Info APEPA n°96 - Université de Liège

Transcription

Info APEPA n°96 - Université de Liège
BUREAU DE DEPOT : TINTIGNY
AGREATION : P 102010
PERIODIQUE TRIMESTRIEL
Belgique – Belgie
P.P.
6730 TINTIGNY
II / 635
Editeur Responsable : Freddy Hanot 417 Route de Gembloux 5002 Saint-Servais
Décembre 2005
Les droits aux soins des personnes autistes
L’intégration scolaire d’élèves tributaires de déficiences
La Journée Nationale de l’APEPA – Compte rendu de
l’intervention du docteur Defresne
Etc.
Association de Parents pour l’Epanouissement des Personnes Autistes
Sous le Haut Patronage de son Altesse Royale
la Princesse Mathilde
Rue Léanne, n°15 - 5000 Namur Tél. / Fax : 081 74 43 50
Table des matières
Editorial
p. 4
Appel à témoins
p. 5
L’intégration scolaire d’élèves tributaires de déficience
p. 6
Hippothérapie à Liège.
P. 11
Exposé du Docteur Defresne lors de la Journée Nationale de l’APEPA
du 23 octobre 2005
p. 12
Droit aux soins des personnes autistes Complément de leur droit à l’éducation
p. 18
Congrès sur le X-fragile
p. 31
Agenda et Agenda des formations
p. 32
Info – vacances
p. 33
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Editorial
Tout d’abord, tous les bénévoles du Conseil d’Administration, du Comité de rédaction et du
Secrétariat de l’APEPA asbl, vous souhaitent une bonne année 2006, beaucoup de bonheur pour
les familles et de satisfaction au travail pour les professionnels, et aussi des progrès significatifs dans
le respect, l’accueil et l’accompagnement des personnes autistes que tous, nous défendons.
Il est vrai qu’il y a eu quelques belles avancées ces derniers temps avec la reconnaissance de l’autisme
comme handicap spécifique en septembre 2004 et le démarrage de deux Centres de Référence et de
Diagnostic en autisme en mai 2005. Mais que tout cela évolue lentement lorsqu’on considère les
problèmes concrets que les familles rencontrent au quotidien.
La situation n’est satisfaisante nulle part, pas même à Bruxelles, capitale régionale, fédérale et
européenne où elle est aussi très interpellante. En effet, de nombreuses familles voient les besoins de
leurs enfants non satisfaits. Une étude est en cours pour objectiver cette situation déficitaire, nous y
participons activement. Vous pouvez si vous le voulez apporter votre contribution à cette étude en
répondant à l’appel à témoin que vous trouverez dans ce numéro.
Le droit à l’intégration dans l’enseignement ordinaire des enfants porteurs d’un handicap ou d’une
maladie handicapante et l’organisation de cette intégration, est une de nos vieilles revendications.
Nous avons donc rejoint, dès ses débuts, la plate-forme lancée par la Ligue des Droits de l’Enfant. Le
Professeur Detraux dont nous reprenons un cours donné à l’ULg, est engagé dans ce combat depuis de
longues années et allie expérience associative et savoir universitaire.
Si vous êtes intéressés par les droits des personnes autistes ne manquez pas l’article consacré aux
droits aux soins et au droit à l’éducation. L’auteur de ce qui est en fait le cadre d’un exposé, est
Madame Evelyne Friedel, avocate spécialisée en droit international et présidente d’Autisme France.
Les droits qu’elle a relevés dans la législation internationale sont bien sûr valables pour nous Belges,
la Belgique ayant ( sauf exception ) signé les mêmes accords que la France.
Notre association est par nature attachée à la défense de tous ces droits mais il y a deux domaines qui
ont particulièrement retenu notre attention : le domaine du diagnostic et celui de la non-scolarisation.
Nous partageons en effet les propos de madame Friedel sur la nécessité de voir les professionnels
utiliser des critères diagnostiques reconnus internationalement comme des critères scientifiques. Nous
partageons également sa dénonciation des trop nombreux cas de non-scolarisation d’enfants avec
autisme, non-scolarisation qu’il est à nos yeux impossible de justifier dans un état de droit.
