les aventures d lauren, le petit serial killer

Transcription

les aventures d lauren, le petit serial killer
Un texte de Joseph Danan
Mis en scène par Camille Pawlotsky
Produit par La fabrique des petits hasards
Les aventures d’Auren, le petit serial killer
Auren a 11 ans. Son père s’est envolé par la fenêtre et sa mère
ne joue plus avec lui. Sa cité n’est pas radieuse. Qu’à cela ne
tienne, Auren s’enfuit !
Samouraï solitaire, Auren part en voyage dans un univers
peuplé de créatures mi-humaines / mi-animales.
Le petit guerrier boxe ses peurs, élimine ses opposants,
se trompe aussi. Une seule quête : apprivoiser la vie.
Ce conte hallucinatoire dépeint, à travers des personnages
loufoques, cyniques, despotes ou tendres, le monde dans
lequel un enfant doit se préparer à vivre.
Le voyage d’Auren : une fugue vers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .LA JOIE
« LA LUNE
Tu es libre / petit Auren
LE HIBOU
Tu as entendu ? / tu es ivre /
tu es livre / tu es libre /
qu’est-ce que tu attends ? »
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L’histoire se passe à notre époque flottante, XXI ème siècle débutant,
dans une cité grise et barbare à ses heures.
Une mère pleurant en silence, des amis cachant leur clandestinité,
un père absent. Auren s’ennuie et se débat dans un monde trop
dur pour son âge. Désarmé devant le deuil, la tristesse et ses
peurs, il désire violemment le retour au calme, au vide, il rêve
d’apaisement.
. . Le
monde se dédouble, son ombre prend vie
c’est un petit serial killer
:
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L’intrusion de la mort dans la vie d’Auren déclenche l’envolée de
son imaginaire. Sa chambre se dédouble, chimères et réalité se
confondent.
Neutraliser sa nostalgie passera par la découverte de son monstre
intérieur. Devenu mi-enfant/mi-monstre, il lutte, se soigne et traite
ses maux… allant jusqu’à tuer.
C’est un exercice de force, un rite de passage vers la liberté.
...................
« IRGHIZ : Moi mon père / c’est moi qui lui ai dit / si tu ne vas pas à
l’école / les CRS vont venir / ils vont te demander tes papiers / et comme
tu ne comprendras rien / ils vont te tabasser / avec leurs casques et leurs
matraques / et tu les supplieras dans ta langue / et ils feront semblant de
ne pas comprendre / et ils taperont de plus en plus fort / et toi tu n’auras
qu’une envie / rentrer dans ton pays / ce qui fut ton pays / et comme tu ne
peux pas / tu n’auras qu’une envie / rentrer sous terre/pour qu’ils arrêtent
de cogner/et manger la terre avec tes yeux. »
Nous devons voir dans la violence d’Auren un combat contre la
violence.
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était une fois la réalité,
qu’Auren voulait pulvériser
...................
. . Il
...
. . Auren SILLONNE les territoires de ses peurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . Au
Comme dans un film fantastique, Auren voyage parmi ses
peurs et ses désirs. Il les voit s’animer, bestioles qui muent et
se transforment, fantasques, bienfaisantes ou cruelles. Pour
se libérer, Auren doit parfois en venir au meurtre. Les créatures
acceptées ou neutralisées, laissent leur enveloppe derrière elles.
Chaque rencontre, chaque combat, laisse une trace qui aide Auren
à grandir.
bout du chemin,
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« LE VIEUX SAGE DE CRAPAUD (apparaissant)
Voulez-vous que je vous dise ? / la vérité est entre les deux
AUREN
Entre les deux quoi ?
LE VIEUX SAGE DE CRAPAUD
Oui / un tueur / et / le plus gentil petit garçon de la terre /
le plus gentil petit garçon de la terre / et / un tueur »
Auren découvre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
« Il ne faut pas avoir peur du bonheur.
C’est seulement un bon moment à passer. »
Romain Gary
LA JOIE
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Auren a fugué pour mieux rentrer chez lui. A travers ce voyage
dans son inconscient, Auren a gagné son combat contre lui-même.
Il peut se réconcilier avec sa mère, il peut s’aimer et aimer. Son
exploration le mène à accepter la mortalité, à intégrer le passé et
à s’ouvrir au futur.
Devenus de jeunes adultes, Auren et ses amis ont trouvé ce qui va
leur permettre de vivre : mettre une juste distance entre soi et ce
qui fait mal.
