Fin de Farce. - Bibliothèque municipale de Senlis
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Fin de Farce. - Bibliothèque municipale de Senlis
■.S '- 78:~ A nnée. 8S, — CINQ CENTIMES Le > b '-îïsé^^.vi fPatiêesî >e^ocUa. (Ta Paraissant le Jeudi et le Dimanche. JOURHAL ch ef : L ^ i# BaatsjeQ. , it!b AO... Bsois. f ft.W. Hî?ô qa« «ft ^ oSt^ tOQt ^issrer daas joii. , ^ô. chariti |ec on mot, Dttar contre j ad ,50 ir Te Icooz qni, ft5tnnré « t l l WMr Toi etta et c , nt qai«itj«, |d n pvUwa’C POï» T4 liiou eetpi] Duttr4«i ]« iP n i^ 6 i *. « i l TEMES puits 01T8 b | pum ÏE S£CS £o«car profi loa , “" “ it I le «n êTi*ié SU S Bles puiti^ e sire, «ar^ »quel dit > 0 Ô-. ^ciêl C | l 9(â et 1 IN ( » r d | e., des ctioa m x ktOlj. èC B »«l GraifW. tv S A C >St$ S 'O ^ ^ S XT * r S Ou a’ABSxSB aux Bureaux du Jonmal et dans tous les bureaux de poste. L'abonnement est pajable d'axance et continue de plein droit jusqu’à réception d’avis contraire. Seclis et Oise. Âmtraa dip. 8 tr. ... ^fr. ... 4 fr. 6 fr. ZjOs AimwTWMTtéa partent du 1" oa da i S de chaque moia. Serûis, le 1 6 O ctobre. Fin de Farce. leur mandat de quinze mille francs. Dans l’argument qui a été employé pour com battre la représentation proportionnelle, et gui a consisté A dire, non pas qu'elle était injuste, mais qu'elle risquerait de renforcer les positions des adversaires, il est facile d'apercevoir la crainte qu'un mode de scrutin équitable, en réduirant le parti radical à la représentation qui lui est due, lui subtilise un certain nombre de mandats de quinze mille francs. Toute la philosophie au Congrès de Nancy tient en deux formules : garder les sièges, garder’ l’argent. Il va sans dire que les congressistes se sont réciproquement congratulés de la bonne opération qu'ils avaient faite; ils y ont ajouté une « flétrissure » à l'adresse de ceux de leurs coreligionnaires qui avaientéprouvé, ou plutôt exprimé certains scrupules en ce qui touche l'élégance du procéd L'usage, jusqu’ici, était de flétrir ceux qui s'approprient ce qui ne leur appartient pas ; il était réservé aux radi caux de Nancy de flétrir ceu» qui ne se l'approprient pas. Chaque parti à te délicatesse qu'il peut. Mais on a le droit de sedemander à quel mobile ces messieurs ont obéi en soulevant la question. Per sonne, dans cette société choisie, ne se serait probablement risqué à les interro ger. Mais ils sentent la réprobation du corps électoral qui persiste et qui grandit. Elle les menace, elle les inquiète; ils ont pensé qu'ils auraient plus de force pour y résister s'ils parvenaient à donner à cette affaire l'apparence d’une question de parti. Sur ce point, ils se trompent. L’élection de M. Defumade au Sénat après celle de M. Archimbaud à la Chambré aurait dù suffire à le leur démontrer. Mais ils affectent de ne pas, comprendre ce qu’on leur reproche, et il parait que certains d'entre eux s'abaissent, devant leurs élec teurs, jusqu'à apporter les comptes de leurs cuisiniers pour établir qu'ils ne peuvent pas s'en tirer à un plus juste prix. Ce n'est pas de cela qu'il s'agit. Ce que le suffrage universel ne leur pardonne pas, c'est, avant de réaliser les promesses qu'ils avaient faites, à tort ou à raison, aux masses laborieuses, d'avoir réalisé une promesse qu'ils s'étaient sans doute faite à eux-mêmes dans leur for intérieur mais dont ils avaient négligé de prévenir per sonne ; c'est d'avoir inauguré la série de leurs réformeSi démocratiques eu s'occu pant avant tout de la catégorie de travail leurs nauvres à laquelle ils appartiennent; c'est a avoir trouvé moyen de faire leur butin dans un budget en déficit et dans des finances délabrées. Vainement ils herchent à se faire illusion et à se donner du coui-^e en se décernant à eu.x-mèmes un témoignage fi'n.ne confiance qu’ils ont si parfaitement mérités; iU n’éoliapperont pas i leur destin. Les quinze mille francs les tiennent, et ne les lâcheront pas. J ^ È K T R 0 î i |j - î4uiTî*ô..icvii ti >Ù - : H , P l a c e d e r H ô te l- d e - :P ille , 1 1 , — S E N X I S T ^ Ï I .3 É î r K O ^ E l 4" Annonças léi Annonces Tolontures.,.. i s : X > & a <x w . i B b s s i . i s 7 'X ô a r 9 6^20 e'.' ls 9^0. r RManes;........ - 0,W VI F û ts d ir a n ..... •;v ONn’AOtaim f a p'iMtsiaim An^xs|Ms si 1 .naio Les annraices, céclamM, «t0.j oosioaniint Paris ‘a tW Dépariementi sont Les manuscrits, insérés ou non, iM v>nt pas rendus Contre l’impôt sur* le revenu. Manifestations des Commerçants du Cher. Les commerçants et industriels du départe ment du Cher, réunis à Bourges, sous la pré sidence de M. Fauconneau, président du syn dicat, ont voté un ordre du jour par lequel iis s’associent, par un vote unanime, aux protes tations antérieures de la Fédération des commerçanls détaillants de France, contre le projet d’impôt sur le revenu ; repoiissent les principes et les détails du projet Caillaux et invitent leurs élus au Parlement à ne pas « adopter » les dispositions nouvelles qui leur sont présentées par la commission fiscale, concernant le mode (le taxation des revenus du commerce et de l'induslrie. Ils ont, en outre, adopté un ordre du jour sur la question du repos hebdomadaire, par le quel ils demandent l’amnistie pour toutes les condamnations prononcées par l’administra tion. - .'o \ BUREAUX, RÉDACJfîON & Æ D îlE n S tR A T IO N S E N X IS £.-.U2\à Paràisiâht le Jéüdi et Jt^|m àn clie.r liT^' R é d a c te u r ^ iî« fe£fb$r ; iiïa:îC;ia:riS. IVom iiuitloiis. Le général de division Àrcbihard, qui com mande le corps d’armée des troupes coloniales depuis le 14 octobre 19b4, est maintenu dans son commandement, à dater du 14 octobre 1907. Le général de division Durand, commandant le l°c corps d’armée, est nommé au commàhdement du 5' corps d’armée; ù Châlons-surMarne, en remplacement du général dé divi sion Trémeâu, qui reste membre du conseil supérieur de la ^ e r r e .| Le générai, de division Davignon, comman dant la 20’ division d’infanterie, est nommé au commandement du 1"' corps d’armée. Le général de brigiade Latfon de Ladébat, commandant Tartillerie du 5* corps d’armée, est nommé sous-cbef d’état-majbr général de l’arméê, en remplacement du général de divi sion Zimmer. Le général de division Zimmer est nommé au commandement de la 20’ diuision d’infan terie, à Saint-Servan. 'éi : .BiÀitMStlMtteBt SDtaBi d*armgaiioe leiir^dQiiitiialleiifi B r â .mjOB ' m é- Ellé dit notamment : < Sur t e campagne « dirteée par quelques - égarés, v c r^ T é ' La Répubtiqite française S «. pense ne pouvait être douteuse., ’^ â t e Le cooerès ée^Nancy croit avoir évité lascis« ment hostile au nationiUisme,. Jiiptre sion du Bloc de gauche. H Fapent-êtie évilfe, Le C ongrès d e s fu m iste s s 'e s t ter « parti s’.affirUie ardemment pàtriote.Npqs pour trois ans, h te Chambre ;’mais eBe seffiit m iné, com m e il convient, p a r un m a v. plaçons le devoir militaire an-dessus de tous les ioura, dans te pays ; eBe-se fiât « toiité contéstation. L a France ne iveut m e les.deuxpolitiqae8 qui -coiraislrat nifeste. R é d ac te u rs : MM. H eriiot, Bloc, soiat antinonuques, et qnvtes 'é , (I pas mourir de la mort .de la Grèce. m aire de L yon, e t Cam ille P elletan. 0 Mais ces résolutions ne peuvéht.fhire quL.enz, n’ont pas de maodats-ù-gmdfnMâfü M. H errio t e s t u n je u n e p ro fe s se u r de prébendes A.défendre, sont rés(ffiis h ê â H « rompre le bloc de gauche. Nous ne vou- qulon opte énire l’une et l’antre oa ù p m é rr rh é to riq u e qui écrivit su r Mme R éca« Ions pas abandonner une politique à la- dans un camp diffîrenL m ier un énorm e volum e dont le poids o quelle nous devons te séparation, te loi ..Les.ptemières maBiféstations-de ce nBAMé c ra se lam en tab lem en t sa délicate h é « de deux ans et l’assistanim aux viml- mèimaint été sensiUes aux électkins dMüllsro ïn e. -M. H e rrio t n ’a p a s eu la m ain (mentales dei’été dernier. H y a- en desAüÉè» « lards. . . plus lé g è re p o u r p a llie r le pufflsm e, « Nous voulons reviser le régime de la igeois radicaux qui se 'sont sentis - ûài « propriété individuelle, te rendre acces- inquiets â la pensée de livrer anx oiâ l'h y p o crisie e t les cap itu latio n s de son » .. ... « sible à tous, mais non 1a supprimer- rame l’administiàtion- d e gmdest'ViHes; _ p a rti. -A v ra i dire, il n e s ’y e st m êm e tranquiBité et leur sécunlé ' — .voir LiBëiH « Noiis ne voulons pas la lutte des- clas- Rmdrâix. Une cérémonie ra re. p a s e ssa y é. Stylé p a rM . P e lle tan , dont ^ „is.- Il,: « ses. , l e ’ coihbism e e st im périeux, il s ’est Xoces de platine. L e s c a y i ^ e r s d e l a c la s s e 1 0 0 4 . « Nous demeurons fidèles au bloc de L eS ote'l: ** On a célébré, samedi, à Homilly-sur-Seine; i o m é e n som m e à d é m o n trer la n écesC’est samedi seulement qu’ont été libérés « gauche. Plus sages que d’.àutres, nous — Le Cçmgtès radicât n’èst; ei» réâûté, qnSrae les noces de platine (soixante-quinzième ami» !âté a lim en taiie de l ’alliance avec les les epvidierjr de la elasae 4904. On les ^vait <t nojqs^£|(toms à ^ s excommunicatioqg .agence d'aasunBeasmutnâles-ëeiàItTe'lea iS versaire du .mariage) de M. et Mme Cardon. Le. s o d a iis te s , ^ fit la fo rtu n e d u B Io c et èfivlirs une fîâeooh db piarti sociàliste«r 4pies électeraux. • ■ ;»■ ■-’v.;. •■■üiiq repas de noces a eu-libtf'au même èhffbalt Oftï iTWgiiitMiflf4 itfÿf'^i'‘'q r ^ jonra de,'pins ^ d e s e s p a rticip a n ts. V Pour nous; il nous sqlBt d’être fidèles • ‘A-Aravers-les ambigisitéslet hvpocrisiês’élfe les époux avaient célébré autrefois leur mariage les aù'ttésîommés, pdur ne pas priver les cné« M aintenons la politique san ctio n et oïl lis étaient venu fêter depuis leurs noces vaux-des seins indispensables que la libératien « à notre programme et de l’appliquer, ordres du jour sûr l’antipatciotfsme, lès i®totale et simultanée de la classe eût empêché s Nos militants veulent des actes. d’argent, d'or et de diamant. fqnnes, le mode de scrut'ui, se dégage le soûûi n é e p a r le s d e rn iè res élections. » Or, M. et Mme Cai'don et leurs deux uniques en de I w donner. « Sans doute, d a n s.c l^ u e législature, d’attirer les badauds par des enseignes t n à ^ c es élections o n t été fa ites de com pli Les conscrits de la classe 1906, versés dans fants : Mlle Adrienne Cardon et M. Emile O rx une période d'élaboration est néoessaife, penses et d’exploiter, au profit des eonvoifiâte cité avec lè s unifiés d ont M. H ervé est don, comptent à eux quatre plus de trois cents la cavalerie, ont été, comme on le sait, appe « meus il faut faire aboutir, à bref délai, radicales et socialistes; les crédulités et léa lés au service dès le l " octobre, le ministre ignacanees populaires. e. u n d e s d ire c te u rs ; e t cep e n d an t M. ans. de la guerre estimant, en effet, ce délai, de « des réformes uigentes. ■ '♦ Mensonges humanitaires, étiquettes potfH e rrio t se flatte de n ’avoir rien de douze jours comme un minimum de la période « Nous demandons l’impôt su rle léve- peuses, parade oratoire, sous tout ’ cete‘ se Les élections du Midi. com m un avec l ’h e n 'é ism e . « N ous ne nécessaire à la première éducation des reefues « nu, les retraites ouviières, vous vous cachent te drague et 1a surenchère électen^» Dans les 22 communes de l’arrondissement incorporées dans la cavalerie. Le départ des « êtes prononcé contre 1a réforme’ des tout se résume, comme l’ont dénoncé'shhs cu v o n s p a s ré p u d ie r l’e sp rit sociasoldats libérés n'a amené aucun incident. de Narbonne, dit avaient lieu des élections mu ste. » Or, l’e sp rit socialiste c ’e st la « conseils de guerre, pour: l’extensm a de artifices certains orateurs, à nepassaôiSer tes nicipales; toutes les municipalités démission profits aux principes, et h ne pas'fàvnriser,' phr su p p re ssio n de la p ro p riété indivi « certaines'juridictions populaires. ' naires ont été réélues. « Pour te réalisation des réformes, le l’adoption de mesures équitables, le seecès-dèh du elle, que M. H e rrio t exalte n é a n Election au conseil d’arrondissement pour .'.i » parti s’adresse au patriotisme do Sénat candidats de l’opposition. le canton de Ginestas : m o in s d a n s la m êm e p h ra se . « P lu s V républicain. Les candidats de la défense vitieole, MM. T? s a g e s q u e d’a u tre s, n o u s n e p ro n o n < De toutes façons, nous croyons; que Franc et Guilhaumon, sont élus, contre les c ero n s n i excom m unications ni expul L e A r m e n t d e G ru tli. « l’heure est-décisive.' Le congrès compte conseillers sortants, MM. Minard et Raltion, à sio n s c o n tre aerCMMe frac tio n des p a rtis Suisse, ^ Plps de 6.000 habitants' des trois a sur ses représentants pour briser, tous 750 voix de majorité. so c ialistes. » Or, le b u t du C ongrès, Ont eu lieu également les élections munici cantons qui constituèrént la Suisse primitive : « les obstacles qui s’oppogerment .