Appel à dons pour financer le prochain film de

Transcription

Appel à dons pour financer le prochain film de
APPEL À DONS POUR FINANCER LE PROCHAIN FILM DE PIERRE
CARLES ET PHILIPPE LESPINASSE
Vous pouvez faire un don via
votre compte Paypal, ou par
carte bancaire, ou par chèque à
l’ordre de C-P Productions à
cette adresse : C-P
Productions, 9, rue du Jeu de
Ballon, 34000 Montpellier. Pour
un virement bancaire nous
contacter pour recevoir un RIB
: Contact
Total des dons reçus :
Rencontre avec un grand fauve
Adieu lapins, cerfs, sangliers…
Bêêêarnais
Le chat noir
Les bergers n’ont pas peur des
loups
Les contreparties
À partir de 10 euros (“supporter”)
Votre nom dans les remerciements au générique du film.
À partir de 30 euros (“fan”)
Contrepartie précédente + un lien privé pour visionner Tant
pis, tant mieux la mini-série documentaire réalisée par Pierre
Carles et Philippe Lespinasse sur les étangs de la
Méditerranée française entre 2006 et 2009.
À partir de 50 euros (“cinéphile”)
Contreparties précédentes + l’affiche du film au format 40 cm
x 60 cm.
À partir de 200 euros (“fétichiste”)
Contreparties précédentes + l’affiche de Un berger à l’Elysée
? dédicacée signée par les réalisateurs et le principal
protagoniste du film (Jean Lassalle) + le Dvd de notre
précédente production On revient de loin (Pierre Carles et
Nina Faure) + une surprise du Béarn
À partir de 1000 euros (“participatif”)
Contreparties précédentes + deux places à une projection
proche de chez vous + une immersion en découverte dans une
cession de travail avec toute l’équipe, réalisateurs,
monteurs, productrice, pour une projection collective et un
grand brainstorming, à Montpellier ou à Paris pendant le
montage. Places limitées. Transport non compris, mais fromage
de brebis oui.
À partir de 100 000 euros (“Liliane
Bettencourt”)
Un gilet en laine de mouton retournée, une tête de sanglier
empaillée, une tomme de fromage de brebis Ossau-Iraty produit
par Julien Lassalle (frère) et affiné au moins 4 mois, une
participation à « la tue-cochon » et le couteau de la mise à
mort en cadeau avec vos initiales gravées sur le manche, une
croisière en compagnie du candidat Lassalle***, une
participation à une chasse à l’ours dans la vallée d’Aspe et
la légion d’honneur si le candidat est élu, un secrétariat
d’Etat ou un siège au Sénat pour les plus de 80 ans****, un
forfait à vie pour les stations de ski du Somport et de la
circonscription du député Jean Lassalle, une invitation
permanente au « Dîner du siècle » et le droit de fouetter avec
une plume d’autruche Jean-Pierre Elkabach, Yves Calvi, Laurent
Joffrin, Jean-Michel Apathie, Christophe Barbier ou un autre
perroquet du Paf de votre choix.
***Croisière « all inclusive » en Méditerranée sur un paquebot
de luxe fabriqué par les chantiers de Saint Nazaire,
conférences en béarnais, cuisine traditionnelle très riche
avec beaucoup de poivrons, vin à profusion, chants béarnais
tous les soirs.
****Sous réserve que le candidat soit élu.
Berger d’un village des Pyrénées
devenu député, Jean Lassalle s’est
déclaré candidat à l’élection
présidentielle française au printemps
2016. Elu atypique dans le paysage
politique français, il n’est passé ni
par l’ENA, ni par Sciences po, ni par
HEC mais par… le lycée agricole de Pau
Montardon. Il n’a pas les codes ni les
usages policés de la caste politique,
il n’en a pas non plus l’entregent ni
l’influence. Les médias et ses collègues de l’Assemblée
Nationale le rangent parmi les élus folkloriques, s’amusent de
son accent, observent avec jalousie sa popularité dans
l’opinion mais ne le craignent pas politiquement.
