Business Performance et controlling financier
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Business Performance et controlling financier
RECHNUNGSWESEN Reiner Fickert, Business Performance und Finanzcontrolling 19 Siehe dazu z.B. die KPMG Untersuchung bei 100 Unternehmen des DAX. 20 Siehe die Ergebnisse der Research Projects der Harvard Business Review (2001). 21 Siehe Fickert/Geuppert/Künzle (2003). 22 Finanzorientierte Cockpits können vielfältig zur Kommunikation wesentlicher Unternehmensentwicklungen eingesetzt werden, wie z. B. zur Beurteilung der «Kunden-Performance», siehe Fickert/Künzle (2004). 23 In abgewandelter Form wird diese Grösse zur Ermittlung der «Dynamischen Verschuldung» verwendet. Dabei wird anhand der Kennzahl «Fremdkapital/Cash-Flow» festgestellt, wie viele Perioden es dauern würde, bis das Fremdkapital durch den Cash-Flow zurückbezahlt werden könnte. Als Cash-Flow wird dabei der operative Cash-Flow oder ein (zu definierender) «Freier Cash-Flow» verwendet. 24 Siehe Drucker (1974), S. 440: «… The ability to produce measuring information will make possible effective self-control; and if so used, it will lead to a tremendous advance in the effectiveness and performance of management. But if this new ability is abused to impose control on managers from above, the new technology will inflict incalculable harm by demoralizing management and by seriously lowering the effectiveness of managers.» 25 Simons, R. (1995, 2000). 26 Dies bestätigt auch eine Untersuchung von Ernst & Young (2003). Literatur Appel, E.: Ein Navigationssystem für das Management – Ein Cockpit-Chart für jeden Hilti-Mitarbeiter, in: Neue Zürcher Zeitung, 28.11.2003, Nr. 277, S. 87. Coenenberg, A.G./Salfeld, R.: Wertorientierte Unternehmensführung, Stuttgart 2003. Bryan, L.L./Hulme, R.: Managing for Improved Corporate Performance, The McKinsey Quarterly, 2003 Number 3. 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Etant donné que, pour être efficace, la gestion financière d’une entreprise doit également assurer la pérennité de celle-ci, un instrument adapté pour définir une stratégie structurée et son application, le «Balanced Scorecard», avait été présenté au début des années 90. De nombreuses entreprises 714 se sont intéressées à l’approche de la gestion orientée valeur et aux Scorecards qu’elles ont introduits ensuite. Depuis, des analyses ont présenté des résultats très nuancés sur l’application concrète de modèles orientés valeur et de Scorecards. Ces résultats montrent que les entreprises donnent plutôt la préférence à des principes traditionnels de mesure et d’évaluation de la performance et retournent même à ces modèles. Les raisons à cela sont en partie la complexité des nouvelles approches et la constatation que les résultats peuvent être influencés. Ces constatations ne signifient toutefois pas qu’il faut prendre ses distances par rapport aux principes modernes de la gestion orientée valeur. Bien au contraire, car avec le «Value Based Management», on applique, au niveau de la gestion financière globale et des sous-domaines, un principe économique qui est utilisé depuis longtemps déjà dans la comptabilité analytique traditionnelle qui frappe les prix de revient d’intérêts calculés. Grâce à leurs multiples possibilités de préparation et de communication de données, les instruments du Business Performance Management sont en mesure de livrer des informations de gestion beaucoup plus rapidement. Les conditions pour une application réussie sont toutefois la prise en compte des conséquences sur le comportement des responsables de gestion induites par les instruments de Performance Management. La transparence et la clarté des instruments de mesure sont une priorité absolue. A cela s’ajoute qu’une mise en relation constante avec les «Businesss Basics» et une marge de participation adéquate pour les collaborateurs doivent être aménagées. RF/AFB L’Expert-comptable suisse 9/04