lire l`édition de - Service Social Juif
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SERVICE SOCIAL JUIF - AVENUE DUCPETIAUX, 68 - 1060 BRUXELLES - TEL 02-538 81 80 - FAX 02-538 37 04 - mail : [email protected] Avec le soutien de la COCOF, de la Fondation du Judaïsme de Belgique et de la Centrale des Œuvres Sociales Juives Belgique P.P. Bruxelles X 1/1525 P601162 MENSUEL FÉVRIER 2016 SOMMAIRE Edito 3 Ida Gnieslaw : « J’ai eu deux vies » 4 Une année pas comme les autres 6 Agenda CASG 8 Agenda Club Amitié 9 Vous avez du temps libre 11 Agenda C.M.P 12 Parents à charge : cela peut rapporter gros ! 13 INFORMATIONS UTILES Editrice responsable Véronique Bucquet Lederman Directrice faisant fonction Véronique Bucquet Lederman Centre d’Action Sociale Globale Coordinatrice Stéphanie Dock Centre Médico-Psychologique Médecin - Directrice Laurence Ayache BUREAUX À LOUER Le Service Social Juif met en location 2 bureaux de 12 mètres carrés au 5ème étage de son bâtiment situé 68 avenue Ducpétiaux à 1060 Bruxelles. Rénovation récente, environnement sécurisé, toutes fonctionnalités bureautiques facilement accessibles, service d’accueil disponible. Possibilités de location d’une salle de réunion modulable à tarif préférentiel. Bail locatif, toutes charges comprises. Intéressé ? Contacter Eliane Wieder ou en s’adressant à Shavit au 02/538.81.80 Centre Médico-Psychologique Coordinatrice Chrystelle Ledecq Club Amitié Anne-Marie Carette Locations Eliane Wieder 02/538.81.80 Site Internet www.servicesocialjuif.be Secrétaire de Rédaction Shavit Rubin [email protected] Corrections Hilda Helfgott Mise en page Chrystelle Ledecq Production [email protected] 2 Service maintien à domicile pour les Victimes de la Shoah, financé par la Claims Conference Si vous êtes survivants de la Shoah ou si vous connaissez dans votre entourage des survivants en difficulté, n’hésitez pas à nous contacter afin que nous puissions examiner les possibilités d’aide que la Claims Conference met à notre disposition. Pour l’actualité en matière de réparations, aides sociales et pensions diverses, consultez le site www.claimscon.org Contact : permanence du Service Social Juif au 02/538.81.80 ou via [email protected] Edito Des questions toutes simples Quand une nouvelle année civile commence, tout le monde y va de ses voeux de joie et de santé. Au-delà de ces rituels répétitifs, on est souvent dans l’empathie pour souhaiter à l’autre de bonnes choses et ce d’une manière très sincère. Un simple “Comment allez-vous, et la famille et les enfants?” sont autant de petites phrases qui montrent l’intérêt de l’un pour l’autre. En ces temps de fanatisme et d’exacerbation, cela fait du bien d’être dans le partage et l’écoute. Tout comme les Parisiens, frappés deux fois en 2015, d’une manière abominable, ont cherché à se retrouver dans la rue pour être ensemble. Alors, j’ai envie de vous dire chers lecteurs, comment allez-vous? Comment vont vos vies, avec leurs joies et leurs peines, leurs douleurs et leurs surprises, leurs souffrances et leurs délicieux moments d’amitié et de bonheur filial, par exemple? Le monde, notre monde, a profondément changé l’année dernière, il faut donc nous reconstruire pour mieux avancer, encore une fois, ensemble. J’ai aussi envie de vous répondre, à la question “Comment va le Service Social Juif ?”