La descendance de Jean Simon
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La descendance de Jean Simon
La descendance de Jean Simon-Léonard Léonard, De Ville-Marie à Lac-du-Cerf 1 ère génération Fils de Jean Simon et Léonarde du Pin, Jean-2 Simon dit de Magnac, l`ancêtre des Léonard du Canada, naît à Saint-Sornin-de-Magnac à 45 kilomètres au nord de Limoges en France. En 1654, jeune homme, il émigre en Nouvelle-France et s`établit à Ville-Marie, la future Montréal. Fondée 12 ans plus tôt par Maisonneuve et Jeanne-Mance, cette colonie entend convertir les Iroquois au catholicisme. Habile au fusil et maçon de métier, Jean-2 Simon y est bien accueilli car les Iroquois sont agressifs et les constructions à ériger nombreuses. Le 29 juin 1655, en présence de Maisonneuve, le Jésuite Claude Pijart procède au mariage de Jean-2 Simon et Marie-Catherine Lorion. Originaire de Sainte-Soulle près de La Rochelle en France, la jeune épouse de 19 ans est déjà veuve; marié à Pierre Vilain, le 13 octobre 1654, elle a vu son mari être écrasé mortellement par un arbre quelques mois auparavant. Orpheline de mère en France, elle est arrivée à Ville-Marie à 17 ans en 1653. Elle a fait le voyage en mer sur le voilier « Saint-Nicolas-de-Nantes » dans le groupe appelé « la grande recrue » une centaine de jeunes hommes et quatorze jeunes femmes recrutés et accompagnés par Maisonneuve et Marguerite Bourgeois pour sauver Ville-Marie alors à l`agonie. La traversée et l`établissement de ce groupe de nouveaux arrivants illustrent bien le courage déployé pour assurer la survie de la fragile Nouvelle-France. Sur ce voilier déjà contaminé par la maladie, 6 passagers meurent en mer, 4 autres décèdent à leur arrivée à Québec alors que 22 d`entre eux seront massacrés par les Iroquois dont 8 compagnons de Dollard- des- Ormeaux lors du combat du Long Sault en 1660. Nouvellement mariés, Jean-2 Simon et Marie-Catherine Lorion se voient accorder, à titre de défenseur de Ville-Marie, un emplacement de ½ arpent de front et 1 arpent de profondeur du côté nord de la rue Saint-Paul, entre les rues Saint-Jean-Baptiste et SaintGabriel, dans le vieux Montréal d`aujourd`hui. C`est là, dans une maison de pierre érigé par Jean-2 que le couple donne naissance à leur unique enfant, baptisé le 3 septembre 1656 dans la chapelle Notre-Dame. Ville-Marie comptant alors à peine 200 habitants, l`arrivée d`un nouveau-né est une joie pour toute la population. Afin de perpétuer le nom de sa mère Léonarde, demeurée en France, Jean-2 Simon donne le prénom Léonard à son fils. La marraine de l`enfant est Jeanne-Mance, la fondatrice de l`HôtelDieu et le parrain est le major Lambert Closse qui sera tué par les Iroquois quelques années plus tard. Les jours heureux de la petite famille Simon sont toutefois comptés. Deux mois après la naissance de son fis Léonard et après seulement une année et demie de mariage, Jean-2 Simon meurt noyé dans les eaux glacées du port de Ville-Marie, le 24 novembre 1656. Jeune mère du petit Léonard, Marie-Catherine se marie une troisième fois avec le menuisier Nicolas Millet dit le Beauceron, le 9 avril 1657. Huit enfants naîtront de leur union. Aîné de cette nouvelle famille, Léonard Simon voit dès lors le surnom de Beauceron associé à son nom. En mars 1674, ce troisième mari de Marie-Catherine perd tragiquement la vie dans l`incendie de la maison de ferme sur la côte Saint-Anne à Pointe-aux-Trembles où la famille s`était relocalisée. Alors âgé de 18 ans, Léonard, le fils aîné, quitte la maisonnée pour entreprendre sa vie d`adulte. De son côté, Marie-Catherine se marie une quatrième fois, le 21 novembre 1678, avec le tailleur Pierre Desautels avec lequel elle donnera naissance à 2 autres fils. Ancêtre des Simon dit Léonard, des Millet et des Desautels, elle décède à 83 ans le 20 avril 1720. 