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« Le théâtre fantastique affiche en effet une ambition
supérieure : témoigner de cette alchimie mystérieuse
par laquelle il est possible pour l’homme de se
métamorphoser, d’accéder à une sagesse qui le réconcilie
désormais à toutes les forces qui jusqu’alors le tenaient
en esclavage (ses passions, le destin, la condition
humaine) et à connaître une sérénité qui est la seule
clé possible de son bonheur. » Maurice Abiteboul
joseph Danan
la Fabrique des petits hasards
et auren . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . se
initiale
L’insupportable absence du père
Une mère épuisée de tristesse
Un avenir sans fenêtre
Une violence latente
finale
Le passage de l’enfance à l’adolescence
Le deuil effectué
La violence extériorisée
La réconciliation entre mère et fils
L’amour déclaré
la quête
En apparence, Auren cherche à tuer ceux qui ne se plient pas à ses désirs.
Son but profond : arrêter d’avoir peur et apprendre à aimer.
..
les épreuves
Muer
Traverser les pays étranges sans se faire prendre.
Comprendre les messages des personnages rencontrés.
Ne pas tuer ses amis dans le feu de l’action.
..
les opposants
L’inspecteur Pingouin
Le dentiste Castor
Le contrôleur Homard
Le grand Lézard
L’enfant Sanglier
..
« Le texte de Joseph Danan, parle sans détour des difficultés quotidiennes des
jeunes de notre temps. Accepter sa violence, la fantasmer au lieu de la mettre en
acte, rêver, se confronter à ses peurs, autant d’actions qui donnent une place à la
joie. Le ton souvent léger, drôle, onirique de l’écriture n’agit pas seulement sur
la forme mais bien sur le fond de la pièce en ouvrant des perspectives joyeuses.
Nous avons l’obligation aujourd’hui de rappeler la joie comme une alternative
possible.»
Camille Pawlotsky
la Situation
.........
« Première rencontre avec Camille Pawlotsky, qui mettra en scène Les Aventures
d’Auren et Anne Puisais, directrice artistique de la compagnie La Fabrique des
Petits Hasards, à une terrasse de café du 12e arrondissement. Ce qui me plaît
dans leur projet, c’est qu’il prend en compte (qu’il prend au sérieux), outre le
conte initiatique qui en constitue le fil rouge, le double aspect de la pièce : son
onirisme, bien sûr, son “inquiétante étrangeté”, mais aussi la dimension quasi
sociologique symbolisée par les prénoms des amis d’Auren. Ecrivant la pièce, en
2002, je les avais choisis à dessein, ces prénoms (j’avais dans mon enfance un
livre illustré intitulé Claude à l’école, à peu près exclusivement peuplé de petits
blondinets ; j’ai bien des fois rencontré des élèves de CM2 ou de collège qui
avaient lu ou vu Les Aventures d’Auren, il y avait parmi eux bien plus de Mehdi
et d’Abdallâh que de Claude).
J’aime aussi, telle qu’elle me l’a décrite, la manière de travailler de Camille
Pawlotsky, qui vient du cinéma. Mon écriture dramatique aussi vient du cinéma,
et j’aime que, d’une manière ou d’une autre, le cinéma traverse le théâtre. » Joseph Danan
rencontrent
les adjuvants
Ses copains Medhi, Irghiz, Abdallah
La petite fille
Le Hibou
La Lune
Le Barman
L’Oie
Le vieux Sage Crapaud
L’enfant Loup
L’enfant Sanglier
... à garder à l’esprit lors du travail de création d’Auren.
Les monstres
LE CONTE et LE CINéMA DE GENRE
CORéeN et JAPONAIS
Le naturalisme n’est pas antagoniste au fantastique. Le cinéma coréen,
même sous ses aspects les plus commerciaux, conserve ses visées
historiques.
Chez Bong Joon-ho, le monde est intrinsèquement chaotique.
Le monstre de The Host révèle le mal qui a grandi dans le pays. Il
incarne, de façon catastrophique, l’influence des USA et la cruauté
du capitalisme (le suicide du patron). Le fonctionnement de la société
coréenne absorbe l’humain, le monstre mange le patron suicidé… Dans
le combat contre le monstre, les personnages de The Host trouvent la
force de se battre et de transformer le «han», la rancœur, l’amertume
et le sentiment d’injustice en énergie vitale. (Le han : mot difficilement
traduisible qui signifierait un sentiment d’amertume et d’injustice.)