. Il va bien. 2015 a été une année de transition, 2016 sera une année de consolidation, mais aussi de changement. En effet, consolidation, parce que nous devons penser à l’avenir pérenne du service et nos adminsitrateurs s’y attèlent. Relever les défis des années à venir, penser stratégies, remplir nos missions avec excellence, c’est tout ça que nous devons imaginer, pour être toujours là auprès de vous tous, dans cette grande famille que nous formons. Mais 2016 sera aussi l’année du changement, parce que nous avons un certain nombre de départs à la retraite qui vont amener de nouvelles têtes. Anne-Marie Carette va laisser le Club Amitié pour profiter d’un temps libre amplement mérité. Nous savons que son remplacement inquiète les fidèles du Club Amitié. Mais même si elle est irremplaçable dans nos coeurs et nos esprits, nous tenons à relever le défi de trouver une animatrice qui prenne le relais, tout en étant différente. Le Club Amitié est un des pilliers de l’institution et nous nous devons de veiller à sa pérennité à lui aussi, pour la plus grande joie de tous. Portez-vous bien, chers lecteurs, prenez soin de vous et à très vite. Véronique Bucquet Lederman Directrice ff 3 Ida Gnieslaw raconte : « J’ai eu deux vies » Le 1er décembre dernier, en présence du Bourgmestre de Herk, en région flamande, l’Ambassadrice d’Israël a honoré, à titre posthume, au nom de l’Etat d’Israël et de l’Institut Yad Vashem à Jérusalem, deux citoyens belges : Célestin et Marie Vanschoenbeek ont reçu les médailles de Justes parmi les Nations pour avoir caché et sauvé Ida Gnieslaw pendant la Seconde Guerre mondiale. M. Durwael (petit-fils de Célestin) et Marie Vanschoenbeek, Ida, Ida, bien connue au Club Amitié, était Mme l’Ambassadrice d’Israël, M. Le Bourgmestre de Herk présente ainsi qu’une centaine d’invités et de nombreux élèves. La médaille et le diplôme d’honneur ont été remis à un de leurs petits-fils, M. Durwael Notre amie Ida cachait difficilement son émotion. Elle a raconté pourquoi…. « Non, je ne vous dirai pas mon âge, mais sachez que j’avais 12 ans quand je suis arrivée à Herk. Et je suis ici 74 ans plus tard grâce à Célestin et Marie qui m’ont ouvert leur porte, au péril de leur vie, dans un monde de haine et de peur ». Elle est heureuse de l’hommage rendu à ses deux Sauveurs « car une chose dont on ne parle pas n’a jamais existé. Et voilà, j’existe avec Paeke, Moeke et Céline, de dix ans plus âgée que moi. » « J’ai eu deux vies » Ida a eu deux vies. La première, avec des parents adorables et pleins de bonté. « Ils ont eu le courage de confier leur « petit trésor » à des inconnus, pour me sauver la vie. En septembre 1942, nous, les Juifs, devions disparaître de la terre ». Et Ida de relater les circonstances exceptionnelles auxquelles un enfant ordinaire a dû faire face. En termes simples, mais qui recouvrent des moments de vie intenses et inoubliables. 4 « Anna, la fille de Célestin, qui faisait du « smokkelage » (marché noir) est venue me chercher. Mon étoile jaune avait été décousue de mes vêtements avec grand soin. J’avais une petite valise. L’au-revoir fut très bref. Avec une dernière phrase en yiddish : « Zey a mensch » (sois quelqu’un de bien). J’essaye encore… » Dès ce moment, son passé n’existe plus, ni son enfance. En fait, comme bien d’autres enfants à l’époque, elle est confiée à des étrangers, dans un acte d’ultime sacrifice pour qu’elle survive… « A 12 ans, je savais que c’était une question de vie ou de mort, avec la peur que cela peut susciter. A 12 ans j’étais devenue une grande fille. » Elle arrive à la ferme. Paeke, Moeke et Céline la réceptionnent, la scrutent. Ils la trouvent mignonne et décident de la garder. « Et voilà que Paeke, Moeke et Céline font partie de moi. Je suis devenue l’enfant la plus sage de la planète. Pendant 3 ans, je n’ai jamais pleuré et n’étais jamais malade, jamais fâchée. Jamais parlé de ma famille. Jamais exprimé mes peurs ni mes frustrations. Paeke et Moeke ne se doutaient pas de mes nuits de sueurs froides. Mais ils me faisaient sentir en sécurité. » Notre petite citadine découvrait un autre univers. Elle n’allait plus à l’école, mais à l’école de la vie de ferme. L’émerveillement de la nature, les animaux, les champs, la cueillette à l’aube avec Paeke des champignons dans la prairie… « Je n’oublierai jamais mon thérapeute, ce petit cochon, à qui je confiais mes frustrations en toute confiance. A la ferme, on ne parlait pas pour le plaisir du bla bla, mais