Lydia Lunch

Transcription

Lydia Lunch
Les Ateliers du Vent ont le plaisir d’accueillir
Lydia Lunch
artiste indisciplinée
Dans le cadre de deux soirées consacrées à cette
artiste new-yorkaise, égérie underground de la fin des
années soixante-dix et quatre-vingt, chanteuse, écrivain mais
aussi photographe, performeuse.
aux Ateliers du Vent,
59 rue Alexandre Duval à Rennes
accès bus 9 arrêt Voltaire station vélo Malakoff
02/99/27/75/56
[email protected]
www.lesateliersduvent.org
Lydia Lunch artiste indisciplinée.
Portrait.
Musicienne, performeuse, actrice, écrivain, poète
et photographe, Lydia Lunch fut l’égérie du mouvement underground new-yorkais de la fin des années
70 et des années 80.
Elle a participé à de multiples groupes de rock,
notamment avec James Chance (Teenage Jesus and
the Jerk), Nick Cave et Sonic Youth, et a signé plus
de trente albums. Scénariste et actrice des films de
Richard Kern, elle a aussi collaboré en tant que
photographe au film d’Asia Argento, Le livre de
Jeremy. Lydia Lunch vit aujourd’hui à Barcelone. Elle
a publié en France deux ouvrages autobiographiques, Paradoxia, journal d’une prédatrice, édité en 98
à La Musardine et réédité cette année Au Diable
Vauvert (août 2011) et le second traduit par Virginie
Despentes, Désordres synthétiques (Au Diable
Vauvert, 2010).
Elle tourne actuellement en Europe avec Big
Sexy Noise qui sort fin septembre son second album,
Trust the witch.
http://www.lydia-lunch.org/
Lydia Lunch aux Ateliers du Vent
Ce qui fascine chez cette femme, c'est sa rage, sa radicalité, son sens du
verbe et du mot, sa lucidité. Une artiste sans concession, qui n'a rien à perdre, qui
dit haut et fort de quel bois elle est faite et de quel bois elle se chauffe !
La première fois que j'ai vu Lydia Lunch en concert c'était à Nantes (LU) en
2004 au festival IDEAL. Je n'en avais jamais entendu parlé et je passais même dans
cette salle par hasard ! Ce fut comme une déflagration de mots et de sons !
Je ne comprenais rien de ce qu'elle disait, mais je savais qu'elle racontait
quelque chose d'important, pas trois mots d'amour qui font une chansonnette…
Plutôt un genre de "pièce" avec beaucoup de mots, un débit rapide et rythmé, des
vers qui, s'ils étaient jetés contre la fenêtre, briseraient certainement la vitre .
Et puis je l'ai revu à Rennes au Mondo-Bizarro un ou deux ans plus tard…
Même sensation.
En furetant sur internet je découvrais qu'elle était aussi photographe, qu'elle
avait fait des films et du spokenword...
En 2008, j'ai eu envie de lire Virginie Despentes grâce à Beatriz Preciado,
philosophe et théoricienne de la question du genre. 15 ans que ses livres étaient
édités mais je ne l'avais jamais lue, et j'ai pu dévorer en quelques semaines l'ensemble de son oeuvre. Elle venaient déranger quelque chose en moi, m'invitant
par là même à me repositionner.
En avril 2010, à l'entre-peaux/Emmetrop, un lieu historique des friches artistiques, Lydia Lunch était invitée pour deux concerts avec le Big Sexy Noise dans le
cadre d'un événement sur deux jours, intitulé "Mutantes Party".Virginie Despentes
y présentait, plusieurs mois avant la sortie officielle, son film documentaire
"Mutantes".
A Bourges la filiation entre ces deux artistes m'apparut évidente et je mesurais la portée politique, révolutionnaire probablement, de leurs oeuvres.
Bad girls des quartiers pauvres, elles font de leur propre expérience un outil
d'étude, une analyse, de ce que sont aujourd'hui les rapports entre les sexes, la
construction des identités sexuelles, la marchandisation.
Elles renversent tout sur leur passage ! Et c'est jouissif !
