ABOU DIARRA PRESS REVIEW

Transcription

ABOU DIARRA PRESS REVIEW
ABOU DIARRA
Sabou
29th april 2013
L’Autre Distribution / Warm Up / Mix et Métisse
PRESS REVIEW
Press extract :
« One listens to Abou Diarra’s latest album the way they
undertake a life journey. »
Mondomix - Mai 2013
« A true cultural and musical mix, a real culture you must
discover ! »
Africanaute - Avril 2013
« In his latest project, the Malian musician successfully
associated his ngoni kamale, a harp-lute between tradition and modernism of which he is one of the most brilliant ambassadors, to western instruments. »
RFI - Juin 2013
«A style uncluttered and molded by a soothing lyric
where we feel the breath of the nature»
Amina - Mai 2013
« He plays n’goni, the Mandigo hunters’ harp-guitar to
which he added extra strings, like on a guitar, a bass, a
harp or drums, in order to mix wassoulou tradition with
blues, jazz and afro-funk. »
Télérama Sortir - Juin 2013
« On his new album… he displays an undeniable melodic sense for the ngoni and for singing. »
Vibrations - Juillet 2013
«There are eleven long tracks that entice and entrance
the listener with such grace and tranquility that it is difficult to turn it off. »
Inside World Music - Août 2013
«On Sabou, Diarra combines dazzling fast pieces with
irresistible slow tempo material. Abou Diarra demonstrates his chops as a kamale ngoni player, with fabulous
solos and fascinating interactions with guitars and other
instruments.»
World Music Central - Août 2013
«Mature and varied album from highly-talented Malian
singer and ngoni player and his excellent group. None of
the playing is ever flashy but at every turn you hear some
happy incident»
fRoots - Septembre 2013
« A timeless character is felt while listening to Ka Sikoum
and its Mandingo lyricism. A sensitivity daringly cherished... it all offers a surprising dreamlike setting. »
Cumbe - Mai 2013
« Abou Diarra’s musical inspiration breaks down the borders. This record is, for once we can’t write it too easily,
a genuine invitation to travel!! »
Radio Campus - Avril 2013
« Mystic and hot, his music is planante and leads us
somewhere else on unknown, but familiar ground»
Métro - Juillet 2013
«Insatiable ngonifola (player of ngoni), Abou Diarra so
proposes something of the happiness, between blues,
jazz, Afro-funk and reggae.»
Touki Montréal
- Juillet 2013
«His music has experience and « mileage » as they
say, but it happily abounds with electric guitars. A very
humble guy with a bag full of gems who could definitely
be the next breakout artist.»
Voir - Juillet 2013
« Diarra is not a powerful singer but a sensitive artist
who can rise on the slow rythms. In his more or less
bluesy afropop, he draws atmospheric lines, sometimes
more paced, close to reggae or borderline impressionist.
Moments of blues provide spirit and elegance. »
Le Devoir - Juillet 2013
«A peculiar world music with the ngoni instrument (Malian harp-guitar), a curious man coming from an atypical journey who gives us a beautiful opening to unusual
sounds, yet a true delight. A revelation!”»
Info-Culture - Juillet 2013
Partnerships
Television
Canal + d’Afrique : Interview - Live - 21 Juin 2013
Africa24 Journal : Interview - Live - Septembre 2011
Radio
RFI - Vous m’en direz des nouvelles - 26th April 2013
France Inter - Live Me Do - 22th March 2014
Afrika N° 1 - Interview spécial Nuit d’Afrique - August 2013
RADIO RCF - Interview - April 2013
Radio Canada CA - Interview - July 2013
Onda Corta CA - Interview - Live - July 2013
Radio première - Chronique - Playlist - June 2013
Radio Aligre Résonnance africaine - Interview - Live - April 2010
Radio Rennes - Chemin de terre - Interview - Live - May 2010
RFI - Musique du Monde - Interview - Live - October 2010
RFI - Playlist RFI et sélection Afrique - May 2013
Radio Campus Paris Playlist Próxima Estación - Playlist May 2013
Radio Campus Rennes - Playlist April 2013
Radio Campus Tours - Playlist March 2014
Ferrarock - Have a travel - Have a trip - Playlist April/May 2013
Radio Fréquence Mistral - Playlist April 2013
Radio Rec - Playlist April 2013
Radio Transparence - Playlist June 2013
Alternances FM - Playlist April 2013
Radio Canal Bleu - Gens de la Terre - Playlist May 2013
Cybl - Palmarès francophone -Playlist July 2013
Radio Gresivaudan - Playlist May 2013
Radio La Boucle - Playlist May 2013
Radio Coteaux - Playlist March/May/June 2013
Sorgia FM - Playlist Mars 2014
Canal Bleu - playlist Mars 2014
Play on the radio
FIP (FR), RFI (FR), Radio Campus Paris (FR), RCV Lille (FR), Radio Gresivaudan, BBC (UK), All FM (UK), 7AFM Radio Arc
en ciel, HRT / Radio Split (HR), Job On Radio (BE), Vivante 105.3 (BE), Kaya FM (ZA), Kol Ha Campus 106 FM (IL), KPFK Emission Afrodicia (USA), WRIR 97.3 FM (USA), JPR Podcast (USA), WRIR (USA), WUWF FM (USA), Laut.fm / Jaliya (DE),