45 ans après sa mort, elle était devenue l`aïeule de 71 petits-enfants, 492 arrière-petits-enfants et 1,535 arrière-arrière-petits-enfants. 2 e Génération A 25 ans, fils unique de Jean-2 Simon et Marie-Catherine Lorion, Léonard Simon épouse Mathurine Beaujean devant le sulpicien François Dollier de Casson, le 21 octobre 1681.Établi comme agriculteur à Pointe-aux-Trembles, Léonard est aussi coureur des bois ; à 4 reprises, il fait le voyage en grand canot jusqu`au lac Winnipeg afin d`en ramener une cargaison de fourrures pour le compte de la Compagnie du Canada. Le couple Léonard et Mathurine donne naissance à 12 enfants : Jean, Antoine, Joseph, Marie-Suzanne, François, Marie-Anne, Jacques, André, Marie-Catherine, MarieAngélique, Louis, et Marguerite. C`est avec eux que le prénom de leur père devient surnom de la famille et nom de famille des générations subséquentes. Avec les nombreux enfants au nom de famille identique dans une même paroisse, la coutume vient de les distinguer en leur associant le prénom de leur père; ainsi, disait-on Antoine à Léonard ou Joseph à Léonard alors que les actes officiels parleront désormais des Simon dit Léonard. Plusieurs prénoms venus de France sont ainsi devenus des noms de famille en Nouvelle-France : Bertrand, Raymond, Jacques, Clément, Hubert, Richard, Thomas, Léonard. 3 e Génération Troisième fils de Léonard Simon et Mathurine Beaujean, Joseph Simon dit Léonard naît à Pointe-aux-Trembles, le 24 mai 1688. A 26 ans, bedeau au Sault-au-Récollet sur la rivière des Prairies, il épouse Renée Petit dit Beauchemin à Varennes, le 19 août 1714. Établi comme agriculteur à Pointeaux-Trembles, le couple donne naissance à 12 enfants : Joseph-2, Paul, Jacques, MarieAnne, Jean-Lambert, Angélique, Marie-Madeleine, Antoine, Jean-Baptiste, Toussaint, Marie-Catherine et Marie-Élisabeth. 4 e Génération Fils aîné de Joseph Simon dit Léonard et Renée Petit dit Beauchemin, Joseph-2 Simon dit Léonard naît au Sault -au-Récollet, le 23 octobre 1715. A 25 ans, agriculteur à Pointe-aux-Trembles, il épouse Madeleine Duclos de la même paroisse, le 21 novembre 1740. Le couple donne naissance à 15 enfants :Angélique, Joseph-3, Marie-Josephte , Anonyme décédé à la naissance, Pierre, Françoise, Jean-Baptiste, Judith-Angélique, Marie-Josephte-2, Gabriel, Gabriel-2, Jacques, Marie-Marguerite, Marie-Charles et Marie-Isabelle. 5 e Génération Fils aîné de Joseph-2 Simon dit Léonard et Madeleine Duclos, Joseph-3 Simon dit Léonard naît à Pointe-aux-Trembles, le 24 février 1743. A 24 ans, agriculteur à Pointe-aux-Trembles, il épouse Élisabeth Payet dit Saint-Amour de la même paroisse, le 9 novembre 1767. Le couple donne naissance à 8 enfants : Élisabeth, Marguerite, Joseph-4A, Élisabeth-2, Marie-Josephte, Joseph-4B, François-de-Sales et Jean-Baptiste. 6e Génération Sixième enfant de Joseph-3 Simon dit Léonard et Élisabeth Payet dit SaintAmour, Joseph-4B Simon dit Léonard naît à Pointe-aux-Trembles, le 10 mars 1780. A 24 ans, agriculteur à Pointe-aux-Trembles d`abord et à Saint-Janvier par la suite, il épouse Archange Beauchamp à Sainte-Thérèse-de-Blainville, le 5 novembre 1804. Le couple donne naissance à 8 enfants : Archange, Adélaïde, Marie, Hubert , Isidore, Élisabeth, Emery et Angélique. 