à) la l a s c o t^ M M s tlo n pro c la m é à Tenvi p e n d an t les sem aines pales dans 88 communes de l’Hérault, ù la suite Uri, Schwilz et Unterwald, se sont réunis dans réalisation des.réformes attendues, » des démissions qui ont été la conséquence du une prairie, près de Stans, pour fêter le six qui l'o n t p ré c é d é ; c’é ta it de ro m p :e La déclaration est aoclmaée. centième anniversaire du serment du Grutli, mouvement vitieole. Après avoir -informé les difiérenîias Le.gmiéral.André déclare clos le congrès avec le p a rti H e rv é-Jau rè s. E t M. H er 24 de ces élections étaient générales et 64 qui joue un rôle capital dans les débuts de-la radical de 1907. Il est midi moins un chanoelleries de la nécéssité de m ettre nm rio t n ’e n so u tie n t p a s m oins que le Confédération Suisse. complémentaires. term e à la contrebande des-arm es et-clh» Après la messe et un chœur chanté par sjx quart. Ô jn g rè s a su « p re n d re d evant le p a y s 11 y a eu peu de votants et il y a des ballot mandé leur avis sur la modalité ifes m esi^ tages presque partout, en particulier à Mont cents exécutants, des discours furent pronon se s décisions e t se s re sp o n sa b ilités. » res à prendre, les gouvernements fh m g S i cés par les principalês personnalités des trois pellier, E n fait, il n ’e n a p ris q u ’u n e ; n e rien et espagnol vont envoyer aux j>BtS5an(ie& Quelques listes de candidats de protestation cantons et par M. Muller, président de la Con fa ire de n a tu re à e n tra v e r le s com bi fédération, qui déclara attendre avec coiiffancè signataires deTacte d’Algésiitea une o ii^ ^ vitieole ont été élus. le vote du 3 novembre prochain sur la nou tàlfé aiihdnçaht qu!Abilœl-A«z4 e«t>«üéH 4 n a is o n s éle cto ra le s avec le s san s-p a velle loi militaire, l e ^ o te d ’d rg ^ isé r-la police su r la:cdte.di trie , p a r o ù fu t a s s u ré e a u x rad icau x L a P o c h e tte X a tio n a lc . dans lés «m ix marocaines afln d’empAcii»p so c ia liste s la c o n q u ête d e l’a ssie tte au la èmitKbaitde des armes. . G rè v e s g é n é r a le s . Hier matin a eu lieu le deuxième tirage de b e u rre . Au su rp lu s, n o u s avons une Les journaux commentent le vote de la fa « Pochette Nationie : rr^Hue échauffonréc a éclaté â Milan, matioD Dumont par le congrès ràdicalA t t a q i a e im o a lp e a b e , id é e e x a c te d u cynism e exquis de la I,è numéro f«7268S gagne fOO.OOO francs. au rôurâ' dé laquelle plusieurs ouvriers furent d é clara tio n e n d é g u sta n t'la p h ra se où Les numéros 1066545 et iS7393t gagnent blessés par des carabtniers; une véritable sonaliste de Nancy, à 1a place de la mo À Casablanca, desindicate'tiisiudigèâiBs cbaeun 5.000 franes. M. H e rrio t félicite le C ongrès d e s ’être émeute éclata ensuite et la grève générale fnt tion primitive de M. Bonnet, trop nette ont avisé le général B rade que Mou' 300 numéros sont remboursabies à 50 fr. Bachid, chef de la m ^ a lla de Mou.. déclarée à Milan, Bologne et Tunn. Elle s’a évidemment, et partant trop gênante: p ro n o n c é c o n tre « l’a rb itra ire e t la 1.500 numéros sont remboursables à 25 fr. Dans la motion Dumont, on dit bien Hafid, qui est encore campée à Sidi-A»! paisa assez rapidement dans oes deux pre fa v e u r d a n s le p e reo n n el des fonction mières villes, mais à Turin on signale de graves sans doute que « le congrès impose â to u s se dispose à attaquer le camp français, 'iiîn a ire s ». A riJitraire e t fav eu r, n ’est-ce bagaiTes. Les grévistes. ont arrêté un train, les adhérents du parti le devoir de rêfnser P a n a m a AyLols. Un woupe de cavaliers,, que,1’bn s f i i d o n c p a s la d é f l ^ o » m êm e d u régim e près de la ville et forcé, les voyageurs à des leurs soffrages à tout candidat qni’préco- pose former l’avant-garde de çette m êS dâj Le numéro 882965 gagne 100.000 francs. cendre. d o n t m; H e rrio t e s t le p a o é g jn s te ? niserait te .désorganisation des années, de a été aperçu dans ladirectitm -d e T a d d o ^ Les nuinéros 869441 et 575790 gagnent L’n autre train, qni s’efforcait de eontinuersa N éan m o in s le s jo u rn a u x ra d ic au x 10.000 francs. ’ route fut assailli â coups de pierres : les vitres la République, soit par la désertion' en à une vtn^liBné de kilomètres de la vilitedi Les numéros 1507303 et 899722 gagnent temps de paix, soit par l'insurection'ëtTa p a ru îg e n t l ’opinion d e MM. H errio t et ■En m’ension -de toute dv>mtoaiitév;(l» furent brisées et le train dut s’arrêter; les 5.000 francs. grève générale devant l'ennemi ». Mais qui Brade a fait fortffîèr plussoUdete P e lle ta n s u r fes e n u p s e x tra o rd in a ire Les cinq numéros suivants gagnent chacun voyageurs furent dispersés dans la campagne. ne voit'que celte formule, lorsqu’il s’agira générd ment les crêtes qui éstimreBt le camM-i-fd À m fabrique de laines Poma et à la f^nqne m en t décisifs que l é C ongrès a u rait 2.000 feqnçs : de passer'T ia pratique, n’a tgurde même de chocolat Qapjglif), .une, véritable bataille D s lffl^ tra tie b é é s b n t é t j ÿ i ^ ù à È ^ ^ p o rté s h l ’antipatrioC ism e. H p a ra ît que '1700524, 35073, 1299131,. 393263, 1172917. s’engagea eiltre les- mauifestauts et la police pas 1a valeur de eelie qui e û t fait une Une 'çeriçdffé.lteniqué règne la d é c la ra tio n q u 'o n e x ig e ra d e s unifiés qui cbaigea h plusienrs re|>rises. <1obligation absolue » d'exiger du o a n ^ d ti eh te pdpiiiàtioo s'aitend l uné a U a ^ e ,^ .. M ort i ’u n qacA teur d u S è u a l.' c o n tre la d é se rtio n d e s so ld a ts v a g ê n e r spect d^ervéisme une déplaration «for-^ SOS] ♦ ■■ va il. Hngol, maire radical 46 ^ntbard, séna prodigi<>nspmAntl’antimtlitaiisme.Mais me] lUe ? » L a condanuM tU on 4 » I 4 e b |u ie e h t. teur de la COte-d'Or, est mort venihedi à qua La Tepups demandé à ce propos i Lèipjig. -rr M- Uellhnecht a été condamné tre beures. 11 étaUAgé de 71 ans. eur eriqie de haute trahiapn à qn qn et demi Les obsèques on) eu lieu à Monlbard lundi, « Pourquoi donc a-t-elle été écartée 2 écritle détention dans line fbrteréseè, div-il a u x m ilitante socisdistes : v L e kbne heure. il. Pourquoi a-t^on iiréféréle texte qui a préDepuis dix henrea .du matin, la foule était valu Itv ?y ’N M'xxcf ajAWnvie an nif de Ha ea' arnoTuréàm CtetestPOjplie A H. Hugot avait reçu l’exlrémc-onction il y a socUtUsme a besoin d e e& tnbatftints est-onpas en /Im droit se A demandèr Àf. C lêntenceau èa H n a it-a u trefo is : rassemblée devant la Haute Cour, attendant le si ce n’est (tes à raison même de son étesticité co n n a issa n t le m a n im te n t d e s a rm es quelques jours^et est mort cbrétiennement. lût jd tu è in '^ ù tijia s ppteteNÉe finir; i l â jugement qui a été prononcé à midi. On le et pour aéttfi&c;, dans certaines cireonsoe^ « L e s éU 'angers raisonnables, les e t la ta c tiq u e m ü itq i} ^ . L a bourgeoisie commente comine un sévère avertissement d’actcammodéaentrqff'ett; inondations coatinaent dm » le sfiM * Ite v ra is dé.n o cra tes ; les h o m m es q u i se donné aux andriffiistes-socialisles et à tons lions, te ; centre de la France. Dans les^ . AAi'dèft iM W ^llifite i» ^ ■ ra d ic a le a V esd ré m e obligeance d ’a p rendus impuàticahies l tedigatisn imposée aux p r e n d r e à la je u n e s s e socialiste t é d u Lecongiès de Nancy a voté, dans sa séance piquetif: P fécisém erft d 'ê tr e des hom ceux-que pourrait teglef jg prPRBgaiude anti radicaux ne. sellicltei’ une réponse précise à Orientales te ploie esttom bèëeff «.w.,*,, ’ . transformant lés m es en dé, véfâBîës-’-ioK de vendredi soir, uu-ordre du jour approuvant m es, les A m é ric a in s, les A t^ U fis , lés militariste (les socjallates protestent poutre ce une quesiloit'nctto 2 e d fio n rM lita ire p o u r Igs botadles, f u qu’ils qualifient un jugement par ordre, la bro « Gapenfln, il né faut pas se payer de,nnlfi,' 1K È teî des. cavéé et d é ^ i ^ - 'd é ÿ ^ u s ^ a i n t e s i e l a B i e ^ i m s o ê h d e , » T els tes députés et sénateurs de s'élre voté une Siâsses, p o u ffe n t d e r i r e e n v o y a n t le chure qui a conduit Liobknéobt dèvant les tri A quels signes reoonnattra-lKm qu i t e é ^ d ^t angmeutat'ion de 62)00 francs. « ré p u b lic a in » . f r a n ^ i s . a ffu b lé, bunaux, ne contenant rien, disent-ils, qui justi- (cprécômse te désqrasnisat^ desarméen do rianA tea a llié s què. v é iit g a r d e r le p a ^ lu'nîgs, it les blâmait de n’ètre pas. allé com m e u n caniche, d e n œ u d s, d e r u üeoila ' IteJtivîteé.!{lè;rAgIy a débq^A A é ah a « i£ haute trahison. la nfiunbliqne, sqit ^ te 'désertion on temps jeuiilQUaj û é tiu ia^ èp o r& lo ic ^ w d e jS M i « d f c a l .! f l s te d ^ e m e r o n t , p u t e r a d j u ^ ’â 2 0 4 ^ par an. Ça sera 'sans bans, d e ro settes e t d e « c h o u x » m td de pâtev soâi par Vinsnfreetioa e t te grève ge»; zigurai Iterplcdne’flË la .S-alauque- estetw le « r< a ffira :d e d S râ Jïa’ils v e u le n t K en daute pour hienôn.’ • - ' t " ûérale devtmt renneml »; s’il garde' le mlence Il faut reeeunattré que pour émettre an tel faiSOft? ^ é ^sf g e p ^ l à a e tte rA e c a rm e s : m ate e e s e r a pOur sur oes ptents délicats et s’il n’est pas mis en ipiurtte n io is ^ é c ', sur plusieurs pdiMSÿ fcle joL. ■ornent où le pays entier proteste le m ê m e e ffe t que n o tjf f o n t à iious les AtUridù-Bongrie, — jlh dépit des _non:le3 communierons sont interceptées’.-’’^ jEm im e r d e s c o u p s d e f u ^ demeure de s’expliquer ? Quel est doqe te contre l’augmentatipn de l’iiKlemnilé pàrle- AAihéRe^hs^Bui», uu terrible b o n s c a m a ra d e s die Ja -ijo u rg e o isi^ rai- menlalve, les congressistes ont, comme.on dit sauvages, a v ec im a n n ea u d a n s lé n e z , velleiTofficielles systématiquement optimistes, üidat socialiste.— même (p Slfiâ —fiw» On est très inquiet dans les milietix officiels sauf de -rqrasr é ç s ia to u a g e s s u r lè s jo u e s e t des co pares excÿtmna, éprom nç, a’eçt produit : sept personnes "se gdSp ilgairémeoTrlSt d'iin rude culot. d iç K e . la pofitiqaB ^ B t M. H é rsur l’état de santé de l’empereur Frahçois-Jq- le hesûifi d ë'W n er devant le’corps é le â ï^ lt , quillages a u x oreilles. » ' C'est uu.vérilable.dâl llnÿé aux c<«Difibuan « ^ , GéB sept personaes”haMlatehbW liù j c o n i p l i m é n t e ^ ^ ^ ^ t surtout s'ttdoiteompteravéc lèg yèteraorailes,' Ues éleetènrs. cpLEMBNCE^y . ïûW ambassadéqn Ij Vjenne, M. Grpzler, qui un. cOnimeniaiié amrqbÿti ^ teef^éne béé» ;vttte:'Béanâéjour, située A ~^ncte'd4j^ ■ -i.f ' j -i _. Dfreci'dàf d e'f Aurore ». éUiî étf congé, a .dû regagner son poste en ïéistes ? Bien qu ■eùâtnura- 4'il ne t ^ p é tié p - dè lâ'gàrej et qui a été entièi;am%Lffl i p ’S fe tt|d u s lâ c fie s e t p lu s truitiè; ' ’ ‘ ' Autriche.' £ ■ A jpèiit f m ôtfais, per a l'obligation de faire equnaitrè son senti A u jo u r d ’h u i, M . C lém enceau d é Lefi.noyés sont M,-(terreau fal d n d td ir e . -, ment, au equjs de te camiagiie. i l y a Jia l à core à p ro fu sio n , ' l e Cdnséii g i n é ^ de l’Hérault s’est réfni C e p en d a n t ü e s t b o n d o b s e n e r que ^ B i m a n c h e dertnes,- à A n p o n s, û 'gle la n g a g e d e la d éclara tio n n e trad u it samedi. M. jaures fonralra des modèles aehevra. il âgé de vingt-ctnq ans ; M. Galaod, officié pi fiiiidaE*= A propc s du franc-maçon Thomas, caici s’effoi$e.ra .de..co.ucilier i ’beevéisiint. avee^les Xe Conseil à rênvüyé à des commissions di? e^M rîbué : bfioîetifcd’ ï âlifie»,■ . . susceplilmités patriQtiqnes de ses' 'élèêteûh 6 palrnes d ’officiefyi d g i ’fn id r u g tio à vers yœux relatas aux inondations, aotamment Le ja g e dinstrsttUton._rrr: Que faisiez- éventnetei ___« petiie^fiiié; p u b liq u e . _ _ . . se - s o n t Je issé . d ^ m s d e r p a rc ié s - ia d i- de vôra (Phig^iîiàtion d'uné iofërîB.Inationale. -< Bdhûra^ran'’^ alors-qu’il « prmxàSse » voas.àÿVmbazac ?>VéCaHbr ^nne, 'eeussillepélU eomine, rttndi- 2 i p a lm e s d ’o ffic ie rs d ’A ca d é m ie. é a u x 's o c ia lîs te s h N ancy. ;te déB<inganisa(ioB-dés armée* de 7Âd»MisT — d’fiUffteàteohAâaei • . I •; *•-' d ibde' 5iiieieaUlioft-vfUc(de,-A fartadiÿfer ’fe i (zfoiçed’bffispsrduM ér& èa^çqle. d a n s to n te c e tte c o m é fie , ' l ^ - ï è m ^ vœu suivanttfi-:' ’ô -, ' _ îriirot#ei^^ _____ «ufinéBonMegeponrles ■aechmtiagwdmnr y- , seaK nite e t l e » id ée * -d é l î A f f i a i ^ ^ k r-c^hinuidéiMt^que les soldats du'L7* de li- 1-5 » -deénevàllérs Les eorps des cinq autres ont dù être ein» '4a.oo«tiâset BBede eontpreesiMiqMi.'''— 4 w é d a iü e s d e b fW is e 'd é là M td î^ * fisAa, sont'presque tées aibeHiMqBe » l i i w .portés vers la mer. lpâf^!g«îçaiéie^ persmn^dèa;^ 2 m eM w n sh o n o fcd )les . », . .., ÏN a n S ^ ^ r c e s o n t '^ ç W W W Sm n sE e td r Sm éfiefi^iet d è b fo n z e d é éçuéeiâge. enuAÂÔB^lés ^iia^aiBC j p r ,ffpanre Qfié.^ûx 2. » scfndcepénitefitiqitpe: le».(Sl*înw®drtë èn.cè mqae«L|d«s.‘^ ‘ pèttvw^ênéolfe Sènfféüraorra jfl& ’çei S m éd a in es d ’k o tm e u r p o lice m u n ir lÀ r d d ç i i ^ K s ’ de gléjiiéii^ dm :swMegg*iUlàehs qm r^ rttttie M q M ^ I * ; cipaie, , .1 ■' idduAfet féfeKte^nfescd’â^œ m qn^. F our tenooiittriie C engrte v prfe tetn*: dber’AUtt'eoWrtS dd«irsa-là-lHi6 rahga accor- 1 8 m éd a ille d ’h o tm e u r d u tlrà o a il. cBn'Jieleusinçpnsi»- du iqninsjjm» l ^ ^ S S » m iiiim k f a p p e l ilii M P fjte ta n dSêà ie iie CétmeH^^à résololions uüiaras.. ' ■( i ■ C m i t r e l e s 4A 0 p f lT f S ra ite s t — dwa-ten^weenscâpiuae» v. , ■; : •. .,A a w id a laree-^d y -’W aieÿ 8 8 -décoredions cU str^uéès. d a n s u n e ' 11 aém is.ùo .vole’ en ifareur du'projet Les. joariiaiix idocaids de. roise-.oed se^fg p jfèsrrp n id i f S% M , Ç l^ m i^ c e a u d’impâti Csifiaiùt sup le T W t e J l tî 'a a r B ' ~ J* ■ -dtrqoe les délteufeSsaifr’” - “ ’ ■^ jOkSÊÊit #;étévwi!aŒté,m»l»rt«inier*e«S*l» doDd;:'«n m o ii^ un -Gongrés aiara . Du/o4iÿ4.diM Dééqte.v- . ■ . ; j ilf l m f a ü d é q b fé to u a le s M e â à i r s d u approuvé ceprôieb! U e s L n a i^ ^ ù 'e s t « i TTfiû iteMtBjliti"'’ te lOf*»-» èlÀ «acoHéa p*à ita W jr & « fe a su ^ ft-de.lâafteKAiémten4>!jét ’att.phwI.dO;!*: ■ ^p a ilé^rm lce raéBcal d ’A m ie n à y l’h o i Conârès des «15.HOO fran cs» .; î B » déÿspié «Bisnile te ;T8 l«f 4 e Dyoa iarsfiltëCsie'qirim a'ctedde dé ne' pas roahm. d é t e q i f t ^ p g i r à t i i r e . - .. , V - , , j m g i l a M . F iq u g t , pijipfM «te te réumoB-de 1408: avec le parti de l’/nlowaSonale,Jon n lee^ 'B ù to f neeûpéde: te .question de t^rh,” &nn’ te-éonunlaiin comtes; sont asi nte«à«te lo.niùteUT f ^ o i s f i e des fonctimafteiiês r é v o q ^ . M. séamm pléniète, ont été débordants derBRij^ tn in de tinaemtttf» pmrleqûÿÿâi% C n^tS jÊ t Fkdinitnd Buisson.adem andétefûjugréis vodie. tegéaéiBl Andrfrvoaiail ipiton' fûsitiât Ihn Taos eroÿeï peut-être que m ldisaprim i vS d té àsc ' * '- • Mg m e r t de Ghàraw le DOttseau iiu rean du Cosrité toot le mandédùsie immier jour de-in.niohé^ e w ô jite te t «At»e; dH-eSes » d i r t o i ^ AIteûMteitié'V'sar "les lisation. jETest I» taMffiié^iâte«ie.