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Stele Radio (CA), Radio RCFM (CZ), Groovalizacion (ES), Waiheke Radio (NZ)
Press
Télérama Sortir april 2013 - Announce concert
Vibrations - June 2013 - Album Review
Mondomix - March/April 2013 - Album Review / Announce concert
Le Parisien - May 2014 - Announce concert
Amina - Mai 2013 - Album Review / Announce concert
Trad magazine - december 2013 - Album Revix
Le Télégramme - April 2013 - Announce concert
Ouest France - May 2014 - Announce concert
Couleur Jazz - January 2013 - Portrait
Cumbe - May 2013 - Album Review
Musique Terrienne - May 2013 - Album Review
Union de Reims - April 2013 - Album Review
Africanaute - April 2013 - Album Review
ENA - June 2013 - Album Review
Globalsound (DE) - July 2013 - Album Review
Inside World Music (UK) - August 2013 - Album Review
World Music Centras (USA) - August 2013 - Album Review
Diskunion (JP) - August 2013- Album Review
El Sur Records (JP) - August 2013 - Album Review
Black Milk (CA) - July 2013 - Portrait
BlogueElle (CA) - July 2013 - Album Review
Consul France (CA) - July 2013 - Announce concert
Géo Tourisme (CA) - July 2013 - Announce concert
Info Culture Biz (CA) - July 2013 - Album Review / Announce concert
L’éveil (CA) - July 2013 - Album Review
Le Devoir (CA) - July 2013 - Album Review
Métro (CA) - July 2013 - Album Review
Nord Info (CA) - July 2013 - Review
Post Info Web (CA) - July 2013 - Album Review
Spectacle Canada (CA) - July 2013 - Announce concert
Touki Montréal (CA) - July 2013 - Album Review
Voir Ca (CA) - July 2013 - Album Review / Announce concert
Sélection
TOP 10 WORLD MUSIC CHARTS EUROPE SELECTION JUNE / AUGUST and SEPTEMBER 2013
TOP YEAR WORLD MUSIC CHARTS EUROPE SELECTION - YEAR 2013
TOP 20 INTERNATIONAL FRANCOPHONIE MUSIC HIT LIST SELECTION - JULY 2013
FRANCE
RFI 04th june 2013
Abou Diarra, le marcheur au kamale ngoni
Sabou, un album pour relier les musiques
04/06/2013 - Comme les élèves
d’Aristote dans la Grèce antique,
Abou Diarra a appris en marchant. Et c’est en mouvement qu’il
apparaît sur les photos qui accompagnent son troisième album
intitulé Sabou. Sur son nouveau
projet, le Malien a associé son
kamale ngoni, harpe-luth tradimoderne dont il est devenu l’un
des plus brillants ambassadeurs,
à des instruments occidentaux.
Avec succès.
RFI Musique : Comment avez-vous imaginé cet album, sur lequel vous sortez le
kamale ngoni de son cadre purement africain ?
Abou Diarra : Au début, mon envie était de mettre le ngoni avec l’accordéon, la contrebasse, le violon et le piano, mais ça n’a pas pu se faire ainsi alors j’ai un peu changé d’idée.
Il y a l’accordéon, le violon, la batterie… Un ami qui travaille avec Salif Keïta comme
technicien m’a conseillé un certain Eric Bono, qui a bossé avec Youssou N’Dour, Mory
Kante, Alpha Blondy, pour m’aider. J’ai écouté ce qu’il avait fait et j’ai beaucoup aimé.
Donc, je l’ai contacté et il a été chargé des arrangements.
De quelle façon avez-vous procédé pour marier ces
instruments ?
Avant l’enregistrement, l’accordéoniste m’a demandé si
on pouvait répéter. Je lui ai dit que j’allais répéter avec
les autres musiciens, mais pas avec lui. Sinon, son oreille
se serait habituée aux couleurs africaines. Je voulais qu’il
garde sa couleur européenne, qu’il entre dans le studio,
qu’il écoute et qu’il joue. Même chose pour le violoniste.
D’où vient cette relation forte que vous entretenez avec le kamale ngoni, votre instrument ?
C’est une longue histoire : quand mon père nous a quittés, ma mère n’avait pas les
moyens pour nous donner à manger. Donc je suis allé en Côte d’Ivoire, gagner un peu
de sous. J’ai travaillé chez quelqu’un pendant deux ans. Il devait me donner 30.000 FCFA
par an, soit 50 euros. Mais au bout des deux années, il a refusé de me payer. Je suis parti
et à Abidjan, j’ai vu quelqu’un qui jouait le ngoni dans la rue. Cette personne-là, c’est
grâce à lui que nous sommes tous en train de jouer le ngoni aujourd’hui : Yoro Diallo,
un grand maître du kamale ngoni. Je voulais aller avec lui mais il partait pour Bamako
le lendemain. Il m’a envoyé chez un de ses élèves, Bagayoko Daouda. J’y suis resté un
an et je n’ai réussi à jouer qu’un seul morceau ! J’étais découragé, je voulais rentrer chez
moi. Quand je suis sorti dans la rue, j’ai vu quelqu’un d’autre encore qui marchait avec
un ngoni. Bizarre ! Je lui ai expliqué mon cas. Il ne pouvait pas m’emmener avec lui non
plus mais comme il avait deux ngoni, il m’en a donné un. Et je me suis mis à marcher,
d’Abidjan à Bamako. Quatre mois et 26 jours. C’est là que je suis devenu joueur de ngoni,
sur la route.