Malgré quelques avatars (blessure d’une intervenante, premières neiges !), les résultats de notre
programme de formations 2005 ont été encourageants et nous avons donc décidé de le continuer en
2006. Il est en cours de finalisation et paraîtra dans le prochain numéro.
Enfin, vous verrez que dans ce numéro nous nous préoccupons beaucoup des loisirs des personnes
autistes et de leur accès aux activités de plein air : sports, mais aussi découverte de la nature. Vous
trouverez une liste d’organismes particulièrement actifs dans ce domaine qui pourront vous aider à
organiser des vacances épanouissantes pour vos enfants.
Nous vous souhaitons encore une excellente année 2006 ainsi qu’une bonne lecture.
Freddy Hanot
Président
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Chers membres,
Dans le cadre de différents travaux entrepris par l’APEPA, nous sommes à la
recherche de personnes (membres ou non membres) qui seraient prêtes à nous
consacrer quelques minutes (ou plus si elles le désirent) afin de nous confier
leurs réflexions
• Sur les offres actuelles de services en général,
• Sur l’accueil des enfants avec autisme à l’école
Toutes les idées sont les bienvenues, qu’il s’agisse de difficultés rencontrées ou
d’exemples de « bonnes pratiques ».
Nous invitons les personnes qui souhaitent plus d’information sur ces travaux,
ou offrir leur participation à la réalisation de ces études, à contacter
Maryline Vincent (coordinatrice)
au O81/61 67 08
ou 0473/61 43 16.
Solidairement
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L’intégration scolaire d’élèves tributaires de déficience.
Fort de ses années de pratique, le Pr Detraux nous a exposé sa conception de l’intégration
scolaire d’élèves tributaires de déficience, ce 9 février à l’Université de Liège. Nous vous
proposons ci-dessous un condensé de ce cours ouvert, auquel nous avons aimablement été
invités à participer. Bonne lecture !
Psychologue et pédagogue de formation, professeur à l’Université de Liège et à l’Université
Libre de Bruxelles, conseiller psychopédagogique dans un centre pour enfant IMC, membre
actif de l’Association de Parents et de Professionnels autour de la Personne Polyhandicapée,
J.-J. Detraux a, depuis plus de 20 ans, l’expérience du suivi de projets d’intégration en milieu
scolaire ordinaire et en crèche. Il est membre de la plate-forme « accueil de l’enfant handicapé
et de l’enfant malade chronique en milieu scolaire ordinaire », plate-forme créée à l’initiative
de la Ligue des Droits de l’Enfant.
Le cadre.
Dans le parcours d’apprentissage et de vie de tout enfant, l’entourage social relationnel
s’élargit progressivement. A la relation exclusive qu’il entretient avec les parents s’ajoutent
peu à peu d’autres personnes de référence, telles que l’éducateur spécialisé s’il y en a un. A
côté de ces relations privilégiées, s’inscrivent encore, pour nos enfants, les interventions des
spécialistes, complétant celles entretenues avec l’entourage social proche, et enfin la société
en général. Dans ce schéma interactif, chaque personne réagit à « la différence » selon son
propre vécu, selon ses ressources, et selon sa propre conception des potentialités et des
limites de la personne porteuse de déficience.
L’intégration, un processus.
De la détection des difficultés de l’enfant au projet d’intégration, il se passe parfois bien du
temps. La décision d’inscrire un enfant handicapé ou malade dans l’enseignement ordinaire
relève d’une démarche qui se réfléchit, se construit. Il faut étudier ses implications au niveau
des différentes personnes concernées, cerner et assumer les difficultés auxquelles il faut faire
face et veiller à évaluer son évolution. Il ne s’agit pas d’être ou de ne pas être dans
l’enseignement ordinaire, d’y placer ou d’y maintenir l’enfant à tout prix mais de prendre du
recul et le temps de la réflexion.
L’intégration, un choix de vie
Les parents qui s’inscrivent dans cette démarche aspirent comme les autres à offrir à leur
enfant une bonne qualité de vie. A ce niveau, un des premiers avantages de l’intégration est
la possibilité pour l’enfant de s’épanouir dans une vie scolaire proche de son domicile, sans
contrainte de déplacement ou d’internat. Ainsi, la fréquentation de l’école du village ou du
quartier permet de maintenir, tant pour l’enfant que pour les parents, un réseau social de
proximité.
L’enfant aura par ailleurs l’occasion d’apprendre à gérer, en situation habituelle de vie, sa
situation de handicap et/ou de maladie. Il lui faudra cependant supporter de se confronter
quotidiennement à la différence, et de devoir produire un effort supplémentaire pour
« rester » dans le groupe.
