La Cie Alias fête ses 20 ans

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La Cie Alias fête ses 20 ans
La Cie Alias
fête ses 20 ans
Découvrez la trilogie Distancia
du 27 oct. au 1er nov.
Photo © Grégory Batardon
Antes
Jetuilnousvousils
Sideways Rain
forum-meyrin.ch / Théâtre Forum Meyrin, Place des Cinq-Continents 1, 1217 Meyrin
Du 27 octobre au 1er novembre
Trilogie Distancia
Guilherme Botelho - Cie Alias
Une semaine dans l’univers de la Cie Alias
En 2014, Alias fête ses vingt ans d’existence, ainsi que 10 ans de compagnonnage avec
le Théâtre Forum Meyrin.
Pour marquer cet anniversaire – pas si fréquent pour une compagnie de danse –,
Guilherme Botelho présente à Meyrin l’intégralité de la trilogie Distancia, reflet du
travail qu’il a mené ces dernières années sur l’histoire de l’humanité, le croisement
des destinées individuelles et collectives.
Le premier volet est constitué par Antes, la nouvelle création de Guilherme Botelho et
l’aboutissement de la trilogie Distancia. A travers cette pièce, on plonge aux sources de
l’humanité, aux confins de l’être afin de découvrir ce qu’il y avait... avant. Cette trilogie
est aussi composée de deux spectacles en reprise, Sideways Rain et Jetuilnousvousils, les
deux premiers opus, qui ont posé les fondations de la dernière pièce.
En complément de cette trilogie, la Cie investi le Théâtre Forum Meyrin avec deux
propositions. Tout d’abord, une performance de projections qui s’affichera sur les
murs du théâtre à la nuit tombante. Une création du vidéaste belge Romain Tardy à
qui Guilherme Botelho a livré l’entier de ses archives visuelles. Ensuite, les spectateurs
trouveront dans un kiosque d’un genre inattendu, deux danseurs à leur entière
disposition. Contre une piécette, ils exécuteront une danse rien que pour eux. La Cie
affirme ainsi son désir de mettre de la vie dans sa danse, et du vivant dans la cité.
De plus, le théâtre propose A poil !, un film documentaire d’Olivier Lemaire et Florence
Plantarets revenant sur la question de la nudité dans la danse au XXe siècle.
Lundi 27, mardi 28 et jeudi 30 octobre à 20h30
Antes
Vendredi 31 octobre à 20h30
Jetuilnousvousils
Samedi 1er novembre à 20h30
Sideways Rain
Tous les soirs de représentations
Projection du documentaire A poil ! à 18h45
Kiosque à danses dans les foyers du TFM, de 19h15 à 20h15
Mapping vidéo sur les murs du TFM, de 19h15 à 20h15
Trilogie Distancia
Antes
Avant, qu’est-ce qu’il y avait ? Au
début de l’humanité, avant que
l’être humain ne soit pris dans
l’engrenage de son devenir social,
voire numérique pour ce qui
concerne notre époque, qu’en étaitil de l’homme, de la femme ? Par
quoi étaient-ils animés ? Quelles
émotions les gouvernaient ? A travers
ce spectacle, Guilherme Botelho
plonge aux sources de l’humanité,
aux confins de l’être.
Une forêt d’homo sapiens, mûs par
des forces communes, les mêmes
peurs, les mêmes besoins, les mêmes
désirs. La nudité est leur habit, non
par provocation mais parce qu’elle
est le reflet de ce que nous sommes.
Botelho chorégraphie au plus près
de l’intime, il creuse en nous le
tableau d’un paysage en constant mouvement où chaque corps constitue la partie d’un
ensemble plus vaste, où il est la composante d’une nature en perpétuel mouvement.
Ses danseurs sont le vent, l’eau, la vie. Les corps ne se touchent jamais, mais ensemble
ils forment un tout. C’est un playdoyer qu’il nous offre là. Le genre de spectacle qui
se joue de votre esprit et de vos tripes et qui, d’une certaine manière, agit comme une
minuterie de réveil dont on remonte le mécanisme chaque matin.
Antes (en portugais «avant», «auparavant».) est une promenade autour de la question
« qu’existe-t-il en nous avant l’animal ? ».