FRANCE
Était-ce la fin de votre apprentissage ?
Quand je suis arrivé à Bamako, j’ai dit que j’étais le meilleur, mais on m’a dit que trois joueurs de ngoni étaient
plus forts que moi. Je suis allé voir le premier, et j’ai trouvé
qu’il n’était pas fort. Le deuxième l’était vraiment, car
il faisait des choses avec le ngoni que je ne pouvais pas
faire. Mais il y avait des choses que je savais faire et pas
lui, donc il ne pouvait pas devenir mon maître. C’est là
qu’on m’a présenté la troisième personne : Vieux Kanté
Sans Commentaire. Un génie du ngoni. Pendant sept ans, j’ai dormi, mangé chez lui,
pour apprendre. Durant les trois premières années, il ne m’a pas autorisé à aller jouer
dehors. Seulement chez lui, à la maison. Il a senti que ça me décourageait et m’a dit :
“Abou, ce n’est pas parce que je suis aveugle que je ne vois rien, je vois avec mon cœur. Il
faut attendre un peu. Un jour viendra.” Ça m’a calmé. Deux ans plus tard, il voulait que je
parte jouer pour moi mais j’ai refusé car je faisais tout ce dont il avait besoin et il n’y avait
personne d’autre pour l’aider. Ça l’a beaucoup touché. Et il m’a montré toutes les choses
qu’il m’avait cachées. Je suis resté encore pendant deux ans. En 2005, il est mort. C’est là
que j’ai commencé à travailler pour moi.
En parallèle de votre carrière, vous vous êtes aussi fait connaitre à travers les stages de
ngoni que vous animez, pour enseigner sa pratique. Est-ce un instrument que tout le
monde peut apprendre ?
J’aime bien partager ce que je connais du ngoni pour que les gens sachent à quoi il sert, ce
qu’on peut faire avec. J’ai des élèves qui n’avancent pas et quand d’autres jouent, on ne peut
pas deviner que ce sont des Blancs ! En fait, le ngoni est une harpe africaine. Arrivé à un
certain niveau, tu peux le jouer comme une kora. C’est à peu près la même famille. Mais
la petite différence, c’est que ça ne se joue pas dans la même langue : la kora est accordée
en diatonique – c’est mandingue – alors que le ngoni est accordé en pentatonique – c’est
bambara. Avant le kamele ngoni, qui est mon instrument, il y avait le donso ngoni que
les chasseurs utilisaient. Puis est arrivée la kora. Mais avant donso ngoni, il y avait djeli
ngoni : c’est un petit ngoni que le griot jouait devant le roi. Les temps ont changé : maintenant, on fait des concerts avec le ngoni pour gagner des sous !
Abou Diarra Sabou (Mix et Metisse / Warm Up) 2013
→ Site officiel d’Abou Diarra
Par Bertrand Lavaine
FRANCE
France Inter 22th march 2014
FRANCE
RFI 26th april 2013
FRANCE
RFI 14 octobre 2010
MUSIQUES DU MONDE
FRANCE
Canal + d’Afrique 21th june 2014
FRANCE
Vibrations 15th july 2013
QUATORZE CORDES À SON ARC
Par David Commeillas
Le malien Abou Diarra a bricolé son ngoni pour séduire l’Europe comme l’Afrique.
Abou Diarra s’est installé en France en 2010, il avait 38 ans en débarquant du Mali : « Je ne suis pas arrivé en
France comme ces africains qui pensent qu’ils vont ramasser des millions et qu’il y a beaucoup d’argent ici pour
eux, dit-il. Je savais que ce ne serait pas facile. » Il a quitté assez jeune son village de la province Wassoulou
pour tenter de faire son trou dans la capitale malienne, puis à Abidjan, et enfin Paris. Lancé sur le chemin de la
musique, ce fils de chasseur a appris en route qu’on pouvait bousculer la tradition sans pour autant lui manquer de
respect. Il a donc ajouté progressivement des cordes à son ngoni afin d’obtenir les tonalités justes pour rejouer les
standards occidentaux qu’il écoutait sur K7 au Mali, « Natural Mystic » de Marley et plusieurs chansons d’Hendrix.