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Découlant d’un projet et de choix conscients, la démarche de l’intégration repose aussi sur
des valeurs sociales, dans la recherche de l’établissement de relations d’adaptation réciproque
entre l’enfant différent et ses pairs sans déficience. De nombreux enjeux ont été identifiés
(voir Livre Blanc : Accueil de l’enfant malade chronique ou handicapé à l’école édité par la
Ligue des Droits de l’Enfant <www.liguedesdroitsdelenfant.org> ), et plusieurs références
internationales font état du droit des personnes handicapées à évoluer dans un milieu non
spécialisé. Dans la pratique quotidienne, elle reste encore peu organisée, et entraîne souvent
embûches, difficultés, voire un coût important et ce, tant au niveau de l’enfant malade ou
handicapé que dans le chef de ses pairs, de ses parents, des enseignants, des autres parents et,
in fine, de la société en général.
Dans les faits…
A côté des différents discours idéologiques et scientifiques existant aujourd’hui autour de
cette orientation, s’organisent d’ores et déjà un certain nombre d’initiatives plus ou moins
heureuses, plus ou moins soutenues, plus ou moins permanentes et qui ne sont pas toujours
évaluées. Elles prennent différentes formes, se construisent autour d’une multitude de
pratiques.
Aujourd’hui, une réflexion existe sur les stratégies d’implémentation des situations
d’intégration. Pour ce travail, il faut avoir à l’esprit qu’une extrapolation des conclusions
tirées des études menées à l’étranger est difficile, du fait notamment de définitions différentes
de la déficience et de différences d’objectifs.
Il reste enfin à souligner qu’il y a toujours actuellement trop peu d’évaluation du processus
d’intégration scolaire.
Si la supériorité en terme de qualité d’apprentissages, de développement, d’autonomie et de
bien-être d’une orientation scolaire par rapport à l’autre n’est pas scientifiquement
démontrée, la recherche relève de manière constante qu’en inscrivant un enfant dans un
projet d’intégration,
™ L’interaction avec ses pairs est favorisée,
™ Le comportement social évolue bien,
™ Il prend conscience de ses limites/possibilités,
™ L’auto-évaluation est plus évidente,
™ On améliore sa qualité de vie
Mais ces changements positifs ne s’observent pas chez les personnes déficientes sévères, et
on aurait besoin d’études longitudinales1. Par ailleurs, la comparaison des parcours des élèves
relevant de l’enseignement ordinaire et spécialisé reste difficile, en raison des différences
entre les environnements et les enfants concernés.
1
Menées sur plusieurs années
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Quelques pistes de réflexion
1. Coopérer autour d’un projet commun.
Comme nous l’avons évoqué ci-dessus, l’intégration se situe dans le cadre d’un processus qui
repose sur l’implication de divers « acteurs » (toutes les personnes impliquées, dont l’enfant
et ses pairs). Ce projet doit être poursuivi dans l’intérêt de l’enfant, mais en tenant compte
des besoins de chacun. On veillera particulièrement à la cohérence des actions entreprises, en
élaborant et en formulant un projet commun, et en définissant les modalités d’action (en
terme de temps, d’espace et de modes de communication).
2. Les relations parents-professionnels
Pour que le projet perdure, parents et professionnels doivent accorder leurs attentes et leurs
actions. Le travail réalisé par ces acteurs dépasse le champ de la simple collaboration : il
s’agit de construire un véritable partenariat. L’expertise de chacun y sera reconnue, les
besoins des uns et des autres seront pris en considération.
Cette relation amènera les parents et professionnels à sortir d’une interaction « linéaire »
d’adulte à adulte, pour aller vers un mode d’action « triangulaire », où l’enfant prend aussi
une place active. Il est important qu’il ne se retrouve pas dans une position intermédiaire
entre deux pôles poursuivant une évolution dissociée ; les acteurs ne doivent pas en venir à
communiquer à travers l’enfant. Il s’agit bien d’un schéma où chacun doit trouver et prendre
sa place dans le respect de la fonction et du bien-être des autres.
Ce partenariat a un prix : la construction d’une relation de confiance suppose du temps et de
la disponibilité ; ce qui fait vivre et durer le partenariat est la capacité des acteurs à
confronter leurs points de vue. Il a également des limites, comme celle de l’illusion
partenariale : tout professionnel affirme vouloir une collaboration avec les parents mais il
considère celle-ci comme un devoir d’information et non un échange entre personnes se
reconnaissant mutuellement une expertise et des compétences propres.