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Les sources d’inspiration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
« De nos jours, les yokai (monstres du Japon) sont toujours présents sur les écrans de
cinéma, en particulier le manga et le dessin animé japonais. Les histoires de monstres
constituent un genre littéraire japonais ancien et prolifique, représenté par des œuvres
de tonalités et d’intentions diverses : le kaidanshù (« le genre des contes étranges »). Ce
qui le caractérise est l’intrusion de phénomènes surnaturels dans un cadre familier et
commun. Le kaidanshù offre la possibilité de dissimuler une critique sociale et politique
sous l’apparence de récits d’événements supposés très anciens. »
Clément Levy
Le conte ancestral japonais est empli
de saveur onirique, de candeur ou de
morale naïve, prônant une entente entre
l’homme et la nature ou stigmatisant les
errements vicieux de l’âme humaine.
Les visages poupins, les monstres
terrifiants ou profondément humains
se côtoient souvent dans un univers
mêlant douceur et mélancolie.
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Le conte
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Le grotesque
En Corée et au Japon, le terme
grotesque n’est pas péjoratif mais
désigne un style et une catégorie
de films. Tout grotesque pourrait se
ramener à la mise en œuvre d’un ou
plusieurs de ces motifs: redoublement,
hybridité, métamorphose. Il désigne
aujourd’hui le caractère de ce qui
semble ridicule, bizarre, risible.
La peur
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«Dark water fascine par son épure et sa transformation d’une banale angoisse moderne (une
femme seule doit élever sa fille dans un univers désincarné et froid) en parabole tragique. La
terreur de l’enfant abandonné à la sortie de l’école constitue un thème finalement très peu utilisé
par le cinéma d’horreur au contraire d’autres peurs enfantines (comme la peur de l’obscurité).
Une fillette qui attend, en vain, ses parents devient le réceptacle de toutes les angoisses du
monde. A partir de ce traumatisme initial, peut alors se déployer une trame fantastique, qui
emprunte parfois des chemins classiques mais sans jamais se départir de son souci esthétique (la
pluie constante et oppressante notamment).Comme toujours chez Nakata, les effets faciles et
directs du gore sont bannis au profit d’une suggestion de tous les instants (par la musique, par
le mystère furtif de l’image et par le sens de l’ellipse). »
« Le conte merveilleux ne suit plus son
cours habituel : il déborde les limites
étroites de son genre pour emprunter des
chemins de traverse, où les herbes folles
de la tendresse se mêlent étroitement
aux ronces opiniâtres de l’angoisse
existentielle.» Emmanuelle Garnier
Stéphane du Mesnildot
Le double . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Autoscopie definition
Un phénomène par lequel un sujet
s’aperçoit lui-même de l’extérieur ou de
l’intérieur.
L’ombre
Son lien à la mort. Comme les âmes des
morts sont des ombres, elles ne peuvent
pas projeter d’ombre. Il en est de
même pour les êtres démoniaques, les
esprits, les elfes, le Diable, les spectres
et les sorciers. Inversement, l’absence
d’ombre chez les vivants signifie la mort
imminente et la visualisation du Double
est un présage de mort.
Son lien avec la vie. Pour Van der
Leeuw, «l’ombre est nécessaire à la
vie, si elle n’est pas la vie elle-même».
D’après Otto Rank, la croyance en l’âme
est issue de la division du moi en une
partie mortelle et une partie immortelle.
Dans le totémisme les âmes des morts
pénètrent dans le corps de la femme et
renaissent à la vie.
Le jumeau
Les jumeaux sont le prototype du
héros. L’apparition de l’homme et de
son double confère aux jumeaux des
pouvoirs supranaturels, notamment sur
la vie et sur la mort, du fait qu’en venant
au monde l’homme amène son double
immortel.
Doppelgänger definition
Mot d’origine allemande signifiant « sosie »,
employé dans le domaine du paranormal
pour désigner le double fantomatique
d’une personne vivante, le plus souvent
un jumeau maléfique, ou le phénomène
de bilocation (ou ubiquité), ou bien
encore le fait d’apercevoir fugitivement
sa propre image du coin de l’œil.
Auteur
Directeur de l’Institut d’Etudes
théâtrales à Paris III – Sorbonne
Nouvelle et auteur dramatique,
Joseph Danan collabore
régulièrement comme dramaturge
avec le Théâtre des 2 Rives.
Alain Bézu a créé plusieurs de
ses pièces: La Nuit même, 1987On ne badine pas avec l’auteur,
1997 - L’Enfance de Mickey, 1998
- Sous l’écran silencieux, 2002.
En 2007, Jojo le récidiviste est mis
en scène par Joël Jouanneau.