>étegmi»7 ■-ueao' i tiÈGafesiÉte ^ t e lB O B U A T , exécutiL de refaire raipi^s des. ponviurs lailwteihfo f i f é< P e a t dafeirifEHesM MW»’*<|raiianwii ciiof" (BWa,iLie|te;te temps de pà% > ■' . . . . . ~~ OfBeiema âéfiligqi ilaffr^M luâpnti^k.Saiut.Sot-ded.éeD pour ûbUcs, j a déiqarclie Qd#fipt ffiite I*fineian tempodea âieçtiens.yeLcest bceteoipafiik(||iteé tireirScraste drns», t e ■ . d a im P h in c é e fiûuàçaiaef ’ptoeéder h Fmm<<iited*M)fvrM ‘ .j^FçW'Ponr ^ m a n d e r cette r é te t^ a tio n . 4eaaâtê--Uhd‘ tmpi p iihin l a sortoutpqi^. » ■ Le ministre dç Serbie à Tsfis a ppêsenl^i 1 « p re p o ^ o n Buisson a été votée, nteis tes dHigntsn'onl pu l'appnmosrtdsràrB Et notre rtli|)|lrè)K e o i ^ t t ^ hier matin, au mtalstre de la guerre, les dix» &' une petite majorité, et aussitôt un dête{te u'wsâSent pas tna»itet|M)wecia.-v : ' a quoi â ahbati te gn^olfiyéfi. làip-qpliâffiéeatioil. ;sepâ officiers de Fannée serbe; qqî vont fain g ié. H . Robert, d e iffie, ; ^ de bou^milSilétUjr^ sa û stetrt^ ^ I Les Q uinze ttU le frim e s ne sont UB stage d’une année dans l’imaée françifisb, paiticnlHremest dqns.des régiments d’a r l ^ a u 'il q s t . p ^ i i ^ _ «ommune de ..^ndWQB qrrâtes fomawiiBair « e u t. T M a la r-^ " le A m e s . O a ntendènt Isur réH ^gbilioB se ■i ^ s j r yiiM » p s ia iw fc AaqtieuotdreqrHr tfwveraiein amsès :tie leunt 5 i® id e s franoltir; 4 ff1 i.< } R % rM iâ ^ o o « w iid tte e H ^ fig ^ . . c f f i d t t e s l t e a B c i n B à . - - : . X V A--' E A rÉtraoger. La Gueire au Maroïl La Motion Dumont et la Presse; ItilOS fiT lODVfiLLSS Mv Clemenceau et les décorations. Les Inondâtièiis. ^ Questions Nltttalri» L es . ] 5 ^ ftÉ H te. » .,« « . ta W ’am ée te(M tonte i filrenirétre 'sorveillée on a donnant sement eltetan «' tune ernanlé a o n im e i* c e rant la compagnie de sa sympathie la plus vive et de son concours constant dans l’accom^ssem ent de la tâche si utile dont elle a reçu mandat. j!î ' Après'àdo^Bbb, sans observaifons, du pro cès-verbal de la précédente séance, l’ordre du jour est abordé. _____ ftiicX-aicûûZa; déo£loppe^ f ia te ntomnuttUmde-l’tUcaotdénatftré. — H. Noël présente, .àr.sioiple. titre de «muntinii^Loni^me étude critique de la « taxe difféSJtîèllê V , ddât l è Midi viticulteur- réclame l'étahlissément àù profit des. alcools de viiu faute de pouvoir obteDm le vote du monopole ddMMMv^iUPdiindustiiei dont lé Nord est docteur. Puis, envisageant le développedâmimm'maiaAes divenêsj par la cônsOmhiâtron de l’alcool dénaturé, mais aussi les obstacles M B ^Iè'm ile se beurte, il condutu fv aHppiession de la prime actuellement accoMée . « à ia dénatuçitien ; 2< A l’institution du mono pole de la vente de l’alcool dénaturé par l’Etat, dans des conditions dolit il indique 1économie générale. '• wEn l'ésumé, l’étude de M. Noël a pour but de faire toudier du doigt les inconvénients de la -taxe différentielle sur les alcools et de montrer ^ ’il y a d’autres moyens, pour le Midi, d’écou1er ses alcools de vin que de commettre un déni de justice au préjudice des alcools du . ifôrd ; et, dans l’esprit de l’auteur, on arrive rait au résultat cherché, avec le concours de .l’Etat, en constituant une sorte de trust dont celui-ci serait le grand matire, sans profit et sans perte pour lui, mais avec le grand avan tage « de substituer peu â peu un produit national aux huiles de pétrole étrangères, tout en développant la richesse et la prospérité de l’âaricultnre française ». La co1nmuaication de cette étude est acciunllie favorablement par la Chambre qui, ioutefois, à la demande même de son auteur, n’est pas invitée, quant à présent, à en déli bérer. Tiaxe de séjour sur les automobiles. — |{j Lainé donne lecture de son rapport sur la ^position de loi de HM. Laurent et Ory> déM tM ^^ la Loire, tendant è ce que « è partir 3n 1" janvier 1907, les voitures automobiles possédées par des étrangers non résidant en liance ou n’y acquittant pas d’impêts pour , lüira voitures à moteurs mécaniques, soient jissqjettis à une taxe de séjour établie suivant la force et la catégorie des voitures et la durée ^ Jpur séjour en France ». ^ rapporteur montre l’inutilité, même le unne telle mesure qui, d’ailleurs vexaet peur un profit budgétaire aussi maigre ^Àproblématique, nuirait certainement (l’AlDS nous en fournit l’exemple) à de très bles iotéiês commerciaux et indus*n*conclut donc au rejet de la proposition I^nrent-Ory, et la Chambre adôplè cette' côn. Ù[- vtofo* de .laj mévente déi aine. — Pre nant'texte d’une étudefaite sur la crise vinicole par il- Artaud, membre de la Chambre decém} ÿ iiy de Ma^eille et président du Syndicat dei e^Pé'^^drode cette ville, M. Soualle exa■taeft son tour, en un rapport, quelques-unes Éin T n t* " * nên'pâsde la mévente : mais, plus MMlement, de ravilissemient du prix des vins S S u s i de l’actuèlle difficulté de leur placeaKDt sur le marché étranger. '""jtvec son auteur il préconise, entre autres im èdés i 1° le rétablissement de ia'liaison — e le mar<*é français et les marchés vini3 S ^sAlmogen’-, a» la création de zOnes Ihmi qui rendront è l’eiqiortation française le ttàfea de reprendre pied sur les marchés étrangers, puis d’y reveair à da situation de jadis. La Chambre s'associe à ces propositions. .^^iationdé'iam 'ses à V « 'École Normale A0 'représentants de commerce français à pûm nger », de fiverpoOl. IL Emile DtinS^prtsente un rapport sur une demaiide de commercial de Paris, transmise k la ambre, dans les termes ies plus chaleureux, r u . Cainbon, notre ambassadeur k Londres, de bt di&tion dé bourses k l’Ecole MMtale récemment fondée k Liverpootpar les lüMcteure de l'Institut commercial. Il y n Ik un adsai très intérossant, k la réussite duqud les CMBdires de coasaeros ne gauraient demeurer indifférentes, car il no vise k rien moins.mdk nous constituer, en Angleterre, une pépimere de représentants de commerce pour rexpoita«Mt. chmsis non plus ^par îep gena.dji m u , ■ pmunPnos propres compatrioles : et oeut f’aTp/'rtatiôn rie» ymmna », .pn»»qna.tniit le secret du prodigieux essor _de nos rivaux, iea.AUeBMds'dn4êic‘r-dufaBt- cea dertières * ^ ’Eçolede Liverpool s'assigne pour but de iüïûf'.ér.’ UOras 'préfé comaéree de>'ta métroi , bonne A créer est évalué k environ inr p r ^ s e le vote d’une somme ^ ^ _ o s , k p r i v e r sur les fonds-libres ^néréide courant. Ce dixième .dé bobrse iÉ Û t tenu blE disposition de notre ambassak? Londfù, nais le montant n’en sera dNaéidue lorsquè d*aefrès Cbambres de cOmneaeéi sarvan^Fexenaplo de celle de Beàuvais, ■" it voté de leur cété^-,des subventions ,té total puisse parfaire le coût, d’une entière, ’gçpnc^iqns sont adprcmvées et ces disdpplUs', dfa,cAa»in».d« fer : la suppression fm alinvtioas.,^ IL.SeOalie d im e lecture '-^nppôrt i^tivé la décisien récente ’ “Tiés oa chemins qui, prenant en . considération lès vcèux naguère éînis par la majorihSdés Cbambc^ de commerce, ----- ‘ >d’aiatp b r jusqtSPBiMprei ordre (enl .'molo(Mon ministérielle) l’applicatioËie li .^ o i w o n s de tanempour le trapspoi^ >liunes marchandrnesitelles qne vins,vinai ’Ü dres, poirés en fûts; etu. i ' -Le rapporteur preM acte de cette conijMà^ ; Mon, mais'il s’élève en même tempsSHntrew ^nodificatièn^ actumiément soumise k-Tboidé^' ’logation du m4nistre.,des travaux pikblinB^r - cequi coneeabp.les rèigles fixées par,ilja)|cle 37 des conditions d’application des tarifs gé néraux des transports de grande et petite vitesse. Cette modification consiste principalement dattsI’adjôniètb)mk.Pardelé' 37 d’un texte re portant à 8 heures du matin la remise au des tinataire de la lettre d’avis qui, d’après les règlements actuellement en vigueur, doit lui pacïemrJa.yeUle_a3mnt.6 heuresuiu-soit-Si cette dispositiouétait-udoptêerene apporterait une n o ^ le . perturbation dans les habitudes du commerce, de i’industrie e t de la culture, auxquelsdie pourrait imposer un supplément de charges, en niéme temps qu’elle encouraermt les compagnies k persister dans i’insufsance notoire de leur-matériél..Le rapporteur demande que l’autorité supé. rieure.ue éouM aonappriAuiîmtiCdB me suré proposée, et la Chambre émet un avis canforme k ce vœu. Propositien Cazeneuve relàtüté à la eontribulion des patentes sur l’énerÇie électrique. — M. P. Alavoine consacre un rapport k l’exa men d’une proposition déposée : par - M. Caze neuve, député du RhOne, k la suite des protes tations soulevées de tous côtés par la façon abusive dont l’administration des contributions -directes prétend appliquer la loi concernant les patentes des usines employant l’électricité. Traitant la question au fond, dans une pré cédente séance, il avait présenté et fait adopter des conclusions qui se résumaient en un texte législatif ainsi conçu : « Ne pourront être considérés comme moyens matériels de pro duction que les moteurs et l’outillage, qui de vront être évaiués k l’étai de repos sans qu’on puisse y comprendre les éléments fongibles à l’aide desquels on les met en œuvre, tels que le gaz, l’électricité, l’énergie sous toutes ses formes, les combustibles et tous autres élé ments susceptibles d’être consommés et détruits par l’usage. » Ce texte, d’ailleurs conforme k celui de la Chambre syndicale des forces hydrauliques, est également devenu celui de la proposition Cazeneuve, qui y ajoute : « Les conduites, les câbles extérieurs, ainsi que les machines ou appareils de secours, n’entreront pas dans l’e s-. timation de la valeur locative. »' Cette addition judicieuse est approuvée du rapporteur et la Chambre y donne son entier assentiment. Service des postes ; suppression de ta deu xième distribution, les dimanches et fouTs fériés. — M. Emile Dnpont-rend compte de la correspondance échangée entre le directeur des postes de l’Oise et lui, à la suite de la péti tion par laquelie les facteurs locaux de la ville de Beauvais sollicitaient et 'obtenaient l’assen timent du Conséil municipal en faveur de la suppression de la deuxième distribution pos tale les dimanches et jours fériés. Il expose comment les membres de la Cham bre, domiciliés k Beauvais, ont cru devoir, :p* sympathie pour les facteurs, acquiescer é l é ment à la mesure réclamée qui, conséquemmént, est appliquée depuis le 1» septembre k titre provisore. Il fait, k ce propos, un examen comparatif et documenté de ce qui s’est paSsé on se passe en Un certain nombre d’autres villes, sur plular des la com- § Questions diverses. — L’Assemblée examine ensuitpjuiie ..quspti.t^é .assez pteïéeA’-queiilions ë f ^ cominùmcations d’importance ou d’ordre variés. ..... , , , sg Plusieurs!litres) après étude sommaire, sont transmises k des membres désignés qui en ferpnt-rê&et teirapènts ultérieurs. If dsf’pris âcte’Téalenidnt de plusieurs com muniqués, réponses ' ministérieiies, etc. . Quelques demandes de subventions sont en core rejetées. Enfin, a la demande du nouveau groupe « espérantiste » de Beauvais, la Chambre dé signe un de ses membres,’M.Colozier, qui acquiesce pour présider prochainement une conférence d’ouverture ; etM. Serrin fait accep ter un vœu en faveur de 1’ « Espéranto », comme langue auxiliaire pour le développe ment des rapports commerciaux entre les na tions. Là séance est levée à midi 35. La prochaine réunion de la Chambre aura lieu ie 9 novembre. Le Secrétaire, Acoitw. Cbambre syndicale’ des Marchands' de Vins en gros de rOisé. A ssem blée y;-; ,.UmjiBp.ort£mIe réunion idji:^autGoiQmefSe des Tins et Spiritueux de ’fOise, a .eu lieu.liindi dernier, à Beajurais. Uniianquet d e ISO couverts fut- servi, dans les saloiis de l’Hdtel de la Gare, p a r les soins de-Mme Briet ; il éttût prteidé par M. SoaeHe; président de l’Dmod syndicale et db'W b u n at de Commerce de Senlis, ayant à sa droite M. Meunier, le nouveau préfet de l’Oise, et à sa gauche M.. $utin, député de Compiégne ; reconnus au’ liazard MM. Despraoblles, ancien président de l’Union; H i^ a rt, doyen ; Laurendeau, Hérouart, vtoe-pàpésidents ; Leeotnfe, Maùprivez, Saulon.Bélix, Âgncota,B!ancbet, Decroze, Patênotfe, Boissay, de Seâ'tis', e tc .; la Clèrmont ; Charron, de là G a iç i^ ÏM ^rq ie f BélTr fie la gwé f Btepusseau, du M om tèur ; Albert Malâ,. du C o u m er d e .l’Otseï -. „ , à’adresàaiitsln indglMiéat ilufatUT' 5 .1 tÀiL-s ^ 3ÎI JT Zravers Sentis ’ii'ttstm, Cet te ckctmataue»»'!»! Ice conkiââiriileÿ et je ’épos prie i J’o d a fo , car ^ ^ 1,'.. «e»*aesÿà-ciBqBeikeâ*téeiBHeii je’êjailinia. ^cnm oiy Avisoidevftrdld&les^ [on m i t dé dîner .dansr'd|Èjri|dth'^raM ’ i. ^ éurs- Denxo Un lié Un I Une pu I h iU e Antilfi. garde ch glise, uœ' sujet belj en état 0 k aller se| rôles inju C oùt:| Union Départementale Ï Î jtion, est..^ était, veux-je dire, un des ibommes 1» plus co&s dérables de la •Tunisie par son mérite et là; position jqu’il occiqpait-à la cour du B a rw ;p b u r {quer- comment, quoique légalement jnioi, c’était un ami dP'Vwgt nnoi ndi dklejmeiBietiettteixéojc 'snâu«aGMw<Nii>riiiit. it dévoué. Son in-vitptiori éti i .-X^instcnetioB ^crisâiseBkuiÔOQtü^qBt [u’une-prière: im orte^dÿp jaVee'.été 'Æéiÿé: me de me faire c&iabiMiaw ^ â-rai^ idë-dtm-'ViéÿageA Paris, Ôtd. J ’j4,B'on>vài le général, qui _ PAR jttiS in d iT ÏÏW w La plus grande cordialité n a cessé de nicipal de Chantilly ; les capitaines Bo decedéjeùner ; ■valt 3 ^ ! 