Il joue aujourd’hui sur 14 cordes. S’il ne va pas jusqu’à amplifier l’instrument avec une pédale wha-wha comme
son compatriote Bassekou Kouyaté, le compositeur et soliste revendique tout de même une certaine modernité : «
Aujourd’hui, les concerts de Salif Keita ou Rokia Traoré n’attirent plus autant de monde qu’avant au Mali. Pourtant
le premier album de Rokia a très bien marché, les gens adoraient ça… Mais ensuite elle a voyagé en Europe et sa
musique a changé. C’est normal, car le public africain et européen n’attendent pas la même chose en général. Il
faut accepter ça. Moi même, je veux moderniser ma musique comme l’ont fait Rokia et Salif car depuis que j’habite
ici, je prends de plus en plus de plaisir à mélanger les genres. » Sur son nouvel et troisième album enregistré à
Paris avec de petits moyens, il étale un sens mélodique indéniable, au ngoni et au chant. Ce disque estival devrait
gonfler un peu sa popularité… Mais plutôt auprès du public africain ou européen alors finalement ? Peu importe,
pourvu que ses quatorze cordes continuent à vibrer.
David Commeillas
Abou Diarra, Sabou
(Mix et Metisse / Warm up)
www.aboungoni.com
FRANCE
Cumbe 24th may 2013
Abou Diarra Sabou
Originaire du Wassoulou au Mali,
Abou Diarra connait une destinée
particulière. A la mort de son père,
le jeune créateur prend la route. Un
parcours initiatique de quelques 4000
kilomètres, entre Abidjan et Conakry,
durant lequel il enrichit sa pratique du
n'goni. A Bamako, il rencontre Moussa
Kanté, figure musicale avec qui il parfait sa connaissance
de l'instrument. Classé parmi les musiciens de la nouvelle
génération malienne, Abou Diarra sort alors deux albums.
Autant d'étapes qui lui permettent de révolutionner la forme
séculaire du n 'goni. Partie intégrante de la culture griotique,
cette forme de guitare harpe symbolise la tradition. Le jeune
musicien lui ajoute des cordes et étend naturellement sa
gamme à d'autres courants, africains ou occidentaux. Sabou, son troisième album reflète cette évolution. Séguin la
plage d'ouverture met au diapason avec un usage enchanteur de la flûte. Aboubono pratique l'art nouveau du prénom
valise avec un instrumental aux influences jazzy, interprété
en duo avec le pianiste et arrangeur Eric Bono. Blablabla et
son choeur enfantin prennent des allures de ronde mutine.
Les morceaux les plus lents sont aussi les plus appréciables.
Un ton qui aménage l'espace. Le mode idéal pour apprécier l'acoustique soignée de l'album. Un caractère intemporel
ressenti à l'écoute de Ka Sikoum et son lyrisme mandingue.
Une sensibilité égalemment cultivée avec audace. Sabou, la
plage titulaire, traduit le sillon tracé au fil des ans. L'accordéon chromatique, déjà utilisé sur le classieux Secret Agent
du drum master Tony Allen, met en relief la voix d'Abou Diarra. Et lui offre un écrin onirique surprenant. Vinent Caffiaux
FRANCE
Télérama sortir may 2013 / february 2014
FRANCE
Mondomix may 2013
_____________________________
ABOU DIARRA
«SABOU»
(Mix et Métisse / Warm Up / L’Autre Distribution)
Le nouvel album d’Abou Diarra est
à écouter comme on emprunte un
chemin de vie. Au lendemain du
décès de son père, Abou, encore
adolescent, quitte son Wassoulou
natal pour un périple de 4000 km
à travers l’Afrique de l’Ouest. A
Bamako, il rencontre Moussa Kanté.
Ce virtuose du luth n’goni devient
son maître, jusqu’à sa disparition en
2005. Inspiré des traditions ancestrales du Wassoulou, une région
forestière au sud-est du pays, et
influencé par les musiques urbaines,
la musique de Sabou évoque avec
poésie et philosophie le départ des
êtres aimés, l’exil. Il y est question
de destinée, de cause et de conséquence, de ces petits cailloux que
l’on essaime tout au long de sa vie
pour savoir où l’on va. Squaally’
FRANCE
Couleur Jazz n°2 11th november 2012
FRANCE
Couleur Jazz n°2 11th november 2012
FRANCE
TRAD Magazine n°152 november / december 2013
Abou Diarra
Sabou
• Label : Mixe et Métisse.Warm Up
(Artycd78130280).
• Genre : musique malienne moderne.
• Livret : 12 pages.
• Nombre de titres : 11.
• Durée : 50’10
• 13,67 € chez CD mail TMB539286
TTT
Après «Kono kan Bora» (paru uniquement en
Afrique) et «An ka belebele», le joueur de n'goni malien Abou Diarra revient avec un troisième
album. Ce dernier est inspiré aussi bien par les
traditions ancestrales des chasseurs du Wassoulou que par le blues ou le reggae. «Sabou»
est un mot bambara au caractère poétique. Il
évoque à la fois le destin des humains et des
choses, et l'idée que chacun se doit d'observer les traces d'autrui pour sillonner son propre
chemin. Abou sait de quoi il parle. Orphelin de
son père dès l'adolescence, il quitte son village
et parcourt à pied 4 000 kilomètres à travers
l'Afrique de l'Ouest accompagné de son seul
instrument. A Bamako, il rencontre le virtuose
aveugle Moussa Kanté. Celui-ci deviendra son
maître de musique jusqu'à sa mort, au milieu
des années 1980. Les textes parlent donc de
voyage, d'exil, de pauvreté ou du respect de
la famille. Les superbes arrangements mettent
le n’goni en valeur. Et ils laissent une place
subtile aussi bien aux instruments traditionnels
(comme le balafon) qu'au piano ou à l'accordéon. Neuf chansons nostalgiques ou dansantes, et deux superbes instrumentaux. Une
réussite.
