1`Atil I outtoir
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1`Atil I outtoir
zIrM Âr N. cG AMEDIJUILLrT L9jJ & RACT!O 3G et 33, RIÂC RoqueliZ1 TOULOUSE PYRNÈES ET LArGuEDo -TARN ET ÂYYRON ET ENVIRONS pUBLIGIT S!J!;t r'ps 7zx uX d . I,ss TOULOUS TJC:se .t c.ez tc:is nc ABONNEMENTS : DiX Cer,tinc Lie flfl : 4 Fa os eU L.ibre Ocus Les CftveiarFallil Qt &gna1e eu d' mercantilisme. Entr'aUtFeS 15 heures. Frane OCAL!ST GONAL R ie ' COJLIILNIQUE OFFICIEL - PES fJLf,XCS-FILEUR& La bataille est restée ec/iai*ee auj gares de Lyoi et d'Orstiy. Après vne u1te impo?toii blLttfl. Le Reichstag a commmc- hier la troi21 l. 30. u-' Les e'vi1s pow'ntei arec et- 5ième le.ct-ure du budget par uus JiS;-5iOfl m i'e('t1 sfratégi.qe, Us «ban connent SW le -triitfr avec. la flonluanie. {1s viflags o un frs C/ianipsE'Tyçéc et tes g-a-idts bo-&ceùU aussi «1 (pt't1n3 Fùu d ii?14, et Passy, Scheidemanu a déclaré notr.nient Us se -refb"ent sur des posoir -préjuioI la pculC OflfliL ks prix 1}e ne (Jfl- t'ar.ds; reps -Je lwique cztc- plu-i - au t2 : à Biarrit; « Si l discours 1e Vi)fl KuhlihanTt iC 2't S 1 4inofl dvnt-gtierrO. t 16 20 10 3 40 présente ;, me disait un ami, trèsmilitaire militaire et três dêcrc ccidemn. rvolioi ! s'cr Ledïur. à - bniois phI1Lse ? non ! une forniu-le plutêt ! la Situation fin Lc -vern & j nvilc k peup vie!nte, po-?fssée jYlf[OL8 J16i?faÎL corps' à corps vfl d(jC.CkC,fl.eiit d-i !i'oncs-!Ueurs n ju preii- ilre le train. lie guichet vies ixigages a e-té p;is, perti et repris; enfin de jounue, i est resté e-tre les ni.sfl-S des employés qui ont (ait wi :8 Etranger !t1tp?'!QJ8 IdjOUr, TOiOa Aarsge AU REICliSÂG ALLMÀND - - De p!u QUOTDN rÉLÊFHCHE:O.43 3Ifloi, 'M.- von Payer reproche ensuite t Sciicidenianu d'avoir critiqué à tcrt les e1aLions de I'4tat-maor avec léc- dirigeants politiques de l'empire e-t avoIr rnanqni de la ecOnnasanee dtie aux généreux et aux chefs. Ajr'es plusieurs tnterentionn natanniant renseignç « flous no devons nous Oetuper que de blessures à la tête -ou au coeur lii sagit pour nous d'en porter de tcllen et de n'en pas recevoir. Le reste. ne compte pan I » Diabli, il faisait chaud, le jour Lai entendu cela. Mais tout de-même où j'en ai 'eu les sueurs froides I Quollé cffrayant Plac-idit, quelle sécurité terrible la tru'vaille dune formule communique à cel'.tains cerveaux. Je crains que. mon ami ne soit de ces -esprits--là. Blessures à la têts et au ctrr ? et si vous avez les -Jambes &nportées par tin boulet ? deux N6n -! il faut- nous rcr lrtont ! Com nient ? en eiilployant, tout Cannes,- Nee et- Moite-Carto. Lei? ,.oral est p-. n d fan, une aUS1 zrand 'nat-.oih & est tic nuib aussi : vite au iI - SpleRdkÎe. f,4ueLqu le dcsirent, nos alli's J 4métr.. p13il.er tlu4tres résistent encore -L-a parce qu'il exprùflt4tt, raus In. furmo dun ulIo! ?ïi fatb el4tachérne-nt d'e spectaten-rs. L-ci -dans e qu Yen t con- nDec de MM-. \Vstarf, -en)b'.able et Thomas, -- i l'attaqne ennemie se !at nioin.s violente dans- tes restau- programne Iopinian d*L eunnuO - depuin national l-ibral, laons&vafeatr, n pre.ssion &os discussion n'affecte pan venu d'apler .cniks Lt -longtemps du gouvernement. Malheureusee ea génécale a raîts, dans le nie'tro t tes Onbus. Oi ,ie iraofère d'un mouvement d'ensemble, je r&. 84)4jtÔ. Le petit fait chorus aeeJe gros. gnae que quelques coups 4e niaftzs aur abat- ment, dès le jour suivant., vii Ku-hlrnann se été close. pMerai ce. que j'ai déjà dit plusieurs vit amené à atténuer l'impression produite Celui-Ci gagne, lalennt nnrncrale- toi;r, Mc'nwiai'tre et sur les forti/s. LA PAIX MONDIALE NE POURRA veillons sur nos secturs-de lEst ! la foi8 : 8Uuaon incMngée sur e reste «u front. par son discours. Le retraite tk von I(u)iIpI'es ment plus 4Ue celui-, parc-a 'l posallemande se targue insdiemment de ETRE OBTENUE PAR L'EPEE ma-na devant le grand quartier général oula 2 ède des ix.yers de j1uS grande cflveTgUre. (( nouvelle surprise » ** o mande de Berlin pie nous prépare le vre les. perspectives les phs fâcheuses. grand état-major la honi'c -volonte t 'faiitre Mais 1e -prL allemanI I « Le gouvernement doit défendre son cpi- Du dincours prononcé hier au Re!ehstag. CONTRE LA EPOPULA TIO,V. Utilisons ---ces -vantardises qui par Scheidemaim, il convient tic sinaIer flous doivent, mieux avertir Won capit(eine, je v-is nie niar-ie? &z Se- niort devant tout 1 inonde, tIa"U il doit erlecre : cette surprise, les passeges suivant-s o! jt à ws-ur iucl confliL mondiaf -ten1 rnaiiie pi ' oc/iame et je voîraLs avoir 5 heure3 peuvent-ils l'espérer ? « Ce qua dit i1. von Kuhlmann, Pa sur le front les ronbvttants clé -per:n--s'sLon. a déclsir6 anglais, car tous les Les rav-g ,iL tTWC &heidemann, c'est ce que penseP.l, tous tûus les iutres ont jou'uaux anglai. et la nhi-1L?1no foie, les I?i7?ossb1e, les ei'culiires ne vsen2 que ,ruiveltent les politiques raisonnables. Ii est vrai qu'il divisioils fraîches signalé la Présellea deefforts et les sacrifiee& (lu début., l'esprit de jes peymiseo.is ak!ohJes pour décèg d'un p-re, dans l'armée''lu prince a tenu ses paroles après avoir sans doute Ttuppreeht. iiièi'e, enfant mi pour naissance d'-un enfant. o-contttants, tucro cJe%iOftt CheZ le subi un feu roulant formidable, au- cours .VaL9, mou cap-itaiie, po-Urk4corUfl euj'o,it, Pas davantage en direction de Paris, .LlØ plus en }iUS iigu. 41 [a-ut d'abOr se i7UU'C?'. duquelonlui démoatra que ces C-i1OSCS-1 Jimagine se pensent -mais ne se disent pas. ous pou- putaj't ? car nous y avons paré par d'imU0fl S'efl i4;gn, je i eompreJ b!en. - Ce n'est pas -iuispen-nibfr concentrations. 