7 e Génération Quatrième enfant de Joseph-4B Simon dit Léonard et Archange Beauchamp, Hubert Léonard naît à Sainte-Thérèse-de-Blainville, le 9 mars 1810. A 24 ans, agriculteur à Sainte-Thérèse-de-Blainville, il épouse Angélique Gascon à Sainte-Anne-des-Plaines, le 20 octobre 1834. Le couple donne naissance à 15 enfants : Zénaïde, Célina, Hubert-2, Alphonse, Philomène, Marie, Damase, Alfred, Rosede-Lima, Hector-Alexis, Rose-de-Lima -2, Aurélie, Isidore, Joseph et Janvier. 8 e Génération Troisième enfant de Hubert Léonard et Angélique Gascon, Hubert-2 Léonard naît à Sainte-Thérèse-de-Blainville, le 10 novembre 1838. A 24 ans, agriculteur à Sainte-Thérèse-de-Blainville d`abord et à Saint-Jovite par la suite, il épouse Angélique Piché à Sainte-Thérèse-de-Blainville, le 25 février 1862. Le couple donne naissance à 9 enfants : Joseph-Hubert, Délima, Thomas, Doralice, Malvina, Palmyre, Stanislas, Alfred et Alexis. 9 eGénération Cadet des 9 enfants de Hubert-2, Léonard et Angélique Piché, Alexis naît à Saint-Jovite, le 24 mars 1880. A 22 ans, agriculteur à Saint-Jovite, il épouse Clara Saint-Amour de la même paroisse, le 9 janvier 1902. Le couple donne naissance à 4 enfants : Palmyre, Dorina, Léonidas et Athanase. La mère Clara et le cadet Athanase sont emportés par la diphtérie, le 4 décembre 1909. A 32 ans, agriculteur à Saint-Jovite d`abord et à Lac-du-Cerf à compter de 1924, il épouse en seconde noce Rose-Emma Paradis à Brébeuf, le 15 avril 1912. Le couple donne naissance à 12 enfants : Simone, Thérèse, Albéria, Cécile, Léon, Albertine et Alexandre nés à Saint-Jovite, Aldei, Émile, Jean-Paul, Yvon et Madeleine nés à Lac-duCerf. De Saint-Jovite à Lac-du-Cerf Incités par leurs amis Filion et Nantel montés s`établir dans la vallée de la Kiamika, Alexis Léonard et son fils aîné Léonidas accompagnent les frères Henri et Frédéric Filion dans un voyage de reconnaissance des lots de colonisation qui s`ouvrent dans le nord du canton Dudley sur la rive gauche de la rivière du Lièvre en 1922. Augustin Paradis, le beau-frère d`Alexis et Liguori Léonard son neveu, déjà montés une première fois quelques mois auparavant, sont aussi du voyage. Après avoir marché les différents lots offerts entre le rang des Valiquette et l`ancienne ferme de ravitaillement du Wabassee, les Léonard se construisent un petit chantier où ils se nourrissent de perdrix pendant les premiers abattis. Ils sont aux brûlis lorsque le feu s`échappe et consume une grande partie de la forêt jusqu`à la ferme Wabassee, obligeant les défricheurs à dormir le long d`une tranchée faite autour de la montagne brûlée pour surveiller l`incendie à craindre. Après quelques semaines à défricher, le retour à Saint-Jovite se fait en train depuis la gare de Val-Barrette au début de l`automne. L`année suivante, en 1923, Alexis Léonard monte à nouveau continuer l`abattis avec son fils Léonidas et son neveu Adélard Barbe. Alexis et Adélard retournent à Saint-Jovite à l`automne alors que Léonidas hiverne chez Frédéric Filion établi à l`ouest du lac Tomkin depuis 1922. Après avoir planifié l`achat de la terre de Joseph Piché à l`ouest du rang des Valiquette, Alexis Léonard prend alors la décision, à 44 ans, de transplanter sa famille de Saint-Jovite à Lac-du-Cerf au printemps 1924, espérant trouver plus facilement des lots intéressants pour établir ses fils dans ces terres neuves. Alexis fait d`abord encan sur sa terre située à mi-chemin entre Saint-Jovite et Brébeuf. Avec les 2 étalons, Léonidas monte le premier à Lac-du-Cerf, par le chemin Chapleau pour faire les semences. L`exode de la famille