdad”, elle provoque le rire avec “Langue de pute”. Et le public, conquis, de reprendre de “bon chœur” avec elle…” Inès Philippe, 20 Minutes Saison 2005-2006 “Fantaisie autour de Vivaldi et des musiques celtiques d’Irlande” “Les chemins du vent” Saison 2005-2006 Valérie Lehoux, Télérama O'Stravaganza “… O’Stravaganza ne présente pas une simple succession de morceaux de l’un et l’autre répertoire. Un véritable dialogue se noue entre des univers musicaux pas si étrangers. Sans doute parce que ces musiques sont toutes deux très riches émotionnellement, dominées par un esprit festif. L’union n’en a donc qu’une dimension plus populaire…” Le Télégramme “… Tout commence par un morceau de violon, lancinant et calme. Du Vivaldi. Mais les musiciens s’affolent rapidement. Une musique entraînante prend le pas. On découvre alors le dynamisme des musiques venus d’Irlande. O’Stravaganza, c’est ce mélange entre musiciens classiques et traditionnels confrontés à la vitalité du répertoire irlandais. On plonge avec délectation dans le rythme de cette musique, du Vivaldi “irlandisé”. On passe de la douceur d’un morceau au clavecin, violon et flûte pour enchainer et bouger sur le tempo d’un tambourin et d’un iulenn pipe, joué par un p’tit gars d’ici, Ronan Le Bars. On se prend vite à rêver aux landes irlandaises. On enchaîne avec un pur moment de plaisir. …” Ouest France Musicomédia 21, avenue d’Italie - 75013 Paris - Licence n° 322 Tél. : 01 53 79 00 03 - Fax : 01 53 79 04 23 Email : [email protected] “Une seconde” de Michèle GuiGon En accord et en collaboration avec Contre-Jour “… On y croise des animaux sous-marins, un vélo parisien, la mort de ses parents, les tribulations de la femme de 40 ans en maillot de bain – du tendre et du grinçant, de l’autodérision et de la rêverie. Pull marin, lunettes de secrétaire anonyme des années 80, elle empoigne puis lâche son accordéon, glisse quelques chansons sensibles et tendres …” “Habib Koité est un chanteur et guitariste malien que l’on rencontre plus souvent sur les scènes américaines que françaises. Son nouveau double CD “Foly” rassemble les meilleurs moments de ses dernières tournées. Descendant de griots, élevé sous l’influence du chant de sa mère et de la harpe mandingue de son père, Habib joue comme un George Benson du Sahel. Sa guitare apprivoise le temps, captivant ses auditeurs par une transe tranquille règulièrement intensififée par l’énergie de son groupe Bamada, où figure une légende du balafon, Kélétigui Diabaté, 72 ans…. Il chante “Cigarette a bana” (“fini la cigarette”), devenu un cri de ralliement de toute la jeunesse de l’Ouest africain. Depuis Habib Koité parachève son style fluide, en délicat équilibre entre une sage modernité et une fidélité attentive à la tradition.” Bertrand Dicale, Le Figaro Michèle GuiGon “… A la fois familière avec son public et au fond sur son quant soi, elle conte des histoires, saute du coq à l’âne, ne perd jamais le fil de sa pelote, parle du lifting, des pratiques sexuelles des bi-valves sous-marins, fait l’éloge du silence, donne à penser sur la mort, invente des formules qui font mouche, amuse et émeut quand le cœur lui chante. C’est élégant, amical, extrêmement intelligent. Sous les dehors de l’improvisation, on oublie la préméditation, impeccable”. Jean-Pierre Léonardini, L’Humanité Michèle Guigon commence chez Jérôme Deschamps de 1979 à 1985, puis crée la Compagnie du P’tit Matin pour réaliser son premier spectacle Marguerite Paradis ou L’histoire de tout le Monde au Festival d’Avignon in en 1985 ; s’ensuivent une quinzaine de créations dont Piavodéon, Duo Histoire d’Amourire, le Cabaret du P’tit Matin, un premier solo La Vie Va Vite. En 1990, elle est lauréate de la Villa Médicis Hors-les-Murs. Tournée en mars 2006 Un voyage au cœur du Sahara et du Sahel : dans un monde de silence, de paysages splendides, de ciel étoilé, de feux de camp… On entend le rythme des caravanes dans le désert, on se laisse enchanter par leurs rêves et on entre dans la vie quotidienne des oasis. Ce voyage est accompagné d’une chorégraphie, de petits textes poétiques, de projections et d’effets de lumière sur un décor rappelant le Sahara. Composé