A Rennes, des salles de concert auraient pu programmer Lydia Lunch. Les
Ateliers duVent ne sont eux pas une salle de diffusion, mais nous voulions nous
offrir et vous offrir la possibilité de découvrir les multiples facettes de cette artiste.
Céline Le Corre, pour les Ateliers du Vent
Lydia Lunch artiste indisciplinée.
biographie.
Lydia Lunch est née près de Rochester aux Etats-Unis en 1959. Elle a 15 ans quand elle fuit
l'appartement du père qui la viole et n'hésite pas à la mettre en gage dans les parties de cartes qu'il
joue avec ses copains. Lorsqu'elle débarque à New-York. Elle vit alors de rapines, prostitution et
trafics divers, Lydia Lunch lutte pour sa survie, avec comme seuls bagages la violence et la haine,
mais écrit des poèmes et fréquente le CBJB, célèbre club new-yorkais où elle
rencontre entre autre les Sonic Youth, James Chance avec qui elle monte le
groupe Teenage Jesus and the Jerks, comme guitariste et « cri primal »,
groupe mythique de la scène No Wave. Deux ans plus tard, Brian Eno produit
pour Island Records un album anthologique des meilleurs groupes de l’époque : No New York réunit The Contorsions, Mars, DNA et Teenage Jesus.
Parallèlement, Lydia Lunch crée un autre groupe, Beirut Slump, et sort en
1980 un premier album solo, Queen of Siam, qui marquera toute une génération d’artistes.
Dans les années 80, elle entame une série de collaborations avec Nick Cave,
Einstürzende Neubauten, Die Haut, Marc Almond, Sonic Youth… Elle écrit et tourne avec
Richard Kern une série de films dans lesquels elle met en scène sa vision personnelle des désirs
et des violences sexuelles. En 1984, elle fonde sa propre maison de production Widowspeak pour
contrôler une œuvre déjà prolifique. Elle sort The uncensored Lydia Lunch, premier chapitre de ce
qui allait devenir son medium le plus direct et le plus efficace, le spoken word (textes mis en scène,
entre théâtre et harangue). Elle s’associe à Fœtus (alias Clint Ruin/ Jim Thirwell) pour plusieurs
albums et crée en 1989 un groupe noise-rock avec Kim Gordon de Sonic Youth. Un an plus tard,
Our Fathers who aren’t in Heaven regroupe Lydia Lunch, l’écrivain Hubert Selby Jr. (Last Exit to
Brooklyn), Henry Rollins et Don Bajema.
Parallèlement aux spoken words, à la mise en scène de pièces de théâtre et ses performances d’actrice (notamment dans les films de Beth B), Lydia Lunch multiplie les supports d’expression : elle publie en 1982 un livre de poésie avec Exene Cervanka (chanteuse du groupe X)
Adulterous Anonymous ; deux recueils illustrés Blood Sucker et Incriminating Evidence en 1992 ;
une bande dessinée avec Nick Cave et Mike Matthews, As-Fix-E-8, en 1993 ; sa biographie au
vitriol Paradoxia, journal d’une prédatrice, traduit dans plusieurs langues et préfacé par Hubert
Selby Jr., en 1997 et Toxic Gumbo, bande dessinée pour DC Comics avec Ted McKeever, en 1998.
Vers la fin des années 90, elle se tourne vers la photographie et l’installation, deux expositions lui
étant consacrées à Paris (galerie Tribal Act, Musée de l’érotisme). En 2003, Asia Argento sollicite
son regard de photographe sur son film Le livre de Jeremy. Elle a
également récemment prêté sa voix pour Wild Tigers I have
known, film produit par Gus Van Sant, et American Fame, deux films
réalisés par Cam Archer.
Ces dernières années, Lydia Lunch s’est produite en
concert chaque année dans les plus grandes villes européennes,
renouvelant incessamment son public et sa musique. Avec Real
Pornography, performance multimédia, Lydia Lunch élargit encore
son champ d’expression.