Frantz-Minh Raimbourg
FRANCE
Ethnotempos 30th october 2013
FRANCE
Le Télégramme 25th avpril 2013
Abou Diarra, dont l’album « Sabou » sort à
la fin du mois, animera un stage de n’goni et
donnera un concert, mercredi. (Photo Capture Life)
FRANCE
L’union 14th avpril 2013
DES SONS DU MALI
Abou Diarra joue du n’goni, de la harpe-guitare du Mali. C’est
à l’âge de 14 ans, qu’il a fabriqué son premier instrument à
partir d’une peau de gazelle, de bambou et de fil de pêche.
Sur « Sabou » à paraître à la fin du mois sur les labels Mix et
Métisse et Warm up, il est accompagné d’autres instruments
traditionnels comme
le balafon, mais aussi
d’une flûte. Ce disque
est gagné par des
ambiances différentes.
Des choeurs féminins
disent la joie
quand la
nostalgie se
mesure dans
« Sabou ».
Mais la vitalité
domine
l’ensemble.
TEXTES : THIERRY DE LESTAND-PARADE
FRANCE
Musique Terrienne april 2013
Sabou, le nouvel album d'Abou Diarra, est disponible depuis quelques jours dans tous les bons
bacs.
Mot de la langue bambara (Mali), Sabou pourrait être traduit en français par "grâce à", "parce
que", "à cause de", selon les circonstances dans lesquelles il sera utilisé.
Né au milieu des 70's dans la région de Sikasso, au sud du Mali, berceau de la musique Wassoulou (blues africain), Abou Diarra est le fils d’un grand chasseur-féticheur et d’une chanteuse
initiée aux savoirs mystiques. Il entre en musique dès son plus jeune âge, accompagnant sa
mère aux cérémonies et fêtes traditionnelles.
Formé par un maître virtuose et aveugle (Moussa Kanté) au n’goni (harpe guitare malienne),
Abou a sillonné, pendant plusieurs mois, les routes d'Abidjan-Bamako-Conakry... à pied, accompagné de son seul instrument. Traversant les villages les plus reculés d'Afrique de l'Ouest
comme les mégalopoles modernes, il y a puisé tour à tour des sons cachés traditionnels et des
musiques urbaines contemporaines.
Sa musique parle du voyage, de l'exil, du mouvement. Fasciné par le blues, le jazz, le reggae, le
groove, les rythmes et styles où se mélangent pays, sonorités, influences, Abou Diarra explore
hors des gammes classiques. Dans des balades silencieuses et nostalgiques ou des rythmes
endiablés de bals poussières, il utilise son n’goni comme une guitare, une basse, une harpe ou
une percussion.
Pour " Sabou ", Abou c'est entouré de l’arrangeur Eric Bono (arrangeur de Salif Keïta, Alpha
Blondy, Roxia Traoré, Youssou’nDour…), de Daffé Kouyaté et des musiciens déjantés du Donko
Band Orchestra.
Abou Diarra explore à nouveau des balades mandingues dans un style qui s’affine et qui s’affirme. Entre accordéon guinguette, piano nostalgique, le n’goni voyage et raconte des histoires
simples et acoustiques. Abou y restitue les questions essentielles de l’exil, la vie et les hommes
dans une musique délicate et métissée. FRANCE
L’ena June 2013
FRANCE
Amina N°519 june 2013
ABOU DIARRA
« Sabou »
(Mix Metisse/Warm-Up/L’Au tre
Distribution)
On reconnaît d’emblée le cachet du
Wassoulù, région méridionale du Mali où
cohabitent en bonne entente chasseurs
mandingues et descendants des éleveurs peuls venus du nord. Ici, la mélodie
est moins plaintive si comparée au style
vocal des griots et l’ensemble sonore
plus vibrant. Héritier d’un répertoire où se
mélangent les airs de la brousse et ceux
de la savane, Abou Diarra joue le kamalé
ngoni, la harpe typique du Wassoulù
que le groupe d’Oumou Sangaré popularisa sur la scène internationale au
début des années 1980. Innovateur, cet
enfant d’une chanteuse sage-femme et
d’un maître chasseur ne se limite pas à
introduire dans sa formation à l’instrumentation traditionnelle guitare, basse et
batterie. Le violon et l’accordéon y font
également leur apparition et soulignent
les atmosphères nostalgiques mais aussi
festives de cette musique. Des apports
congrus qui enrichissent un style épuré et
pétri d’un lyrisme apaisant où l’on ressent
le souffle de la nature.