6 |n g H |g m M a b ^ x , ctelSenl hles, notabilià, .Jjadné:,' Sff 10 mwOTh-mqj'dr p r é s e n t a n ts de là ’p r ^ a ^ u : thiec, dftSenlia'piés p ré â d e n ts d ^ socii lus disions, ( ___ inwrté h, ; 'cParc,- -:^ m u M ^ , de'vvétocipédie di htâBjpagQèi M. SouallèiM M pset viBè. ‘ ^ Iro, en publianî l e ^ o 'ï T i ^ 9 D i d i e r la parole ; ildpésèato les L a B h u b lm tu iid e fQ ise, le M o m te A ^6dorp, plog jim |te ig i » . sénateurs de l’ffise, d ù M(k ^a m e LiS^rtife, \ërJouiiuU 'ÿe C ü rfu sa it unjldBvoir tfinsi llaiii^’soufrrant, de m o n f, U Sem avte, l'FèAo Bépublic " ^ o n s e ». C’e4 B B i k deiBiiii "Ihopinet, ret«wi5 „< ^ .flo g e s i, H . G a ^ t e ^ FOise, lé Ci n a rle ___ fependant l’B c I o ^ ^ n ^ p i. 1» au Congrèsile .......... H ir de POisè, etcï^ étaiënt fepréséntes. r e f M Saint-Just-des-Marais, et d’affllier Il remercie les membres du sjnâicat, ru. D. à l’Union des Sociétés de secours Il annonce, d’un ton assez piteux, ou’i l ^ v e M ^ M n*i|ièB3è', ■aDi-'Ms jo u r ,''^ . ■ # ' m utuels de l’Oise. . . ' , . c a n n e r a pM une polémique jwi Don ® P i^ f^ ;U e ,4 iîirS 9 d e :il 0 mpiegne ’M fes Afiuiesseit, le s io à s â eurent c e tte ^ a p Pkrti Téiral®î& journalistes de TOîse qui ouvrent si lar préciable qualité d’être courts. Alors, pourquoi Fa-t-il entamée? Mal?^ gement leurs-.c^ 0BBaSt-,anx-£ociétés déM. Paul Lafargue diben ~ ' ques mots, Beauvais. ses attaques et ses provocaüons parlementaleSiM.'Soûaifo-soés è p t^ e fa t ’ marqués âu-coim îeia'plùs aimable délica Médailles de bronze. .5 S®UesL. nous ne lui répondinnc . ;■ ensuite de la situation difficile faite en ce tesse., toutje.blen qu’il pensait de l’Union f - ■ ---------,— :— r— mamentanx:négociantsveir.:vin 8,.':ràis if départementaie,-dont il s’honore d’être; ’ - - . ô u ^ t P é e ^ i serg8ntnnaior,ffr a n r d ^ l 2 “«ai>rmîtë: Nous - S h .5 mi . ’i V .. ’ vice. lvOinp.Anpt: -c. -. • * “ W vice, Goinconrt: '& lève son verre AM.. le .Préfet, .Bntin, è’ailleu^ii menihre d’bonnenr. aV^H-aSé s is vérités. Leieu Valentin, caporal, 28 ans de service, M. Forsans,>'M. ffighacdj-le dévoTOdojen; Il fit félCge de Chantilly, remercia la GoincbttrL ' . ; , ? . Malgré 4out ce que nous aurions s àMM. Turpin, Mondesse et Bespradélles. municipalité;'! lélicita cette noble:'pha Sefrocourt Eugène, caporal, 33 -ans -de ie r- ajouter, nous n’en dirons pas d a v an t^îM.- le Préfet remercie en quèlquéS mots lange d’hommês formés par des officiers vicé,'Gorncônrt.' j c.i, : M. Soualle e t porte un toast au Président de sapeurs-p.ompiers de la ville » et porta, Demonchy Aub,, tanibour,-3.i ans de sei^ce, non pas que le parti répubUcain de la République. puisse souffrir dé c e p aîtem fl’^ j a ^ j ^ - " " '5 finalement, àu milieu d’applaudissements Goinconrt. . M. Butin noos entretient de là crise unanimes, la santé traditionnelle du Prér LwsW»: ShéopWle,. liéntMastj' Goedorp, ffims nous service, Campeaux. viticole, assure-le syndicat de-la sollicitude sident de la République, point ces polémiques et nous ne 1« Normand Alfred, sergent, 27 ans de service, des députés à leur égard et félicite M. M. Vallon, maire de Chantilly, exprima reprendrons que si nous y sommes amenés Soualle de sa décoration si bien méritée de son côté des remerciements" unanimes Campeaux. Lemonnier L., sapeur, 42 ans de service, par l’attitude et les provocations de cette de chevallier de la Légion d'honneur. et sa légitime fierté de voir, aujourd’hui, Campeaux. ' F feuille et de son rédacteur. L’excellent doyen M. Hignard, se dé la cité envahie par les pompiers. Il salue M. Marin Stéphane, lieutenant, 27 ans dë clare trop ému pour pouvoir d ire. autre le commandant Cazier, dont la popularité service, Saint-Léger-en-Bray. chose qu un grand merci aux membres du n’est plus à entreprendre et boit à sa santé Outin, caporal, 26 ans de service, Vilierÿsyndicat auxquels il souhaite longue vie. ainsi qu’à celle du Sous-Préfet. Saint-Sépulcre. Après un toast humoristique de M. DesRousseau Eugène, tambour, 26 ans de sei*Puis voici le commandant Cazier qui pradelles, M. Dély, au nom de ses collè rappelle des souvenirs de 20 ans. C’est, vice, Villers-Saint-Sépulcre. Prévost Fernand, sapeur, 26 ans de service, g e s , boit à la propagation du bon vin de en efl’et, le 7 octobre 1887 que se créait ■ France qui est, d ^ r è s un communiqué L’Union départementale.Elle comptait alors Villers-Saint-Sépuicre. Conseil mnnicipaL Boulnois Constant, caporal, 30 ans de service, de l’Académie de médecine, le meilleur 84 membres. Aujourd’hui, plus de 7.0001 Boury. rm m r î _ Samedi prochain, 19 octobre, à 8 h.i/« préventif contre la fièvre typho'ide. Quel exemple pour les autres départe Hébert Henri, lieutenant, 26 ans de service; dusqir, le Conseil municipal de Senlis se M. Laurendeau nous chante ensuite ments ! Boury. ^ réunira pour délibérer sur une commuai quelques cùuplets très gais de sa compo Prévost Anatole, caporal, 24 ans de sêrvicel cation relative au projet d’élargissement Le capitaine Launé, de Crépy-en-Valois, sition, et M. Despradelles interprète une au nom du Comité de l’Union, boit aux Saint-Just-des-Marais. ' de la rue Bellon. Mercier Octave, sergent-major, 40 ans dq amusante chansonnette sur l’air de la excellents organisateurs de cette fête des F aridondaine. Puis on se sépare, enchan sapeurs-pompiers, le capitaine Perpette, service, Saint-Martin-le-Nœud. Defrocourt A., sapeur, 32 ans de service, tés de cette agréable réunion. le lieutenant Lamotte et le sous-lieutenant St-Martin-ie-Nœud. La Salnt-Eloi. Labbée de Chantilly. Horloque Albert, sapeur, 31 ans de service, Cette année, la Saint-Eloi co'i'ncide avec Le capitaine’ Boyenval, de Compiégne, St-Martin-le-Nœud. IJae belle pomme. lève son verre à la presse départementale. ^MénardFerdinand, sapeur,37 ans de-serviee,: le centenaire de la fondation de la Confié n e . Nous apprenons qu’il est question Notre directeur, M. Loup Bertroz, porte St-Marlin-le-Nœud. M. 'Van Hollëbecïe, ancien cordonnier Delaraeile Albert, sapeur, 35 ans dé service; pour cette raison, de donner plus d’éclat de la rue Saint-Jean, à Beauvaisi a cueilli un toast au nom de la Presse ; il se fait à la fête dd SaiDt-£ioi. Les membres do dans son jardin, une pomme de toute l’interprète de ses confrères pour dire St-Martm-le-Nœud. Crochu Louis, sapeur, 30 ans de service, bureau de cette-Confrérie se sont réunk beauté, pesant environ S70 grammes et combien on est heureux de se trouver au St-Martin-le-Nœud. samedi dernier chez M. Ogez, et ont arrétt provenantd'un arbre de dix ans' sëulèlheht. milieu des Sapeurs-Pompiers dont la vie en |n n c ip e , le programme de ceUe soient Médaille d’argent. est toute de dévouement et d’abnégation. Quillet Florentin, sapeur, 47 ans de service,! Défilé et vin dfhonneur. St-Martin-le-Nœud. , ^ Sameffi prochain, les membres de k Prlèrè ft nos correspondants Confrérie se réuniront en assemblé» o-ênî. Ce toast est le dernier ; les convives se Senlis. de n’écrire que d’un côté du raie â l’hôtel Villette, pour entendre et et se rendent sur la place de l’HosMédailles de bronze. feuiUef, afin de faciliter le tra lèvent discuter les propositions qui leur seront pice-Condé où doit avoir lieu la présenta Rigolet Alexandre, clairon, 28 ans de ser soumises à cet effet. vail des compositeurs. tion du drapeau, i' vice, Thury-en-Valois. Les sapeurs-pompiers se placent en rang Papillon Ernest, sous-lieutenant, 26’ ans de' pour être passes én revue par les autorités service, Eve. S o c i é t é d ’h o r t i c n l t i i r e . officielles. Le commandant Cazier fait ou Desseaux, sous-lieutenant, 25 ans de ser Dimanche prochain, SO octobre, une vrir le ban et porter le salut au drapeau. vice, Grépy-en-Valois. Lemercier Eugène, sergent, 25 ans de ser-' délégation de la Section centrale de la la. M arseillaise se fait entendre. Société d’horticulture assistera à la séanqe Les honneursrendus, le cortège se forme vice, Auger-SaintrVincent. Denoyelle Aug.; sergent-major, 36 ans deJ d e là Section de Pont-Sainte-Maxénce, qui et précédé des clairons et de la fanfare de Sapenrs-Pomj^érs de l’Oise. service, Dieudonné. ' se tiendra à deux heures, â la mairie de Chantilly, se rend à la salle des fêtes où Langlois Emileg sergent-majors, 25 ans de cette ville. un vin d honneur est offert par la munici service, Gilocourti', Les Béeeptions. M. Loizeau, professeur de la Société, et palité. Mtntion honorable. deux membres du bureau, prendront la Tislte du Musée Cdndé; M. Vallon, maire de Chantilly, propose parole dans cette réunion, Hennequin, lieutenant k Senlis, Dimanche dernier la ville de Chantilly, à la nombreuse assistance de lioire à la r, Les membres de la Société,; désireux de santé du premier m agistrat de la Répu C lerm ont. iavoisée p o u r.la circonstance, recevait blique. prendre part à cette excursion, sont priés 'Union Départementale des.Sapeurs-PomMédailles de bronze. de se faire inscrire sam edi au pists tard, piers qui y tenait son Assemhléè générale L ’Assemblée Générale. Roussel, sergent-fourrier, 27 ans de service, ', . chez M. Loizeau. Le rendez-vous est fixé â sous la présidence de î i . Lafàrgue, sousmidi 30, place du Châlet. ■ On se dirige vers le théâtre où doit se Trieot, préfet de Senlis. Plus de 300 officiers, tenir l’assemblée générale. Talion, caporal, 26 ans de service. Tricot. sous-officiers et sapeurs-pompiers avaient Boursier Edmond, sous-liëutenanl, 25 ans,s Bientôt toutes les places sont occupées ; répondu à.l’àppel de M. Hippolyte Cazier. on remarque la présence de plusieurs de service, Sacy-le-Petil. Chambiée des Huissiers. Leviel Arthur, sergent-majôr, 25 ans de ser Pendant que les membres du Comité, dames. vice, Sacy-le-Petit. L’assemblée générale des huissiers-de les délégués du canton et les commissions Sur la scène*96irt'a8sis les personnages Claux Nestor, caporal-fourrier, 25 ans de l’arrondissement de Senlis a eu lieu mardi travaillaient à THôtel de Ville, les autres officiels et les officiers du conseil d’admi- service, Sacy-le-Petit. 8 octobre, â onze heures du matin, en son membres de l’UiiieiHTisitent la ville que nistratipn de r Union. Chambrolant Alexis, so.ûs-lietitenant, 27 ans local ordinaire, au Palais de Justice de M. le SousÆréfet de-Senlis a appelée « la Aussitôt la séance ouverte, le comman dé service, St-Martin-Longüeau.. perle de l’arrondissement i perle qui se dant Cazier remercie MM. Lafargue, Val "Marchois Amédée, major, 27 ans de service, Senlis. La Chambre de discipline pour l’année développé et s’embellit tous les jours ainsi lon, et les autres notabilités de leur pré m Martin-Longueau. , qu’on peut eh juger par les quartiers neufs sence. Lejeune Ernest, sergent-major, 25 ans d e ’ 1907-1908-est composée comme suit ; service. La NeuviUe-en-Hez. qui viennent d être créés et les nombreuses MM. Cagnard, huissier à Nanteuil, syndic ; Le sous-préfet de Senlis prononce quel et jolies constructions qui s’y élèvent. Dherbe, huissier à Pont, raj^ ô rieu r; Rappel de médailles de bronze. ques paroles, en expliquant comment il - Iis ont visité kiissi le musée de Condé, entend le patriotisme. Lenoir; huissier à Senlis, trésorier ; Boulfroy Eugène, sapeur, 27 ans de service, au château, qui avait été ouvert spéciale Delahousse,, huissier à Neuilly enA son tour, M. Vallon se lève pour pré Bonneuil. ment pour eux et leurs familles et ils y ont senter les excuses des sénateurs et dé Thelle, secrétaire ; Delarne Armand, sapeur, 32 ans dé service, admiré toutes les merveilles artistiques putés. Bonneuil. Roland, huissier â Creil, membre. qui s'y trouvent rassemblées. Après la nomination des membres C om piégne : A midi, M. Lafargue,’ sous-préfet de d’honneur, parmi lesquels M. Meunier, M ê m T é i’' Ï Ï T ^ £ e : ..... Senlis, accompagné de son secrétaire, préfet de l’Oise, le commandant Gautier, L a ité iiiilo ii d u S. V. S. M. Bonnette, arrivait à l’Hôtel de Ville et secrétaire général, donne lecture de son M. Lambin (Auguste), caporal à Tracy-le. Le . beau temps, boude les cyclistes. Mont, 26 ans de services. était reçu par M. Vallon, maire, qui lui rapport. _ MM. Esclade (Edmond),, sons-lieutenant, 27 Dimanche dernier, malgré les averses du souhaite la bienvenue et lui présente les L e capitaine Mahieux expose la situation ans ; Duriez (Louis), sapeur, 27 ans, de Lassi- matSn,'.un certain nombre de nos' conciMembres du Conseil municipal. financière; p u i r le ''Com'mahd int Cazîër gny. - ' - ' ■ : ■fbrens’s’étaient donné rendez-vous au Vé M. le Sous-Préfetrépond aii maire par donne connaissance de la situation morale nouveaux inédaillés'.'viennent rèce- lodrome, mais les coursés avaient à peine quelques aimables paroles. de \'U n io n .,,,,' ; , voir leurs-récompenses dés mains dfô per eomménoé ique la-^uie dilavienhé ■les lihM. Cazier,- président de l’Union, pré En passant le président, espère que l’an sonnages officiels. ' I terrompit.M fit déserter l e .Vélodrome. sente A son tour tes membres du Comité à prochain l ’Union fêtera son vingtième Espérons ^ ’qne autre fois-nos braves Le commandant Cazier fait un .rapport M. le Sous-Préfet qui leur serre la main. annivei'sâlrë eh présence d'un membre du bicyclistes auront plus de chance ! déUtillé su r la caisse autonome de retraites gouvernement. L e Banquet.' pour les sapeurs-pompiers de l’Oise; il L o rd re du jour comprend la proclama •espère que cette insthutipn sera votée l’an A rUqicm'Départementale, il n ’y a pas tion du scutin pour le bureau ife l’arron' V ’' ' ■ de bonne i5union sans déjeuner officiel, disseme.nt de.Senlis Sont élus: vice-pré prochain et demande que plein, pouvoir ,Un vol de deux carabines, d’un pistolet c’est la tradition. Aussi un banquet réunit sident,- Launé, de Crépy; vice-trésorier, soit donné à la commission aaihraire. Il est cinq heures ; la séance est-levée, et d’une boite de cartouches a été commis à l’hôtel d’Angleteire une centaine de Mahieux, de Senlis; vice-secrétaire, Hâzil’heure du train ramène vers ht ssée de convives. mard, de Chambly ; délégués des sous- nombreux membres de l’Union, tanffi? que au Vélodrome de Senlis, dans une cabine de coureur, au préjudice de MI Sallot, Il est inutHe de dire combien ce rejias officiers, Bourgeois, de Silly, Violet, de d’autres passent une partie de la soirée à w m urier A Senlis. De ] ^ s , le cambrioleur ! fut pimenté de bonne gaieté. Les. pompiers Senlis; et ..Quislin,: de Crépy. Chantilly. m soustrait 3 c l ^ au^aises,-; une chaîna i sont toujours gais et d’éxcellente CompaM. Cazier fait appel à fa propagande Somme toute, réunion charmante di 'g n ie. _ pour amener des membres honoraires, manche dernier â Chantilly, dont le sucoès de hicyidette e t un marteau; araortenant à M. André Bupuis; secrétaire de la Société Aux côtés de M rPàùTLïï'argue se trou promet une médaille au pompier le plus vaient : MM. Vailon, inaire de Chantilly ; zélé dans cette tâche et signale l’état de eut été complet si le soleil avait daigné se Vélocipédique. de Senlis, et se trouvant dans la dite cabine. .