Icône sexuelle, artiste radicale, inlassable et inclassable,
Lydia Lunch n’a eu de cesse de dénoncer le conformisme, l’exploitation de la misère, la politique américaine et les violences faites
aux femmes : « Mon art, dit-elle, a essentiellement une fonction
asociale, une fonction de dénonciation ». Son esprit de révolte, son
indépendance (elle n’a jamais signé sur une major) et l’influence
qu’elle a exercé sur toute une génération en font un modèle unique de l’underground américain.
Mutantes
(Féminisme Porno Punk)
un film de Virginie Despentes
Interdit aux moins de 16 ans
Sortie salles France : 17/11/2010
Durée : 1h31mn
Distribution : Blaq out
Artistiquement et politiquement proche de Lydia Lunch, Virginie Despentes a traduit son dernier ouvrage, Désordres synthétiques (We will work for drugs), paru
aux éditions Au diable Vauvert en 2010. Lydia Lunch est par ailleurs l'une des artistes-intervenantes de son documentaire.
Synopsis >> Constitué d’une série d'entretiens réalisés aux ÉtatsUnis, à Paris ou à Barcelone auprès d’artistes, théoriciennes, activistes queer, et de documents d’archives autour de l’action politique
des travailleuses sexuelles et de performances d’un nouveau
genre, MUTANTES dessine les contours d’un féminisme dont on a
peu parlé en France, qui revendique une liberté sexuelle totale, à
l’instar du mouvement féministe “pro-sexe” né dans les années 80
aux États-Unis.
L’écrivain Virginie Despentes (Baise-moi, King Kong
Théorie), nous plonge dans une quête initiatique troublante et captivante avec les mots ou les images de celles qui ont inspiré son
travail et qui investissent aujourd'hui des domaines qui lui sont
proches : d’Annie Sprinkle à Catherine Breillat ou Lydia Lunch en
passant par Post Op ou Maria Llopis, les propos de MUTANTES
tranchent définitivement avec le discours ambiant,“qui voudrait que
le sexe ne soit jamais aussi bien pratiqué que dans la chambre,
que la dignité des femmes dépende toujours de leurs sagesse et
passivité, et que les seuls thèmes féministes à débattre soient le
port du voile et la violence de genre."
nb : cette notice est extraite du site Blaq Out www.blaqout.com
Paradoxia
journal d’une prédatrice
un livre de Lydia Lunch
Lecture-performance (en V. O.): Lydia Lunch
Lecture en version française : Céline Le Corre
Année de publication : août 2011
Traduction : Charles Woolf
Préface : Virginie Despentes
Réédition : Au diable Vauvert
« J'avais déjà couché avec la moitié du quartier : les deux frères qui vivaient en face, leur cousin, l’ancien Marine au coin de la rue,
le vieux qui tenait le magasin de disques, le caissier de l’épicerie, le
gosse qui livrait les pizzas, son grand frère, quelques-uns de ses amis
; sans compter la moitié des mecs qui me prenaient en stop, et le petit
dealer d’herbe.Priant toujours que l’un d’entre eux,n’importe lequel,
puisse effacer de ma mémoire le souvenir poisseux des mains moites
de mon père. »
Récit autobiographique, Paradoxia est une confession écrite
comme on donne un coup de poing. Lydia Lunch y tient le journal de
ses souvenirs, de scènes fondatrices en détails percutants, parfois
drôles, souvent cruels : un père incestueux, une quête effrénée de
sexe, de défonce et d’alcool… De New York à Londres puis à La
Nouvelle-Orléans, Paradoxia est un compte-rendu non censuré de la
revanche d’une femme sur les hommes, de l’art sur la misère, de la
révolte sur le destin.
C’est par ce texte qu’on a découvert en France en 1998 la voix
littéraire de Lydia Lunch, à la hauteur de l’incroyable organe de la
chanteuse, une voix forte de survivante, rauque des épreuves de la
rue, un argot de femme incroyablement expressif et musical, un désespoir et une violence de tragédienne.
« Paradoxia prouve que Lunch donne le meilleur d’elle-même
quand elle est au plus bas… et donne vie à un chant de sirène, parfois
effrayant, souvent drôle, toujours intelligent et jamais sentimental. »
Barbara Kruger
« Hubert Selby Junior disait qu’il avait grandi avec la sensation d’être
un cri dépourvu de bouche. Parmi sa progéniture littéraire, Lydia
Lunch est l’une des plus célèbres et des plus intransigeantes. Dans
son chef-d’œuvre infernal, Paradoxia, elle nous livre à la fois cri, bouche, dents, sang, cheveux, sperme, couteau et adrénaline. »
Jerry Stahl.