se fait ensuite au mois de mai. Le ménage et les animaux qu`il a gardés sont amenés en gare de Saint-Jovite d`où, montés dans des wagons, ils font le voyage jusqu`à Val-Barrette. René Ouimet, l`époux de Palmyre, la fille aînée d`Alexis, les accompagnent dans le convoi alors que Léonidas les attends à la gare de Val-Barrette. Au petit matin, Alexis et Rose-Emma font lever tout le monde et la famille entreprend alors un long voyage de plus de 160 kilomètres en express, une solide voiture à 2 sièges tirés par les 2 juments. Le voyage les conduit jusqu`à Lac-du-Cerf, empruntant le chemin Chapleau entre La Minerve, Nominingue et Kiamika. Dans la brume matinale, Alexis est hanté par ses souvenirs : une enfance passée à Saint-Jovite avec ses parents Hubert-2 et Angélique; son premier mariage à Clara saintAmour en janvier 1902; la naissance de Palmyre, Dorina, Léonidas et Athanase; la mort de son épouse Clara et du petit Athanase âgé d`un an, emportés par la diphtérie, le 4 décembre 1909; son deuxième mariage avec Rose-Emma Paradis de Brébeuf, le 15 avril 1912; la naissance de nouveaux enfants, Simone, Thérèse, Albéria, Cécile, Léon, Albertine et Alexandre le dernier né de 11 mois; une belle grande terre de 4 lots dont 2 sont entièrement essouchés et nourrissent 28 vaches à lait , 13 chevaux et 50 moutonnes; une belle érablière à 1 kilomètre de la maison; une grande demeure à deux pas de l`école du rang de Brébeuf longtemps partagée avec ses parents. Après un voyage mémorable qui dure toute la journée, de 2 heures du matin à 10½ heures du soir, en express dont les ressorts ont cédés en chemin, les chevaux arrivent complètement épuisés sur la berge de la Lièvre alors en crue. Les parents et les enfants sont vidés de toute énergie. Enceinte d`Aldéi, la mère Rose-Emma a confié à Dorina le soin de porter le petit Alexandre durant le voyage. A leur arrivée, les Piché occupent encore la maison si bien que les enfants Léonard s`endorment couchés par terre sous l`escalier. Alexis et Rose-Emma s`endorment à leur tour, lui silencieux, elle pleurant à chaudes larmes. Ils n`exprimeront jamais de regret d`être venu s`établir à Lac-du-Cerf. Le lendemain, alors que la crue printanière de la Lièvre atteint pratiquement la maison, les Piché déménagent chez le grand-père Herménégilde Valiquette tout près alors qu`Alexis se rend chercher ses animaux à la gare de Val-Barrette pour les ramener à pied jusqu`à sa nouvelle terre sur la rive gauche de la Lièvre, en amont immédiat du rapide Wabassee. De nouveaux Défis à Relever Ainsi débute une nouvelle tranche de vie pour la famille Alexis Léonard. Alexis continue de défricher et de retourner la terre avec ses fils, utilisant autant les bœufs que les chevaux pour les labours entre les souches; la ferme comptera une dizaine de vaches, 4 chevaux, cochons, moutons et poules. Durant l`hiver, Léonidas, l`aîné, charroie du bois avec la paire d`étalons pour Mathias Lacasse ou pour Johnny Nadeau du Wabassee. Alexis en fait autant pour Joseph Blais, Calixte et Louis Grenier descendant dangereusement les portes de l`enfer (sentier écologique) pour amener le bois jusqu`à la baie Lefebvre. Après avoir charroyé et vendu du bois, Alexis achète un premier moulin à scie transportable à Mont-Saint-Michel afin de scier le bois des agriculteurs des alentours. Il en achète un autre à Val-Limoges quelques années plus tard; la petite entreprise passera aux mains de son fils Alexandre par la suite. De son côté, Rose-Emma, généreuse et forte, devient l`une des femmes les plus appréciées du