FRANCE / CONCERT
Et si on sortait décembre 2012
Abou Diarra et Kanazoé, Mah
Damba, festival Africolor
Africolor 2012
Au bout de la musique, jamais
«Abou» de force.
Difficile de définir le style de musiqued’Abou Diarra : il est influencé
par le blues, le jazz, le reggae, le
groove. En réalité, sa musique se fait
le carrefour de tous ces styles. Des sonorités qui s’entrelacent où se
côtoient notamment la musique mandingue, le jazz et le blues africain.
Abou Diarra et son groupe vous invite à un voyage au coeur de l’Afrique,
où la musique est votre seul guide. Laissez-vous donc guider.
Avec :
Abou Diarra et Kanazoé
Mah Damba
FRANCE / CONCERT
Africavivre march 2014
Le joueur de kamele n'goni Abou Diarra sera sur la scène du Studio de l'Ermitage à Paris le vendredi 28 mars 2014. Découvrez un artiste doué et humble, porteur de l'héritage culturel des chasseurs
mandingues et des maîtres de kamele n'goni auprès desquels il a étudié.
Le Mali regorge de talents artistiques, on le sait. En musique comme dans les autres arts... Au Studio de l'Ermitage le vendredi 28 mars, partez à la découverte d'un de ces talents, joueur de kamele
n'goni, cette harpe africaine cousine du n'goni et de la kora.
Abou Diarra s'y produira pour jouer plusieurs titres de son troisième et dernier album Sambou, sorti
l'année dernière sous le label Mix & Métisse / Warm Up. Un album conçu dans le but de faire sortir
le kamele n'goni de son contexte musical essentiellement africain. On retrouve ainsi sur cet album
des instruments " européens " comme l'accordéon, le violon, la contrebasse, le piano...
Car le souhait affirmé d'Abou Diarra est bien de poursuivre le chemin tracé par ses illustres professeurs de n'goni et de kamele n'goni afin de faire connaître au monde entier ces beaux instruments.
Car bien que doué, Abou Diarra n'aura eu de cesse de se former auprès des plus grands pour
perfectionner son art. Où qu'il soit, il se réfère, humble qu'il est aux deux maîtres qui l'ont formé :
Yoro Diallo dit " Cièkorobani " (le petit vieux), originaire du Wassoulou comme sa consoeur Oumou
Sangaré, joueur de kamele n'goni, et le regretté Vieux Kanté Sans Commentaire, instrumentiste
aveugle, virtuose précoce du n'goni.
Abou Diarra, force et humilité d’un artiste au service de son instrument le n’goni et le kamele
n’goni.
Enfin, Abou Diarra est reconnu dans la sous-région ouest-africaine comme le porteur de la culture
ancestrale musicale des chasseurs mandingues, confréries internationales rassemblant des
hommes formés au combat initiés à des pratiques de guerre et partageant des valeurs et des codes
communs.
Finalement, aller voir Abou Diarra en concert, c’est comme assister à une leçon musicale
pour découvrir une nouvelle facette des cultures mandingues et bambara.
FRANCE / CONCERT
Le Parisien 19th may 2014
FRANCE / CONCERT
Ouest France 3th may 2014
Une des nombreuses affiches du 17e festival Complèt’ Mandingue, qui se poursuit depuis une semaine.
C’est le blues des chasseurs mandingues et des rythmes endiablés.
Le festival Complet’ Mandingue fête sa 17e édition : pendant une
semaine, l’association Djabotu Binghi nous emmène à la découverte de la culture traditionnelle et contemporaine de cette région
d’Afrique, au rythme des percussions, danses et musiques.
Ce samedi, au bar le Memes Tra, à Saint-Brieuc, à 20 heures.
Ouest France 20th august 2014
Avant-dernière date de l’été, le musicien malien se produira dans
les jardins du port.
Abou Diarra explore et cherche des harmoniques hors des gammes
traditionnelles en ajoutant des cordes à son instrument, en expérimentant des techniques inspirées des grands du jazz et du blues,
en utilisant son n’goni comme une guitare, une basse, une harpe ou
une percussion... Dans son afropop plus ou moins bluesy, il trace des
lignes atmosphériques, proches du reggae.
FRANCE / CONCERT
lYonne 16th august 2014
CANADA
Black Milk 19th july 2013
CANADA
Black Milk 19th july 2013
CANADA
Voir 11th july 2013
Fils d’une sage-femme et du chef d’un village isolé du Mali, Abou
Diarra est un musicien ambulant qui a parcouru plus de 4000 kilomètres à pied dans son pays comme en Côte d’Ivoire et en Guinée. Pendant cinq ans, il escorte partout Moussa Kanté, un maître
aveugle du kalamé n’goni, instrument qui ressemble à la kora. Sa
musique a du vécu et du «millage», comme on dit, mais les guitares
électriques y foisonnent gaiement. Un garçon plein d’humilité avec
un sac de pépites qui pourrait bien s’imposer comme une révélation
chez nous, cet été. En concert le 18 juillet au Balattou dans le cadre
du Festival international Nuits d’Afrique.