Distribution
Chorégraphe Guilherme Botelho
Assistant Fabio Bergamaschi
Création lumières Jean-Philippe Roy
Musique originale Murcof
Avec 12 danseurs
Interprètes à la création Alexandre Bibia, Fabio Bergamaschi, Adriano Coletta, Giulia Franceschini,
Stanislav Genadiev, Victoria Hoyland, Erik Lobelius, Anne-Lise Pizot, Linn Ragnarsson, Amaury Réot,
Claire-Marie Ricarte, Adrian Rusmali, Luisa Schöfer, Christos Strinopoulos, Émilie Szikora, Angela Rabaglio
Production Alias
Coproduction (en cours) Théâtre du Crochetan, Théâtre Forum Meyrin
Avec le soutien de Ville de Genève, République et canton de Genève, Pro Helvetia-Fondation suisse pour
la Culture, Commune de Meyrin, Fondation Meyrinoise du Casino
Crédit photo Grégory Batardon
Durée 1h
Trilogie Distancia
Jetuilnousvousils
Après Sideways Rain, qui a enthousiasmé le public autant que les professionnels,
Guilherme Botelho avance encore dans sa recherche sur le mouvement.
Avec Jetuilnousvousils, c’est le groupe ainsi que les interactions qui le traversent qui
deviennent objets de l’attention du chorégraphe. Botelho et ses interprètes proposent
des mouvements communs, nés de singularités additionnées et s’annulant parfois
dans cette totalité. Chaque danseur articule sa partition autour de formes simples et
distinctes, qui sont réunies par une intention collective puissante, souple et précise.
On a à l’esprit l’image des évolutions sinueuses de bancs de poissons fendant les
profondeurs ou celle de nuées d’oiseaux. Ou encore l’image de la houle, de la découverte
de ces vagues immenses que l’on nomme «scélérates». C’est sur la biologie, l’instinct
des corps composés que se penche Botelho. Le titre, qui sera traduit en plusieurs
langues au fil de la tournée internationale, évoque le passage de l’unité à la pluralité.
Jetuilnousvousils est un spectacle profond qui propose une réflexion sur le «nous» dans
une époque qui privilégie l’individualisme.
Jetuilnousvousils
La presse en parle
« Monstrueuse araignée aux pattes tentaculaires prisonnière de son bocal, cherchant
désespérément à en sortir! Horde serrée d’insectes en quête désespérée de leur
nourriture, qui se déforme, se reforme, se transforme! Il est bien rare qu’un chorégraphe
parvienne à traduire d’une manière aussi imagée et avec une telle force les idées - qui
plus est abstraites - qu’il cherche à exprimer par la danse. »
J.M. Gourreau, Critiphotodanse
« Depuis Sideway rain (2010), Guilherme Botelho a comme changé de veine. Aux éclats
du roman, il préfère la sueur de l’abstraction. Jetuilnousvousils est une pulsion faite
mouvement.(...) Quand l’humanité sombre, quels sont les gestes qui remontent et qui
consolent des ténèbres à venir? L’équipée de Guilherme Botelho a la puissance et la
douceur d’une nuit archaïque, celle de la caverne ou de la termitière. »
Alexandre Demidoff, Le Temps
« Dans Jetuilnousvousils, le chorégraphe confirme cette ère du signe. Et orchestre à
nouveau des trajectoires personnelles, des chemins privés dans une idée de collectivité
organisée. (...) Botelho raconte sans doute beaucoup du XXIe siècle commençant avec
ce nouvel ostinato de mouvements.»