pour préparer les tâches du quotidien. La mémoire intègre le passé avec le présent et ne s’efface pas. » La guerre finie, elle est soudainement redevenue juive. « Et j’ai parcouru un chemin en espérant rendre le monde meilleur. C’est une notion juive, « Tikoun Olam ». Il y a encore du travail ! » Beaucoup d’émotion ce jour-là à Herk. Des yeux humides, des souvenirs. « Ils font partie de moi. Mais mon mémorial se trouve dans le ciel. Mes parents brillent parmi les six millions… » Denis Baumerder 5 Une année pas comme les autres Avec son dernier livre, le quatrième (écrit en 2015), Michel Drucker nous entraîne dans le tourbillon de sa vie, une vie très active à tous les points de vue : échanges intellectuels, affectifs, sportifs qui sont relatés par le biais de diverses anecdotes, dialogues et commentaires. Quand on voit cet animateur sur l’écran de télévision, on ne peut imaginer tout ce qu’il vit en coulisses. Dans ce livre, il décrit sa vie quotidienne, le matin c’est le sport, la bicyclette, à partir de midi c’est le travail qu’il ressent comme une joie, un épanouissement et jamais comme une contrainte. Il est parvenu à s’épanouir et à se développer, à être heureux grâce à son travail, il cherche ainsi à réparer encore et toujours son enfance. Peu studieux, Drucker était dénigré par son père qui souhaitait avoir un fils brillant aux études, (comme ses deux autres fils). C’est ce qu’il explique dans son premier livre : Mais qu’estce qu’on va faire de toi ? (2007). Maintenant qu’il a « réussi », il cherche encore la reconnaissance de son père (qui est décédé) et aussi la reconnaissance sociale du public. Drucker reste proche de l’actualité politique qu’il passe en revue, c’est aussi l’actualité des chanteurs et acteurs, longuement il nous transmet ses échanges avec Michel Delpech, malade, les visites régulières qu’il lui rend et la joie que cela leur apporte. Malheureusement, M. Delpech est mort depuis peu. Dans ce livre, ce qui est nouveau, c’est la découverte par l’auteur de son judaïsme, il l’explore, l’analyse, se pose des questions, il s’exprime ainsi : « Je ne me suis jamais soucié d’être juif. Décidément tout arrive tard chez moi. Je n’ai jamais eu le temps d’y penser, sans doute ai-je fui cette part de mon identité ». Après réflexion, il comprend que son père avait ses raisons de vouloir le déconnecter du judaïsme, il a voulu le protéger après ce qu’il a vécu lui-même durant la guerre, mais comme d’autres Juifs de sa génération. Mais Drucker cherche quand même à mieux connaître ses racines et c’est ainsi qu’avec humour, il décrit comment Patrick Bruel est parvenu à l’entraîner à un shabbat, cérémonie manifestement peu connue de lui. 6 Il accepte aussi les invitations des associations juives et il y est applaudi à son grand étonnement. Il leur explique : « Je suis un Français de sang mêlé issu d’Europe Centrale, ma mère s’appelle Lola, mon père Abraham. Beaucoup de gens ignoraient mes origines avant mes livres ». De ces invitations et expériences, il dit ressentir une impression agréable de faire partie d’une grande famille ! Il souhaite aussi se recueillir à Auschwitz et donc entreprendre ce voyage. Entre son hobby pour l’hélicoptère, sa passion et complicité pour Isia, son chien, ses relations amicales et personnelles avec les chanteurs et son sport, nous trouvons un Michel Drucker toujours aussi sensible, humain, ouvert aux autres en train de découvrir une nouvelle facette de son identité. Ce livre me semble donc essentiel vu qu’il met en lumière l’évolution de Drucker par rapport au judaïsme. De plus, les anecdotes vécues rendent ce livre attrayant et signifiant pour nous. Hélène Sonnenschein « Erratum » Une erreur d’impression s’est produite lors de la parution du Carrefour de janvier 2016 concernant l’article sur le Groupe Identité Tutsi, la deuxième photo qui était prévue : photo montrant le groupe avec mon co-animateur, Reza