Dans le cadre de cette lecture, un entretien avec Lydia Lunch sera mené par Henri
Landré (Radio JetFM), ainsi qu’une projection de l’œuvre photographique de l’artiste.
Trunks
Batterie : Régïs Boulard
Guitare : Stéphane Fromentin
Guitare : Florian Marzano
Saxophones : Daniel Pabœuf
Basse/voix : Lætitia Shériff
Créée en 2006, à Rennes, Trunks est résolument une formation musicale à mi-chemin entre groupe et collectif. Autour de musiciens expérimentés et aux parcours remarqués, issus de la pop-rock
et des musiques improvisées, Trunks (Laetitia Shériff, Stéphane
Fromentin (Le Bougnat, Chien Vert), Daniel Pabœuf (Marquis de
Sade, DPU), Régïs Boulard (Son of the desert, Chien Vert, DPU),
Florian Marzano (We Only Said)) délivre un univers où s’entrechoquent des instrumentaux aux climats sonores détonants avec des
chansons hors normes et étonnantes, inspirées par des haïkus de
l’écrivain Jack Kerouac. Du frottement de ces musiciens aguerris naît
une musique paradoxale ; impulsivités délicates, débordements
décadrés, jaillissements cristallisés, accélérations affolantes dans
l'immobilité. Trunks est une sorte d'automobile improbable où chaque musicien possède un volant, une pédale d'embrayage et une
d'accélération (et qui pense que c'est l'autre qui a la pédale de
frein).
"Trunks, collectif réunissant une partie des musiciens bretons qui comptent, défriche des territoires empruntant à la noïse, la pop et la musique
improvisée,nous revient avec un EP (...), lyrique et sobre qui se termine sur
un long tunnel kraut, inéxorable et hypnotique"
longueur d'ondes, juin 2010
« Plutôt qu’un groupe,TRUNKS est vraiment un collectif.Voilà une « chose un
peu bizarre », mais qui tourne parfaitement rond. Musique militante à sa
manière, l’album Use Less dépote toutes les frontières, éclate les genres.
Chacun des musiciens y est venu via son univers, comme Daniel Paboeuf
que l’on connaissait dans le jazz ou près de Dominique A ou Laetitia Sheriff
venu de la pop-rock. Bien malin celui qui arrivera à classer la musique de
Trunks quelque part entre rock, jazz et pop. »
Marjorie Risacher
(émission « Sous les étoiles exactement », FRANCE INTER)
Ce concert accompagne la sortie de l’album On The Roof.
Plus d’infos www.trunks.fr
07 Octobre. Les Ateliers Du Vent/Rennes
14 Octobre. Les Passagers du Zinc/Besançon
15 Octobre. Le Greffier/Mulhouse
20 Octobre. Le Sunset/paris
21 Octobre. Le Grattoir/Gerardmer
27 Octobre. Le Labo sonore/Cherisay
03novembre. Le Fil/Saint-Étiennes
etc.
Toutes les dates sur www.trunks.fr
Big Sexy Noise
Claviers/saxophone/guitare : Terry Edwards
Guitares : James Johnston
Voix : Lydia Lunch
Batterie : Ian White
Formé en 2008, Big Sexy Noise est composé de Terry
Edwards (Madness, Spiritualized, Siouxsie, Robyn Hitchcock),
James Johnston (Nick Cave and the Bad Seeds (2003-2008),
Faust) et Ian White (Barry Adamson), connus sous le nom de
Gallon Drunk, et de l’intransigeante Lydia Lunch qui a collaboré avec une encyclopédie d’investigateurs de la musique
dont Sonic Youth, Nick Cave, Henry Rollins, Einstürzende
Neubauten et plus récemment Alan Vega et Omar Rodriguez
Lopez de Mars Volta.
“Big Sexy Noise crée du hard rock primal, percutant,
intensément addictif, qui chevauche sur les racines du blues, du
funk et d’un jazz sombre.