Marie-Pierre Genecand, sortir.ch
Distribution
Chorégraphie Guilherme Botelho
Assistant Fabio Bergamaschi
Composition originale Anthony Rouchier aka A.P.P.A.R.T
Costumes Coralie Sanvoisin
Couturière Veronica Segovia
Décors Gilles Lambert
Lumières Jean-Philippe Roy
Interprètes Fabio Bergamaschi, Erik Lobelius, Claire-Marie Ricarte, Adrian Rusmali, Luisa Schöfer,
Christos Strinopoulos, Marion Rochefeuille, Amaury Réot, Linn Ragnarsson
Production Alias
Coproduction Théâtre du Crochetan, Théâtre Forum Meyrin
Avec le soutien de Ville de Genève, République et Canton de Genève, Pro Helvetia-Fondation suisse pour
la culture, Fondation Meyrinoise du Casino, Loterie romande, Fondation Artephila
Crédit photo Vojta Brtnicky for Tanec Praha
Durée 1h
Trilogie Distancia
Sideways Rain
Une quinzaine de danseurs, hommes et femmes, traversent inlassablement la scène de
jardin à cour. Les corps des interprètes sont tous mus par une même force qui les tire
infatigablement vers l’avant. La cadence de leurs passages est tellement soutenue qu’un
flot humain intarissable se déverse sur la scène.
Durant soixante minutes environ, le voyage de ces personnages anonymes suit le tracé
d’un cycle Darwiniste qui paraît devoir se répéter à l’infini. On croit voir un véritable
ballet de cellules (à moins que ce ne soient des planètes ?) tournoyer devant nos yeux.
La vie prend forme, des reptiles mutent graduellement, l’Homme se redresse et marche.
La lumière accompagne cet étrange cycle de naissance et de mort: elle extirpe
progressivement ces corps animaux de l’ombre pour les jeter dans la lumière vive qui
inonde tout le milieu de la chorégraphie, avant de les renvoyer in fine à leur forme
primaire dans une ambiance crépusculaire.
Le temps de sa chorégraphie, Guilherme Botelho tisse le canevas d’une chevauchée
humaine, entièrement tournée vers une conquête aveugle et dérisoire. Une métaphore
de la Vie même, de sa force brute, de son énergie infinie et des règles énigmatiques qui
régissent le monde. Il fait de nous les spectateurs de la naissance d’un univers, de sa
marche, de son déclin et de son possible recommencement.
Par les rouages chorégraphiques à l’oeuvre, sans cesse en mouvement, Guilherme
Botelho guide les spectateurs dans la lecture de cette véritable Tapisserie de Bayeux
jusqu’à une image finale émouvante, à la fois simple et forte: à chaque traversée du
plateau, les danseurs au pas de course tirent derrière eux un fil, qu’ils tendent d’un bout
à l’autre de la scène. Un, puis dix, puis cent, trois cents, plus encore… Et c’est, peu à peu,
une salle du palais des Parques filandières qui se construit devant nos yeux.
Sideways Rain
Dans leur course, les corps de ces athlètes,
les bras tendus, paraissent embrasser le
vide à la recherche d’un appui qu’ils ne
trouvent pas. Botelho semble l’affirmer :
rien, a priori, ne vient dérouter le destin.
Pas de bifurcation dans le lit de ce torrent
qui avance et roule comme le tonnerre
(comme « l’ouragan » dit Goethe), pas
d’échappatoire.
Dans cette cavalcade à l’issue incertaine,
vers laquelle les danseurs foncent tête
baissée, étrangers au monde et à euxmêmes, le chorégraphe ménage ça et
là, quelques moments suspendus qui
semblent pouvoir échapper, brièvement,
au déferlement de chair qui envahit la
scène. Cet homme debout, par exemple,
qui s’arrête au milieu du tumulte.
Devenu soudainement conscient du raz-de-marée qui l’entoure, il interrompt la course
folle d’une femme; ils échangent un regard. L’amour pourrait-il trouver sa place dans
ce flux dévastateur ? On retient notre souffle, projetant sur ce couple mille images
personnelles. Ce sont Miranda et Ferdinand, Adam et Eve, tous les grands amoureux du
monde. Ces êtres qui se reconnaissent et pourraient tomber en amour, c’est nous.
On veut croire qu’à eux deux, ils auront le pouvoir d’inverser la puissante mécanique
à l’oeuvre. Mais les Parques invisibles qui tirent les fils mystérieux du cours de la vie,
immuables dans leurs desseins, reprennent leurs droits et replacent vite ces êtres sur les
voies qu’ils n’auraient pas dû quitter; et le flot humain les digère et les emporte au loin.
Comme dans le théâtre de Shakespeare, le Destin chez Botelho semble tout puissant, à
la différence qu’ici, il n’est pas pervers. Certes, il trace un sillon profond et droit dont on
peine à s’extirper et qui ramène tous les êtres au même niveau d’impuissance.
