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Un nouveau générique plus sombre que jamais Après avoir utilisé pendant les trois premières saisons le titre de Jeff Buckley, New Year’s Prayer dans son générique d’introduction, cette saison 4 se renouvelle avec un thème d’ouverture plus sombre. Jeff Buckley, au parcours funeste et étrangement parallèle à celui de son illustre père Tim Buckley, est remplacé par Blues Saraceno avec une partition beaucoup plus noire, intitulée Dead Zone Epic en adéquation avec la thématique de la série qui évolue du côté obscur. Les prémonitions apocalyptiques du héros de la série John Smith interpellent plus que jamais nos subconscients. Un acteur aux multiples facettes Si les premières saisons de Dead Zone nous montraient un John Smith (Anthony Michael Hall) heureux par intermittence, parfois même plus lumineux, la saison 3 voyait le personnage imperceptiblement devenir plus trouble. Cette saison 4 accentue un peu plus cette évolution en travaillant sur le côté torturé et lugubre du personnage. Anthony Michael Hall a débuté sa carrière avec des comédies, notamment celles de John Hughes telles que Breakfast Club, Une créature de rêve ou Sixteen Candles. Il fit plus tard et durant deux années les beaux jours du Saturday Night Live, fréquenté par les plus grands comiques américains (Eddie Murphy, John Belushi, Bill Murray, Adam Sandler ou Ben Stiller). Une partition légère et comique à l’opposé du rôle qu’il tient aujourd’hui mais avec la même intensité de jeu. Il jouera bientôt un rôle à la mesure de son talent dans le prochain opus de Batman, The Dark Knight. Alors que la saison 4 de NCIS sera diffusée à la rentrée sur M6, que JAG est rediffusée depuis le milieu de l’été sur France 2, la série revient dans une saison 2 en DVD, dans laquelle le Juge Avocat General, alias le lieutenant Harmon Rabb, et ses coéquipiers mènent des enquêtes au sein de l’armée américaine et rebondissent avec maestria sur des sujets politiques et sociaux encore et toujours d’actualité. Et pour se replonger dans l’intégralité de l’univers de The Dead Zone, les 3 premières saisons ressortentau prixde 29,99 €. Dead Zone saison 4 : • Disponibilité : 11 septembre 2007 • Coffret 3 DVD : 12 épisodes • Prix Public Conseillé : 29,99 € Format Image Plein Écran VF et VO Relations Médias Paramount Home Entertainment France : FHCOM - 42 rue des Jeûneurs 75 002 Paris Tel : 01 55 34 24 24 / Fax : 01 55 34 24 24 [email protected] / www.frederic-henry.com TM, ® & Copyright © by Paramount Pictures. Tous Droits Réservés. Rappel des faits Bien avant que les membres du NCIS apparaissent dans leur hit international éponyme, JAG préparait le terrain pour les équipes de Jethro Gibbs (Mark Harmon). Le JAG (ou Juge Avocat General) est une branche spéciale de la marine dont les officiers, également avocats, enquêtent et défendent ceux qui sont accusés de meurtre, de trahison ou de terrorisme dans le cadre de l’armée. La série met en scène deux de ces hommes et femmes de loi, l’ex-pilote Harmon “Harm” Rabb et la belle Sarah “Mac” MacKenzie de la Navy, aux méthodes parfois opposées mais aux finalités similaires. Leur parfaite alchimie n’a qu’un but : découvrir la vérité. Un créateur qui excelle dans les séries militaro-policières NCIS, série dérivée de JAG, spin-off né en 2003 pour surfer sur le même succès, bénéficie de l’expertise d’un seul homme, Donald P. Bellisario. Et si NCIS est devenue l’une des dix séries les plus regardées aux États-Unis (no 7 à l’audimat US pour la saison 2006/2007), qu’elle rencontre un énorme succès dans le monde entier, comme sur M6, où elle est devenue l’un des rendez-vous phare de la chaîne, c’est grâce au talent créatif hors du commun de cet homme aux casquettes multiples. À l’instar d’autres séries cultes de la télévision, JAG est le fruit de ce scénariste, réalisateur et producteur, Donald P. Bellisario, dont John Wayne est le héros. Il est ainsi le créateur de nombreuses séries mythiques dont Magnum avec Tom Selleck, Supercopter avec Jan Michael Vincent ou Code Quantum avec Scott Bakula (Star Trek Enterprise). Il a également travaillé sur une autre série militaire à succès, Les Têtes brûlées et c’est quand il parle de l’armée, et de ses coulisses, qu’il excelle. Des acteurs en parfaite harmonie L’une des deux figures principales du JAG est Harmon Rabb, interprété par David James Elliott. Révélé par la série canadienne Street Legal entre 1988 et 1991, il fait partie de l’équipe du remake des Incorruptibles entre 1993 et 1994, et travaille ensuite avec Aaron Spelling dans la série Melrose Place. En 1995, le succès de JAG fera de lui une star. Cette seconde saison voit l’arrivée de Catherine Bell dans le rôle du Lt. Col. Sarah “Mac” MacKenzie. Cette Britannique, née d’une mère iranienne, est une habituée des plateaux de télévision. On a pu la voir dans d’autres grandes séries telles que Friends, Dream On ou Hercule. L’actrice avait déjà fait une apparition dans la première saison de JAG dans le rôle du lieutenant