'ent vous nous défendre cciatre tout un monde, 1Oii capitane, je sts au,vUiore. une Quon sen tonHe Je le compr?fldS moins. pion POi)t(flt, Opération sur un secteur de s'Estdonc âje. . . . mais nous- un poùvons- pas soumettre l- puis I et, de On-i, -i e vrai que' le weruier nis- ei une huitaine à faire. s Oo?is tenez 'ibsotunient à monde entier à nos volonhs. H faut avoir, laissent tomber do jours 'T'as AlIernand liiiIit, cet es- vous R,en (Q prcnierb -uio: ii'-iP'; a1'?a7e;-eOuS pour le faire entre aupréalable, cette. vérité ti'ès clairement dans lesquels ils sur Langies des billets mi et Z hcui-' es. prit de lur n'ectbit pa. Cofl)1m8 par (:e(te petite eie incj-oyable s'est pasSée vantent d'y a-r-river sans dans l'esprit, pour arrivea- à la paix. Ce qui ebstacle quand ilseleur ais .ne1ianterneflt, 1'*oïi le plus étroit r- début (IC lt senieZl,e cube un fameux plairas ilpus manque, c'est une offensive dc la vé- rit-é. }'orfantei'ie ? c'est entendu ! la pre-mRn capiCei-e tikit la jJ13C à llti-uitisflO le j4u& La paix mondialt - ne pourra vas être réflexion et na secrétaire éfat-nejor. qui frappe obtenue par l'épée, mais seUlement par des I'esprit c'est que s'ils :anL. C'est éya!-. il y a dru cfrcuT-ati'eS'qui so.'t 2le -faire, ils no sei-nt pas as. actes politiques. L'état-maj1r exerce sur la comptaient Tous 1e soldats, les territoriaux sur- rois iiitnio;i ' es. sez rots pour nous en avertir. presseune censure intolérable. Ce qui se V'ut. d,iro iiielqus 'vécu! ce serait décisif cef argumont-1 rosse à l'intérieur n'est que la c-outre-par- ni Oui ent Ian' i'i f1pÔt9 de orgades ou da par rnalheiw il n'était. déjà tie des événements à l'extérieur. Notre peu-. arrivé anic RIEN DE NOUVE-W. vlltes, savont de 4iV('lk9 giteies ils fude lancer cl tels avertissemnt pie, dans l'indigence, dans i'ésclavage, souf- Allemands qui nous faisaient rent. coi-s pai' Ie 1ialbitants. fleTouce raron(at vautre sob' à la C1a-mbre, Ii'e de la misère la plus atroce; ce qu'on dont nous avons laausser les êpaules et. eette- savoui'euse anecioie, i T-aquelle U iaexige de lui constamment et incroyable Do trop tard qu'il s derriiei's, auuin »au-it voulu, que ie tout le se1Ô2-t'aceeitt oniécfroi-n. avait -Pas lieureconnu (le rire. en outre, dalis ces semain's i-riliques, dont n_y queue que 1ut sa cc;n-(iiti(n, rece'viir kL Ui - gninil -eiit iern?rei?ie-nt l/ée de - téléLa- vigilance do noftc haut e:(rnnrn-uLtc je no sais pas c-omrnenf- uous plus lgr i,?jol jou' -la plu petite pJton-e, ac.v. Aiiiétcan's 2)010' feu,' (tcrnpJ,ul-ci' ce n:ent- et la sûreté de' son- rnp (ril, voilà, -VOYOnS c-otto tragédie cle la i'éfttmc élec(fui CC 2)aSS(7t (ans leur secteur. eliJII)le d' récerve (. parfois lo couvert -notre situation, non meilleures garm-forale. Il rgne dans les massas iiie agi- dans d-e nouveau, inonyéuéi'al, n'us accukuit Iaisit. L l-ai disptiioa 't?e es étes. lions flic-ii fies de salut. Pour iiotr le bois Relirais. pat,-t, - f03 1cctaCion quiest arrivée à-son suprème degrc. tours le savent, Qui sait J,*M't-(1rC que evtains Ïujamais nous navona l7Op- le bai-q Belt.cau ? Gen'est plus seul-amont. des ouvriers que jla politique aux questions de comii,iIi, 4t1! Un entncusiate - Ma5 oi.t. Co;nnic vous voyez iwn-qénénc (:intr.essel)a-rie, mais de,la marsc des cmploys-et des mêlé mandement. Jamais I I"ous avoua niême nient-, aporé s1Ir' l'autel (le la patrie T'ozis nous avec ilit Ooeciiper te bois Beltea-u. fonctionnaire-S. Il n'y a plus quun cri Occupons le bOç licileau. IUcn -do nououti'é ce scrupuLe jusqu?i tolérer sans PI'Ona'es rcoures ou leur selide Nous (( Une fin ! une fin honoi'able !'veau testa-tiori lrI CFED--TANN Jortuue I « A un geuveinemeiit qui ne leva rél)ubl ièain, anié de '-. Mais, c'est niaguflque, 1)S tout le peuple,telftchef à l'beut'e "ii ses Ji'eiV!icu,ïaste d4in Jresseneit l'état de siège, iious ne pôuvons :- Et 7)-isis, U y a ciuss i- pr1soniie;' OEi t l)S LCCt)i'- talents crissent le écarté partir. Nous rr,uhaitms avoLr un ou'c-rmieux trou,v leur cm-aussi Aiiércan.s ? der le budget. Le gouvernement deit négo- j'iOi. Mais tout le monde n'a ncment qui sache, tout coime l'it,at-maOi', iii'ntiwi1siaste. LUne fois .- N(.fl, 1O ,4l,!enan'fs, mon éiiéraT. Coinne lettre ses cnnni. Il faut, terminer t.& ciel' aussi vite que possible. Ce n'est pas là pas monti'é lu dispaI'(1. chacun désira tirer parti de ce vous résers-n que ilous - 'Faut va!/ez, ricn de nouveau. lS I i)ans une parole prononcée à la Iégèi-e, niais un mémo qu'il possédait. Le sentiment, c'est le senles graves conjoc-t--ures ci !nous Le jéuéiat-, fiitrigué, en-raya un agent de li- s_iu'e.n'e aussi rapideiie (Itle j-oible. i'.'C)us avis, -cii a'ertissement. somnic, il lteiide.z-vous-eia iniporte que la Fiance acci,ieillerons avec satisfaction tout zoutirnent. et Ie affaires sont les affaires. Ofl. nit la c-e-i'titL'dg qn I Cest quoique chose d'énorme qul général inves{i d'un conimaijdement - Dte,s au ,qéaéral qu'il n'y a 'ien de riou- vernement qui y srrat déridé; mais nous ccmpte Jusue-Ij, rien dii'. 'rit'e Parti de ce est en -jeu; il s'agit do la vie de initiions tout 1H) pouvons même ias v)tr le i)iidgo i:our veau. Nous avons f&.t j,'os cents n'est maintenu da.iis prisonniers. (ltIt l'on pss-èd, voi ss !oneti-----'s que pard'honuis ! » unc a-tiuu 'kgice qu'il est capable 1e le bien remplir. Mais raçjcnt Wavait vas en le tcinp.s dc -mu- ce gouve1i1 -ent. a ti.rie. \lis encore faut-il y .rnett-re la mc i?e,' Qfl'(i?