Pourtant, en concevant une mécanique entièrement axée sur le mouvement, en plaçant
l’action au centre de son propos, le chorégraphe conçoit sa pièce la plus intrinsèquement
dramatique ; et en expulse toute tragédie.
Sideways Rain
La presse en parle
« Par deux fois, la dissidence est totale: un individu prend tout à coup conscience de
lui-même, des autres, de son environnement et de son pouvoir avant regagner le flot
collectif, volontairement ou non. Ces courts instants sont infiniment poignants. Tout
comme l’ensemble de Sideways Rain. »
Stéphanie Brody, La Presse
« Au sol, d’abord. A quatre pattes ou sur les fesses, via des glissades comme des enfants.
Puis debout la main sur le ventre (...). Et au sol à nouveau, tonneaux, roulés-boulés à
toute vitesse et pirouettes en arrière. Autant de motifs enchaînés de manière alternée
par des danseurs qui se suivent, changent de tenue, mais ne se rencontrent jamais. (...)
Avec cette pièce, Guilherme Botelho célèbre une danse des sens qui relève de la transe »
Marie-Pierre Genecand, Le Temps
« Dans un tournoiement sans fin, les interprètes passent et repassent, mécanique
humaine aux prises avec l’increvable pulsion de vie. Avancer, c’est rester vivant. Entre
les mains de Botelho, un effet de masse qui raconte l’histoire de l’humain comme un
increvable élan. »
Rosita Boisseau, Télérama
Distribution
Chorégraphie Guilherme Botelho
Assistant Fabio Bergamaschi
Musique Murcof (Fernando Corona)
Costumes Marion Schmid d’après Julia Hansen
Scénographie Guilherme Botelho, Stefanie Liniger
Réalisation décors Atelier GGN-Martin Rautenstrauch
Regard extérieur Gilles Lambert
Lumières Jean-Philippe Roy
Avec 14 danseurs
Interprètes Alexandre Bibia, Fabio Bergamaschi, Adriano Coletta, Stanislav Genadiev, Victoria Hoyland,
Erik Lobelius, Anne-Lise Pizot, Angela Rabaglio, Linn Ragnarsson, Amaury Réot, Claire-Marie Ricarte,
Adrian Rusmali, Luisa Schöfer, Christos Strinopoulos
Production Alias
Coproduction La Bâtie-Festival de Genève, Théâtre du Crochetan, Théâtre Forum Meyrin
Avec le soutien de Ville de Genève, République et Canton de Genève, Pro Helvetia – Fondation suisse
pour la culture, Commune de Meyrin, Fondation Meyrinoise du Casino, Fondation Corymbo, Fondation
Leenaards
Crédit photo Grégory Batardon
Durée 50 minutes
Trilogie Distancia
Bio express de Guilherme Botelho
1962 Naissance un 17 août, à São Paulo, Brésil.
1976 À l’âge de 14 ans, il est bouleversé par le spectacle Scènes
de famille du chorégraphe Oscar Aráiz. Quand, quatre ans plus
tard, celui-ci prendra la direction du Ballet du Grand Théâtre
de Genève, Botelho décidera de partir en Suisse.
1994 Après avoir dansé pour Jiˇrí Kylián, Christopher Bruce,
Mats Ek, Oscar Aráiz ou encore Ohad Naharin, il décide de
fonder la compagnie Alias. Son premier spectacle s’intitule
En manque. Il remporte le Prix romand des spectacles
indépendants.
2000 Au moment du passage à l’an 2000, il imagine Le Spectacle du temps, projet
pharaonique avec 60 danseurs et 120 figurants. Pour l’occasion, la compagnie a réuni
près de 140 000 spectateurs sur la plaine de Plainpalais.
2001 Il imagine L’Odeur du voisin, un diptyque traitant des relations sociales dans deux
univers différents, celui du restaurant et celui du bureau.
2003 Avec Le Poids des éponges, il invente de nouvelles gestuelles chorégraphiques et
provoque l’enchantement du public.
2004 La compagnie Alias devient compagnie associée au Théâtre Forum Meyrin. Une
dizaine de pièces ont depuis vu le jour.