-Coquatrix et Daussin, ccnseilter? cPârriîn- prospérité de la Société de secours mu- mettre de la partie. Le montant du vol ost évain& n i n c r . ' dissement ; Caziér, président de l'Unioh ; tuels.qui, depuis 20 ans, fonctionne admi iPérpefte, comipaandant ;. Lamottè, lieute rablement. L’an prochain, les pompiers Les- preuves accumulées depuis 26 ans nant, et Labbée; sous-lieutenant des s a - - fêteront même cet anniversaire mutualiste et l’efficacité surprenante obtenW dàns les ------------------ que pénétré ipeurs-pompiers de Chantilly ; Bonnofte, àC reil. I cas de c u n s U p a U Bisj t i m n q n e d ’â p - dans cettftcabine. •secrétaire de la Sous-Préfecturè ; Tantost, Pétillant de malice et de gaieté, le com i é t l t, m a l a d e s d ’e s t o a m e , ont fait Une enquête est ouverte par la gendatv ;adjoint au.maire ; Heaum'é, conseillerm ur mandant.donne lé conseil a ses pompiers es Pilules Suisses un remède favori. mene. , tiejna^VOitQre eit mes domestiques... Il coups ont été portés à la face, eh là suffira de demander les gens de i dénaturant complètement, il voua s « a (Robert ■ ' facile de commendreque Jejcadavre ait ■ H éla % l.tt|n ^ . que Je ccmvoi m’emelui de Hôbert-Bey. lOïir celui ip'ortait - v ^ la Méditerranée, mon .pauê , .. lo u t cela est possikie, en e& t, ;-yre ami s’ènêdlaità la mort ! I déolarale juge d’instcttctiom Mais expli: -5- AlOK'Cé serait le g ^ éral Ben-Sdhd r x-moi comment Ben-Ælaîd - iFèéràit iqm ajj^itéténssàssinéà votre place? aies poches de sesvéteihente àùeiifis ' ^ Otui;®iBohsièur. i pajners.qui le fissmt comhdtre; , — Mais ckmmént n’a-t on pas reconnu i r."^. 9ue depuis.s® ,rarei-v^jf ‘ n, afee'dtt-iÿqifcrsta^onvoUr |la.snb«tR i^î, ■r?F )à, ÜA aT atteu,queJfe;tet»p»i,^;.A e inifmis en question; me dit-il. ToLseul, — Tout le monde s’y est trompé : le ; ttiré cohduu-e.chea moi ; nais, »n» mb» ' t a 4 >néa»iKie^4 éA éo iù ei^ -ta .4fëi*li!M!^e»emiaoyés^^d^ citemm ‘ tron'raM f.P^an -0raihb£fot«l>^ ~ conjurer le péril, saavèr El^âidociÉ jdé fftr àu^i-pien qqçrdQm.estiq^6Re <mmàt.ob:Ies mvoyecÿjeaotêets-épaaretd éap ièg » qui 1 # août • l*«CTéui?général.^ . tenmit.! A'fien-Saia,";dont vHt'<att«d L.r il ;fBUt: ’p àrtni'ce quie^’Cè:5oir:*lâé*il raisait uii outr- qualités nA'ràieatpàavBcoré'étéiffiicrBs .. pNirt'toEpreàa Nle à ^ .ih e n re s et; .«m te r r é e , plein dabscurité et dêpluîe^ au registre. Vbnapcnawe^jBire v è è à # i«i;A;dMins(dterle bâtm ieitt efuiitt^a ifiàB-Scddy qui avait- une' certaine !vous-méme la védiéidex» dernier &it. mené te coa^Brü et^ iTaiâàiê. Ye t ’ mbi,;'àcause de sataiÙe ■ Le m,agpsri^ prit, r a j^ p ^ f n t queljR.i A’betke m teonivéede wyeP-<ki îélévée, de sa coipulmce, du costume iettè atxBeyj.qtâAfait de téi unRâfritié Jse“ ®laoreàceIm ri^ev heareuxÿcoiiaqdfr^ qurfla coîttHé jtu^em fflr: — la ie w g o te droite et le n’à'VaR s u r l h i que so n 'p o rte -m o m iim d‘&bnnei»8:etdB]siei».>>'' : •;£ez,(à cause: aussi de. -s a ..bjEtrbe blauciie pleqa d’o r, , ' ' . Ben SéSd diséit vrai :<|e doià ce qneje !parrille:à. kt tiiienne —je l’ai rasée après 'Trê.'Le p o rte m oim aie 4ut, a:'Voas, justûs ettôubeiiDa & rtune.d.la bienveil- .mon retour afin dAtre-'-méconnaissable -^^naleèoimme n ’a y a n t la in a i» amM t* : Iaaçe-'dn(ii*f^T«Bsiv. ' ‘■ ;pour certaineajgqs ; JBfjï;Saïd, dis-jè, te n n A iB h o e rt B e y ,;â tf ô b s m ie ' i ^ é ^ à i t ' -prévênir'mà ;a su m l^;l^l|'jçavvnÿagear8;^qùi sor- rieu sem en tM i B resso st'' " tnàfBlk; i^ M ii^ ti^ e à t^ p e soir ;ta;ent«Fagère,A®!orri-véainsijusqqlà . L e m ag istrat p r it.^ a n s u n tiro ir, lé fi cSiti heures;. rép^UKiàiJé;! C o iàim ^ : ;m»,vôirtoe;'« c o n ^ e elle était seule,.: lorte-m onnaie troù-vé enjiossession de iairéH- v. ; • ' " i Jâ, il estmonbe-^dans mhs hésitatkin. ji’asserean. ' ' ' 'ti.ir^iiJe/Hï'en'jclitài^, ine répèhcfita ,T*..rààte 'dW! drame-, slexplique plus' fit-il e ÿ f e m o t f ^ U ^ a Ben-iSaîdtjtoAùliâteàii eetsur la 'R ^ e faerkmetxt;encore; ;Cécüè;Çbainbîay;2tc' de-tPàias Sgs^aiéditerra'née,: à qitel- (m'ayait pàs vu depuis, 4<ms ImMBètKavdeiJpigiàf, m'« dit-Âàti seùr':fib9y'’ffrédérife^' 'nè-mè' conhàisstit. ■ ■ .Jà5:,imiS'..pariirjàrtte:‘'tof,'',et:' pàsjdlS étaîèat' m u s bcfis, .ç’e tt à-d^!j ■eclairéâ seulement par une des lantèroes à anpcè&de madame delà -voitur^ rieffaTStfaordinaire doiic ■ le serai bien hemreiàiaeéSekrOâ'. F»«us dmsroMai’an poar..môuvl^ilt^aite,;<mônsieur, >4i rtu trouvefrasa lànOri- VOUS YonitatiHtB von» « f ç ^ r que dés., intéressés, Cécile : ChankbÙy, Fà reconnu;! — Quaifid cela î Ce matin, en présence de son tSlsÊré» *»îrte..I -ISât'SOBSl -doOF m tenteor I jûbés. Coât :l 6 franes] — PO Collier; damné i — LeJ onvrieriT billet dof 'nzsiHecâ i^fiifexain, du boulevard afiii d'é ioÙT cher k prikde la y d ù te 'd * jm«eùWes dépendant de ia succêsrion HolkrtBey, dont jaknesuis ’ -.^IllafB tcst^m lt « m g m téd èd éU B . — Gra^elimptudence j; car si gans-lAsontdes. sutears dnim im e, ii-iNOhv! motiBeur, répliqha !Rdüert-" B ^,;pat«e qtrïteB’ontfiuiitra'‘ù ô i t p ^ desfpréamnpttonsjpnvesqàé pèsecf-sar péuae mémeqU’â serait-aMand ràt de tjroid>l«r leur' séenrité. .mn'nt d’aupk péçqayei^te retrajtifite Dominiqfaè:~ “ Vous'Sfvex55 I^IroU v^ T3GênSÈ& 'JÜSri£H:..ÉiQD,dL8â i — Pourquoi, ea-«eeas,'ne s’est-il pas d i ^ mo]nix4.a 4eaaim idlp«t ItMiasal. btti><i>a9lieedn>gueteqMns1H'r;>RK- a j. -■ .xî;v - cv-y ■ ' ; 'ï 1 t r.-" .-.51V*.pàt'* . . . . 'u' 1.;;. ;; J.;r;;.;v;s5q:î i ' ë i s ’Sÿbà ’f fà i.i iiis '.uq -iwA,*;!-*1 .--Jv 25 frkne LE œ ü R B ÎE R D É X ^ IS E E qnj^iace d*H «latte. in â r i 'ifi'il ne jii ponr['TOodéré. Malgré ps contip n ;U * as avons ^ lirions i vanuigej modéré ^ la ^ e n g ?otf&5§' ne les• amenés l'ie celte w iis h -1/2 senlisse ^ismoDiss e m ^ t àde avee [^ n fré cestion, 1 d'éclat ^■res da I t réniils |t a i T é t f , 1solende J»géB Indre et r seront re, ose de la □ce, qm line de ciété, et ont b rena de Dt |»iés 1ta rif, s tfix é à s:e rs -de |u mardi , en SCO |i5tice de • l'année svnÆc; Drtenr; fciierî; ully- ea> Les chiens sont découplés, jendi dernier, an Poteau dn Gonrcoiet sur im cerf à sa quatrième tête, qui monte au Ment-Alta, s'y fait randonner et s’élance plusieurs fois, prend son parti sur la Belle^roix, le Carrefour-Dindon, reprend son contrepied jusqu'à la Belfe-Croix, passe à la Fontaine-Bertrand, les Blancs^Sablons, la Croix-Saint-Rieul. le Plan-des-Dames, !e :!vUit-Paguotie. la Croix-Frapoiel, les M ontignettes, descend hallali-courant près lie Saint-Gervais où il est pris après deux heures de chasse. O b je ts p e r d u s . Deux serviettes blanches, l u livre messe, porté sartes vert foncé. I n porte monnaie. O b jet tr o u v é . Une pii.- èliclriquej P o lic e eo r re ctto n n elle d e S eu ils .Audi'-ii'r flu 12 octolTe 19017. Présidence de M. PviSAvr, président, Minisière public : M. Lebrc.v, substitut. A n lilly. — Le dimanche 22 septembre, le g irde chaniiiètre remarquait, sortant de Pég ise, un litre de vin et un verre en mains, le sujet belge Declercq (léopold, âgé de 18 ans, en état complet d'ivresse et gesticulant. Invité à aller se reposer, Declercq adressa des pa roles injurieuses au garde, disant qu’il l'em... Coût ; 23 fr. d'amende et la loi de sursis. BcilcigTîy-sur~Théi'{iÎ7i. — Le 23 août, ytarlaumont (A rthu/, 30 ans, ouvrier d'usine, s'est livré, avec une carabine, à l’exercice de la chasse, il a été surpris, vers une heure du soir, tirant sur une pintade qu'il a tuée, mais n'a pu l'emporter. Il récolte 50 fr. d'amende, de plus, la con fiscation de l'arme est prononcée. Baron. — Les 12 et 14 juillet, les gardes Ridet et Elie ont pincé le braconnier Joly (Eu gène), 44 ans, chassant à l'aide de collets. Deux peines de deux mois de prison et 30 fr. d’amende. C bantüly. — Dans la nuit dn 11 au 12 sep tembre, Taboulet (Hippolyte), 39 ans, exerçant la profession de marchand au panier à .4nber^ e r s , a tenté de soustraiTe les poules du sieur Mélave,{demeurant quai de la CanUrdîêre; déjà i! avait réussi à cisailler le treillage for mant clôture, lorsqu’il fut appréhendé par deux voisins. . ,. . . . Taboulet, dont le casier judiciaire est-déjà bien garni, attrape quatre mois de prison. Chambly. —Le 12 septembre, revenant vers trois heures et demie d'LTly-Saint-Geoi^es, le charretier Le Guilloo (François), 40 ans, au service dn sieur Marguet, cultivateur, s’est engagé, avec son a tte la ^ , dans fequel il était monté sans guides, sur le passage à niveau situé sur le territoire d’Ercms, mglgré l'aver tissement donné par le mécanicien du train se dirigeant sur Beanmont et qui dut arrêter, afin d’éviter un accident I f a l ^ la gravité du ÙBt, Le GniDou s’en tire avec 16 francs d'a m i e et la loi de sursis. Le patron est déclaré mvilement responsable. — Sur opposition, le Tribunal maintient la peine de 50 francs d’amende, prononcée contre Delaveaux Gaston, 27 ans, nmréchal.à Cbamhlv, le 14 septembre dernier, potir violences, mais accorde à Delavanx le bénéfice de la loi de sursis. Creü. — Gibens Pierre, 39 ans, sujet belge, déjà' expulsé de France à diverses reprises, s'obstine à vouloir rfeider én France, où il va gabonde. irrê té le 9 octobre à Oeil, il s’en tend infliger 2. mois- de ; pristai, à l'expgation duiiqu|u y i f -séw rtT g»aahiraa^ tinT O n a ta bontière. . -— w ^ IMÉs b - n m t fin -30 à t Faivre Henri, 20 ââs, e t T a d œ b io n i» , l»ansv 0 1 ^ â o o s tf^ <iii dif i asîB6 den-Fb^es e t Tréfileriez é tiio n ta B é s T o to n veii$ vers 2,fieorès.dn>I■al^a,■.*n<?on^• Gêalu T brias, iKoeantem-, m l>oai»«iane, a Mimtataire, qui le leur a acheté moyennant 30 centimes dn'brocanteur, le Tribunal considérant avec raison que le s reeéleare a o a t i ^ i coupoles q n eles voleur», condamne Tackels à moi» de prison, Faivareot Goulu à chacun tfSüs mois. r. '■ — TOnjouts labanfie ïlhniécoq et Oie. Tribunal oetroieaux'ci-après nommés, pour de jrclistes. fs e sd à comâr [an W p ^ >Jiline. tb r m s Disie]^ IcaUne [SaUot, id ieo r QawM appaK 5tave6 éD«M-- n o m b ren x d élitsd eeiasse:8 B « û :à : P h » eco q André,! 29 ans, 8 tn e n e m e id |^ tedn ^ r v i o l s n ^ i garde et à agm rt^xîjH . mois TO prison 2 R frafite^à*affleDd^ Boider Jean, frûtpsd' S u n v afëig ën_ b l9 ^?2 5 bancs ; Sauva] — Le 7 oettArerMane UÉâen, Egiigal M a e , a*e»sîf«^— ’ bieidetle chez le smur iBèreet te Bemenec th Hs'fnreiM arr^és par Ja j été arisée que aiwx a u . _ Bayn,dmdnieafi'A vnfiae A i Sëa^igclettes.'BipedatO gi'a-^ ihlil lai mftnl~ dh ihn ’**** — *** f tia n t bénéBrier d ç b loi dp.) mmi gtsO le Hotem & quatrê-a Sauvat de fieux U K ^^^ aM vürutifcrt èt^ M * san tà n a ÿigeineiit 4bA4 aeateahr», le eearfaM jl. panty te ip g . deSogetfi,4 Jiua J i » .rancii « . . J s va croîFo'r transporter ’t , ■■■■■■■i fut reçue à la salle des Ecoles o i col ^je'noSffl’diasiîCiii'T il arriva— nairement lieu les réunions, et. H: 1----------louer— ip tie n g i,iDahant les nuffranees AdDSMOMBtt heureux président, après avoir décnré la ' qnH jrésarve le parfait coi ^ ouverte, pria, à l’occasion dé eerta p r ^ ùB M- Vantroys de prendre la pfésic'Ô'/ursdeTâsbîi'éi------Vantroys remercie et expose le doi THiB"uiurtdtB' ^aie 9 b de sa vishe : « nous sommeSNenus D ante d e J /io rt. afin de vous apporter le salut cord — PoivBOT. — Lundi un nomm é F le u r), section centrale, vous remercier bwiQFponrdéfà ' ayant été rencontré p a r les gendarm es, féliciter de vos efforts, et vous ns une le - ,I té r a n t, m u t * * * » totalem ent ivre, a été conduit au violon suite à venir visiter, aussi e w i^ e u s que pluscttds iêfieitdfîooK. iqestiqùe, .âgé de 37 ans. m unicipal pour v passer la unit, à sa sor possible, le 10 novembre, rexposftion de Cepeipdant.tf. Barçié l'avait pas voulu' BàêldCai iWetUHfièi'he ^ se«n tie, il a été n an ti d'un jieth pruccs-verbat, chrysarithèmes que nous faisons 'à Sen- que les àUvres fussén oubliés et -Mlles , pour ivresse s u r la voie publique. ^ dé MM. ’îu m pour avoir euiFàgé 'l e garte'^ DncniUUK, AMUCA A/UM Dérèz'et lis T>. pêireqBi iei observation fort!) C reU . — Mobtel xcctoext. — François A ce sujet, cette date coïncidan^vec la Soùcbpo et AucUen,,^incui.t^fêntinftnt Bassery, débardeur, âgé de 38 ans, origi prochaine séance de la section daCképy, dans la salle, avec leur lus aimable saû-t née, pour avo : Uriné smrlav<>ié.p;M 'V m b a i c — ioL'Posie. naire u'Avesnes-le-Corote (Pas de-Calais), U: Petit Amande si les irieaibres bmrient rire, tenifréhimàin en . tveur des désbé= rités. En léùr hoin ’in itci i een i ' fm taritsdiVerbi riesouhaitaientd^nislloBgqui était employé aux travaux de draguage la retirolacer p àr'la'v isilé'd b n M f.