3. Partenariat «enseignement spécialisé – enseignement ordinaire » ?
L’école, spécialisée ou non est (tout comme le thérapeute) un moyen, une ressource. Ces
moyens ne peuvent être confondus avec les besoins de l’enfant. Il n’y a pas lieu les opposer :
il faut les rendre complémentaires, et au service du projet. Cela en respectant leurs
spécificités, et donc en favorisant encore ici une logique de confrontation et de dialectique. A
côté d’une réflexion d’ordre éthique, il peut être intéressant d’inclure l’intervention d’un
médiateur.
Même si une évolution dans l’organisation de l’intégration est souhaitable, elle risque de
créer une lourdeur administrative, ainsi que le danger d’un fonctionnement en
« superstructures » qui oblige les acteurs à se conformer à des parcours déjà balisés, enlevant
à ceux-ci une part de leur autonomie voire de leur créativité.
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4. Et au niveau des personnes, que peut-on espérer ?
De l’intégration telle que le Pr Detraux la suggère, chaque acteur concerné pourrait retirer
des efforts qu’il consent un ensemble de bénéfices :
™ Pour l’enfant : apprendre à relativiser sa situation de handicap/de maladie, maintenir et
développer une bonne estime de soi, participer à un projet éducatif ambitieux ;
™ Pour les autres élèves : modifier les images stéréotypées, affronter les peurs liées au
handicap/à la maladie, vivre un climat de tolérance, bénéficier des adaptations
méthodologiques (initiées au départ pour l’enfant avec déficience), être mis en situation
de recherche de solutions à des problèmes posés au sein de la classe,
™ Pour les parents de l’enfant : ne pas voir leur rôle de parents réduit à amener l’enfant à
l’école et à écouter les « judicieux » conseils de professionnels-experts, sans réel
dialogue. La démarche de l’intégration contribue aussi à la fortification de la cellule
familiale et prend en compte le vécu de la fratrie, des grands-parents,…
™ Pour ses enseignants : être éclairés sur les processus d’apprentissages et ses troubles,
prendre conscience de dysfonctionnements dans la conduite de la pédagogie, et
expérimenter une démarche plus individualisante, plus différenciée ;
™ Pour la société : bâtir une société « inclusive », c’est-à-dire s’organisant de telle façon à
accueillir toutes les différences, investir des budgets dans des moyens humains plutôt
que dans du matériel, voir diminuer progressivement des coûts liés aux conséquences de
la ségrégation, poursuivre et amplifier le débat sur le rôle et la mission de l’école.
Eléments de réponse à des questions souvent posées :
™ Quels types d’enfants peuvent-ils être « intégrés » ?
R : Tous les enfants ! La plate-forme intégration scolaire a dénombré 700 enfants tous âges,
toutes déficiences, intégrés en Communauté française.
La recherche balise peu à peu : les enfants avec inadaptation sociale et troubles du
comportement restent les plus difficiles à intégrer.
™ Quels sont les critères de choix pour ne proposer qu’un seul enfant par classe ?
R : On imagine qu’il ne faut pas dépasser 10% de la population tout venant (ce qui est la
proportion de PH dans la population générale)
Attention : cela pose le problème de l’identité de soi chez l’enfant handicapé
™ Que fait-on avec les enfants avec troubles du comportement qui sont renvoyés de
partout ?
R : Il faudrait de mieux connaître les caractéristiques de cette population. Il n’y a pas de
solution si l’on considère l ‘école isolément. Il y a la possibilité de faire un travail sur la
violence à l’école.
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™ Quels sont actuellement les critères positifs et négatifs de l’enseignement spécial ?
R : On ne peut pas répondre sur base d’une évaluation objective : celle-ci manque !
L’enseignement spécialisé a l’avantage de permettre un travail riche dans plusieurs classes
face à des situations difficiles. Par contre, les projets qui y sont poursuivis sont souvent trop
peu ambitieux, et l’écart entre les connaissances et leur réelle mise en pratique est parfois
très important.
™ Comment était-ce avant l’enseignement spécial ?
R : Il existait des classes spéciales dans les écoles d’enseignement ordinaire, ce qui n’est pas
toujours évident. Plusieurs enfants avec déficience intellectuelle sévère ou déficiences neuromotrices ou polyhandicap n’étaient pas scolarisés.