Diane Schonk, petite amie de Harm. Sa prestation ayant marqué Donald P. Bellisario, il lui proposa le rôle qu’elle occupera durant les neuf saisons suivantes. Depuis, on a pu la voir dans des films ou des séries à succès tels que Bruce tout-puissant, New York Unité Spéciale ou la mini-série fantastique Triangle. Depuis l’été 2007, elle fait partie de l’équipe d’Army Wives, une sorte de Desperate Housewives au cœur d’une base militaire qui cartonne sur la chaîne américaine Lifetime. Une seconde saison sous le signe de la nouveauté et de la consolidation Cette seconde saison voit l’équipe du JAG prendre une nouvelle direction et une forme qui perdurera sur les huit saisons qui suivent. En effet, le dirigeant du JAG, l’Amiral Chegwidden (John M. Jackson) présente à Harm sa nouvelle collaboratrice, le Lt. Col. Sarah “Mac” MacKenzie. Sa ressemblance troublante avec Diane Schonk, ex-petite amie de Harm assassinée lors de la saison 1 et dont le meurtre est encore un mystère, n’est pas sans le perturber. Cette équipe de choc est complétée par le Lieutenant Bud Roberts qui devient leur assistant attitré. Il est interprété par Patrick Labyorteaux, qui débuta sa carrière dans La Petite Maison dans la prairie où il jouait le rôle du fils des Garvey, amis de la famille Ingalls, série dans laquelle joua aussi son frère Matthew Labyorteaux, qui reprend ici le rôle qu’il interprétait dans les premiers épisodes de la saison 1. Cette alchimie parfaite entre les trois acteurs dans cette nouvelle saison contribuera au succès renouvelé année après année de JAG et permettra l’avènement d’une autre série désormais culte, NCIS. Tandis que Stephen King est à nouveau adapté dans Chambre 1408, avec John Cusack et Samuel L. Jackson - et que ce film rencontre déjà un succès international - la série The Dead Zone, inspirée de son roman, revient dans une 4ème saison ! Surfant sur la vague apocalyptiquo-fantastique bien avant que cela ne soit tendance, cette série augure d’un futur toujours aussi sinistre, contre lequel John Smith se bat en interprétant les cauchemars ou horribles visions qui l’assaillent, tout comme le faisait récemment le personnage de Isaac Mendez dans Heroes. Un génie du roman de genre, et recordman des adaptations Si chaque roman de Stephen King est un succès, ses adaptations télévisuelles et cinématographiques le sont tout autant. Que ce soit Carrie, Stand by me, La Ligne Verte, Chambre 1408 ou le prochain remake Simetierre, pour le cinéma ; Kingdom Hospital, Rose Red ou The Dead Zone pour la télévision. Son nom est synonyme de hit au box office et top des audiences télé. Alors que Paramount Home Entertainment prolonge la découverte de ses mini-séries en DVD le 23 octobre avec la sortie prochaine d’une collection Stephen King, regroupant ses plus grandes mini-séries, dont Le Fléau et Les Langoliers, The Dead Zone va sans nul doute prolonger le succès du maître du suspense et de l’horreur. Une série anticipatrice Née de l’imagination du pape du roman d’épouvante, The Dead Zone fut transposé une première fois à l’écran par David Cronenberg avec le formidable Christopher Walken. Vingt ans plus tard, c’est Michael Spiller qui crée la série. Ce formidable scénariste et producteur avait déjà officié sur une série de science-fiction intemporelle au succès planétaire, Star Trek : The Next Generation, qui lui vaudra d’être nommé en 1994 aux Emmy Awards dans la catégorie “meilleur scénariste d’une série dramatique”, chose assez rarissime pour une série de science-fiction. Bien avant des séries à la finalité ou au thème communs telles que Heroes, Michael Spiller donnait à sa série le souffle épique qui en a fait six ans plus tard un des fleurons de la chaîne américaine USA Network. Un avenir de plus en plus noir JAG Saison 2 •Disponibilité : 11 septembre 2007. •Coffret 4 DVD : 15 épisodes de 43 minutes •Prix Public Conseillé : 39,99 € Les thèmes de prédilection de Stephen King se retrouvent dans cette série anticipative sur laquelle se basent ou s’inspirent les récentes séries Heroes, les 4400 ou encore Jericho. L’apocalypse se rapproche. Est-elle inéluctable ? Est-elle le fruit d’un homme, d’un monstre ? Que faire de ses pouvoirs ? C’est la question qui va hanter de plus en plus John Smith. Sont-ils vraiment une bénédiction ? Doivent-ils vraiment l’aider à empêcher que le monde coure à sa perte ou au contraire favoriser l’avènement de l’horreur ? Aussi, toujours soupçonné du meurtre de Rachel, sa petite amie, le FBI n’a de cesse de le harceler. À quoi servent ses prédictions si ses proches n’en bénéficient pas ? La saison 3 amenait John à se considérer comme une monstruosité de la nature. Décidé à ne plus avoir ses cauchemars et ses visions macabres, la saison 4 s’ouvre sur la possibilité d’une opération qui pourrait supprimer ce pouvoir qu’il ressent telle une malédiction. Quelle sera sa décision sachant que les supprimer pourrait entraîner la mort d’un proche mais également tracer la voie de ce qu’il souhaite à tout prix éviter : l’Apocalypse ?