Sources d`inspiration de l`artiste Une analyse du tableau
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Sources d`inspiration de l`artiste Une analyse du tableau
Le Printemps est un grand tableau mural de Sandro Botticelli, peint vers 1477, période Première Renaissance. Cette célèbre œuvre d'art fut trouvée dans la villa médicéenne de son commanditaire, un riche toscan. Lui faisait face, sur l'autre mur, la Naissance de Vénus. Le nom du tableau provient de l'inventaire général de Giorgio Vasari effectué en 1550 : il l'identifia à une célébration de l'arrivée du printemps. Sources d'inspiration de l'artiste La dimension de redécouverte des écrits de l'Antiquité romaine est tangible pour ce tableau, qui ressemble à la poésie d'Ovide, notamment dans ses Fastes prenant sujet sur les fêtes religieuses romaines. En dépit du fait que l'interprétation première des personnages les associe à des Dieux ou des Idées, selon le mode d'expression pictural du néoplatonisme médicéen qui triomphe à la Cour, tout le talent du peintre consiste à rendre l'incarnation des chairs et le brio dans les expressions des visages, pleine illustration de la nature humaniste de cette peinture contemporaine des travaux littéraires de Dante, qui lui sont contemporains. Une analyse du tableau -La flore et la Zèphyr Le personnage de Flore jeune fille, à droite en robe blanche, devient l'allégorie de Florence, ville de Botticelli, une fois sa sexualité révélée. Ce sont des fleurs qui sortent de la bouche de Flore, qui se trouve être la nymphe des fleurs (Chloris) des grecs patethique (agrandir le tableau du cadre en haut à droite), lorsque Zéphyr, dieu du vent, lui souffle dessus, causant un trouble visible dans l'expression du visage, trouble qui va lui révéler sa féminité -Florence Allégorie de la ville tutélaire de Botticelli, Flore a cette fois acquis une maturité éclatante que vient souligner sa robe décorée des fleurs qui sortaient de sa bouche. Il faut savoir que l'artiste était aussi connu de son vivant pour peindre de tels motifs floraux sur les robes des riches madones de l'aristocratie florentine, ornementations particulièrement appréciées à l'occasion des fêtes - cupidon L'ange Cupidon, flèche tendue, se trouve au dessus de la figure centrale. Une analyse très particulière du travail de Botticelli, cinq cent ans avant l'avènement de la psychanalyse, révèle des messages dans ce tableau que la bonne morale cléricale de son époque aurait considérablement réprouvés s'il n'étaient, cachés, réservés à un public d'esthètes ou d'initiés : Amour, Cupidon va tirer sa flèche, c'est ce à quoi l'on s'attend de par la tradition picturale. Ceci correspond à l'idée que l'on se donne du bourgeonnement végétal, sujet du tableau. Les choses se corsent lorsque l'on considère quelle est la direction du tir pour la flèche, rapportée à la forme générale prise par la danse des trois Grâces. Ces dernières ne sont pas à prendre individuellement, mais dans leur ensemble représentant la sublimation de la féminité; on réalise alors la raison pour laquelle la forme générale de la danse des trois Grâces est si différente de celle de Rubens, à titre de comparaison, et pourquoi les mains se joignent au dessus d'elles afin de composer cette forme générale. Il serait possible de qualifier cette connotation de freudienne, si Botticelli n'avait pas quatre cent ans d'avance dans son symbolisme : la flèche, la danse amoureuse, et la polarité de ces symboles. -Les trois Grâces Assimilées à Catherine Sforza - à laquelle Botticelli avait déjà fait un portrait comme sainte Catherine d'Alexandrie, conservé au Lindenau-Museum de Altenbourg (Allemagne) - les trois Grâces sont représentées comme la Beauté, la Vertu et la Fidelité (renvoyant à la mythologie gréco-romaine). -Mercure On peut reconnaître le dieu Mercure grâce a ses trois attributs : le casque d'Hadès, le caducée et les sandales ailées qui font de lui le messager des Dieux Olympiens. Il constitue le gardien du jardin et en chasse les nuages qui risqueraient de l'assombrir : rien, pas même les intempéries, ne doit troubler l'idéal platonique apporté par les personnages-idées placées sur ce tableau. LA FLORE Dans le tableau je suis la flor et c’est ma phrase: Salut je suis la flore un personne tranquille; je suis tres timide …ma trsor sont les fleurs j’adore la libertè. GRIL DE PERSONAGE: NOME CARASTERISTIQUE CARASTERISTIQUE MOUVENTS TON DE LA PHYSIQUES PHYCOLOGIQUES VOIX Flore Elle est belle avec les cheveux noisette Dance sociable Lents les mains Sincere HISTORIE Elle fait resrer les