Mené par la célèbre Lydia Lunch, Big Sexy Noise non
seulement transcende le ghetto underground d’où il provient,
mais annonce un retour à la musique provocante, passionnante
et même dangereuse.”
“Noir et parfaitement exécuté, le répertoire de la clique ainsi constituée touche au génial quand il trace et cogne (Cross the line), comme
quand il revêt des atours bluesy qui en remontrent aux Kills (Won't
leave you alone), parachevant un travail sur les ambiances déjà bien
peaufiné et arrosé par les stridences de Johnston et Edwards, Ian White
se chargeant lui de donner le tempo de ce Trust the witch de haute
volée.”
le 06/09/2011 - Muzzart (extrait)
Ce concert accompagne la sortie de l’album Trust the witch.
Plus d’infos http://www.myspace.com/bigsexynoise
01 Octobre. Le Rocking Chair/Vevey- CH
02 Octobre. Sedel/ Luzern-CH
03 Octobre. Le Sonic/Lyon
05 Octobre. Les Ateliers de Bitche/Nantes
06 Octobre. Le Temps Machine/Joue Les Tours
07 Octobre. Les Ateliers Du Vent/Rennes
12 Novembre. VK/Bruxelles. B
13novembre. Hafenklang/Hamburg. D
14 Novembre. Museumskeller/Herfurt. D
15 Novembre. Feierwerk/Munich. D
16 Novembre. Franzk/Reutlingen. D
17 Novembre. Desi/Nüremberg. D
etc.
Toutes les dates sur www.lydia-lunch.org/
Informations Pratiques
tarifs soirée du 6 octobre : en libre participation.
tarifs soirée du 7 octobre :
tarif Plein : 12€ sur place/10€ en pré-vente
tarif réduit : 8€ (adhérents, chômeurs, étudiants, etc.)
Les billets en pré-vente sont diponibles à :
Blind spot,
32 rue Poullain Duparc. www.blindspot.fr 02.99.78.51.90
Alphagraph
5, rue d’Échange. 02 99 79 74 20
et aux Ateliers du Vent
59, rue Alexandre Duval . 02 99 27 75 56
Une sélection d’ouvrages et de disques sera disponible sur un stand
proposé par la librairie Alphagraph.
ouverture des portes à 18h.30.
Petite restauration possible.
Les Ateliers du vent reçoivent le soutien de la Ville de Rennes, du Conseil Régional de
Bretagne et du Conseil Général d’Ille et Vilaine au titre de collectif artistique.
sont un collectif d’artistes pluridisciplinaires.
Avant tout espace de travail et d’expérimentations, ils sont aussi
un lieu de propositions et à ce titre présentent chaque année
depuis leur création, en 1996, des expositions d’arts visuels, des soirées musicales, autour de la poésie et de la lecture, des mises en
scène de théâtre, spectacle à tiroir et événement décalés.
À chaque fois, elles sont le fruit de rencontres à la fois humaines et
artistiques.
Juillet 2011
La Vilaine République, Démocratie participative aléatoire, tournante ministérielle,
machine à truquer les sondages, bals sans
culottes... chacun à sa façon a pu exercer
sa Vilaine Citoyenneté... lors de cet événement interventionniste artistique décalé.
Mai 2011
Varvara Pomidor, exposition des œuvres
peintes et dessinées de la jeune illustratrice
Russe dans le cadre du festival
Périscopages (rencontres de la bande dessinées d’auteurs et de l’édition indépendante)
Avril 2011
Courants d’air, week end rencontre avec
les artistes résidents aux Ateliers du Vent,
présentation de différentes créations (théatrales, visuelles), installations, etc.
Octobre/ Novembre 2010
Dans le cadre de l’année France Russie,
Vive la jeune garde présentait le travail de
six artistes russes de Moscou et Saint
Petersbourg accueillis en résidence : Diana
Machulina, Tatiana Podmarkova, Dmitry
Bulnygin, Ilya Gaponov et Kiril Koteshov.
La force et la diversité de leurs approches
esthétiques ont profondément marqué les
nombreux visiteurs.