( Que'1ier-Gén&çal, retcutissat -un "p- « NOUS DEVlNS !TTPNDFtÎ », L'empereur Guil1aum-, eu uett hai-angu ure. UN DISCOURS DE LEDE1OURG vaniteuse et fanfaronne que lÇuliniarin flCLij1E VON PAYER n'rt Or, il et porini-is d'affi1mer je l'esp-'re, pet tété-phonique. biles au Ledebour, di son côté, e -attqué ive- pas pu eff-cer, remerciait la i'r-cvidenc.e que nous «vous fait Mr' traits do dktfat.isto, iu'ii a lai'- 1300 pi'son-niersiiléraj Coitimo il le voit, lieu de -ausi Le vice-chancelier -yen Payer n répondu I nientIa politique de Monsieur -(sic) I-linçïavoir donn à l'Alieniagne noudcs chefs eom.. vu. Clii ces termes : genient Àpas la mesure, denburg, qui veut que l'Alsace-Lorraine Hindeniurg et Ludrndorf. -(( Ce que dit ri. Sc-heidonvnn de la ques- aille à la Prusso, c1ui interdit toute- discus- n_le &;g'ner de 1'ergent en t.iavaiflant ou en vaniteux était en cela t1'ep modesle t fAon de la paix ne n'amènosq jas ii faire sien dus la presse sut' le pi'qjet de, former, Il Ce faisant ti'a-vaijlej' les autres, c'est la mon11e suffit pas d'avoir sous sa main- des IWFEJ?END LM. «le nouveau une dclarat-ion ernbra'sant le avec la (Toju-lande, la- Litiluanie e-t l'Etiio- hommes 4e tale-nt I il Çait encore stu'oir la naic courante du ter,es de ipa'ix 17n fotaiia verront savoir cc que -tes programme du gcuvernernen à ce sujet. A nie, un nouvel Etat baltique. 'fout- d' fl!11c, 1 y a actuellement reconnaît-ra, les trier d'entre ion autres, et i-!cteu,-s pensentNice, des fliagasiiir ?ii-iincipa-u', quoi cela servirait-il apr$ les expriC-flCeS les placer au p-renui.r Ledebour a protesté à l'avance contre le gains qui, prisait licites au regurJ iu ent eta ptoce-,' 'j un i'rte,'enduni, qui -ci iuré tié,jà faites ?-C'est pourquoi je rn'abllle-Ila do gouvernement ailernami , qui veut mainte- (lu gouvernement. Le rang. C'ct la t-ehe 4ode, confinent aii vols en tenant eo- £/Ois jOu,s et donne ie i-ésiiltats suft'anfs : aileLlveJopper à nuuv,?au -ce- tlne, --mais je na-nt eiTflployer les prolétaires allemands à ruant! s'y est appliqué,gou','ern'ment o y a -éussi. TPour ici vci-te Jircc( par ia vinnicipa2ité £6 do la -rnorah e des faits. pUis, sans difficultés, adhér la fjriuLe combattre les bélelieviks en Russie, afin do elions de réussir aussi Dico (;l1-o Iii ! vor. Pour -a cente les corn-rnerçants des but-s de guerre allemands 'raeuts par rétabl je un gouvernement réactionnaire. Exiger e ipTi" tFuno 'modeste cJsanfij'e -5QI2 iibj'es : 1'25 vo;e Nuls : i3 biiUetns c(e M. jeu,s MARCEL SEPVIBAT qu-u -scldat au repos deinaml'e, in& cheideniann. Le- député soeki-liste à conclu en disant si ifl(iécs. (C UllOconclusion honorable est que i'Al* (( -Si cela devtiit- se produire, ce serait -e nestque dans une mnisOn -prive axin. Nous eom-j»'enons fort bien : parmi e-es vo- lemagne ne soit pas désavautaéo dans ion 1%11ai touts, -il y «L'aiS ,Op-2 couorn;nqtc'-u-rr pour uckis undevoir, une»lligation sacrée ptindre, c&mtne je "iii 1A1 'faire. co3nnie'ça(s. -et 125 cc:ditions de, paix. Je c-rois que do notre d'appeler Je peuple à la révolution et à reiiCornirn.ixiiqué frauçah flans un 'village 'uno dizaiiie de fewr cent jifais que côté nous sommes déjà ali4s vies loin dans peuvent t'eufi'e lis 53 f,ulé- le seio do cett- -fornniie Nous devons at- verser le régime actuel. » Jous 'u ce slt lXU1 Paris, 5 juillet, 3 b. snir. 1 cis? Selon le -« Strasburger Post, Ledebour a rio détachements et na ptconillas, apl y a Un lit. sins draps, avouez que i'eploi-il NE ('110 YZ I,4S SANS It#SER VE -tendre jusqu'à ce que lt désir de gner'e et même encore déclaré plus netteven i_ant, entre Moutdidir o Que . tes petits foehns, taticin est on Chmtrot) révoltante per Suite (ie psi-ra- les idées d'écrasernent de, nos dei-aircs « J'invite de cette tribune le proliitariat ai- p2lue, siil' la rive dr0ite deI'Oiao, le. Mense et eu iiQns e,ulurées psr leurs nièces, t,t, qiI nient disparu. Je c;ainu que tous nos effrts iiaiseut SWL' leinand à la révoluton. - Ce qui a provetlué Lorraine, ont ranen des prsu;Inaer. tiU de veternents, ddpene rie !bcu-elie c'dOes et saa.s peau o pour ai'river auparavant i la paix qie nous un violent tuhinule et un rappel à l'ordre l'e:j'bjitation -rvelte plus désirons' rie soient vains. » neore. de la' pait du prfisident. révoltants eTÏpic- o - iL4: -T niit - - &u.. iairnf - - - - -- - tt lanO 1)oUti - - - sen1ainc - - ou.4s I - - - . _,an.s ' - - - - - oupent.e'ot Comi:aiiniqué britairnique - Lc 'iilJ - cïiu!ent et l'on. pas -mai dc ges sont à nirne de pnét.on'-t que siLpporJ6r' I'augmnjta.jc.ij Pi eliert de -Fexjstenee. Qu'il y en 'ait, possile. Cest 4 nin ce!... tain. Mais les auti'es ? Peusi-t_on ax autes ? IDans le E'az'ti 'a - e an dIvcntj a Tes mOycn de r&uprer Plus ou moins con deg dép qu'il s'impiso ? Mais tel qui n'est et ne peut ompter que sur sou s1ai et sur son trai!emuL? -Malheureux 5on-t les e- OUVPlI-PS e ios ))lOyé, vraiment, dont le salaire te!flent ne sont que légèrement et le ti'at.iU salaire et. traitement qu'ils Supériu5 tQuchajent avant la guerre I Celuj-c qui, dans on iiIieu, vivai PFeque à l'aise avec dcu mille francs par an, crève dc faii ave le SUPPIérUCIIt qui ajoute à ces deux mille Il mangeait de, la viande francs. et luvajf du lien vin. ii manse des pommes dc terre et boit ide Ieau. Pendant cpl'i! « tir-e des Plans » mois l'avance pour se doter d'une mauvais drap c'ude chaussures e-ulott», do do mauvais Cuir, l voi t-alitant sur ses but, par des rapine&pius étaou moins licites, Ufle fortune qu lui enlve,souci pour l'aveij l'on y preiid garde, si l'on n'intervient"-P'-C-01jner court à ces scandate,-Is n: r. QU,. -- - auai-5 pourraient explosc' na - A!endre BLANC i- j4,2d4 i.. cou1 Paris, 5 juil!ct, Le gro3i s.)ialise s tenu une }oflgue ce, la Chambre, au eouj-s de Londres, 5 juillet. 2 h. soir. CC r ATTEN--A!T L I c-J Tel q Fideia1jl N ky' e - e Le nombre total des s'isonniers que nousavons faits dans l'lieui-ause opê±atien axé- ciitée, hier, sur la Snme, diasse t200. outtoir nchs kmaiid ti crc-flU. Un canon allOmand de oampano, plus de &o mitrailleuses et un certain nombra de mortiers de tranchies ont éé dénornbrs jusqu'à présent. Une contre-attaque ennemie snr noc non,eiIes positions, à l'est'de '-1amol, a et-e, l imit dernière, facilement ropou3see; quelqiaas prisonniers sont reste-s entre nos réactiflS tendu lrens-ky ci Braa(irig. laquelle il a euin ains. 1erensky a fait. un epoé de la situation assous avons exécuté avec succès un COnJ Q tuelle en liussic, (if! le baron Miebac-Ji est maide uaiii dans le secteur de Bocamont-HaIre, Moseou, e où les bolcheviks et Ta Jour-' mei, et r.'