™ Quelle aide pouvons-nous proposer aux instituteurs qui ne sont pas formés pour cette
« intégration » et qui n’ont pas le temps dans leur grande classe pour faire un peu
d’enseignement individualisé ?
R : Il faut veiller à se centrer sur le projet, pas sur l’enfant. On peut imaginer un travail de
médiation, un apport psychopédagogique spécifique, une formation ainsi qu’un travail sur les
représentations. Les parents seront invités à prendre leur place en tant que partenaire du
réseau.
™ Existe-t-il une liste d’écoles maternelle/primaire ouvertes à ce projet ?
R : Non et il n’en faut pas car c’est toujours une situation nouvelle, complexe et singulière.
Plusieurs écoles ont un projet d’accueil.
En conclusion, l’intégration scolaire est un moyen et non une fin en soi. Elle comporte à
la fois des aspects positifs, des risques et des enjeux. Elle participe à nous faire penser
plus largement l’intégration de la personne handicapée dans la société, afin d’amener
celle-ci à assumer une pleine participation citoyenne. A ce propos, faut-il encore parler
d’intégration ? L’enfant a-t-il besoin d’intégration, ou tout simplement d’éducation ?
A méditer…
Pour l’APEPA,
Maryline Vincent
Si vous souhaitez un complément d’information concernant le sujet de l’intégration, prenez
contact avec le CEFES : WWW. ULB.AC.BE
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Congrès sur le X-fragile
Association
As s o cia tion Na tio na le d es
Fe d e r a c ió n Es p añ o la
Asso cia zo ne ita lia na
X f r ag ile - Belg iq u e
X- f ra g ile – Le Go éla nd
Sínd ro me X frá g il
Sind ro me X- fra g ile
France
España
Italia
Congrès 2006
Palais
des Congrès
Liège
BELGIQUE
La mise en route de ce Congrès européen fut une lourde tâche bien
qu'ensemble, nous ayons trouvé les moyens et l’énergie pour vous offrir un
programme d’information complet.
L'objectif de ce Congrès européen sera de montrer notre détermination pour
un changement pour qu'une priorité soit définie dans la recherche scientifique
au niveau européen !
Pour stimuler la recherche scientifique, nous devions montrer notre volonté
de partenariat Européen et convaincre les scientifiques de nous donner des
résultats plus concrets pour nos enfants et petits-enfants.
Notre volonté de faire évoluer la situation actuelle est forte et visible dans
l'union de nos expériences et de nos scientifiques !
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Jeudi
06 avril 2006
Et
Vendredi
07 avril 2006
La puesta en marcha de este Congreso europeo ha constituido una pesada
tarea, aunque juntos hemos encontrado los medios y la energía para poder
ofrecer un programa de alto contenido informativo.
El objetivo de este Congreso europeo será el de mostrar nuestra
determinación para un cambio que defina la prioridad de la investigación
científica a nivel europeo.
Para estimular la investigación científica, debemos mostrar nuestra voluntad
de unidad europea y convencer a los científicos de darnos resultados más
concretos para nuestros hijos y nuestros nietos
Nuestra voluntad de hacer evolucionar la situación actual es fuerte y queda
claramente reflejada en la unión de nuestras experiencias y las de nuestros
científicos ¡
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Orga nisé par
X fragile –
Europe
Téléphone / fax :
00 32 (0) 87 54 25 02
Adresse du jour :
Esplanade de l’Europe 2
4020 LIEGE
T : + 32 04 74 59 00 72
La preparazione di questo congresso europeo e' stato un impegno pesante ma
insieme abbiamo trovato i mezzi e l'energia per offrirvi un programma di
informazione completo.
L'obiettivo di questo congresso europeo e' mostrare la nostra determinazione
al cambiamento affinche' sia definita una priorità nella ricerca scientifica a
livello europeo!
Per stimolare la ricerca scientifica ,dobbiamo mostrare la nostra volontà come
associazione europea e convincere i ricercatori a darci dei risultati più
concreti per i nostri ragazzi e i nostri bambini !
La nostra volontà di far evolvere la situazione attuale è forte e visibile
dall'unione delle nostre esperienze e dei nostri ricercatori !