\^t^ temps-uniSer iee pestai efcrtSégmâÉpm ùrgHteeBB ^ t uéfwise I entrim que l'on exécute actuellement dans la tra viént de les entretenir : cette .pro(osiflo En un mot, oe fut,', si nedi, une bonne phiseoftimodi e t pw-fBstongéi! <'âatoêA versée de Creil, est toinbé,accidentelle msuite ' ef-smne séiréè, et noni-êroyens poBiieir use benrou! ) . cei^niaisen entra -ses ment à l'eau samedi malin, pendant qu u annoncer à -nos- leetmds 'i^ ls anipent abonnés, le U r r c e ile ’CcmseirMindéimd, était à son travail. Ses camarades ne s étant malheureusement pas aperçu de suite __________ qui désireraient eneocesonS poD le jdMsIr d’entendre ces les 400 franc! annuellement néeesiiaires ont pu' être'rdunls, et, âpariir du tODIctO' de sa disparition, ce n’est qu au bout d une faire ces apports devront-prévenirjau plus charmants artistes. P. B. • bre 1907, îe bureau de Vefberie; t jws'^^e, A bientôt, donc! demie heure et après de multipleS/Vesh^- tard le lundi précé'Ient ches que l’on put retirer le corps de ! eait. — Marché ad Blé n I 12 OciOBBÉ. — tél^raphe efi téléphone} est ouvert ^ M. le Président-donne ensuite l i parole Le malheureux laisse une yeuyc, qui a> à M. Hardret pour la lecture de don trar B lé, 1“ qualité, 23 fi 30 ; 2* qua'ité, sémaiue, de ’q heures du-rartîn «dêié, 8 été prévenue de suite du terrible accident vail sur la Rose, sa culture e t la ç ^ ris o n 23 fr. »» ; 3* qualité, S! fr. 30. — Seigle, heures en h i ^ , 1 9 heures du soir sans pour lequel la police a procédé aux cons de ses m aladies. 17 fr. »». — dtidSie,'! t” quaUjS noire, interruptido. |Le dhnmiehe, pas de ritan^ ^' gément. C’est pour nôtre commune une Ise, 30,; 3* -----tatations d'usage. Très intéressant le «onférenciér noos 48 fr. 30;-2f qualité.gi—, — SoaÉTÉ SPORTIVE. — Çne réunion fail su -cinctement L’historique de la Rose, qualité blaaMfije,‘i6-f'is fSO. — O r e, 18 à grande et.rêefle amélioration. — A hzm ncàT ioH .L ’a^udication d es. pour la formation d'une société sportive les façons de planter et de tailler) les rCL Î9^fe:—î f&||in*iji” .quBlité, 34 fr. »» ; 2* travaux de réparation an p :e s b y t^ .a en ? , (sports cycliste et pédestre) doit avoir lieu sieqs, et s’étend sur Les mdaffiestle cette qualité, ^ f r . '30; lieu le dimanche 6 octobre. Ont été dé Unej é g ^ hausse esf à signaler sur les le 20 octobre prochain, chez M. Lespiat, fleur. • _ ché qui était sa- clarés adjudidataires : 1* Pour taserrurarie rue de MonUtaire. Les anciens membres Les membres présents prennenl ^ i^ 'd blés efavèidés.'l;è majché du Cyde-Club-CreiUois, sont pnés d y as intérêt i ses expücations sur les Bouillies me.di'très. peu apprô ûofltie,' par suité M. VigaMV-Ridié, avec un ràbms'de dqHasPépoqDe Va- 2*- Peori la maçonnerie, M. Be^réz bordelàises, dont la meilleure, à son avis, nonibréosœVehtes pas sister. des battages et surtout ’eanse'dé t a p ^ J o s ^ jS A O ^ /..3° P onrlaprihtare, M .' fille Bocquet, arrêtée peu de 1®“'^ üxE EOX'.vE XATisÉE. —. P rochaine est eelle de Weber, dosée comme huit : liépuié Lucita, KJO&’U. i*- Pour fa moà Pontoise, s'entend condamnée à trois mois de m ent, M. A ndréas doit nous donner une 1 kllog. de sulfate de cuivre dans 20 litres riddehleS’Betteraves,'* ,'ésenté, de celàit niusçiie, j^. pourtei! Atexandre, à-zére. Noùs croyons même; andcealement ,»àle. fi prison. . pièce sensationnelle: S o u s l ’E p a u le ttfj d'eau. que les eom s -vout, duifcnt quelque temps — Cdxiitiéaih rân coRhs. Lundi Vaucitnnes. — Se trouvant à Vaumoise, le qui a rem porté un im m ense succès à P a n s. 2 kilog. de ctaBuxéteinte. du moins, rester statii^Miaires pour aug dernier, Dnbfêucq Aifréd, iâgé de’tS aris, 1 kiiog. de fleur soufre. 22 septembre, où ils s'étaient rendus et Çielque Nous en fixerons prochainement la date. menter ensuite. ' t ' Le tout bouilli pendant 40 minutes. oeu surexcité par la boisson, ôandenMœcke lobBuffear ri frêpÿ en-'Valois a été àrrMé — ÜXE F ek be , passe excore, hais c.ve sidore, tSans, Desmet Camille, M ans, Eeman lar la gendaBnene dé Yerherie, en verfù . Il suffit d’un litre de oe m é la i^ d a n s 10 E DE 'D ovt. — Duvry. — A lav— *AiiE, S0.S. — Les époux Domerie, qui litres ules, 23 ans, et Vaneaclenbenghe F ran cis, lune c o n tr it e par c ^ i s . d’eau pour assurer la conservation Nouvel et éclatant snc^ sujets belges, occupés^ à la sucrerie de Vain habitaient m e des Nations, à Montataire, — I vbessb —<BmMiclie dersjsr, 'Bitciennes, ont mutilé plusieurs arbres, et outrage avaient comme pensionnaire un belge, des rosiers. C’est sur une nouvellé rômm- nier à l’aetiff dé laVeuz d’eugiloyer cette touillie où un nous avons parié-dass L ’tidirABdrtî-ân d e 3 ta n s, uiâàM vrier'ri leur compatriote, qui ne tarda p ^ à con mahdaüon adjuvant, la suie, que termine lé conf^ Yrirberie, a éfét’eljetdhiM'eoiilMraBtion ^ DsInéShSnt chacun 23 francs d’amende avec quérir les’bonnes grâces de la ( t o e Do Buméros. L asalle^m q ilin dn — ___ : le bénéfice de la loi de sursis. était . r é â ^ de peur ivresse merie, si bien que celle-ci, abandonnant reneier après avoir parlé des inseétes nui où était dàimée la'si . _ 4 Veriiony. — Courault Edmond, 21 ans, ,e S p m * « tiM A ’ nombre de nos.coi — À o e ra E n n û s riu y s iL . ‘ le domicile conjugal, vint habiter à Creil, sibles.nom des assistants,'! ! , ¥ e S remer tenu à venir aj ' ' ' ayant é û occupé à Betz et à ^ersiCTy, a d ^ leurs nls e t 'f f ^ It nne b if e d e fé^EeSHT nae.ï chez son ami, nommé Kinscope. Le man cieAu M. Har*wt, e t exprime P e sd O T ^ e robé divers objets à ses compagnons de réalisés rendre «emi^tè i— . _Hest condamné pardéfaut à qmnze jours de ne garda pas pour cela rancune à ^ n bientôt laBectjon-deiCfépy repronara le an dévouement dire ' ' lïbeumax rival,-mais s'ennuyant Mul à titre Section dès Roses qm lui hvari été se de prison. ■ ______ Monlataire, il résolut de retourner en Bel- donnéde4 vant s’e s t b l ^ é ÿ M l i s , d q i ^ q p ; d ’elle ne fut d ia e o i^ fw n _ dbàlriiIn n ^ W d ire r • ir ^ -'I ■' Iiir- " I . . êiqua et Irindi dernier, après avoir déposé être recoBSttoée plnsieurs années plus its qui signalèrent p i u c h è d e S e id is ' I a consigne sa malle contenant toutes tard. M. 'Vantroys s’associeri ce vœu par reux te.appIàuffiL— " le dir, rentrée des ^nnes: I ses affmfes, U prit, en compagnie de son quelqnoo paroles iiwublegt: . . dn 1 5 O c to b r e 1 9 0 7 . manche, dèrm er, " jfh f^ ttjiiin rig ê re s et enfmits ami Kinscope, de nombreuses tournées LaparoCe estensuitadonnée àM.Roanléj Bellard, Thienx, ' j , *n3us en m a n ^ tenek-^vous bienl Le ejmcolit t s POIDS (fadieo. Celui-ci s’étant débarrassé de PKIX PRIX NATÜKB qui non moins ïhstriicfif que son é o U ^ e 3, oift iecririHi les migménter. ( fO t 9S DB . , ; Domerie i un moment donné, aprts avoir Hardret, trmte de la F aiéur des \graxnes passimsjet desi B«S 100 k f l . r a e c t o . l l i t c t o . rriàBuar.lia asristaitis. les Suisses ------ ---------------'Vous savL que nos voirins pu entrer en possession du bulletm de m archandes, de la sOeediaa. dés portesont très foi ' pour la oonfeefien rie.rat : consigne, dégagea ht malle et avee son I graines et de V idueation des plantes. aliment.., Oi lia suite de rmgmentation ( 1” qualité.. 23 75 18 05 76 amie, iila par le train de 8 h. 06 du soir à , Cette conférence est très applaudis eit son G o n v ^ iu b — DifitancBe, SB ifiomefit 74 17 ào 23 25 ras brides, ^^léiriBieBmnt i Paris, lia ^ é -s o n boa caractère, Domene, autenrveçoiHBS’féHeilstieBSrie-|L Petit Où Alexandre, tailleur p e pierrai, m itnit dù'prix dies Froment 22 -75 Ï5.90, . 29 du cacao, i, iÿ e s t marifèsiéedépitiima B u F ^ v a it rien dit yiour-la femiM^ 4a.; et de ses camarades de Crépy. [ ' an eaféritoral-, te nommé Bomgy, -es de l’UnioB tiare dH 17 .. 11 90 70 mois, les mi ! trouva cette fois mauvaise et porta ptonte Surrinvitation.de M. le P r é ^ n t de m eât ^ e n é de pierrfc, qui ra trgjivaît de cboeohù- ee sent mis I pour le vol de la malle dont il venait d être notresection, M.Loizeau,profess«ÿr d'hor d a n s l’^ a b l i s s m M .^ ’Ç ^ 'w m ç i r A ^ m i t ; fi 8 65 48 18 .. les-Bégaciaiits e n d â û i. H Avoinej 7 50 44 17 . . I Tictinic. ticulture, fm Lfflt^uES SOT la fcçôn de à l’injurier gfossïereiféfif'eHe''-WÉq)p«'< Une enquête ert ouverte pour retrouver manoter les «Biil«s, «<rès quoi, sbnt pré même, c e ^ i'f it tombedAlexnAmàleBre. Farind, P ’-quéhlé.* • • • 55 . . Les unioB&d’^neiets, seront aé ce peu déucat ami. sentées les excuses de MM. Lafimtame, Les autres eonsommalfeurs se sont inter de confiseuih; de pritisrims, ^ t donné . . 38 Pain, le kilo DÉSAGBEABLE scBPBisE. — Une dc- Gallée,Legros,Tr<^nonrtViBCént<3iarles. posés,^ procès-verbaL'fut dressé contre lenraffiiésioB... . . 35 Et aMôrfirdu l*'octidm . moiselle Lemaire, qui travaille aux For M. L ^chain, successeur de H. L in d ^ est f'agnssenr. ' ges avait reçu samedi Mir sa paie de ensuite présenté comme membre Mtif, et I xiirÉaliBj rj — beux TmsAiwnma eu 17 fr. 50, composée des pièces suivantes : M. Petit d—Me'tertnwutfwzAiriffle de % M . C l é m e a c e a t t le e e ta ^ — Imncfi defnierS,.]Dgjgep(ter10 fr., 5 fr., 2 fr. et Ofr. 30. En rentrant G azette de FOise, sur le jardin-deSenlis. chez sa mère, qui demeure 38, Faubourg- Due commisâon est alors nbmmfe parm i. m el'dè^iantilly, en à B o iw M n n e . Iw aéâldB taK W de-Senlis, elle ne remit à cette ^ m iè re nos hotés pour juger les apports que 7 fr. 93, la jeune fille,'qui avait acheté laprodantaieBdeementioBS, iadM ^ntiM Dimanche dernier, M. Clémenceau, pré^^ dnè friandise de 0 fr. <S, s’aperçut alop qmtte la séance preeuée par Pheore ^ Verneeket Perridon, tous deux terrassiers sident du Conseil, s]est f^idn, Ji.- BO-W" qu’au'lieu d’avoir payé avec sa pièm de train, non sans avcîr <aé êhaleureusement ri l’ériuse de Boran. Gea-indiiidas i n e ^ sonoe, chez M. flalHiboii^. Amvé à lô 0 fr 30, elle avait donné celle de 10 fr. nus fians ce hameau, venaient d!être sur h e o r^ -ib matin, par le rapide de Sois- sur laquelle on lui avait rendu 0 fr. 43. r6iQ0rcié0< Le tirage de la tombola’a lien ensiâe, pris braconnant dans la forêt.d u L ys rt sons, oni a fmt arrêt exceptkmnel à la Ctomme le marchand prétend n’avoirreçn le sort favorSe :iIM . BrocfôîÔh,jPricoté, >i«lnséraraàte éOBneF>tenr ét^cîvn. .. ' “ ie-CoyoUes,.M 5 .C léinena leur étid d’ivressefiaiméz avancé, on que O fr. 50 et que la plaignante ne Mut Peirot, Dnérocq, BretpWi Mùp; lesVhissa impagné de son ms et I pas prouver le contraire, elle n’aura d au- Francolin, danauee voitn^ appmtenant ri Legeay, Turcq,~Petit, Manceaux,|Pighon, ^ tim e s , a jehassé. avec trés.xessources que de déplorer ce funeste P ^ , Desboenf, Boussesm, Lapcham, Mr le Duc Decaze e ^ furent menés au [•ses invités, Au tahlean violonim niciprtde Fréry et MMmes Ban et B e ^ , . . jisident du Cpnseilgplus contretemps. uo fu main,.lorsqu’ils f ren td ^ fris ^ ,7 ls o n f'^ ■ — L a FBAcnE. — A la suite de l’analyse — LesC oneerU ^efassifueSi-riM .B àrinterrogéset remis en Mberté- a ^ ^ rira ir. le cent pièces.'«àe ' „ ^ -été tous deuxTUunisd’ûn proeSÿverbai. A 5 heures du soir, M. Halinbourg re du lait dont des échàntiUons ont été pré n é , conduisait J L ÇJémencean et ses iimtés levés dernièrement chez tous les fournis en, samediaërnier, mnonnelortaiiB seurs, plusieurs de ceux-ci dont la mar ’- ^lÉ b lâstàirieA — au trtün de 3 h. 14, auqtiel était accroché chandise était fraudée seront poursuivis tendre à nouveaù lès excellents a n iS ^ loj d eK lp3, sur la f r a i i ^ ^ t a f a u g is qui, SOUS là direction de M. W m é, « àG iheiftà^,'M ; le Commissaire s p o l ^ incessamment. ropéra, v ie n n e h tj^ irô : BiciciEiTE VOLÉE.—Dn nouveau vol donner des.-andîfiims dont. 1 él<|ge •nAsi ri^ p r o f i t jwadi d « ^ r au iBBr«m,-te de bicyclette a été commis lundi soir, à la plusàfaire. L’in effesàn tp ïq g rara» que p râèv w en t depfaisieurs échmifiilloiis i s lire qui seront sonmjs Ag l’M alge Poste, àu préjudice de M. Delet qui é ta t nous avons été hearoei» # H # r e r daM ïémintmre. n estidfGbâBMT ijB^dra l’un de BUS Serant 'égahinani' opéré»'cieusemept interpiét^ei 'j 'ssiPim tres alinieBtB,«»i . : leureuseménU^ancrn —- La Société r% a rg n e .; jflen qu u aii.cn lo, p*wmamwm ; tespimnoH. fiosson..sÇ«^tant, ^flnitivemeafMcoasfiluée ' p l ^ e de contrôle, il a eu iè désagrément I Nous a m m en déjà l'oqcasion sortant: de ébhistàlier ia dispantion.de ici-même lors de-la soirée donm par les’ ouvrier d’urine, ^ de 62 an& [assemblée générais qui éveivartsidftcllriweaar », i_ ’sneeès' 3’ëspritun'p<»faible,-atBspanl vennieui 'ibe.é.fiO^ilBégie. jso t^ . sa bicycletté., iSir, raris ''que Ton niiirae Toujocbs œ s ivkoghes. — Noê Léoo rttÇ C rtg * paa^lt-lhTOSl ce qu’il est d é v è n u :» qaittai»r*»ilo,rJb composé : pold, marchand de balais, à Sanit-I*u- I condrient partafeinéitt d r a jo g u s w a f i î p W î f f i e dejla maison de -«en Lefêvre-Lesuéur ; dEsserent, se trouvât lundi d a n ier en mier ordre, dont noos avons eid ^ fite, 69, réfrde li.3 a to n ; . état d’ivresse- Ma sachant plus ce qu’il de retrouver quetqùésinïssamem. El c’est devant B« public noipbreuX’e r niais a di ^ Bencberon ; faisait, a été ramassé au moment où u sympathique que Mlle Darez; p a ti # * urinait sn tla,vàie,B ^tfm et 1, férrière Ce poivrot mara ^gmement i répon ^_ Dp „ M. Beandequin-EsmerT; dre d’un procès pour ivresse; wj’il a r é ,oï# é**«f>re»- À :J 9 m r-.rA de son déjgart, — _ _ l d i , Braaieii-&zairdlfiï 1ns-' Ccolté lys, qqtf O l ie le l e X4 c iiu c i, »à UShtataire, I üM uiya, u eelle u e intëtpi . 14 JUDw» juBlet uderiner, BCJMU» riraw « aeawMr, M, véfi>ués,'ùBo cî_, époque iKoufeUe il avait dlHiaru sans que I du pays..., ntt un COStttltteaiiA co^m eini.seyam r P M ib ttB . tnès amu panier eoaMnant l’on puisise oépuis mettre la main dessus. I etaenfû ^*^clroeBiA lïit- Oiânraiid rnbti de sant de Trémateqr. ___ anvimn 4* fiSs. et prie enquêteîdé 'com-' I -L e s OnantA JOte Bereins, de lO p B » » -— Ivbessb» ÜD6 ia#siw e t încommt»to est ouverte i la venir po jmnqe,, que nOTrgpgsrt|iqus^djro dellej emWBteiBMAralevâe-1e # t r a f * e s l i | W t . -M m * ,'-* 13 auiSO. eeuEmit.snr'lade- Levassei ânon Léon, f j ^ htiftr i .Mnntiitai r a a ii^ .e a aalodsafion dlwstefti lien.d'un mer, fui-, sur un ta n t casser f d éd ak aèe i gaz ' d’acoiléiie , refusait i u Sainl-Ftrm in. Le 29 seplem bre.