Lassalle a ainsi effectué une grève de la faim de plusieurs
semaines pour stopper la délocalisation d’une usine -ce qui a
eu le don d’ulcérer ses collègues de l’Hémicycle, pas prêts à
sauter un repas pour sauver des emplois-. Il a chanté en
béarnais à l’Assemblée Nationale pour empêcher la fermeture
d’une gendarmerie de haute-montagne dans sa circonscription, a
marché pendant neuf mois à la rencontre des Français pour
prendre le pouls du pays. Indigné par l’état de
social et la désespérance populaire, effaré par
observer dans les régions touchées par la
désindustrialisation, cet « humaniste insurgé »
résoudre à voir la cinquième puissance mondiale
enfants.
délabrement
ce qu’il a pu
ne peut se
abandonner ses
Doté d’un fort capital de sympathie, notamment en milieu
rural, Jean Lassalle pourra-t-il obtenir les 500 parrainages
d’élus nécessaires pour se présenter à la Présidentielle ?
Pierre Carles et Philippe Lespinasse
filment depuis plus d’un an le parcours
de ce Don Quichotte des Pyrénées. Ils
espèrent, grâce à votre soutien,
réussir à sortir au cinéma Un berger à
l’Elysée ? en avril 2017, soit quelques
semaines avant l’élection. Destiné au
cinéma, le film ne s’encombrera pas de
l’équilibre des temps de parole que
sont censées respecter les médias à la
fin d’une campagne électorale. Il
s’agira juste du portrait d’un homme
d’origine modeste mais suffisamment utopiste pour s’imaginer
Président de la République, d’un élu rural porteur de valeurs
traditionnelles qui, par les temps qui courent, sont peut-être
l’un des derniers remparts à l’expansion de l’autoentreprenariat, l’avènement de l’Uber-individu et la
destruction du tissu social que nous promettent Macron, le
candidat LR, et quelques autres perroquets de « l’économie
numérique ». De la vallée d’Aspe où le candidat transhume ses
chevaux jusqu’aux ors de l’Assemblée Nationale, de ses
premières déclarations aux médias jusqu’à la recherche un à un
des parrainages, Carles et Lespinasse se retrouvent au coeur
d’une campagne qui prend l’allure d’une croisade sans
effectifs. Voulant croire à tout prix que le miracle est
possible, tout le monde fait comme si de rien n’était, jusqu’à
la sentence finale.
Pour cette improbable mais grande aventure, ou cette grande
aventure improbable nous comptons sur votre soutien. Pour
suivre les épisodes et participez rendez-vous sur :
<www.cp-productions.fr>
Pour que ce film soit prêt à temps, il nous faudrait réunir
une certaine somme d’argent d’ici fin janvier. Nous avons
prévu trois paliers – 30 000 €, 45 000 €, 60 000 € – en
fonction desquels Un berger à l’Elysée ? bénéficiera de moyens
plus ou moins importants pour sa finition.
Vous nous avez déjà permis de réaliser de manière indépendante
Hollande, DSK, etc (2012) et Opération Correa 1 et 2 (2014,
2016). Ce nouveau film pourrait – soyons réalistes, exigeons
l’impossible – perturber le jeu électoral, en rigolant –
beaucoup – au passage. N’hésitez pas à signaler l’adresse de
notre site de crowdfunding, notamment à vos amis soumis à
l’ISF : <www.cp-productions.fr>
Pour plus de renseignements, et si un poste de ministre vous
intéresse dans le futur gouvernement, envoyez-nous votre
candidature. Nous-mêmes ne briguons rien, et retournerons à
nos affaires dès que Jean Lassalle sera installé à l’Elysée.
Adishatz ! (2)
(1) distribué par Jour 2 fête qui a sorti, entre autres, le
film de François Ruffin Merci patron !
(2) « au revoir » en gascon
PALIERS DE FINANCEMENT
Moins de 30 000 euros de dons
Le film sortira en noir & blanc et en
langue béarnaise non sous-titrée
30 000 euros
C’est le seuil qui nous permettrait
d’avoir la tête un peu hors de l’eau.
Le film est en couleur et sous-titré
en français, le son pas seulement en
mono mais carrément en stéréo.
45 000 euros
Nous ramons encore un peu pour
finir le film mais il sera
visible dans des salles de
cinéma… chauffées.
60 000 euros
C’est ce qu’il nous faudrait pour achever le
film dans de bonnes conditions. Les scènes
dans les Pyrénées sont tournées en 3D, le
son est multicanal 5.1. Nous marchons sur
l’eau.
Plus de 100 000 euros
Nous partons en croisière avec
l’argent pendant les élections.