Publication de ses pièces :
Les Aventures d’Auren, le petit
serial killer, Actes Sud-Papiers
- De la Révolution, Collection
Heyoka Jeunesse - Cinéma, Sous
l’écran silencieux et Enquêtes
du désir, trois pièces, Lansman L’Enfance de Mickey et L’Eveil des
ténèbres, Médianes - Passage des
lys et R. S/Z. Impromptu Spectre,
Théâtre Ouvert.
Il a également publié des romans:
Allégeance, Gallimard – Avant
que la mort te ravisse, éditions
L. Mauguin ; des poèmes,
éditions L’Instant perpétuel, et
de nombreux articles sur les
dramaturgies contemporaines.
Metteur
en scène
Après avoir travaillé plusieurs
années en tant qu’assistante
réalisation, réalisatrice et
productrice, Camille Pawlotsky se
consacre désormais à la mise en
scène de théâtre. Elle signe depuis
2008 les mises en scène d’Emma
au Théâtre de l’Epée de bois,
Bascule au Théâtre de l’Essaïon,
Empreintes à la Ménagerie de Verre,
Les Exp’Air sur la Scène Nationale
de Dunkerque et Garbage (spectacle
musical jeune public).
Elle est régulièrement assistante à
la mise en scène et vidéaste pour
Hans Peter Cloos, notamment sur
Les Sept Péchés Capitaux, MC93
- Une Famille Ordinaire, Théâtre
de l’Est Parisien - Biographies
sans Antoinette, Théâtre de La
Madeleine - Le Caïman, Théâtre
Montparnasse…
En 2010 elle se lance dans la mise
en scène de concert (Bellevilloise,
Centre Barbara Fleury...).
En 2011 elle crée la Compagnie
Von Paris, axée sur la création de
pièces d’auteurs vivants français et
allemands, en collaboration avec
des artistes berlinois.
Ses projets pour la saison 20122013: Le Moche de Marius Von
Mayenburg, Séjour de Pierre
Vignes. Les soirées Voulez-Vous:
performances, spectacles,
conférences et installations.
Production
des petits
..
HASARDS
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Joseph DANAN. . . . . . . . . . . Camille PAWLOTSKY . . . . . . . . La FABRIQUE
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Créée en 2002, La fabrique des petits hasards s’implique dans des projets
engagés et s’interroge sur la confrontation des Arts.
Elle appuie son travail exclusivement sur les écritures contemporaines et
développe l’idée d’un art multidisciplinaire.
La fabrique des petits hasards concilie une démarche artistique originale théâtre de création - et la production d’interventions théâtrales destinées à
répondre à des objectifs spécifiques.
• Elle travaille dans une démarche de création et de diffusion de spectacles
vivants.
Elle crée des spectacles tout public et développe des « parcours »
autour des thématiques abordées. Les artistes de La Fabrique, issus du
milieu théâtral, cinématographique et des arts plastiques, aiment partir
à la rencontre des spectateurs. Ils souhaitent investir l’espace dans son
ensemble et étendre la narration en dehors de la scène. Ils racontent ainsi
une histoire dont le spectacle est le cœur. L’avant et l’après spectacle,
constitués d’installations et de performances, sont des fragments amenés
à évoluer au contact des spectateurs.
Elle crée des spectacles pour le jeune public alliant l’aspect ludique à
l’aspect pédagogique.
• Elle développe son action de sensibilisation et de formation auprès de
structures culturelles, éducatives et sociales.
Elle a le souci de sensibiliser, de participer à l’insertion de personnes en
difficulté, de lutter contre l’exclusion sociale et physique des personnes
en situation de handicap… Pour cela elle collabore avec la Politique de la
ville et la Direction des Affaires Culturelle.
• Elle mène également un travail de terrain. Ses spectacles font l’objet d’un
travail de sensibilisation auprès des publics: ateliers, débat, rencontres,
réflexions, installations plastiques, sonores.....
Les aventures d’Auren, le petit serial killer
Un texte de Joseph DANAN
Mis en scène par Camille Pawlotsky
Avec : Kamel ABDESSADOK
Misha ARIAS DE LA CANTOLLA
Stéphane AUBRY
Elise DIAMANT
Kadi DIARRA
Anne PUISAIS
Décor et Costumes : THELMA et LOUISE
Compositeur : Pygmy JOHNSON
la
fabrique des petits hasards
103 rue du cherche midi
75006 Paris
06 10 15 66 53
[email protected]
www.lafabriquedespetitshasards.com
N’hésitez pas à nous contacter pour tout renseignement.
la fabrique des petits hasards est subventionnée par la Direction des Affaires Culturelles, et par
l’Etat, la Ville de Paris et le Conseil Régional d’Ile de France dans le cadre de la Politique de la ville.