-éttà ioar<te fête<teSaiDt-Firiaio,.Clia^DtierLo^, 40 ans, qui s'élait livré à de o o n ib re o se s l^ tions. apercevant les gebdarnies de îsemis, s’écria : « voilà les gendarmes qoi je lès eai^v.». »- A l'addience Cbarpenlier déd arc regretter soo acte. _ , .. , ^ .. Malgré ses anlécédeats fâcheux» il s en lire avec "50 francs d’amende seuleméul* Saint-M aximin. — Le tembre, FavrcI Arthur, 34 aus, charretier, a Sainl-Maximin, méeonîeol de ce ^jnc fc g m e diam!)élre lui avail dans la maljnf»*procès-verbal pour couUavenlioo a la police üu roulage, se livra sur cet ageul à des violences et voies de fait d'une certaine gravité. Aussr malgré ses déoégaüoüs s eulend u iQfliger un mois de prison. Senlis. — 48 heures de prison et 5 d'amende, sont octroyés à Lefèvre Ernest, 3 i ans, qui étant ivre, le 29 septembre dans la soirée, a outragé les gendarmes le conduisant au riolon. _ (ibm ache .ôlfred, 55 ans, marchand de marée, à Paris, qui le 30 septembre dernier, a été surpris par M. le Com m is^re de Police vendant dans les rues d e la ville du poisson corrompu, est condamné à un mois de pnson, ayant déjà encouru plusieurs condamnations pour le même fait. — BocquetAimable-Valentine, 23 ans, sans p r o f e s s é ni domicile, pour remercier sa cou sine, la dame Marchois, de ,lui f donne pendant quelques jours l’hospitalité, est ^ l e le 7 septembre, en dérobant un sac à main, ainsi que divers effets d'tabillement à u ^ e de fenftne. Le lendemain elle est allee *=hez le sieur Fay, débitant, où se disant e” '; o j d e ^ r la dame Marchois, elle s est fait servir un dé-, LO CA U X vins. -il i. ■ •‘•I*f 50 francs tfamende, avee «as* , B Cnims pourwtessé. -i -t* Jxwa^on -dejieux parcelles dmAerraih de & m e'des Sablons; — ' jgohrnitaBri dii .yt^rude pimr l ’éeiair —i><iBi«iiTi pour outrage publie à ta ppdeuTj m.wtr___ »--*- f I «M— Tflff - — Os IvBocîR. — Dimanche dernier. Tessier, ouvrier terrassier, demeurant à Survillers, a été re.ncontré, par le ç n darniede plauton à la gare, dans un état complet d’ivresse. Conduit au violon municip.il, il en est sorti après avoir été gra tifié d’on fffocès-verbal. if ; Γî | ^ “æ î l ^ p e i n e etdit.gn’eBe aeetMfoudraavee-eeUedpdêoxmm» ci drangt. Jfoabfirire. “ JS S M K œ m g â a d e iç g m ,, r.;W m aeunmi'.iivnit. cdiirâf*.M i.e ' ' ’. . Le Sm SsSyi .30 C fé y : SoaÉiÉs. une véi muâcal< dérïiK afin de avant h bres hi lé Fooniniin de vétmnehts anxjhdi- Le-»aoM .T M T b e am t i ArtgégjUB riére,' àù -iBeUlb àmoBBÎlo ZMCAS B Mlct de gp».**dîCTàCr^25tra|^ dans un rTidie, une fmnmè ri chÉrfBSf,- ifest'*pré^ fibM r«BaAi 8 mai» ayan m ftem e s* ^^^yer av santé _ BBffstde; ^ n d m iB a fe iH ^ 'SfliC IB ;retiré ....... )âi&3 .j Tâûîe;________ chon, de fW^BÆ flbiiiqiie, lenrensement riccueini, et g m tamn hs taUnt r n e m fm ridM K .ri’ » ,lc .a g r, h a K 'I '— -fd i é i “ é s i ’ifflHri-rfAnd. - ^ 'V W ce ni M» que - .U l.4 * «fc*' Sarv; ae'jXrtri w rede wifant : fevmiant — ' ■■■— ce d ’elle avw ts T m âm s, n âra.’fflfe .pour. allén _________________i ’Bffitncbii' fHtmamriie éfithMir^sPieu lien-ta ".-r nootriVBffe é a a s Y w d iU è s m » , Je (sàme, de-ifir m m '•.an.-. LE CQümUBR DE L’pKE. A xi« 6 . A a i ^ u i e e s J fo d ie la iM a * itttde de M* Q V E N T IE R , notaire à Chambly'<0i8e).' lU I t ’ PSXIÏ, noiain fc denlis. Furets à Vendre Amds A wmxirt os A louer suabh Htti- tta d e de , âwiftiS4''^nlis. l O flra n e s p iè c e . ta- V a a rg aal ae, k -’ébui. OhaafiUj, avoo vute psro ta n S’adresser à H. (fiôELLE, gardé à •B te zoo des Sœurs eu d» Ssb Chamant,-p^s-Senlis (Ois^), *^907 "‘ Tsdnssoé i H ' Petit, notidre. Gdnis et C'. MÊME E t u d e Café-Restaurant Quai du Cassant, n° 8, K o d if le a tio n d e s S ta tu ts . près A Louer, H ainnn m m f r a n i a à Senlis. rue de la Comelo-Gerf, n* 5. S'adresser à M*Petii, A CÉDER (cause santé) âmds de M* Edmond RIGHABD, notaire à Pont-Sainte-ldaxNxcs. AMN&S DEMANDESJT OFFRES Mielscn areo larAn et S FIA«ea de ? e r r e « t BolSy JBs. commmu^et a p e a fie r * 7 V terroir de Roberral, 4 . rendra à n - e hS'adr-ab Joox^-- m niable. 7 - S’adresser A M* lUehàrâ, lotrire. *■ • ' ^ SÈBILLüT, à Creil, demande i i n b e n fo rg ;é r p iu 7^® Étiidede M*H. BALËZEÀUX, notsire Travail assuré. à Chantilly. On demande, dans une ferme, u n in é n a c e » le mari pour A vendre à l’amiable, en totalité ou les chevaux, voilures et le jardinage, par lots, une P ro p rié té , sise à Chan la femme pour la cuisine et la basse* tilly, rue des Jardins, n* 5, pouvant cour. • convenir à usagé d'Etablisaemont d’EnS’adr. au Bureau du Journal. 805 traînement de cheraoz de cotirses ou de Maison Bourgeoise. — S'adresser A R lé n a g e demande place M* Balézcauz, notaire. le mari comme chef de culture et la femme pour la basse-cour. — Bonnes référencés. — 1 1 ans dans la môme MÊME ÊTÜDE ferme (30Q hectares). S’adr. au Bureau du Journal. 870 CHANTILLY. A louer de suite, 4pparteineB t au premier étage, rue M V * On demandechezM. VELIÎT, ■lu Coanôtable, n* 12..— Loyer : TO négociant à Senlis,. i m b o n c h a r » francs. — S'adresser : rue du Conné r e tie r* — Bons appointements et table, n* 1 2 . chauffage. 873 fga If JoüBiui.. nxbj Lj oAo iPO UPlEIM£U B uL a» " * :m s tr * $ s S » \ im ù u t m t ^ . S. 8 i" rià » ' ' i:.i : g>W| » t e . - îO' r OiraybéaM DM.A1I P ari........... Sàine.. . . . . . Dêpirteiauiu... IDâon poitete'.. 7 fc 8 ir. 9 ir. 11 tt. Dégutementi.__ Dmoajpoitak.'..: le Ditnanche 3 7 Octobre 1907, La vente de 90 pièces de vin, Jtox ' termes d'une délibération à une heure, 77 pièces de cidre, 3.700 bouteilles' prise le vingt-trois septembre mil bière, etc., sera prouvée à l’ac : neiu cent sept, dont un extrait a été par le ministère de M“ QUENTIER, de ^ o s n s U d u .a ir u déroUtt-'tüZ KÉMB ÉTVDB quéreur. ■déposé au rang des minutés de notaire. La Pmmis itodUt, dbigte avao te S’adresser à l’Agence ROZIAU, de Guilledtette, notaire à Villers-CbtteA vendre à l’amiable, H nlann dé moralité dont la Journal des Lemoi- faire— rildm on n a o v p M -T ir^ r’* Crépy-en-Valois. 8 6 6 rets, le cinq octobre mil neuf cent Cette vente comprend : Cnmmere« arec jardin, sise à Coye, Selles a oonstammant dcmné te pranva, bê'lenr TPAigé’w*' sept. en la me Blanche. — S'adresser & u t antrée dam u qnaaiüèma Ipppar teai iiitt _ Batterie de cuisine, vaisselle, poêlePetit, notaire. L'assemblée générale extraordi t u ^ MX tnivaui, k L’édncation dé te petit, filla -pai naire des sociétaires composant âa cuisinière, buffet de cuisine. smns du mteaga, tel est le b « ^ ^ Mupée, telle est la A LOUER Buffet étagère, table à trois ral Société en commandite simpie par oUeation, vivomuit . M i l » Et v b b sparts d’intérôts « E d . d e C o r n o îs longes, fauteuils, chaises, canapé, nûBes: o u rù iù __ ^p__ -—.p .ji— _—U plus modiques, e t ci« » , avant son siège social à glacé, baromètre, cartel, pendules, la znère'^ trouve mmnts tnnseignemuiti jours crdssant l'autorisent k a S l utiles, et resl'ént dés lectozès attachautai, qnfil ne's’en est jamris émrté. Vapoieones, a .décidé de modifier les candélabres. A[ vendre par adjudication volontaire, A S E N L IS ' Musique. ; - Moti&{ ffahnaraOsi. instructiras, des amusemanta tonjouvs Mnleon, iléon, à Lamorlaye, sur la place, du Armoire à glace, atatuts de la façon suivante : Uauvasux, dos ootions de tous ces pati^ Fusains. — Abatjour. — 3, rue de Bon-Secours. Puits-Bray, le Dimanche 27 “Octobre Couchette, sommier, matelas, cou d t e . — Câtendrier.ie» -èhrtes noBri!? tniTaux qua -las fanmiaa doÎTcnt eonI ; — A ddition au paragrahe neuf 1908, à quatre beui'es, en la salle de la 9 T J e u n e f ille 9 18 anS; nattre, atauxquala, grécoi nos modèlai - Nappe k thé, - T ap isseriaiiS î vertures, édredon. Étude de. M* LOMBOIS, notaire de l’article sept. Mairie. — S'adresser à Petit, no sachant coudre, désire place femme •t à sot patrons, las tlUattaz' dnitlea gnss. — Adphri>ets.-*--€ii|hsr S S fa S’adresser à M* PETIT, notaire. 726 taire à SenliS' à Précy-sur-Oise. Un coffre-fort. « La vérification do la compde chambre, — Ouvrages de fantaisie. —LingaSS presqna lani s’en douter. ; Linges, effets. < . table. — Quatre panoramas, d c ttd ^ « tabilité et des livres ne pourra S'aür. au Bureau du Journal. 880 Elle donna elutqno~moit : A vendre par adjudication publique eolorite; M o d e stfétéetd S » ?^ "** Outils de jardinage, pompe Colibri « être faite que par les membres 7>t volontaire, an c IHalson BoourK É n ^ raB E 1*48 pages de texte'-: Instruction, Garde-chasse, 45 ans o du comité de contrôle seuls à et réservoir. geoioe, sise ASaint-Leù-d'Esserent, en Seesoper sue mandat dOMàts ife rè » ittératura, éducation, modes, biUioa qui les sociétaires donnent Et autres objets. la rue Coquerellp. le Dimanche 20 Oc- sans enfant, 15 ans même maison, raphîe, reTua.masicale, aie. du Directeur du Journal, A vendre par adjudication volontaire, tob'^e d e VL LOBGEOIS a tous pouvoirs à cet effet, re 19Û7, à deux heures de relevée, à désire place. Si, rue Satnt-georfesT' Maison aro e J a rd in , A . Coye, en la 2* Un .Album de 8 pages in-4* : Bro S’adresser à M. RAOULT, à Tmen l'une des salles « nonçanl à exercer ce droit, Ce mobilier dépend de la succession 8 , place du Paon, eue Blanche, et f O a re s &5 c«n S.iînt-Leu-d’£s$erent, de la Mairie, par le ministère de M' milly, par Crépy (Oise). 885 deries, travaux artistiquas evec explica WSTOS oxasoiT D’un nüiiép,o arioimni « soit par eux-mêmes, soit par de M. DAGET (Edmond). tia re s de P ré , au terroir de Luzar* tions : leçons de choses, modes, fonnant A C R É P T -E N -V A L O IS « un autre mandataire; les memehes, lieu dit le Roncier ou la Folie, le Lombois, notaire. Voyageur : homme ma à la fin de l’année une eoUaction de nlisi Dimanche 27 Octobre 1907, à 2 heures, « bres du comité de contrôle Cette vente aura lieu expressément de 2 0 0 dessins. rié, sérieux, 40 ans, demande place C R A IID C H O IX à Coye, en la salle de la Ma'ise. ^ i< conservent le droit prévu par au comptant, sans attribution de de voyageur bonne maison de vins 3* .Une Fouille de Patrons grandeur U TOILETTE C E s T i F l i n HÊMI ÉTVDB S’adresser à M* Petit, notaire à Senlis. D B <1 le paragraphe suivant. » Beeuett de Modes —f-ntinu, en vertu d’une ordonnance et spiritueux eu gros, de préférence naturelle et de Broderies, ou des Pa aeualités, trons découpés. P o n d » d o C o m m e r c e KS, van Ruia t iOees'gaia, FOrb M. le Président du Tribunal II. — Addition au paragraphe ri vendre jpar adjudication puWiqu< dans l’arrondissement de Senlis où civil de Senlis, en date du to oc «■ tons fe n re s : 4' Une ou deux Oravures de Modes premier de l’article douze. ita d t de M* DELAUNAT, Botaire et volontaire, H ajson, sise à GouvieuXv le postulant est bien connu. — Bonnes coloriées. Cette charmante publicatloii, fitiu, tobre 1907. route de Boran, le Dimanche 27 Octobre références.  rendre : Voitarette. Automobile à SenlSi» aux mires de famule q u iT o e c ^ ! a Le bilan et l’inventaire se 1907, A deuxhenres de relevce. à CouS’adr. au Bureau du Journal. 8 ( CottereaUf 7-8 H. P., deux places, arec 5* Un Modèle de Tapisserie coloriée eBes-mémes de la to’lette de l e n t i ^ « ront à la disposition des sociévieux, en l’une des salles de l \ Mairie, nombreux accessoires,* à l'état He neuf. ou Travaux d’actualité. fauta, ofie, chaque mois, k tse né^ ri vendre de gré A gré^ P ro p rié té par le ministère de M* Lombois, notaire « taires au siège social, peu- ments, à M ' Q u c n tl e r , notaire H B T - M. MALINGRE, seUier breusea leenoes : A vendre également : très belle ComMjgne en parfrit: état, à FleuFleu APrécy-sur-Oise. « dant la huitaine seulement qui Cbambly. T91 Armoire Béarnaise ucienne, style de Sentis, demande un apprenti ou Uns Causerie sur les modes *„f,rines. 10.724 m. c., entourée de murs, Choque livraison renferme en outre : tinas, K précédera la réunion de l’asun |eune homme ayant déjà illustrée de croquis explicaS/^ Louis Xni. comprenant : maison de maître, huit « semblée générale' annuelle De nombreux Modiles deRobeamtravaillé dans la partie. 895 Cartonnages coloriés - Fignrines Âu^re bureau seul dans ville de 2 . 0 0 0 pièces, deux mansardes, cuisine, com Etude de M* QUENTIER, notaire « ayant pour but la présentation peaux. Manteaux et Lingerie, p o u r ? 'habitants. 1.4CN) kg. tabac, 40ÎOOO fr. muns^ éenries, remises, buanderie, bassei Ghambly (Oise). Études de .M* L ouis..E S C A irV » l'épicerie et burette. Prix : 10.000 tr. t ~ Jèime homme de 14 à découper — Décors de théâtre - utee filles et garçons de tons les <1 des comptes. éouv, jardin d’agrément et jardin po Un-el souvaUf deux Patteusïgee. ans, fort, demande place apprenti avoué à Senlis, S’adresser ponr visiter è ^ u z antriu bureaux arec épicerie, tager. Patrons ponr poupée o Les sociétaires pourront en B£. Biet Ris, entrepreneur de maçonnerie ri vendre ou à louer une p ro p riété boucher. 7 , rue de 'ViUevert, burette et hôtel. « prendre communication, sans Qae Oravure doHodss vtilwKî ° Surprises de toute sorte — Kaslque à Fleurines, et pour traiter  M * Detppelée le Moulin neuf, située à Cham-S'adr. au Bureau du Journal. 896 Petit fonds de eoüFenr, dans ville de « déplacem ent, c’e s t-à -d ire et de H ' M I S A B K , notaire Un Courrier eonununiquaut lamay, notaire. bly (Oise), sur la routa nationale de rensêieiieBienti. «■ dans les bureaux de THsine, à Creil. Paris A Calais. f ■ S’adresser à M*Qoen iV r* Bon charron marié, Epicerie, quincaillerie, me^arie, dans Envoyer un «londst d t posu I te CoBsafl pratique, — Dte tefi « soit pair eux-mêmes, soit par tier, notaire. très sérieux, dèmande place assurée. chef-lieu de canton ; on se retire ^ rë s ntee et Isort sotettens, : -N** à Tordre du Direeteur. < un anmdataire qui ne pourra « tK C . Et d b e S’adr. au Biireau du Journal. 