CANADA
Métro 19th july 2013
CANADA
Québec Spot 4th july 2013
4 juillet 2013 | Par QuébecSpot Média
Abou Diarra de passage au Québec en juillet et en août
Sa musique parle du voyage, de l’exil, du mouvement
et de la vie. Fasciné par le blues, le jazz et le reggae, Abou Diarra aime les rythmes et styles où se mélangent pays, sonorités et influences. Il sera de passage au Québec du 18 juillet au 9 août pour donner 3
spectacles à Montréal, Québec et Sherbrooke.
Marqué par la culture ancestrale des chasseurs mandigues, Abou Diarraest un joueur de n’goni (harpeguitare malienne), au parcours atypique et étrange. Fils d’une chanteuse,
sagefemme, formée aux savoirs traditionnels et d’un grand maître chasseur du
Wassoulou, chef de village dans la région de Sikasso, au Mali, Diarra baignera
dès son plus jeune âge dans les cérémonies traditionnelles, bercé par la voix
de sa mère et les secrets ancestraux de son père. Au décès de son père, jeune
adolescent, il quitte son village pour sillonner les routes d’Abidjan-Bamako-Conakry à pied, accompagné de son seul instrument. Parcourant plus de 4000 km,
traversant les villages les plus reculés d’Afrique de l’Ouest comme les mégalopoles modernes, il y puise tour à tour des sons cachés traditionnels et des
musiques urbaines contemporaines…
À Bamako, sa route croisera celle d’un virtuose, aveugle et proche du jazz,
Moussa Kanté connu sous le nom du Vieux Kanté Sans Commentaire, qui deviendra son maître de n’goni. Ils traverseront ensemble l’Afrique et une partie
de l’Europe partageant le quotidien et la musique dans une complicité profonde.
Abou Diarra restera sept ans aux côtés de Moussa Kanté, jusqu’à sa mort en
2005.
Dès la sortie de son premier album Kono Kan Bora (paru uniquement en Afrique),
il est reconnu comme une étoile montante, soutenu par le public et le Ministère
Malien de la Culture. Multipliant les scènes, les concerts, il prend son envol et
définit petit à petit un style qui lui est propre entre tradition Wassoulou et un
métissage librement inspiré du jazz, du blues et de l’afro funk… Il transite entre
l’Europe et l’Afrique depuis 2008 et sort un premier album en Europe en 2010,
An ka Belebele.
CANADA
Le Devoir 12th july 2013
Chaque année, le Festival international Nuits d’Afrique fait découvrir
au moins un talent mandingue ; voici
celui de cette année : Abou Diarra,
qui est fortement marqué par la culture ancestrale des chasseurs
de la région de Wassoulou. Il joue le grand kamele’n’goni, à ne pas
confondre avec les ngonis au son plus terreux ou avec la kora au
timbre plus cristallin. Diarra n’est pas un chanteur de puissance,
mais un artiste sensible qui sait s’élever doucement sur les mélopées. Il parle de voyage, d’exil et des mouvements de la vie sur
une musique subtile sur laquelle peuvent improviser librement des
instruments comme le piano ou l’accordéon. Dans son afropop plus
ou moins bluesy, il trace des lignes atmosphériques, parfois plus
sautillantes, proches du reggae ou même à la limite de l’impressionnisme. Les moments de blues confèrent du panache et de
l’élégance. De bien jolis climats musicaux à savourer ce jeudi au
Balattou et le 27 juillet à la place D’Youville à Québec.
CANADA
Consulat de France à Québec 8th july 2013
Abou diarra : 18 Juillet à 20:30 au Club Balattou + Concert exterieur
19 Juillet à 18:15 Agor’Afrique - Parterre du Quartier des Spectacles
L’histoire d’Abou Diarra débute en 1975 dans le sud du Mali, passe par
Abidjan, Bamako et Paris et se poursuit aujourd‘hui bien au-delà. Un
périple lors duquel il ne quitte jamais son kamalé n’goni, un instrument
à cordes traditionnel du Mali. Fasciné par le blues, le jazz, le reggae et le
groove, Abou Diarra pousse l’exploration hors des chemins tout tracés,
utilisant son instrument comme une guitare, une basse, une harpe ou une
percussion.
En 2008, Abou Diarra est invité en France pour plusieurs concerts et
interventions autour du n’goni. Charmé par le pays, il y revient en 2010
pour se produire en concert et dans des festivals et enregistrer son
deuxième album, An ka belebele. Il anime également des stages de n’goni
ou des interventions sur la transmission de l’oralité et de la musique
malienne. S’installant alors dans une nouvelle dynamique, il allie ses
origines à la découverte de l’occident et ouvre encore son style musical et
ses collaborations. Il évolue entre musique mandingue, blues et groove,
en solo ou, comme il le sera cet été à Montréal, accompagné d’un balafonniste, d’un percussionniste et d’un bassiste. Avec plus d’une corde à son...