Kazemzadeh, dont il est question dans l’article n’a pas été imprimée, la voici donc. Viviane Lipszstadt 7 C . A . S . G . - C . A .S . G . - C . A. S . G . - C . A .S . G . - C . A .S .G . - C . A . S . G . - C . A . S . G . - C . A . S . G . - C AGENDA C . A. S . G. - FÉVR IER 2 0 1 6 ATELIERS PERMANENTS Les lundis 4, 11, 18, 25 Les mardis 5, 12, 19, 26 Les jeudis 7, 14, 21, 28 ECOLE DE DEVOIRS de 16h à 19h Le samedi 20 GROUPE « IDENTITE TUTSI » à 14h SEMINAIRE DE SENSIBILISATION AUX VALEURS, AUX TRADITIONS ET A LA CULTURE JUIVE Moïse MAÏMONIDE : Moïse ben Maïmon, le Rambam, le plus fameux des philosophes juifs, est né à Cordoue en 1135. Après la conquête de Cordoue par les fanatiques Almohades en 1148, Maïmonide et sa famille quittent la ville pour échapper aux persécutions. Après des pérégrinations dans le Sud de l’Espagne, la famille s’installe à Fez, en 1159, qui est également sous la domination des Almohades. Ils sont forcés de pratiquer en secret. En 1165, ils fuient le Maroc après l’exécution sur la place publique de Rabbi Yéhuda COHEN Ibn SHUSHAN qui avait refusé la conversion à l’islam. Toute la famille fuit en Terre Sainte. Ils séjournent six mois à Saint-Jean-d’Acre, mais fuient à nouveau les combats qui font rage entre chrétiens et musulmans. Cette fois, la famille s’installe à Fostat, « vieille ville » du Caire. En 1185, MAÏMONIDE devient le médecin de Saladin qui fait de lui le chef spirituel de la communauté juive d’Egypte. Il est renommé comme médecin, son cabinet est ouvert à tous sans distinction sociale ou confessionnelle. Il devient une autorité spirituelle pour de nombreuses communautés juives et se fait connaître par ses épîtres aux Juifs du Yémen ou du Maroc où il traite de questions théologiques problématiques. Mais les œuvres principales de MAÏMONIDE se répartissent entre les deux pôles de la philosophie et de la Loi-Thora. Ces deux pôles révèlent le grand projet de MAÏMONIDE : harmoniser philosophie et foi religieuse, harmoniser Athènes et Jérusalem, le Stagirite (Aristote) et Moïse. Il introduit dans ses gigantesques écrits talmudiques les méthodes scientifiques. Dans son grand livre philosophique : le Guide des égarés / Moreh Nevoukhim, il s’attache à résoudre la contradiction, à son avis superficielle, entre la philosophie et la révélation, et à servir de guide à ceux qui en étaient venus, en raison de cette contradiction, à douter soit de la foi religieuse, soit de la philosophie. Les œuvres de MAÏMONIDE se sont heurtées à une forte opposition, déjà de son vivant, et ont provoqué ce que l’on nomme la « polémique maïmonidéenne ». Cette polémique perdure jusqu’à nos jours. Nous lirons des passages du Guide des égarés. Par cette lecture, nous nous poserons la question de savoir si la foi religieuse peut être considérée comme une forme de connaissance philosophico-scientifique, si nous sommes capables de dire quoi que ce soit sur la nature de Dieu. 8 Ces séminaires sont proposés à toute personne juive ou non qui souhaite acquérir ou améliorer ses connaissances en matière de judaïsme Où ? Avenue Ducpétiaux, 68 – 1060 Bruxelles Quand ? 23 février 2016 de 11h45 à 13h30 Prix ? 5 € par séminaire – 1 sandwich + 1 boisson soft compris Toute difficulté financière sera prise en considération et ne doit aucunement constituer un obstacle pour s’inscrire. Personne de contact : Viviane LIPSZSTADT Réservation et inscription indispensable auprès de l’accueil en téléphonant au 02/538.81.80 au plus tard 3 jours avant chaque séance. - CLUB AMITIE - CLUB AMITIE - CLUB AMITIE - CLUB AMITIE - CLUB AMITIE AGENDA C LU B A M IT IE - FÉVR IER 2 0 1 6 ATELIERS PERMANENTS Atelier de peinture Assuré par Dina Kathelyn Les lundis 1, 8, 15, 22, 29 de 10h à 13h L’atelier yoga seniors Assuré par Isabelle Divoy formée au Viniyoga Les mardis 16, 23 de14h30 à 15h30 Table de conversation en anglais Assurée par Béryl Harris-Joachimowicz