2ème étape à Strasbourg : Les Alsaciens se déclarent moins

 Communiqué de presse
Strasbourg, le 27 mai 2014
Tour de France Cetelem : le budget des Français, ville par ville et sous toutes ses coutures
Plus de 5 000 Français interrogés
2ème étape à Strasbourg :
Les Alsaciens se déclarent moins contraints dans leur budget que la moyenne des
Français.
La crise est toujours là, en témoignent les arbitrages budgétaires qu’effectuent quotidiennement les Alsaciens.
Néanmoins, ces derniers sont optimistes et se déclarent moins contraints que la moyenne nationale, chiffres à
l’appui.
« Dis-moi où tu habites et je te dirai comment tu gères ton budget ». Grâce à
une enquête inédite réalisée avec l’institut BVA, Cetelem dévoile les
principales caractéristiques des Alsaciens : consommation, mode de vie,
entraide, éducation des enfants, plus d’une quinzaine de thèmes ont été
abordés pour proposer une photographie de la gestion de leur budget en cette
période de crise.
Véritable baromètre des projets de consommation des Français, Cetelem, qui
propose des solutions de crédit et d’épargne édite régulièrement des études
sur les évolutions de mode de vie et leurs conséquences. Depuis le début de
la crise en 2008, son secteur a connu une baisse de plus de 22 %, traduisant
un report historique des projets des particuliers et un grand besoin
d’accompagnement budgétaire.
Rapport d’analyse disponible sur demande
En période de crise, les Alsaciens, malgré de nombreux arbitrages, se sentent moins contraints
Si les Alsaciens sont plus indépendants que les autres Français (73% ne sont ni aidés par leurs parents ni ne les
aident contre 66% des Français), il n’en demeure pas moins qu’ils ont des obligations qui ont un impact sur leur
budget. Crise oblige, 19% ont prêté de l’argent à un proche au cours des douze derniers mois et 18% sont
actuellement en position d’aidant. Pour un tiers d’entre eux, cette situation a des répercussions financières.
Comme le reste de leurs compatriotes, les Alsaciens doivent donc se serrer la ceinture. Parmi les postes les plus
impactés, on trouve en tête de liste le renoncement à des travaux ou achats d’aménagement intérieur (55% des
Alsaciens), la réduction des achats de vêtements (53% contre 57% pour les Français), le report des sorties au
cinéma ou au restaurant (51% contre 57% pour les Français) ou bien encore la réduction de dons à des
associations (44% contre 39% des Français).
Cependant malgré ces restrictions, les Alsaciens déclarent ne pas toucher à certains postes clefs : la santé par
exemple. Ainsi, en cas de fin de mois difficile, ces derniers sont beaucoup plus nombreux que le reste des
Français à ne pas renoncer à une visite chez le médecin (15% contre 22% chez les Français) ni à l’achat de
médicaments (11% contre 18% pour le reste des Français).
Bons vivants, les Alsaciens ? Elément saillant de l’étude, même en cas de difficultés financières, les Alsaciens
sont plus nombreux à s’accorder des petits plaisirs (69% contre 54% pour la moyenne nationale) : notamment un
bon repas (41% contre 28%), une sortie au restaurant ou dans un bar ou encore une sortie culturelle.
En résumé, si le budget des habitants de la région est concerné par des arbitrages, les Alsaciens ont moins le
sentiment d’être obligé de faire des arbitrages dans la gestion de leur budget. En effet, 69% des Alsaciens ont
déclaré s’être contraints sur la gestion de leur budget au cours des 12 derniers mois contre 76% des Français.
Plus sereins, ces derniers surveillent un peu moins leur budget que la moyenne des Français
Tranquillité de l’esprit ou meilleure santé financière, 41% des Alsaciens déclarent également avoir construit un
budget poste par poste pour évaluer leurs entrées et sorties d’argent mensuelles, alors que cette pratique est
présente chez près d’un Français sur deux (45%). Ils sont aussi moins nombreux que les Français à suivre
régulièrement leurs comptes. Ils sont 78% à y jeter un œil au quotidien ou régulièrement, contre 84% des
Français. En cas de dépense imprévue, la solution la plus courante reste pour eux de puiser dans leurs réserves
(anticipation sur le compte courant plutôt que de piocher dans leur compte épargne).