gens par l’oxigène La Calomnie d'Apelle est un tableau de Sandro Botticelli. Cette œuvre d'art, réservée à un public d'esthètes initiés lors de sa conception, est conservée à Florence. Cette peinture dont le sujet est une calomnie, est une allégorie. Les allusions mythologiques fourmillent : sur les frises dorées, sur les statues antiques, et bien sûr, par les personnages eux-mêmes. Description des personnages Détail du juge influencé Le tableau est si mouvementé que scène est impossible à imaginer dans la réalité. Ici sont décrits les personnages et leurs postures. De gauche à droite, on observe : • En retrait: • une jeune femme nue, pointant le doigt au ciel; • une vieille femme en toge noire, la toisant, les bras croisés; • Dans la cour de justice : • un homme à terre vêtu seulement d'un pagne, les mains en prière; • une femme richement vêtue, tenant une torche et tirant le précédent par les cheveux; • deux femmes la coiffant; • un homme en guenilles, raidi, son bras tout droit vers le visage de l'homme de l'autel. • Sur l'autel : • un homme au visage accablé, assis sur le trône ; en observant bien le détail, ses oreilles d'âne apparaissent : c'est un mauvais juge. • deux femmes lui sussurant des mots aux oreilles, de part et d'autre. Analyse du tableau Comme dans toute représentation artistique, rien n'est laissé au hasard dans ce tableau. Identification des personnages La peinture comprend neuf figures allégoriques parmi les personnages de l'avant-scène. Leur identification reste du domaine de l'interprétation, les allégories étant toutes des abstractions personnifiées renvoyant à des idées. • En retrait : • une jeune femme : la Vénus invoque la Vérité céleste ; • une vieille femme en toge : représente la Pénitence, ou le Remord • Dans la cour de justice : • un homme à terre : L'innocent Apelle de Cos (s'écrit aussi Apeles ou Apèles, était un peintre fameux de la Grèce antique, cité par Pline l'Ancien) ; • une femme richement vêtue : la Calomnie ; • deux femmes la coiffant : • la Séduction et la Fourberie, maquillent la Calomnie pour l'apprêter ; • autre interprétation : le Piège et la Fraude • un homme en guenilles : la Haine vindicatrice, ou l'Envie • Sur l'autel : • un homme au visage accablé : le roi Midas influencé ; • deux femmes lui sussurant des mots : • le Soupçon • la Duperie ou l'Ignorance Évolution de la Vénus de Botticelli Apelle, peintre de l'Antiquité, attira Sandro par ses œuvres sur le thème de la Vénus sortie des eaux, étudié énormément par le peintre de la Renaissance. On retrouve d'ailleurs Vénus en tant que personnage le plus à gauche de la Calomnie, invoquant le jugement du Ciel par son doigt levé. Le peintre de la Renaissance en vient donc à conter un épisode supposé de la vie d'Apelle, l’histoire d’un vif rejet de la part de ses pairs. Il est fortement probable que le message qu'il voulut donner s'adressait à ses contemporains, et s'appliquait à son époque. Illustrant cette dureté, la Vénus a perdu ses formes et belles rondeurs dont Sandro l'avait doté lors de sa naissance. Cette évolution, peut-être indépendante du reste du tableau, est vraisemblablement le résultat de l’influence de Savonarole sur le peintre, qui alla jusque mettre au pilori certaines peintures de sa période précédente pour mieux se mettre en accord avec ses nouveaux crédos. Ces évènements sont décrits dans l’article dénommé théocratie à Florence. L’ ENVIE Dans le tableu “ la calumnie” je suis l’envie et c’est ma phras: Salut je suis l’envie. J’ai des sentiments de ranque; je suis envieuse de tous! GRIL DE PERSONAGE: NOME CARASTERISTIQUE CARASTERISTIQUE MOUVENTS TON DE LA PHYSIQUES PHYCOLOGIQUES VOIX HISTORIE envie Elle est grand et mince Elle regarde tout les elle a les cheveux noir gents et elle a des et long sentiments de ranqune enverr plus personne Elle est nèe avec l’homme L’ATELIER AVEC PATRIK!!! rauque La premier fois nous faisons theatre avec Patrik nous préparons la scène du tableux “ La calumnie”. Nous avons des phrases à mémoriser. Nous avons dit notre phrase et Partik nous dit les mouvements , et comme nous devons dire notre phrase … Les autres fois il nous faisait faire des exercices de chauffage il nous a enseigné beaucoup de choses sur le théâtre parmi lesquelles la plus importante est: il faut animer la scène sinon le public s'ennuie!! Pour « Le printemps » nous avons travaillé de la même façon. Cette expérience a été très agréable et j'ai appris beaucoup de choses sur le théâtre et Patrik avec sa sympathie réussissait à me faire amuser en rendant le travail très amusante.