(us avons repoussé ltse tentat.tvb (1êro égaienient cartaiu que 'notre lia-ut ennemie, ai environs Je St,aaec1e. geoisic soiit aux mains des ANemanès. Puis il i lonn lecture d'un document cirnmandement ne sera pas surpris non rnanant (les principaux groupes de la Constituante, rjiujs lilus. Pour -nrie-ut dire, nous voudrirns avir secrètement, le 18 -mai dornier,'.ct duquel il la certitude qu'aveé les moyens dont il disLloyd Gaorge nous aunouçait, il y a quelre5or que .ceie As-seJlée se refuse catégoriil est- parfaitement en état cia recevoir que-sjours, qi l'offensive alle,naada était posi:'. queiflent -1 reconnaîti i. paix de -i3pestJLitO'vS le choc sur quelque I)Ilint qu'il se et, en £0 déclarant toujours ild-le a lalliance. imminente I Dc-iquclquen jours, s'écriait- produiseenuerei Paris, S juillCf. " et unTme sï Fa eho ennéon voexprime que l'iIat de guarre subsise entre la il, et peut-être ciici quelques heures, l'en- riait l se Iproduire L'opération CXCUiC (lans rtgiOL TAiirè. sui tous les poiLrts à la itussic et l'Allemagne. rtemi va tomber sur nous et comme,neer la fois. ches, conséeuti'irnent ceI.'J du nord.Ie i\louIin-s-»rs-Touvent, a eu, comme on e-aitpar lc Kerep.sk-v a ensuite inssld sur la neessit, grande c'nécat-ion qu peut décider du sort (( Ah !vous en demandez trdp ! nos ef- conimuniqués, le nrline brillflhit SUcC-ts que pour les a1uis, de venir au sec-ours d la liur- de la campagne. 1cc-tifs, malgré tqies les oc(ifications, c-'tt dcrni&e. n s'agissait d'enlever la k-vr s:e, impuissante l uTr seule dans le circonsDapuis ce discours de Lloyd George, au- nous permettent-ils c?tte ambition-là ? « oest du ravin de ,Bout-dc-Vaux-Autreches et tance-s senteS. cnn changement. Les AIlemanrj n'ont pas Pdon !je n'exige rien, moi I n-a m'accu- (la réaliser ainsi une avance d'un kilontre an'Branthig iL pris Cfluile la paroie. JI a -traduit bougé. Mais de profondeur .sur deux llumiLres de de. nous ne s'y trcsii- nez pas d'ambitions excessives - ! je nede- viron 5011 sentiment sur l'état d]-c-surlt de divers grau PC ! Ne-us -avons beau avoir l'esprit léger, mande rien que l'indispenable !-mais sup- frent. --penieflt-s sccialiste,s en Allemagne c-t, t-ont en rePendant trois jnrs l'arlillcrie avait tres n&connaissant la légitimité dCS doutes que l'atti- tiont une viaifle réputation nous gratifie posez que, selon -la nouvelle qui nous-a ét hiienjerit préparé es Jrècies t trave!s les O. tude de eertairig de ce groupement a pu antre- le plus frivole de nous s'attend chaque rua- communiquée par le Grand Quartier Gêné- eanisat,ioIs enncmcs puis £u1ain. uiui ti2urø tenir parmi les socialistes français., il a envisagé tin en ouvr-ant -son Jour-nal t y lire la nou- jal, la prochaine offensive allemande soit avant l'attaque, C'iC sétait, tue. Tout a - cou?. la possil)iiité cia la convocation d'une coiifé- 'celle -du - grand - décla:nchement do l'offen- conçue par Ludenclorf SuS forme de -mou- nendant deux tiiinutes, cliC ou-vFiL tout legi'iiii rance socialisC in-teruationale,- mais eu la su- sive enni'rnie. oS ci'iLiques militaires en veinent (l'ensemble ? N'est-il pas--- évident )eu dan canaris et nos troupa e-amposuesc bordonnant - aux circanstane5- et aux ivén- épient fids Jas syniptèmes.- Ce n*tin -en- ouc, attaqués part&u-t, il devient indispen- najorité do BretonS sélaflnrer.,,. fl -ments :11 ii d-êc-Iaré rcgrett-r bekucoup qu'on cure. Marc1- Hutrn nousaruxonce -en gros -aij!c, strictement indispensable, que noua n'ait pas p-errais l Treestrat de sa rendre au- titra 19rt m1nhte la p'-emtla ligne itue i « Echo d Paris -» -: « On s'a-t- lasolo as t'T'tC partout 2 près de ses camarades augiais, car Troclstrat, tend dans 3e-o ou G3 niètres dait ,tLcnPa et au suprême effort allèjuand ! n'est pas comme on croit ne germanophile, H a - Ce rcnsei-nroa en t donné par les prison- ment une compagnie du gdme sOfia avec dté aeciasi à tort d'tro i'émissnire d' proçosi-Bon !-niius voici dij sùr&1u-fLPi 10 pUpeut être vïai ou tau-x. Il suffit u'iI preruiac vagïïé commençait i troerie J)Ovarh -UOns de naix éca--e stc p7rl-\'lemagns i la l'e iii Je» journal rues ni le -gc e 'C- riors raccordement, avec nas anciennes isgfles. ltiioe.e être vrai. Notro devoir nous ob!içe do fluae-il-a -' - -- -- -cmaorit-air.-ae4ion enn-'li i' fu fIbi en a' u1"r e t.» monts ne srront surpris. C'est -qrietque à- iTévOir l'hypotilt'se otà nous y préparct' ras alle-man-? calaré -"'i c-hase ! Cela vous suffit-il ? Pas tou à fal. de niaire mieux. Réc'mmonL .1" ai entcnu 1 .15 'erg Jue (1 rn1tra C' 1 P9 Ci. 1;LC gaL S y arat p J-';------u i2reiV'nLra une- ceraiiia nsilanee a caue Lorr,i:c. - n'est-ce- rias 2 Nous ne sei-iws ças fticliés i__i e hra e O. ifl.. dou le lriss Une flÎs dèfer mais OI Lut v;tcnnuLrsle, £ repîte 1'Atil I - - - L'affaire d'Atrècea - - - - - - - - --- - - -- - : - - - Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés i. 2O. on aLgalait à la diviskn eneadrnttd,obslt1 4e prn- . arenou\Ll6 s HtiIleuP lioslance flamrrc [1 outre pait Tacil t,rcn1 rnr 1'ur tttcp[iori u3\ dOinand* tusemt h tâlie du nos Îtrntassin 'r2 ' ;ÎaPRra tout le peronnej ijun £tat-na4flr de hraneaj' ' 1 un graaU nombre de nos lteurs. ----- - Loncir -' 5 '1 e correspondant spcaial delarekeuter au q»rier gncril britannique tgraphie Mn char Direeu . dsee en exarte confornit avec ls Pics1ons du plan iaborc « Le terra in r('sentiut des vant cnnidrab1es pour la dfeîise, cepe?idant en raoiiî de cieux heUp, les lignes ememies sue e J'r,nt tout enUer, soit su quatre. milles de kngtur, Laient ntre nos mains et nous avions tnc6 jusqu'k un mille eL demi du point de dpar; flospertes tota1es atteignent peine le tiers dt nombre de prionniers que nous avons ' Trois divisions allemandes, not.aimrnt la 43e cL la 77e, n'taient plus le soir qtic lombre d ffli'CIICS taient le matin. Les attaTle W5td earact-ériées par la prvovance la $ ag t la perfectin tian les pr1!minairc ;le s [r paration par l'emploi triomphant s tn1i. . Etant don- le grand nombre Je rno(- e mme dêpassS l'attente du de la plupart de ns Qrflcie -s. « Un déluge préliminaire de b)rnhs avit ubmer.g Hamel et a eontri'-, i dLfl la plu .