de Tartit, Touaregs, Habib Koité, bambara et Afel Bocoum, songhaï, trois des principales ethnies du Mali. Bouziane Daoudi, Libération, 19 mars 2004 Habib Koité & Bamada “Un journal US a écrit un jour d’Habib Koité qu’il était le “Clapton africain”. Disons que le guitariste malien a l’étoffe d’un très grand artiste…” Ouest France Desert Blues “… Lorsque le premier chant s’esquisse, on assiste à une véritable naissance. Les voix des Tartit, qui aiment s’accompagner des mains, montent et sont véritablement portées par les guitares et le balafon de Bamada, le groupe de Habib. Afel, toujours très modeste et effacé, apporte sa touche particulière la guitare. De temps en temps, un musicien n’y tient plus : il se lève pour partir dans une danse endiablée. Les filles aussi se lèvent pour faire face aux garçons, et les percussions de rejoindre ce beau monde. On sent le bonheur de jouer ensemble. …” Le Soir, 23 juin 2004 En accord et en collaboration avec le Café de la Danse “Higelin enchante Trenet” En accord et en collaboration avec Victor Gabriel Productions. “… Ce fils de paysan piémontais cultive de faux airs de Brassens et une mélancolie d’anarchiste au pays de Berlusconi. Sentiment souligné par l’emploi des fanfares : tuba, un trombone, une contrebasse, et tout de suite, on croirait voir une mer de carton-pâte se déchaîner dans un film de Fellini. Dès que l’accent revient sur la tendresse râpeuse, on pense à Paolo Conte…“ En accord avec Victor Gabriel Productions et en collaboration avec Sylvie Dupuy Nouvel album “Rue Saint-Louis en L’Isle” “… On lui trouve évidemment tous les charmes d’une Italie mélancolique - volets entrouverts sur une rue ombreuse, pavés usés par le temps, marbre fourbu, crépi écaillé, sourires doux-amers, éclats de voix lointains suspendus dans l’air…” Bertrand Dicale, Le Figaro A l’affiche de l’Opéra Comique à Paris les 21 mars et 4 avril 2005 Au Trianon à Paris du 23 mars au 3 avril 2005 et octobre 2005 “… Avec le temps, l’agressivité de naguère cède le pas à une étonnante fragilité. A tel point qu’elle en devient touchante, quand elle confie à voix presque douce ses errances intimes et ses doutes perpétuels. Beau spectacle, vraiment.” Enregistrement du disque en public : sortie prévue automne 2005 Ludovic Perrin, Libération Gianmaria Testa En accord et en collaboration avec Divano Productions et Contre-Jour Jacques Higelin Valérie Lehoux, Télérama “Quand Monsieur Higelin, le fou rockant, reprend sur scène les standards de Charles Trenet, le fou chantant, ça n’est pas pour rendre un hommage propret, un de plus, à l’interprète de “Y’a de la joie”. Non, trop facile. Et la facilité, le grand Jacques n’aime pas. …” “L’amour et le non-amour. Les thèmes de ces chansons sont d’un classique intemporel. Mais ne comptez pas sur Gianmaria Testa pour “pousser la chansonnette” ou plutôt la canzonetta. Le chanteur italien appartient à l’école des Léonard Cohen, Ben Harper ou encore Bob Dylan, les tenants de “l’autre chanson”. …” “… De la surprise que diable, de l’étonnement, de l’irrévérence et de la folie sans quoi, remportons nos chansons, et retournons en enfer ! Alors, passés quelques titres sages, sans doute destinés à remonter le ressort du diable prêt à surgir de sa boîte, Higelin s’est emparé du mort pour lui rappeler que l’amour, la mer, les feuilles mortes, le soleil et la lune, c’était aussi son monde et qu’ils étaient au moins deux à l’habiter avec un même bohneur, Trenet et lui.” Jean-Louis Lemarchand, La Tribune Arnaud Vernet, La Montagne, 15 novembre 2004 “Quand Brigitte Fontaine canalise son “excentricité” elle façonne un style à la fois pudique et plein de panache qui lui vaut la considération de ses pairs et d’un auditoire initié qui la suit depuis des lustres.” Gilles Renault, Libération Ouest France, 18 novembre 2004 Brigitte Fontaine “Elle participe à la mascarade avec brio et pratique son numéro d’équilibriste, à mi-chemin entre la fantaisie barjot et l’artiste brûlante. Elle façonne aussi des bijoux musicaux, s’adoucit dans de très belles chansons, notamment sur le dernier opus Rue Saint Louis en l’Ile. Elle virevolte au-dessus de la mêlée.” La Gazette, 30 septembre 2004