A ssociation
X fragile–Europe
Rue Nouveau Monde 59
B 4910 THEUX
BELGIQUE
31
http://www.x-fragile.be
[email protected]
http://congres2006.skyblog.com
Agenda
03 février
Colloque ‘’ Aux portes du soin, l’accessibilité en santé mentale ‘’ organisé
par l’Institut Wallon pour la Santé Mentale à CHARLEROI
20 mars
Journée des Associations d’aide aux patients, organisée à NAMUR, rue
Loiseau, 39 par les Ecoles namuroises d’infirmières et d’accoucheuses,
stand de l’APEPA
27 mars
Assemblée Générale de l’ APEPA asbl à NAMUR ( 5000 ), rue Léanne,15
31 mars
Journée d’étude du Centre de Communication Concrète ( Autisme Centraal )
‘’ De factorij ’’, Avenue Huart Hamoir, 143 à SCHAERBEEK ( 1030
Bruxelles )
06,07 avril
Congrès sur le ‘’ X fragile ‘’, au Palais des Congrès à LIEGE
22 avrilet 01 mai
Concerts donnés par la Chorale d’enfants ‘’ Les chanteurs champions ‘’ au
profit de l’APEPA dans l’auditorium du Centre dit ‘’de La Marlagne ‘’ à
WEPION
Colloque ‘’ La qualité des services orientée vers la personne autiste ‘’
organisé par Autisme Europe à BRUXELLES
02 juin
21-24 août
Congrès AIRHM 2006, Forum 2006 sur la participation :
pour une inclusion des personnes en situation de handicap,
Haute Ecole Pédagogique, LAUSANNE, SUISSE
22 octobre
Journée Annuelle de l’APEPA à NAMUR ( 5000 )
Pour plus de renseignements, s’adresser au
secrétariat de l’APEPA : - tél/fax : 081 744350 - E-mail : [email protected]
__________________________________
Agenda des formations
Cette année-ci encore, l’APEPA organisera des formations ouvertes aux parents et aux
professionnels.
Cette démarche qui est pour nous une des bases de notre association doit être entretenue avec
un programme intéressant et attractif. Notre programme est préparé et paraîtra dans le
numéro suivant. Nous pouvons encore y inclure des formations pour lesquelles vous seriez
demandeurs. Si tel est le cas, envoyez-nous rapidement vos demandes.
Modalités pratiques
Adresse
Maison de l’Autisme
Rue Léanne, 15
B - 5000 NAMUR
Renseignements et contacts
Secrétariat de l’APEPA
Tél. / Fax : 081 74 43 50
[email protected]
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Info - vacances
Vous trouverez, ci-après, la liste non exhaustive, de quelques asbl ou administrations qui
organisent diverses possibilités de séjours de vacances. Si ces propositions vous intéressent,
ne manquez pas de vous adresser, le plus tôt possible, à ces associations, les réservations se
prennent très tôt.
La 2ème Base
Organise régulièrement des week-end, des mini-camps et des camps de répit.
rue du Coquelet, 77, 5030 Gembloux
tél 081 / 60 19 10
Organisation Provinciale d'Action Sociale
rue Martine Bourtonbourt 2, 5000 NAMUR
tél. 081/72.95.35 FAX 081/73.89.32
e-mail [email protected]
asbl OLE
Contact en BELGIQUE: Guy Demoustier [email protected]
rue Van Swae 41/.12 1090 Bruxelles
tél. & fax 02/426.22.17 gsm 0475/87.43.83 e-mail [email protected]
Vacances Aventure
70 rue de la Houssaie, 5300 Andenne
tél & fax 085/82.81.82
e-mail [email protected]
Horizon 2000
rue François Reconnu 50/bis, 6061 Charleroi
tél 071/31.27.19
www.h2000.be/h2 -vacances.htm
Association ANTENNE HANDICAP
Galerie Commerciale d’Aime 2000, F-73210 AIME LA PLAGNE
tél 0033 4 79 09 13 80 Fax : 00 33 4 79 09 15 51
www.leprogres.fr/antennehandicap
Mutualités Chrétiennes
- pour les adultes :
Secrétariat Général de l’ ACIH-AAM,
Chée de Haecht, 579 BP 40, 1031 Bruxelles
Tél : 02 / 246 47 87 E-mail : [email protected]
- pour les jeunes :
Secrétariat Général de la Mutualité Chrétienne Jeunesse & Santé
Chaussée de Haecht, 579 / BP 40, 1031 Bruxelles
Tél : 02 / 246 49 87 E-mail : j&[email protected]
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