Les mardis 2, 9, 16, 23 de 15h45 à 17h Atelier d’écriture, jeux d’écriture… Un moment de détente et de rencontre autour d’une activité qui fait la part belle à l’imagination créative. Animé par Annette Toierow, ergothérapeute bénévole. PAF : 2€ pour le matériel Les jeudis 4, 11, 18, 25 de 10h30 à 12h00 9 CLUB AMITIE - CLUB AMITIE - CLUB AMITIE - CLUB AMITIE - CLUB AMITIE - AGENDA C LU B A M IT IE - FÉVR IER 2 0 1 6 Jeudi 4 à 15h. Retrouvons-nous pour déterminer ensemble les activités à venir. Jeudi 11 à 15h « Hitchcock, fais-moi peur ! » : un sujet divertissant plein d’humour et de suspense, présenté par Jack Mener, journaliste, membre de la FIPRESCI et critique de films pour les magazines Contact J et La Centrale. Jeudi 18 de 11h15 à 13h30 Cycle de conférences sur la musique : 7ème saison : LA MUSIQUE DE CHAMBRE. Aujourd’hui, nous nous mettrons à l’écoute de Schubert, ce musicien qui compte parmi les plus grands compositeurs de musique de chambre. Les exposés sont donnés par Dalia de Macar-Elbaum PAF : 6€ avec sandwich, si réservation effective au plus tard 2 jours avant la conférence. Jeudi 25 à 15h Jacques Faïtlovitch et les tribus perdues. Un film documentaire de Maurice et de Sarah Dorès. France, 2011, durée 59’. Source IMAJ. Une traversée des cultures du monde du siècle dernier jusqu’à aujourd’hui, en passant par Lodz, Addis-Abeba, New York et Tel-Aviv. SEMINAIRE de Dalia de Macar-Elbaum : EXEGESE BIBLIQUE Les mardis 2 et 16 de 10h30 à 12h30 Séminaire organisé par la Maison de la Culture Juive, en partenariat avec le Club Amitié Mazal Tov, nous souhaitons un joyeux an Le Le Le Le 10 9 : Solly Gaon 14 : Marcel Rozenbaum 17 : Dina Kathelyn 20 : Valère Duvivier Vous avez du temps libre et aimeriez vous rendre utile... Le Service Social Juif constitue une réserve de volontaires disposant des connaissances primaires de base en français et/ou calcul pour encadrer des jeunes primo-arrivants lors de la préparation de leur certificat d’études de base (CEB) dans les locaux de l’Athénée Royal Victor Horta à Saint-Gilles. Vos compétences : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Avoir si possible de l’expérience avec des jeunes Savoir travailler en autonomie et en équipe Participer aux réunions avec des professionnels d’encadrement Posséder au minimum le diplôme de l’enseignement secondaire supérieur Avoir des bonnes capacités rédactionnelles et une très bonne connaissance du français (grammaire et orthographe) Si possible, avoir de bonnes notions de néerlandais Pouvoir justifier un certificat de bonne vie et mœurs de type 2, réservé à l’accompagnement d’enfants mineurs. Les ateliers pédagogiques ont lieu les lundis, mardis et jeudis entre 15h30 et 17h : à vous de choisir le ou les moments qui vous conviennent. Intéressé(e) ? Appelez Viviane Lipszstadt, les mardis ou jeudis matins au 02/538 81 80 ou par e -mail à [email protected] ». Mazal Tov, nous souhaitons un joyeux anniversaire à : Le Le Le Le 21 : 22 : 22 : : 28 Inge Schneid Engels Anna Lichtman Estelle Sasson Martine Grunwald 11 C.M.P. - C.M.P. - C.M.P. - C.M.P. - C.M.P. - C.M.P. - C.M.P. - C.M.P. - C.M.P. AGENDA C . M . P . - FÉVR IER 2 0 1 6 « SHMUES TISH OÏF YIDISH » « TABLE DE CONVERSATION YIDDISH » Les mercredis 3, 17, 24 de 10h à 12h La table est animée par Sonia Brezinski Dans le cadre de notre cycle : « L’IMAGE DE LA PERSONNE ÂGÉE AU CINEMA » le vendredi 19 février à 14 heures pour le film : My old lady Réalisé par : Israël Horovitz Avec : Kevin Kline, Maggie Smith, Kristin Scott Thomas Comédie dramatique - Romance (2015) - Durée : 1h45 Mathias, la cinquantaine, new-yorkais, divorcé et sans ressources, débarque à Paris pour vendre la maison qu'il a héritée de son père. Il découvre alors que ce magnifique hôtel particulier du Marais est habité par une vieille dame de 92 ans, Mathilde, et sa fille, Chloé. Un hôtel particulier que Mathilde a placé il y a bien