D’ailleurs la transmission de la notion d’argent et l’éducation au budget sont moins essentielles pour les
Alsaciens. Cela compte pour la moitié d’entre eux seulement, contre 56% pour le reste de leurs concitoyens. Si
les Alsaciens sont plus nombreux à donner de l’argent de poche à leurs enfants, ils en donnent moins (19€ en
moyenne contre 34€ dans les autres régions) et globalement, ils se montrent moins regardants de la manière
avec laquelle leurs enfants utilisent leur argent.
Cetelem soutient les projets des Français et les accompagne dans les moments difficiles avec des systèmes
innovants.
3 initiatives :
1-
Détecter les difficultés dès les premiers signaux : Cetelem a mis en place le premier outil de détection des
difficultés. Objectif : détecter les signaux faibles pouvant correspondre à des difficultés plus lourdes avant que la
situation ne devienne trop lourde à gérer pour le foyer concerné. L’algorithme mis au point par Cetelem permet
d’observer l’évolution des dossiers de tous ses clients. Les diagnostics qui en résultent permettent une prise en
charge personnalisée. En 2013, 1 client sur 2 repéré par Cetelem présentait une difficulté naissante avérée et 7
clients sur 10 ont accepté l’accompagnement de l’entreprise. Voir la vidéo sur la détection des difficultés.
2-
S’adapter à la nouvelle donne du marché de l’emploi : Cetelem a construit une offre de prêt personnel pour des
projets comme l’achat d’une voiture ou l’aménagement de son appartement. Une offre qui est aujourd’hui élargie
aux intérimaires et professions tels que les intermittents du spectacle, c’est-à-dire aux revenus non réguliers qui
étaient exclus en raison de la nature de leur contrat de travail. Lire le communiqué de presse sur cette offre.
3-
Mettre la pédagogie budgétaire au premier plan et l’intégrer aux offres. Pour accompagner la nouvelle offre
de crédit renouvelable de Cetelem au fonctionnement complètement revu, Cetelem a mis au point le service
www.jegeremesfinsdemois.com qui aide à comprendre et à améliorer ses habitudes budgétaires. Depuis 2011, les
conseillers de Cetelem proposent de l’épargne au même titre que du crédit pour préparer les projets sur le long
terme. Récemment, Cetelem a lancé un nouveau service de prêt personnel « réservé » qui permet de ne
débloquer son prêt (et donc de ne déclencher les remboursements) qu’après avoir trouvé le produit ou le service le
plus intéressant pour le budget du client (voiture d’occasion, promotion chez un cuisiniste…). Des services et
produits qui incitent à anticiper et à préparer projets et imprévus de tous les jours.
Méthodologie
Etude réalisée par l’Institut BVA par internet du 24 février au 2 mars 2014. Un échantillon de 5 111 personnes, représentatif
de la population française âgée de 18 ans et plus a été interrogé. La représentativité de l’échantillon est assurée par la
méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, profession du chef de famille et profession de
l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Au sein de cet échantillon national, 189 habitants de
la région Alsace ont été interrogés dont 21 périurbains, 88 ruraux et 80 habitants de l’agglomération de Strasbourg.
BNP Paribas Personal Finance - Cetelem
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A propos de BNP Paribas Personal Finance
BNP Paribas Personal Finance est n°1 du financement aux particuliers en France et en Europe au travers de ses
activités de crédit à la consommation et de crédit immobilier. Filiale à 100 % du groupe BNP Paribas, BNP
Paribas Personal Finance compte plus de 16 000 collaborateurs et opère dans une vingtaine de pays.
Avec des marques comme Cetelem, Findomestic ou encore AlphaCredit, l’entreprise propose une gamme
complète de crédits aux particuliers disponibles en magasin, en concession automobile ou directement auprès
des clients via ses centres de relation client et sur Internet. BNP Paribas Personal Finance a complété son offre
avec des produits d’assurance et d’épargne pour ses clients en Allemagne, Bulgarie, France, Italie.
BNP Paribas Personal Finance a développé une stratégie active de partenariat avec les enseignes de
distribution, les constructeurs et les distributeurs automobiles, les webmarchands, et d’autres institutions
financières (banque et assurance) fondée sur son expérience du marché du crédit et sa capacité à proposer des
services intégrés adaptés à l’activité et la stratégie commerciale de ses partenaires. Il est aussi un acteur de
référence en matière de crédit responsable® et d’éducation budgétaire.
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