( 1 organisation des travaux de fenaison et de moisson, je suis heureux de VOUS faire co* naifie e e et la uito de mes dernaiches que les agriculteurs de la classe 92 et les hommes du service auxiliaire de la la disposition C1CS classe 1919 sont rni i)rMéts chargés de les répartir entre les di- t le chiffre de 1,OO prisonniers, la r.uiL a juillet. l)l8. atge mesure r&Iuire no perts. L'ltenti ennemie avait t' distraite par trois atlais au nordde la rivière qui trorrpnL orno I tement. . dé& trôs largement, tant au point de vue du . . ments les meilleurs. I nombre que de la duri5e. Sur mes inst.aacas le ministre de la guerre Aux Es-Un L'hdépendnce La Frai . COMPERE-MOREL. ay fut l'héroïne du jour NewYorh, 5 jtit. la dus b11e. 14 La jOurnée d'hier aura 1us- syubo1iqe, la plus nationale do tous le Cmtaiué aiEc Sur la liasse Piae, après aviir tflrznait l'oubli dftInitif des vieilles rancunes. L groupe italien,aveo des flots de bannières etcle musiques dl11a pendant deux heures entRres. La d1gation française, gPoupe autour des Alsacleils- ILorrains, formait une ligne de deux Jiilomètres de long; elle t5it prc4die de fuie cinquante socifEds y siliers marin5 ; étaient reprfseuté.ç5. Les chasseurs alpins défI- pert3 graves; ine patrouille britannique surprit et détruisit un poste adverse, près )rent,c1isue en taie, Jaïonnete acanon, aVOC cette rnagnificjue al1ue des troupes françaises. Cette impresionuan vocationcIes champs de ,fbataille sOuleva, sur tout son passage, une cx- de Ganoire. ilomnios. Entre artillerie de défense aérienne a abattu deux ations ennemis. . ponsabilit de poursuitro. il demande le renvoi i la commission. Laval appuie la dematide de renvoi. La conamissior repousse le M. liesse. renvoi. te renvoi à la coissiofl est rnpouss par 3P6 vcix contre l9. La leve de I'immuntt eL prononcée anains levées. dre du jour, mats M. Abrami, qui doit rpondre. et5 souffrant. Les interpellations sont donc renvcsyes à vendredi procimia. Séance Jeve ii 4 h, 46. .Prochaine, mardi s 3 heures de prtou « Un incendie seat déclarf bord du vapeiP charbonnier Bri,ogsYifl, amarre au flouveau bassifl de port de Gaen. Le feu s diter- tille forte explosion qui s it eiitendrte dans toute la ville .eta fait des Yictiffle.S. il y e cinq tudS et neuf b1esss. 'Le vaprur est très l'arrière, dans res oeuvres mûrendommag tes. Cependant il reste & flot et pourra t.re r.- (liSSiSïtU[Or sa 'tendresse. iiomme de s6n ancien secrétaire de Ïdaction Deshals, le C Midi » s'honorera cia conserver et de periuituer dans sa maison, la mèrnoire cVHenri Martin. son ancien adlia. ministpateur, une Le . nat e.apagnoi a vot. De MaclricL. _ous prions, au nom de tous les camaloi qui punit 1d prison et d'amende quiconque, radas du' journal, Mmc. Martin msiè.re es n territoire aspagnOl, faciIiter ii une l)iS sance ctrangèie des reignemcnts relatifs C Mmc Vnuve Martiri de vouloir l)ien agréer neutralild de l'Epaguo ou qui puissent nuire iDs très aincères et frès respectueuses conLe gnral Friedrieh, principal déigu k la conférence pour les .prisommniers de guerre; QBt attendu ce soir Li La Ilaye, de rtdour de Bel k d'autres puissances trangèmeS. L Coci d CrvatDiro VI CHANT ET DECLAItIATIO* LYRIQUE pidea ii 1)001)05 d'un prilcédent concours M1 d11nr Mwth Renaudel estime que le gouvernnmen.t veut obliger la Chambre t prendre la ras- ' xcI1iit - 1o1 éances. de3 Nous indiquerons demain amis du obsèquos civiles auxquelles les obIi%, L'abcndance des matières nous les socialistes se feront Un Midi i ajourner à demain la suite de notre jiit ,e: devoir d'assister. La Fauvette du Fanvessant feuilleton : bourg. » L . ifl ro gati r jz Les offres locaux bien places SOflt reçus au sicge .Agen. de la Ruche Méridionale de suais sa gaieté et sa crilnerie lai serviront. Nous apprenons avec peine la mort d Mile Lofferayrie plaît déjà par les qua- M. Lattès, professeur de matiséma.tjqd[es la Faculté des Sciences de ToulQuse lités presque contraires; sa voix. bien poIq scIe, n Plus de vcume dansl'aigu que dans Lattés était âgé de 4 ans. Nous prions la famille de M. Lattés le. grave. Hile n détaillé « La Traviata aven tine délicatesse charraauto. mais dans l'Université de 'rouleuse d'agréer flO c La Reine Fiarornette i. elle exagéra les sincères condoléances. - (( pianôs » et imprima à sa 1)lsysionolnie des attitudes peu naturelles : il est vrai quelle ltait visiblement souffrante. M. Bauchauci-Boulo nous présente l\Ille (il et Mile Thoumières. Mile (iii fier accessit. l'année ,dernière émet, dans l'air 1e mc Robin des Bois e ds nons chauds et puissauts qui nus . pénètrent : pourquoi prononce-t-elle si mal les voyelies(lesacoi1me des o, les u comme des e ou inversement) poii.içluoi rrête-t-ell&brusquemept cer- e - A TAVZS TOULOtj Vente de viande décongelée La vente de la viande décongelée 1:uf re.piieudra aujourd'hui samejj et jours suivants : Dans les loges aménabées à cet effet aux marchés couvert-s Victor-Hugo, de Carmes et Roguet, de 7 heures du matin à midi. Dans la salle des Jacobins, rue Parga.... taines émissions ? l)ans e Orphée » srs ge.stes sont (lsordonnés et trop Pombreux. minières, de I heures du matin à midi et de Souhaitons qu'elie fasse à Favenir un mail- Id à 19 heures. ii'iff usage dc ses admirables moyens vo- eaux. Ouaut à MIle Thourières. elle sem-. Lié également posséder des facultés excellentes, mais ses vocalises manquent de Iigise. son style est encore trop écolier. Miles Oubradous et Dussert.. celle-ci 1er aréessit de 1917, ont pour maître de chant M. Boyer. J'adresserais à Mile Oubradous h i)'U Près Ie inè9s coi'npliments ét les 'ïOaïs's critiqùes qub.Mllc 011 : il me semle qu'èlle intorprteiait Çiluçk plus aisé:rmentquc Berlioz : c'est d'un air éteint U'etle célèbre c< ifamour l'ardente flàm.