longtemps en viager, coutume typiquement française que ne comprend évidemment pas cet Américain pragmatique qui se retrouve en plus à devoir payer une rente. Après le film Comme à l’accoutumée, nous nous retrouverons autour d’une tasse de thé ou de café et des petits gâteaux pour échanger nos impressions. Lieu : Service Social Juif – P.A.F. : 3,50€ Contacts : Cécile Dethier ou Vincent De Mulder au 02/538.81.80 12 Parents à charge : cela peut rapporter gros ! En effet, une circulaire administrative d’octobre 2010 explique qu’en matière de prise en charge de certaines personnes âgées de plus de 65 ans, une loi a instauré un incitant fiscal. Celui -ci s’applique aux contribuables qui accueillent, dans leur ménage, leurs ascendants ou collatéraux jusqu'au deuxième degré, inclusivement, âgés de 65 ans ou plus, même si ces personnes bénéficient de revenus propres. La loi précise aussi qu’une personne gravement handicapée est comptée pour deux personnes. Elle explique en outre que les personnes en question, âgées de 65 ans ou plus au 1er janvier de l'exercice d'imposition, doivent faire partie du ménage du contribuable, au 1er janvier de l'exercice d'imposition, c’est-à-dire cohabiter effectivement et d'une manière durable avec lui. Quelles sont les ressources nettes des parents ? Prenons un exemple Pension recueillie par le père: € 22.729,20 Pension recueillie par la mère: € 2.266,55 Habitation (1) (occupée par le ménage), RC non indexé : € 736,00 Au 1er janvier 2013, le père ainsi que la mère étaient âgés de plus de 65 ans, et cette dernière était reconnue comme gravement handicapée (code 2028). Détermination des ressources nettes des conjoints Les enfants peuvent prendre leurs parents à charge si - pour l’année des revenus 2012, déclaration 2013 - l’ensemble des ressources nettes de ces derniers ne dépasse pas le montant de € 2.990. Pour déterminer le montant net de ces ressources, il est important de savoir qu’on fait abstraction – entre autres – des pensions, et ce à concurrence de € 24 070 en 2012 (devant être déterminé dans le chef de chacun des ascendants séparément). Dans le calcul ci-après, nous traitons d’abord les revenus de pension respectifs des parents et ensuite le revenu de leur habitation. Pour celle-ci, le calcul est légèrement différent et tiendra compte d’une indexation annuelle qui varie chaque année. Le montant de cette indexation se trouve sur l’avertissement extrait de rôle en matière de précompte immobilier que les parents ont payé durant l’année 2012. • • • • Revenus du père (pension): € 22.729,20 Quotité de la pension qui ne constitue pas des ressources: € 24.070,00 Ressources nettes du père: € 0,00 Revenu cadastral = € 736,00 x 1,6349 (indexation) = € 1.203,29 arrondis à € 1.203,00 13 • • • • Revenus de la mère (pension) : € 2.266,55 Quotité de la pension qui ne constitue pas des ressources: € 24.070,00 Ressources nettes de la mère: € 0,00 Total des ressources nettes du ménage: € 1.203,00 Conclusion pour cette déclaration : Le montant des ressources nettes des deux ascendants étant inférieur à € 2.990, Stéphane peut considérer ses deux parents comme étant à sa charge. Son avantage financier s’élève à un peu plus de € 3.100. Source : http://www.blog.ergo.be/fr_be/post/parents-charge-reduction-impot Laurent Heyvaert Vous avez du temps libre ? Vous voulez vous rendre utile, aider le SSJ ? Nous avons besoin de vous ! Volontaires, venez vous joindre à nous pour nos divers courriers, administratifs, envois, etc. Pour tous renseignements : Shavit au 02/538.81.80 14 Pub Philou 15 « L’IMAGE DE LA PERSONNE ÂGÉE AU CINEMA » Le vendredi 19 février 2016 à 14h Après le film Comme à l’accoutumée, nous nous retrouverons autour d’une tasse de thé ou de café et des petits gâteaux pour échanger nos impressions. Lieu : Service Social Juif – P.A.F. : 3,50€ Contacts : Adeline Fohn, Cécile Dethier ou Vincent De Mulder au 02/538.81.80