Le programme - Université Paris

EA 4509 – Université ParisED 5 Concepts et langages
Nietzsche à cet instant fait virer la vérité de la femme,
la vérité de la vérité : « il est certain qu’elle ne s’est
pas laissé prendre – et chaque espèce de dogmatique
se tient là aujourd’hui dans une contenance piteuse et
déprimée.
Autour
d’Éperons.
A supposer même
qu’elle
se tienne encore debout ! »
Les styles de Nietzsche
La femme (la vérité) ne se laisse pas prendre.
Lire Derrida ?
Journée d’étude organisée par
Dominique Maingueneau (Paris-Sorbonne)
et Mathilde Vallespir (Paris-Sorbonne)
École Doctorale 5,
Équipe d’Accueil « Sens, Texte, Informatique, Histoire »
le 8 février 2014, 9h30-17h
Salle des Actes, Université Paris-Sorbonne
1 rue Victor Cousin, 75005 Paris
par pas prendre.
A la vérité la Journée
femme, d’étude
la véritéorganisée
ne se laisse
Dominique Maingueneau (Paris-Sorbonne)
et Mathilde Vallespir (Paris-Sorbonne)
Ce qui à la vérité ne se laisse pas prendre est —
féminin, ce qu’il ne faut pas s’empresser de traduire
Samedi 8 février 2014
par la féminité, la féminité de la femme, la sexualité
9h30-17h00
de la femme et autres fétiches essentialisants qui sont
Actes quand on en reste
justement ce qu’on Salle
croit des
prendre
à la niaiserie du philosophe dogmatique, de l’artiste
impuissant ou du séducteur sans expérience.
Programme
Université Paris-Sorbonne
1, rue Victor Cousin 75005 Paris
Nietzsche à cet instant fait virer la vérité de
la femme, la vérité de la vérité : « il est certain
qu’elle ne s’est pas laissé prendre – et chaque
Matinée : 9h30
- 12h30
espèce de dogmatique
se tient
là aujourd’hui
dans une contenance piteuse et déprimée.
AFrédéric
supposer
même qu’elle se tienne encore
Cossutta
debout ! »
Éperons de Derrida, un texte indéchiffrable ?
Bordron
LaJean-François
femme (la vérité)
ne se laisse pas prendre.
Derrida et l’expérience de l’image
APause
la vérité la femme, la vérité ne se laisse pas
prendre.
Mathilde Vallespir
métaphore
dans ne
Éperons
de Derrida :
CeLaqui
à la vérité
se laisse
pas prendre est
et dé-figuration
—figure
féminin,
ce qu’il ne faut pas s’empresser
deBruno
traduire
par la féminité, la féminité de la
Clément
femme,
la sexualité
la femme
et autres
S’accommoder
des de
images.
Derrida
lecteurfétiches
d’Augustin, dequi
Nietzsche
et de quelques
autres
essentialisants
sont justement
ce qu’on
croit
prendre
quand on en reste à la niaiserie du
Pause déjeuner
philosophe dogmatique, de l’artiste impuissant
ou du séducteur sans expérience.
Nietzsche à cet instant fait virer la vérité de
la femme, la vérité de la vérité : « il est certain
qu’elle ne s’est pas laissé prendre – et chaque
Après-midi :se14h30
espèce de dogmatique
tient -là17h
aujourd’hui
dans une contenance piteuse et déprimée.
ADominique
supposer
même qu’elle se tienne encore
Maingueneau
debout ! »
Par-delà l’homme et la femme : l’énonciation
Johannes
La
femmeAngermüller
(la vérité) ne se laisse pas prendre.
La philosophie comme pratique discursive.
AConstruire
la véritésalaplace
femme,
se laisse pas
danslalevérité
mondenephilosophique
prendre.
Alain Lhomme
Grammaire
l’indécidable
Ce
qui à ladevérité
ne se laisse pas prendre est
— féminin, ce qu’il ne faut pas s’empresser
de traduire par la féminité, la féminité de la
femme, la sexualité de la femme et autres fétiches
essentialisants qui sont justement ce qu’on croit
prendre quand on en reste à la niaiserie du
philosophe dogmatique, de l’artiste impuissant
ou du séducteur sans expérience.