900 ù7" Bafin. une Planche trimeetrielk, «*. « être qu’un antre soc^taire. U‘ Café et billards dans pays remuant m m ~ M. BOUCHER, épicier à E utoI gratuit d'un numéro qtéohMu etde< MÊME ÉTUDE « Bs ne pourront exiger da ' entre majeurs et mineurs, . Sploerie^. mercerie, bureUe, rouen* ’ ri lover à l’amiable, MâIoob, sise A à Crépy-en-Valois, demande u n Senlis, rne Saint-Prambourg, n* 8 . « remise des pièces ou dé copies ôêne dans rille tout Afait ouvrière. *1 8 « ' cUtns 904 DE divers, oomplite ITienrenx enséodd^ ri louer à l’amiable, pour entrer en apprenti. « quelconques et, après le vote Excellente auberge de village, .que S’adresser à M* Delaunay, notaire. oe journaVteîÈiiensabl*. oonséfilid^ S jouissance le l*' janvier 1908, an g ran d l'on cède après fortune. « de l’assériiblée généralei le ' les mamans économes'ftt On demande im méi e t bean H onlln, appelé le Moulin de . « comité de contrôle aura seul ^ Commerce de vins en gros dans musMenneeourt, situé à Ghambly (Oise), sans enfant, le mari pour le sennce K tM l tTV PB préfecture. « le droit de demander la corn-: sur la rivière d’Esches et la route natio intérieur et le jardin, et la femme S’adressant k tous Max qid, a u Oircos'tMflesjt dépeaduces « munication des'inventaires et C Parfumerie, peignes, brosserie, au un sumdot ds,jMit« d P itè nale de Paris à Calais. hencaxds loirin,4 qiTès les travanxdate pour là cuisine et le ménage. ri lover i. l’amiable, par petits lots, centra de spus-préfeeture, a bilans approuvés. » S'adr. au Bureau du Journal. 905 ionmée, cherchent k s instruire et k a sise à A P R E s ié l '» ’,• Bonne horlogerie-bijouterie à céder w i.lla ra is , sis à Senlis, an Petit Ma distraire, les Lectures pour Tosu, m» rais et les Prés* de la Fontaine Cro(^et. UI, _ Paragraphe deux de l’article ■; . . i ^ e d u Touche, pour ciuse de décès. pnbUe te làbrairie Hachétte et {T’osent E M s e é D t e a r t M e i m m a s : « busL On demande o ri ; Etude de M* MAUOIN, notaire ' ^ S’adr. à M* Delaonaÿ, notaire. I I n lM ip o e tt ie : 2f c .* a ^ douzfi. . recueil le plus attrayant qui ait jamais à Verberie (Oise). boucher >r sortant d’apprè'u^ssagé. d’apprfeh___ ' le A V E C J A R p X N été offert 'k la curiosité ite S’adr. au Bureau du Journal. Les mots : . situé en face de la maison, que numéro des Lsoturts poser • Tous commençant le dit paragraphe, sont p C irande S é le rle hydranliaae» MÊME ÉTUDE otbv une variété tie'sujets On demande h o m m e forme rem{dacés par les mots ‘ *— ET' , ' connue sous le nom de Soierie Soierie de Vertouiouts attachante et p____ berie, avec turbine d’une forcé de 18 _. marié, à toutes mains, connaissant Aussi éest te revue m â tié e -te ,__ comptes du gérant....: » C e n ’e s t p a q M s e ï S t e d i r e - n a t d b a m ri lover, pour entrer en Jouisse chevaux, sise à Verberie, chaussée des le jardin jjôtagef et sachant conduiré populaire, et son ImmMim suèsis va n u n a i m d e t e T i l s M e u ro u M ^ a lZ de suite, S E e a rie s de deux boxes Moulins, A proximité de la forêt de un cheval Une expédition de l’extrait loi^mBxetoisaaiit lO ^k>ancs p iè c e . chacTme, g ran d e R e m ise pour quatre '■ de la délibération dont s’agit, Compiègne et A 150 mètres do la gare S’adr. au Bureau du Journal. 912 sises terroir d’APREMOW T voitures, deux chambres de* cocher, de Verirarie, à vendre ou à louer . délivrée par ,M* Guillemette, . S’adresser à NAUDlN, garde , Paris, < fiaass m n d Renier, cour fermée, le tout mis de suite. — Maison d’habitation, ma (Oise).' ■ notaire sus-nômmé, a été dé On demande un nour- D^srtaments, T 1 9 fcChamant, près SenUs (Oisé). 908 a neuf, sis à SenUs, rue aux Chevaux. tériel travaillant, vastes b&timents, posée, savoir : au Greffe riason au biberon, — Soins LeomérOrfiO oei ~ S'adresser & H* Delaunay, notaire à hangar, chantiers et terrains. — S’adr. dévoués. L'adjudication aura lieu le ' Tribunal 'd e Commeree t e l ^ m o n d a i n e , t e m iH a l e , e h s r i ta U e Senlis., au notaire pour tous renseignmnents * J S S * * • ' • à n to d a e n e e n u n n m t, Senlis, le quinze octobre mil Dinifti&ch’e 180 O c to b r e 1 0 0 7 , FORMONT, rue des Fontaines, 4 , pour traiter. — Grandes iàciBtés I V O l l e m u e n e p e m l u t t e irr enatts e h a t M II le A V P B / D B E Chantilly, 9 1 3 à deux heures de relevée, mil ne'df cent sept, et. atr paiement. F îe g e u é s u i s . O n T 'a t t e n d ' G nSb d e la'iustiee' de..I?aar Étude de M * FÈRTË, notidre A SenUs, BON èa M-iwIls d« la Halria a v e c b a p a t i e n e e I B U e I ■ M, MLÀUNAY, à MontKN BON ÉTAT ' adç^^tôh-'de-t^P K -'lb seize tiè la ooinawns d’Apramsat (OIM), m e Bellon, n* 18J| s a b l e s s a t i s f a o t i o u s k t o i CTésin, demande un charretier s le s t m a a o d p É w m l neuLceptsept. poim P s n r a i B ET > ■ k t o n l i s l e s t e m iU e s . ■ÉM I ^TITDB j et par lé mnistère'de'M*'I)ÉsÀîŒ, d e culture, Cl — 110 fr,, logé, 916 - A éènàre à l’amiable, « n e Waiaom ^Si^^TSA l?nE-liElJV E. ' ’-’& r ë à'Crea, 8 0 e « n è . l e ld lo g . .1 TA•.1 . t , A b o n n e m e n t s : U n a n : F r a n c e . 7h I > Essoreuse, Bac et Cuves en tôle de H anport. — r d a ^ d ia et a a e oUT" Garçon jardinier sor S’adresser au eorJUUMSDM Z’OMfi H aiao a B oargeoiae, sise A YerPiéêe de T e rre , ritoés ANantenil-le- b«rie, l r n g e r , « f i r .- .U K % Ç O N a iA ' ' ' i ’adresserpourlesrenseigstements : galvanisée pouvant sérvir de réseiVf Handouin. avenue de Compiègoé, n* 25, dé- tant d’apprentissage, demande place ... ' S’adresser A M* Perté, Bendant de la succeesion de Mlle à demeure, voir, , . eure, —Excellentes références. notaire à Senlis. , A ift» L o u is Ê SC A V Ÿ , avoué à Mahieux, à vendre par adjudication ’ S’adr: au Bureau du Journal, 915 JBhohtne à vapeur force 5 chevaux, ,^ili% i|t<#|1 iuivant là .y ^ te ; volontaire, le Dimanche 17 Novembre chaudière timbrée à 6 kilog. 1907, A2 heures de relevée, en l’Etude MV* Jeune ouvrier à toutes - Et à H? -iDÉSABIE» notaire à . U n H A N G A R , d é m o n t a b l e à S ^s. - . MÊME ÉTUDE et par le ministère de M* Maugin, no inains,'demande placé dans l’indus caibier ' d&s de 72 mètres superficiels. Creil taire. trie (Senlis ou ses environs): charges. A louer ou i vendre, H aiso n à SXditeSSèr chéz Ml SERVE, à Séry. S’adr. au Bureau du JournaL Senlis, avec jardin, orangerie, com JlagDeval.(Oise)e }, , j muns, eéu et gazl'sitné rué de Mëaux, É t u d e d o M- J u l e s ROBERT, n o t a i i ô n* 11, libre le P* avril on .le 15. juill t A Baron (Oise). tM c| D B B R W s hnjqsièr 1907. — S'adresser à M> Férié,, notaire. dé première inslaoce a l^ïeatt-Saintecllesèntîe, ^ cinq juin mil 't t u f cent ^ri vendre Al’amiable, o a e S afao s, ré et signifié sise A Montlognon, et, divereee Pièoee MftME iTODE de Terre, Pré et Soie, sises terroirs de de HonsieuroÂlisâi Baron et Montlognon. — S’adresser A Pour *'t«àei les taienlou 'pepta. t --.I*. w ; r adieWndéti,âr.Éiîeoiq|elte manOOi 1 . __ _ . M* Robert, notaire ABaron. t 4 l’amixble, l^ id s w Rveo rii b b a tlH ^ e R r W N ord, dépensées, ie8(_-^ ____ cour et Tarahp situées D E T O U S S r â T È M '^ .B é n é p c e b n i t ;S S -a J fé ju è i. a u J a u rn a i. à . «nw: fauborôg de ^ D flèè^ ^ rt; rue du & Senus: *o»U dsEsnie de riw«%»iaieiB» éoli w l l ^ e roiw ^un e: 't-'S’adr. àh Bureau du Journal, ' 889 Gué-de Pontp R* 10. ntetconcluant S’adresser AM* K iM I ÉTOSK (ire acaoii.p^ée dbhi lia it* . tiB (iaîflîiireil 8S-Piiil&MTiiris Jerté, notairee itçn?P A .Ü XaO) A vendre par adjudication'vblonttirè, à Baron, en l’Etàoe de M* Robert, no a rS m U r trè'ame-Ber "Ëtudd deld* F blix LOUAT, notaire taire, le Dimanche 27 Octobre 1907) a Monsieur m o d é r é .' ' à SenUs, deux heures de relevée, par le minis , « Z X J » K s iÉ c o H in É ; u place de iaHsai«, n» 42e tère dudit M*. Robert, a a e P n k p rlété dit ll« D lte rb è > B èargealae, sise à'Baron, me et porie 0 " g é n é r d e d’Assnrkheés éontré les A 'Æ 0 » iU Pour traiter, s’adresser à i xgencei: - r i lonier, Mainiftir Béagyeainc. sise de rEenetette, et une Hmisea d’Hobi- A«oid.M* te te-ll*x|wilMMItté'’«lvll., ***** * tollo% sise à Baron, rue d'Enfer, à iuipsg» du TouPtie-VUle, Pann R U * P t t l ï T - 'W l L L baissisr ROZIAti,.'Fdité .de Paris, js.Crte numéro A — S’adresser A M* Louât, ta-^ŸateiS (en leuble de te 0 “).: W m ’ avek _ tfîtlU m tq o n r s .d e I u m u ^ t e ^ d ’e m ; é o y ir Étude de M* MÉRELLE, îL 'vtOîiÂ’v,., „ Capitel : fi. 10.000.000 dont llî vwsé. kgradjué en droit, avoué k Benlis. Primescnce ' iFées en 1905 : fr.J8 R4 4 5 8 5 0 , Œ tà s DE PBIT8 DE H f im A tujdb H à té rlé i {èonplet et en bon état — Réserves; eo rl9 0 6 :fr.ll8 6 i, touto'pte/'os. lyés depuis te fond de H areeli.l-F orgter«a.S errai|ei% — ShtistT' deur, b t^ e m p fie h . t o u s l e s a e c id e u U , ?riAoilCr, R ôjkIm , avec à v e n ^ aux enchères publiquesi pôSr tf. mooo.( ma «m i n t u 1K » m i H u g e l é s - - G Cave, C^aiobrede DbmM'tiquè, Grëmer, caus6 .de départ, au dqmicitede M, Dnp n w ' W . p M « ’» L » * in B l' l e 't e a S tle a « ta ïô .i S r e t s à r ^ f é i doigdfefy;) U)àr et 'VITfitoiMidbsètiib'* Mse^ A Senlis ronsoy, k Barbery, le Dimaodhe 20 lOc-, ■•WWW'i.Syatème-. bsurvet*. itkas lu riiè d e . M e ^ / V 9.-— ;G’adrèsser A cobra' 1907; k une hënre' après-'naîdi;' par ~P'ônr“I S » i S r “ “ -ewit- situé ftttia e ç P i a ^ - e a t e a gnris d M Donél.. JsOtiltéS le minîstéèé dé'W*’MéreUe; - ■- - " 1 - '. -V a llnillvldiiéll* contre les ac^ ^ ^ ^ » » ^ te s p m > ÿ c o m f.-rtï fr c --Il ;■! : ■J'î'ViPC SÎKI-'i'ÿr î ; ddents * 4 m i« iiite r e , g » . raaciiii ei E’adrfauiButeau-du JoiirÀâii^G> 781»“ n o ü te « i," * t= f • ftiéto .. ' vitodes - « r - )Affbire ■) ' tectes,îpr<a««kirâ'd’ vm sàïawyt'ïBF -' '••-rï-j-T .. , , . . . . ' menhlex. ^V flj ftanooduoeéàlogueainsE^e dn d^ütoota du d b m ié l oéàM ooa-à S’adresser audit M tA b e o S e f-iM é A .ta^ 'b le, 1$ |lé a |iM a m^é^nti-GMBier au■ : : dSt® ri “*i V'ifi'févriar'1902 et>Im m' m- f ï najdo Amiix, 'J ' ette,' . r i g u e u r l e 19-fifirier lJIBS, . . . léoqat. I ' njéQpjcênt L O U E R • d» IteNhàéhiébliné^ptéS’annxssite a mm ; .li ■ ( ftttloiih.ll. des médr Maison & Jardin ÎVSSSilK6;‘S s E i S CABINET D’ÂFFAIBES VENTE SUR LtOTATION Lectures pour Tous. Une M aison î U VIE HJEUREBSI FURETS 3 Pièces de Bois S VlfifX JOUffRlUI Mitiiieliiilltiiitlijssiri (ÜiB Burette aV if IMPOBTIMT tC P E l e QARE s m m u fiiim E s t» r DISS8S DE PUITS CMiitimS m jl re s ti LA K A B I L I N E a>Munt࣠’’É{fioés''ds H^ DÉSABIEi notaire OO ut « t :-' iUrat(Oise), da^X* LAIKEs, notairo A Vierzoa <Çher). t. d e k A is a sfeë"fc‘ totalité on LA K  B I L Î . ^ E pttU» u t 'rMtMM* | I '.Poar rgaéra ‘•ri-CLc.’i 'ê -i"'. -.^-LtVv\tV ' LA K A B I L I N E e fesséunc'btè, senteele VoletlkiDétoui- • Otutien* ' L. JO N E T ©t G“, à R aism e «tiiiéiité, F o u r n iim u r s d e t e C o m p a g n ie d e s C h e n ^ d e f e r d u N o r d d e s ' c h e iB iM ( t e t e r d e P a r i s k L y o n e t k l » M é Æ t à r r a n i k , e t d t e u t é e s ^ d e i C o m n .- i g i ii t e ' t ia s i q u e d w i , g r a t f d 'n iM t tb p e d e C o m m u t ie s . * ^ ‘ ,F r. 38.150.94& plxééé «fi inuncDMes, réDtes, etc. ilO M B R R U m —PaFticlpatiAQdesAssnrésaDzbéaéfiees id tons “ T aresser à Suivant n o l^ ■ fineafoen OBA»^TeBVB GRAND I i'tmliiniâprT ictoire A «M e4 fij- «eJL-éli , .-et ftil 'uTtàtr. à s s UDmisUrane se Mueastm- m m » fci ûjfc le ,t=béfi7S » proapM e s ifa B E A Ü JO L M S Adjudication,, eu te'MaPie.de Pont1, lé Dmiancbb 2 7 Octobre 1907, : hénéeside .rrièrée, par te ministère Mt-'3wsB>lUaui)S, motairei' en .to «,deM’à2M«»?,-!g>t»i-e. ,de S |^ :;çi.é5 j-Ui tk céder S’adresser py-en-¥ «7i: tet i-ia 1900. ! .. - r r lt e d e P a r is , R e p r é e e n t e p a r H T « t t l J I S B f i » , a r o - .g é o m è t t a k C h a n t â t . S’adresser A M il. B . llA H O lf et B . U E B U C *. m e - des Vétéramu ootaire ÿ âè- é-'i ncàiL, « t de M* BEAUCHAMP.3, nq^jy. ncei'HOZIAU, à iCMp;Mio*-¥auiifi M epeli aee Xne in m J sm ite's^ U U t^ .' R t F t lim o n Ponctionnant à plus de tOOmètru. f u n i l E DB JOH * NOtt CnCOUII d e l a C ' - V e a ia :Ç ( : â ; , 885.Û 0O . JéQIttUlZ, lO iW h W W iiH té i fc^|^aji^i«gjg22S222 BUSSAMGrJ-idvriWT ONppDE^yce d è s n it e à S é id is e t d a n s'là '- : p r o p r ié t é s . d e n g ip o r it < F a ^ chftteaoite' fennasu-temnqiidfiçsàêia: ëiisW esntoBsgs,; qsineejv pairies, OTS,.n)ogIins Dlstufe^r teçies; quimteiuene'a, entréprisés de. tpqvaiui, cehsUàctjons) liLeafiis^'eaj transpo^V.'htBssetLes',’ -disüHmaçàï drogneries, ' conserves, hoiuangeries,' teqÿeq çha»ss.ui«8i tailleurs, restsufànfà-vidé, -Si^tuei fiée. çt6v;swvftiwt«mfaep( assomës,’'’Minmailâmtires; mentSy-éaintanx- polir si l’industrie S’adresser a te UBO:- .L'E n» M estLla aUKlHARBI^hOtdire i. iiii kX lajiiiurti -A., t e m a n ^ M ié ie , u n é ld a M n t Himjl»U;J E«I»riM J»ntig«éé,„.évee xn jupdin. liees u-^nJ-Sainte-Ms. ee,. ente. .pi» un .-Moutlep ..V a it. éftlejfhm . ., ■ ;:(^ * a n ^ j. .„ ;W t i 3 # ÿ â î r a É | sk etcSAi'i-veadxe ptoQa phS'iiiiimHapte ipaisgn dé Fapis. ' teniipit,.3 Igise eA rapport directe e t inuaDdiatè entre.l offieet te demateié. ffiisoré: m garantieh S udejdes affaires eue, î . ifeç.'-îM- .Sïtiy.'; A -.' cBHHUM y F o if l ^ - d e G a ia o tie I- LV'.Ü,-.'': 7 «; '* |g S Ü R A I ii> E 8 ;'iS B I f e 4 »7aiteaF? y i e e n t i é r e - a i x t e i k A 'l e r m e f l x e - A a s a n m e i i s d « a i « i - C a â ^ ’d i f i ^ ' . . — k t n ù t t é lA A V a n a ’ u irV c ia ' 'm «aridfX't: u m n d l rf.'î nu salît:') f-.W’vr' ■■ J v 4:1 le i I aprÉ