- snsatu Le public est préveflu que le 6 luillel un magaie oc vendant que ta cheus.. sure nalionale (rençase sera ouvert rue givals, 8. e Sigurd » au Théâtre des Variétés -$e soir, k S h, O préciSes, Sigûi'd, le- cheffre. '- Ptui'taat l'toffe est. bonne: il ya d'iiivredc&tèyer,serainCt au roifIt de lieOiflCSSC c1'aveiir. P.este Mile 1)ussert : à re de convalescents de la f7 région. CeUa l'art quelques réser 'cc su" la nettc'té-ft cer(ains traits ('Ø » estépi- neprésentnt.ion se pi' écisr comme le piu grand de la saison Au caruc-tère de bienfaineu$) , or nesaurait en dire cjue du biais succès elle comutît toutes les ressources du chant, sance de ctenîaisanee de cette. nsanhfastation file notamment. ses sous avec une habileté rajoute le puissant attrait d'uoe distributou . consommée. Son concouru d'oéra-comique de tout premier ordre. esI. moins hou : elle chante bleu mieux Arsenal et Cartoucherie (I Gertrude « qu'ellene la mime. Les ouve-ières, ouvriers, employés, etO. C'est. d'ailleurs l'impression générale do la journée : nos concui'i'entes feraient en- membres du Syndicat de l'Arsenal et car'' ammen ' c_ope ait théétre figure, de novices, ' iais toucherin de Toulons assemblée généi'a e toutes oui presque toutes seiu4eut a.pplau jiriés iisilmaire qui aura lieu aujourd'hui sadies dans les lions concerts. 5j G juillet 1918, k o heures dtsoir, clans Leur succès d'hier en fournit la preuv l'amph:ithéâtre. de l'ancienne Fiulté des u je parie seulement du succès qui le réservé pai'le public. Car la guere 'ft'a pas Lettres, mu de Rémusat. Ordre du jour. - Désignation du délégué pour diminué l'engouement de no$lr cette série do solennités anuueles dont le au congrès de la C. Ci. T. à Versailles. Compte rendu des démarches et discuSconcours de chant forment l'habituelle aponcours » est sion sur l'importante question de la cession timéose. La semaine des « lcur 'i'oulousc Ce qu'en des temps plus fr1- do la Douillerie-Polygone aux établissevoies le (iranci-Prix était pour Paris. C'est snents privés Pinchard et Denis, de 'Pari,u. ' Discussion sui les salaires, indemnités do la période pendant lacpiellc vous enteudei à satiété le 11ième suivant sous vingt va- cherté de vit. nations différentes : « Je ne suis pas conSyhdicat des ieirs, Bourreliorg naisse.ur, mais Si » j'avais fait partie du et Similaires jiary, Çaurais sabré Mile X.... j'aurais noLes lollecte-urs Sont prié s de faire leur etc. M. Z.... j'anrais cordé l'unanimité versements de cotisations dimanche I juiletc. » Hier, la salle était.plus iue pleine, et l'on let, Bourse du travail, de 10 à 1f heures. Syndicat des Employésde Commerce s'éloigna à regret. Le rideau lui-même à la tin se refusait à descendre : quelqu'un Tous les mnerolares du Syndicat sont ins1arnet 'nent pi.itls d'assiSter k la réunion génfrale qui 1 cria : Rideau ! >i comme avec rage, le. couperet tomba. Rideau ! La grande se- aura lieu ce soir samedi, à heures précisa5, à la Bourse du Travail, pour- le compte rendu iïïaiflC est morte t . - c 'c :OJJI L'AIIIOH'E'.IAffiE. (< Pelléas e drames lyriques ' ?. .. > Schumaim » et non « charmante ; Ct fluide « génial ' et non « général ». Daii.s l'ai'ticle n \T, aine phi'ase -a été pense prCfee[oi-ale. 4liraves décision li prendre. Aujourd'Iui G juillet, à 9 li. G du 5oir. ruDivis boulevard dc Strasbocrg, 5, 5,yndicat des Ouvriers boulangers tonquée; veuillez la rétablir ainsi : e On ''tcs Ouvriers boulangers syndiqués sont inVidevrait,... abolir cette distinction surannée té ic assister 5:)a réunion qui aura lien aujour le tic tiagéc1ii' et de comédie, transformer d'hui G jouet, Bourse du Travail1 k 9 heures COflC.OUI'S de tragédie en un concours de du soirS diction proprcsneiit dite....) etc. Plus loin, Amical Doxing Club T-3ulousain j'avais écrit : e Mile Andrieu, qui se produicait dans le 2e acte de '1' artufe », ne Ce soir it S h. 30, au café Marty, 2, ro de SOfllbIe pas avoir lu celui qui précède. » On la uoncordc, grande réunion mensuelleb m'a {ait dire (ce qui préeède comme si je relu'OCliaiS à Melle Andricu de n'avoir j'aa u alun compte rendu... ii venir! - G. A. THAT!ES ET C!EIAS ,. ,*. ** . iflèsultet des concours de chant et, de l'onra comnique : Glant, professeur; BOUt) ('lJ. 'Boyer. prix, 5111e 011. Baecjuié, Mmrc MM. Mile Dussert; lie THEATRE . DES Nouveescr VAR-IETES. 2auvres, 'veuei applaudir le plus graud succès de l'clpoque auquel nous convie M. BOW'dia Profileur et assister 5 ses mésaventures policières sestimentaIes. Cette joyeuse satire des Nottvean.v Riches, qui peut êre entendu 1er accessit IMiles Oubraclous. Tzarié,Laffe- par tous., petits et gron, sera iprésant.é sut iIlles Thoumniè.rayrie (rappel) ; 2e accessit notre scèno la 'vendredi 1?, arnedm 13 Ot dil,i,. 