canton. Déjà au travail très tôt le matin avant que les garçons se lèvent pour aller aux lièvres. Elle est l`âme de la maisonnée. Elle fait tout l`ordinaire alors que les enfants sont traversés de l`autre côté de la Lièvre pour aller à l`école du rang au Lac Rouge. Elle baratte son beurre qu`elle garde dans des pots de grès avec de la petite saumure, entretient un grand jardin fleuri et tient magasin-général dans la maison pendant quelques temps. Dans la première maison près de la rivière comme dans celle du chemin de l` église par la suite, elle file au rouet la laine qu`elle fait carder à MontLaurier, tisse au métier catalognes et étoffes pour les chemises de ses hommes et les robes de ses filles. La nuit, elle passe de longues heures à tricoter, coudre, raccommoder près du poêle qu`elle tient bien au chaud et veille à ce que les derniers nés, Aldei, Émile, Jean-Paul, Yvon et Madeleine ne prennent froid. Elle est aussi sagefemme en qui toutes les mères du canton ont grande confiance. Aux premières contractions, l`eau est mise à chauffer sur le poêle et les enfants viennent la chercher en courant. Elle se rend à pied et connaît bien le travail à faire. Priant silencieusement, elle n`a jamais perdu un enfant au cours des très nombreux accouchements où elle a œuvré. Blanche Boudrias -Gaudreault témoigne ainsi de son travail de sage-femme : « Elle était forte à son corps mais douce avec les femmes ». Elle était bonne et connaissait son métier. Elle priait tout bas et faisait des examens comme un médecin. Elle connaissait son affaire et faisait ça pour rien. Elle ne voulait pas être récompensée. » Tour à tour les enfants Léonard prennent racine à Lac-du-Cerf et dans les paroisses environnantes, unissant leur destin à d`autres enfants de pionniers qui oeuvrent à la colonisation et au développement de la Haute-Lièvre. Pour sa part, Rose-Emma prend soin de son Alexis jusqu`à ce que ses « Tornons » cessent dans la maison en 1973. Elle le suit dans la terre de Lac-du-Cerf six mois plus tard après 61 ans de vie commune, à Saint-Jovite et à Lac-du-Cerf. Texte écrit par M. Luc Coursol : Écrivain de Mont-Laurier Montage photo : Georgette Léonard-Dicaire & Léonie Léonard 10e Génération 3ème enfant de Alexis Léonard et Clara St-Amour ; naît Léonidas le 20 décembre 1906 à St-Jovite et décède le 28 juin 1990 à Lac-du-Cerf Agriculteur à Lac-du-Cerf, il épouse Albina Lachaine : née le 19 septembre 1906 à la paroisse de Kiamika le 9 juin 1926 et décède le 27 novembre 1986 à Lac-du-Cerf 11eGénération 7ème enfant de de Léonidas Léonard et Albina Lachaine ; naît Marcel le 21 décembre 1934 à Kiamika. Il épouse Claudette Cyr : née le 2 août 1937 de la paroisse de Notre-Dame-du-Laus le 29 septembre 1956. 12eGénération 3ème enfant de Marcel Léonard et Claudette Cyr; naît Yves le 9 décembre 1959 à Lac-du-Cerf. Il épouse Sylvie Vaudeville : née le 1 janvier 1962 de la ville de Montréal le 12 janvier 1980. 13eGénération 3ème enfant de Yves Léonard et Sylvie Vaudeville ; naît Sébastien le 24 juillet 1984 à St-Eustache. Il épouse Marie-Josée Harvey : née le 5 septembre1984 à Laval et leur mariage le 30 septembre 2006 à St-Eustache. 14egénération 1er enfant de Sébastien Léonard et Marie-Josée Harvey; naît Alexis né le 17 février 2007 à St-Eustache. Photo : 14eGénération de Léonard Famille Marcel Léonard & Claudette Cyr 1e Marcel Léonard : père 2 e Yves Léonard : Fils 3e Sébastien Léonard : petit-fils et Alexis Léonard arrière-petit-fils 4e Jean-François Léonard : petit-fils et Samuel Léonard arrière-petit-fils Parution en 2012