2005 Avec I want to go home, il convoque des requins sur scène et tend, déjà, des lignes
de vie autour de ses danseurs.
2010 Créé sur la scène du Théâtre Forum Meyrin, Sideways Rain est son chef d’œuvre,
acclamé sur les scènes du monde entier.
2012 Environ 3 500 Genevois ont assisté aux spectacles d’Alias cette année-là. Guilherme
Botelho se permet aussi un marivaudage remarqué avec le metteur en scène Omar
Porras dans Les Cabots.
2014 La compagnie Alias fête ses vingt ans d’existence à Meyrin, mais également dix ans
de compagnonnage, avec au programme une trilogie vertigineuse, Distancia.
Trilogie Distancia
La Cie Alias
Avec sa compagnie, Guilherme Botelho traite des grands thèmes de la condition
humaine dans des chorégraphies souvent théâtrales : quête éperdue de l’amour dans
sa première création, En manque ; violence conjugale, masques des apparences dans
Contrecoup ; manipulations génétiques dans Frankenstein !
La notion de destin est présente à travers toute son œuvre par la voie de l’accident
et d’éléments qui tombent du ciel : eau, papier, neige, plaques de plâtre... Ses décors
sont souvent impressionnants et impriment des images indélébiles dans l’esprit des
spectateurs : on pense ainsi à cette pièce qui se remplit d’eau dans Moving a perhaps, à
l’immense vague immobile de Vaguement derrière, spectacle entré au répertoire du Ballet
du Tanztheater Bielefeld en 2010, ou encore à la neige recouvrant tout le plateau de O
avesso do avesso.
Si Jetuilnousvousils, s’inscrit dans la lignée de Sideways Rain en adoptant une dynamique
et une écriture plus abstraites, le principe de répétition qui les caractérise était déjà à
l’œuvre dans Approcher la poussière et Le Poids des éponges.
Il marque l’esprit du grand public en créant le 31 décembre 1999 sur l’immense plaine
de Plainpalais à Genève Le Spectacle du temps, qui ponctue le passage vers le nouveau
millénaire.
Guilherme Botelho est l’auteur d’une vingtaine de chorégraphies présentées par sa
compagnie Alias sur quatre continents et vues par plusieurs centaines de milliers de
spectateurs à travers le monde, de Genève à Séoul en passant par Beyrouth, Londres,
Montréal ou encore Berlin.
Le projet Murcof
Murcof a été créé début 2001 par son membre unique, Fernando Corona à Tijuana,
México. Ce projet vise à expérimenter la musique électronique et la musique classique
dans leurs expressions les plus minimalistes, de concilier la précision
digitale et la chaleur acoustique et de trouver l’harmonie et la complémentation entre
elles, sous une forme qui reflète la manière digitale avec laquelle l’homme interagit
avec le monde, avec d’autres personnes ou avec nous-mêmes ; une façon de rapeler
qu’indépendamment de l’objectif, l’utilisateur final sera toujours humain. Et toujours
envisageant la technologie commeun outil d’expression plutôt qu’une fin en soi.
Location et renseignements
Théâtre Forum Meyrin
Place des Cinq-Continents 1
1217 Meyrin (GE)
www.forum-meyrin.ch
Prix des billets
Pass trilogie
Plein 70.Réduit 60.Mini 40.Pass Forum 45.Antes
Plein 40.- / 30.Réduit 35.- / 25.Mini 15.Pass Forum 15.Pass Éco 15.Jetuilnousvousils
Plein 25.- / 20.Réduit 20.- / 15.Mini 15.Pass Forum 15.Pass Éco 15.Sideways Rain
Plein 25.- / 20.Réduit 20.- / 15.Mini 15.Pass Forum 15.Pass Éco 15.-
Autres points de vente
Service culturel Migros,
Stand Info Balexert
Migros Nyon-La Combe
Partenaire Chéquier culture
Les chèques culture sont acceptés à nos guichets
Relations presse
Responsable : Ushanga Elébé
[email protected]
Assistante : Chloé Briquet
[email protected]
T. 022 989 34 00 (10h-12h et 14h-18h)
Photos à télécharger dans l’espace Médias:
http://www.forum-meyrin.ch/media/spectacles