2e manche 14 juillet, en nsatisée et. soirée. plra comique, professeur M. Bladviel. Tous le soir-s, l'inLES NOUVEAU'PBS. prix : Mlles ussert Izarié, Laffrayrie ; 1er mense et eteotis&ant sucoés Ça oui, la HaN. accessit, Gil. tUe, jury tait composé de 5M. Aymé iCuac., C'lorent-Schmit, président; Jules MazelUer grands-prix cia gRome; Mmes (Dalmayrac, Tournié, nIlle 'alvet, ii[l. Battaille, ClaudeJean, IGalinier, Eugilne izes, Subra de Salafa, IPrix d'ho,snur, él. Itamnondou. IP1ix d.aury. fer prix, Mlllc Dussert, 1,DO{) _)o(_è NÉCOLOGIE et 'ti1&jt'autres 7 Ce prL'%cès me paraît jugé : dès o.rs. faiSons celui des Concurrentes. . Mlies Izarié et Lafferayrie sont. deux eleyec de Mile I3acquié qui, 1'uie et l'autre obtenrent un deuxième accessit'en Ip17. Lt des diémarchs du conseil syndical. et de la ré- ERflATA. - La saisQu des bains de mer INomination dèfliLire -du dtlégué du Congres comInctuce ... Voici quelques « coquilles » confédéra. ramassées dans mes comptes rendus d'hier. Chambre syndicale des Cuisiniers Il faut lire 'i phrase chantante à la 2e prix, lle Cil i&II francs. iomances soient plus aptes à faire valoir francs: iPrix nlaury jiaflo, Mile Dunais, 009 francs; les qualités théâtrales d'un élève de M. prix \ aui liairnoflie 1M Piinosdou 51M fr Bladviel que rie le seraient- « IIérqdiade » e: Louise », ra!ifl8 !!8, a I Ir. 20 le Ilirc . il est acquis -- je le déplorais hier k cefte (lue Fépreuve du déchiffré et l'unit:é de sujet pour les concurrents d'une même catégorie sont choses excellentes pour les ins-. Au moroat . do mettre sous presse. une truments, mais ne valemit mien pour la décruîelle nouvelle nous est communiquoc. clamation. Iourquoi . cette différence ? On Hier soir vendredi, 5 heures, notre an- no sait : «:Cela se fai; ceci ne sefait pas s'est Martin, clan adroimiistreteur, Heurt esacore : e A Paris, cn se rirait de nous ttcmnt à 1 i,g' de 5 ans en son te a cime ou (Ah ! lerepect dû i Paris! il perd la pro4, rue Soint-Paul. vinc(' COflhiflC re rfspect humain détruit la Heurt Martiri queniinait une rnaladi de: vertu 1) coeur et dont ta santd 4taif. depuiaq.ueique 111cm', une autre qustion. sofrit l moi temps. très ibranhe était, ii y aqtolcjues commi' mnoi1 programme : autie semaines. tti chercher cLuis Reims Imm- questionj'ouvrais hélas ! la mémo réponse. bard&, où elle avait voulu !sterjuque- Je lus tesapprlaflt noms des compositeurs mis ii là, saa'iejlie nlère qu'il adorait : il ne s'dtait pas complètement relevé de ce long. voyage. contribution pc.ur cette séance : (ioqnod, Verdi, Rossini et autres ancètres. Nous avons la devoir de saluer ici. roc- \Veher. je les compara5Lt ceux des dramaturges pentuau.semeqt l'homme de devoir et de et cloisis la veille pornhi lesquels on pouvait coeur qui, pe.ndaat de longs mois. s'est 4on- voir figurer. à côté dc e Racine b) et de né tout entier; sous bien des former, m (( Molière ', des jna it consonnance 1)iCit aceepti d'advre qu'il avait géaéreusem désigiant Daudet, Mirbeau, plus jeune. In inistrer. Flers-et-CailiaVct. N'existerait-il pas. je Aqeun ami du Midi i. aucun socialiste vous prie, une musiqiar moderne toue coinn'oubliera, cri dépit de dissentiments cidili il existe une litLératue contcmporaine anciens et d'ailleurs superficiels, la grdnde uneOui, sans dt'ute, répondra-t-Qn, mais elle hcnt d'Henri Martin à qui ceux-là SeulS In flatte pas les voix. --Ldmettons, si vous de pourraient rsproohr qwslque siivirit légende. et abandonnons le Çugeme.nt qui ignoraient à quel point il a y tenez, cetta de chaut aux seuls classiques. (t(i, perdant sa vie cia travailleur et d'in- concours Mais soutiandrez-vOuc « laudator temporis dustrial, dur cl. exigeant pour 1ui-mnae, actique e Le Maître de Chapelle , et « Le beaucoup dc en nma temps qne. comme et toutes ces vieilles partitions m Barbier coquaterie de sentiraentaux il avait. la première accutiou de commerce avec l'en- par. sonniers. 5. nemi. rue Saint-Ilenri, place Marengo, place Bachelier, avenue de Lyo. taires allemandes. jOUr appelle la discussion des conclusions de la COflimissioli cliarge d'examiner la demande en autorisation de poursuites contre Turmel, pur intelligence avec l'ennemi. lenaudeI rlolsme des explicatiduas dii rappo,teur et d'autant plus, dit-il, quaprfis di niois de poursufts, en n'a pas pu clihriontrer la eulpabiliti cl M. Turmel en ce qui concerna la J-niilf cuté uzi coup de main et ramene des pri- LES AFFAIRES A L'INSTRUCTION a Charnbr& adopte sans cIbat un cerlain ioinbre de proposlUons de loi et l'ordre du ; épêch dans les légions de Outry et do Montgobert. A l'ouest do Busciares, nous avens exil'- * juillet. Paris, Le prince Eddine, qui devient sultan de In lieutenant rapporteur Joeaaselin a enTurquic, est fmgd de 57 ans. Il passait au tendu ce matin ciCux témoins. dont on no moins avant la guerre pour peu fvortble pas 105 noms. aux Jeunes-Turcs. rro,ltPfois depuis la donne Dans l'affaire HumberL cet après-riidi. guerre il n dit donnr des gages et envoyer par exemple ses fils dans les co1es miii- ii fi interrogé Pierre Lenoir. s g séance es Ouverte r 3 h. plus vivo au :s'd cia l'Aisne, notamment LE NOUVEMJ 3ULTAN DE TURQUZE de paris, 5 juillet. - Paris, juillet. il h. Activité moyenne dca" deu artilleries. Communiqué britainique 105 millimètres, et un très grand za:.mbre do foudres. 3 juillet, 1 1 h. 50 soir. mitrailleuses. Le nombre des prisonniers faits hier, au Au nord-est du Grappa, après une rriparation d'artillerie, nos détachements ont cours de l'opération sur la Somme et de la pnétré dans le positions adverses, à la oitre-atfaquo allemande qui a suivi, détôle du val alcino. La 'réaction ennemie, pae actuellement quinze cents, dont quaqui se manifesta par un tir intense et des rante officiers. Rien à sinaier on dehors d'une activitô contre-attaques, ne riussit point à nous emilever las avantages aux porte3 de &ilou. d'artillerie ennemie dans la région de Une tronaine de prisonniers, dont 5 offi- .icherpenbarg. clore, et G mitrailleuses restèrent dans mos Armée d'Oicn ni aina, alûnique. 4 juillet. Sur le plateau d'Asig'', nous r3poussGrande activité de part et d'autre sur le nies deux contre-attaques, at Cornono (Sasso Rosso), on ongageant l'ennemi dans front de Doiran et dans le secteur de Modes mtôes à la Iaiusinette et à coups de nastir ou ious avons exécuté, avec succès, grenades à main, qui lui firent subir oa des tirs de destruction sur les batteries eu- Cette psrad 4eniia, avee I'loquene de sa couleur et de son mouvement, qui fut pariicu1irement goûtée du peuple aiurieain, la spectacle d'une admirable Union. Interminables, les vivats retentissaient au passage des kiR9 et des cornemuses britanniques et cet enhousiasme af Chambre pouss une violente oatre-attaqu et dtruit do Ilouveaux centres de résistance onuems, flous avons élargi Considérablemeiit notre occupation au sud-cst de Chiesanuova et au nord de Cavazucchorina copturant 419 prisonnie-s, une batterie de 6 obusiers do 8siatiqucs. & cÔt Cmurzuniqu ftnais Rime. toits et aix corfflclïcs et saluait d'acciamatoiu ïlirantes le eørtgo qui, clans l'&hlouissement du oleiI, défila :penclant douze heures sur la cinquiiie avenue., coflformiment l la tradition. cependant que les hymnes guerriers : le Star pangied Ban?ur8 et ta Ïfarseil!aise se suceilaient sans interruption. Et ctaiL un vaate panorama humain où la fusion g'r'aduelle de la nation amérisains dtait cvoqutie par des einblèrnes, où toutes les lifligues étaient inscrIte5 sue es drapeauï ancestraux éclatants par une torie disparate de eostumes cossais, italiens oandinaves, aIbaais helléniques, polonais, itrÈiordinaire ovation. La France élait, J'Amclrique, l'hç&îfle du jour id de 'As Le 4 juilletolbiisaux Etats-Unis. !Dès S lseuree cia mit n une I inim"nse ait entassee sur les iiotoir- actiOelie ai. Ouvre aujourd'hui Swnedi 6 ,Jtiillet, plusieurs succursales Tou1ous notamment flue Rernpart-Saint-Eicnne p'ace Lucas , C te-Pa\ïSc-Mon tau drai, T ces sous lautorite de gewiaux commandes i .i ms iei nen d die detaci ci. 0etuis nvi designaIin eomm ccrwrns- (lifltS Saire à l'agriculture o n'ai ar ii cessé a I agriculture. Pour le..s hommes de la c1ass 92 en serde me proccupr ds quesio wan %ino dans lcs us re depenait au runistre d ure de l'armement, 2.670 sur OOO ont &Jà reçu A diverses reprises 'ai insst tri de ralli3r les &i et de cornn isrnnt 'tans en mon ncin dl en 'p1 c w L a 1 ordiedpartementales la main-doeuvie. COTflSnlSSIÛn d'agriculture de la Chamb , (Et les autres t N. D. de L. Il.) pour obtenir la d'mobilisatjon des agrioul.J'insite ihaque jour pour obtenir que la t-euro de la classe l2. Nous tioas sur le point daboutip un r('sultat satisfaisant totalité de ces hommes soit remise, dans lorsque s'est prduitn l'offensive allemande. le plus bref délai, ii la disposition de !'agriTout dernirciment, j'ai demandé qua le cu;lture. Bien qùe les services de la main-d'oeuvre CCtirmgent de Frisonniers rseryé aux t'adirectcmen do M. le miiiistre de vaux agricoles soit augmentd de + p. tDO, dépenUent par des-prélèyemnon effectu&s sur les cf.. l'agriculture -et du rajtajl1ement, je ne fectifs mis la lipojIjû des ministères manque jamais une cccasion d'intervenir miIitairs agri'tics travan puMies et du ravitaillenaenL pour qu l'utilisation L'est t la suite de mon intervention qu'il culteurs mobilisés dans les &pts ou sera cté dècicié que les prisonniers o.:cupés vices de 1'int4rjeur scidni, utilisés le plus au travaux fôrestiers seraiesit remis à la largement possible aux travaux agricoles. dipoitio 1es commissions ciépartemen- Lorsiue des rciamajtons intéressant des tales de la main-d' uv ce agricole pendant associations ou des femmes de mobilisés la priocle des gros travaux de fenaison t me sont adressées directement, je puis vous donner l'assurance que j'interviens iinnde moisson. pn outre, j'ai obtenu que les dit.aole- diateaient pour qu'il leur soit donné une satisfaisante.. m.nts temporaires-à la terre soient accor-. solution 'Orcivez, mc'n cher directeur, à mes senti- '. L opratjon d'hier dans le senteur de Viilers-Bretonneuj a ét une des plus russis par m les &prattons a e genre Elle o t6 en eir ont verses communes de leur dprtem-anL Deja tous les hOiflfl des depots, services et établissements du territoire. pla- - . i tecfl- E ce qui p1icern plus prhcu11Àement lneO't: rentre clans le Ca1re. q u le P» IL'S C9PTL OflS (JCP hies dela ain-duvre _T::v) A 2 h. O l'avion i'nal t ' ' t A itt sitte d . un recent artict paru dans jectifs taicrt atteints 2ih colOreS sur la classe 189i et se reifait une contre aLtque su la ehau se Brunea lagriculture, nous avons reçu du cihaut, mais prie de flanc par nos feux et 6c.rasé tOO1 CII 1Compère-MoreL commissaire lagripar l'artillerie, il se dipersa arant davoir pu aborder nos positions. A heures, tout était culture, la lettre suivante qui intéressera 1,.n... lP*ut OP UI ChS j Mademoiselle Ida Lauhrespy, Vune de employées de l'administration du i Midi i, viertd'être frappée dans ses plus nos pi'emièra bénéficie d'un organe très clair chères affecticas l)ar la mort dc son père, et très plaisantS que l'étude n'a peut-être M. Pierre Laubrepy. l'as encore suffisamment assoupli : par Que Mile Laubrespy reçoive, n, cette exemple. on souhaiterait plus de justesse. et deuloureuse circonstance, les plus vives de souplesse dans les vocalises. tans mc Le condoléances du personnel et de, la rédacl3urbier », elle rua semblé trp fItillante; tion t de I'adu1inisjration du « l\ijdi ». vend les mei1Ieurs A1irnepatatior --- Approvisionernent T O U LOU S Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés que revue de M Louis Relland en S actes et iYh (ableau. Les melleures vedettes; le plus somptueux ballets. Demain dimanche, 3 heures, ,TrnANON. grarde matinée de gala avec le gros sucoè Un Soir dans l'Ambulance, de 'MM. Baul de Max ot f:hi. Bernat, musique de MtneLfarir Esoaflit avec filmes iDalcia, Stoll; 5ii1. Tarquini-d'Or. Ba-teille, Durantiir. Galcmthée le populaire ouvrage .-de V. Classé, commencera le spe.etacie A S li, 45. VOÀMOcLRAPH. - AlaOLLOTIiEATRE. .11 jUillet. . Programme du 5 U f. Virtuose aveugle, drame 4 parties; 13. ViY meflt, un Femme ! cimédUe comique ; 3. Aff ratée, Comique ; 4. Planta crbelle., docu.meist. ProCINEMA THEATRE-LAFAYETTE. gramme clii vendredi 3 au lundi 8 juilCt. Fauvette, 2e djSOde, atirage et. Réalité Naufrage de I'Alden-Be,ss, drame. partieS..: , lilatiiiée h. 110, sOirée h. 45. COSMOGRPE. - A .8 h. 45. S hi sAIN!TGypBlBN-CINE5iA.Sorrée lLBI11UDEGINElMA. A S h. 15. L'Acfrninlstrc4,ew'-Gérant : DAR!CAU.