n’goni, Abou Diarra n’en finit plus d’étonner. Cette ouverture se traduit
dans son dernier album, Sabou, qu’il enregistre avec son groupe Donko
Band. Un opus 100% africain, la plus belle des invitations à la danse et la
découverte du Mali.
http://www.festivalnuitsdafrique.com/artiste/abou-diarra
CANADA
Géo Tourisme july 2013
CANADA
Post Info july 2013
CANADA
Nord Info 2th august 2013
Né en 1975 dans la région de Sikasso, au sud du Mali, berceau de la musique wassoulou (blues africain), fils d’un grand chasseur-féticheur et d’une chanteuse initiée aux
savoirs mystiques, également marqué par la culture ancestrale des chasseurs mandingues, Abou Diarra a la particularité de jouer – depuis l’âge de 14 ans – un instrument
peu commun: le n’goni. Il s’agit d’un instrument traditionnel du Mali fabriqué à partir
d'une calebasse, d'une peau de gazelle, de bambou et de fil de pêche. Il n’est donc
pas surprenant que les sonorités de cette harpe-guitare teintent de beaucoup le nouvel album qu’Abou Diarra vient d’enregistrer et disponible au Québec depuis quelques
semaines. Il s’agit d’un troisième album pour Diarra, après Kono Kan Bora (paru uniquement en Afrique) et An Ka Belebele (2010), son premier à paraître en Europe. Sur
les 11 pièces, Abou Diarra propose rythmes et styles où se mélangent pays, sonorités
et influences musicales. À écouter cet album, il n’est pas étonnant que cet artiste ait été
reconnu comme une étoile montante dès ses débuts. Un fort beau voyage musical pour
ceux qui aiment bien ces sonorités toujours intéressantes à découvrir!
CANADA
Touki Montréal 18 juillet 2013
Sabou, le troisième album d’Abou Diarra
Par admin | 16. juillet 2013 | Catégorie : Critique de CD |
Le Malien Abou Diarra propose dans son troisième album Sabou, sorti au Québec chez
Six Media, une incursion moderne dans l’univers de son Kamele N’goni.
Grâce à son instrument, le Malien arrive à faire cohabiter différents univers, comme sur
la pièce instrumentale Aboubono qui mélange Kamele N’goni et occident. Accordéon,
violon ou batterie sont autant
d’instruments que d’univers
qu’explore Abou Diarra.
Séguin, la pièce d’ouverture, est
une des bonnes découvertes de
cet l’album. Elle propose un mariage de raison entre son n’goni, la flûte et la voix du Malien.
Le titre le plus enivrant reste
toutefois Blablabla que tous les
mélomanes ne manqueront pas
de remarquer sur ce troisième
opus et qui commence par ces
mots que prononcent les enfants.
«Blablabla qui parlez comme
çà, comme-ci. Blablabla on
laisse tout cà».
Fils d’une chanteuse traditionnelle et d’un maître chasseur du Wassoulou, dans la région
de Sikasso, au Mali, Abou Diarra baigne dès son plus jeune âge dans les cérémonies traditionnelles.
À la mort de son père, le jeune Diarra va se retrouver en Côte d’Ivoire et par un de ces
hasards de la vie, il va apprendre le kamele n’goni. De cet exil, il a retenu beaucoup de
choses qu’il livre à sa façon notamment dans Sabou.
Il est également question de voyage et de questions sur la vie dans ce troisième opus,
après An Ka Belebele et Kono Kan Bora, son premier album.
Insatiable ngonifola (joueur de ngoni), Abou Diarra propose ainsi sa recette du bonheur,
entre blues, jazz, Afro-funk et reggae.
ALLEMAGNE
Global Sounds 2th august 2013
Eine Produktion, die tief in der Tradition Malis verwurzelt ist, sich im Arrangement aber auch
klar auf die Hörgewohnheiten der Europäer ausrichtet.
Diarra musste sich sein Instrument, die Kamele N’Goni, hart erarbeiten. Den langen Weg
zwischen spielen-wollen und spielen-können hat er in einem Interview mit Radio France
Internationale RFI erzählt. Auf dem Instrument ist er nach diesen langen Lehrjahren ein
Meister.
In der Produktion dieser ersten CD für den westlichen Markt hat er sich u.a. einen Trick
einfallen lassen: er wollte mit den französischen Studiomusikern Jerome Soulas (Akkordeon)
und Manus Pibarot (Geige) vorher nicht üben – damit sie nicht zu viele Afrikanismen in ihr
Spiel einbringen, europäischer spielen. Hat funktioniert. Insgesamt ist die Scheibe eine gut
ausbalancierte Mischung von urigem Wassoulou- und Bambara-Sound mit einer auf westliche Ohren ausgerichteten Produktion. Selten, aber in ein, zwei Songs ist der Kompromiss
ein bisschen zu einfach-poppig.
Dies ist der klingende Beweis, dass nicht nur die Kora königlich klingt und groovt, sondern
auch die Kamele N’Goni, die N’Goni der Jugendlichen.
USA
World Music Central 17 août 2013
Abou Diarra The Rising Star of Malian Music
BY AROMERO - auguste 17, 2013
Abou Diarra
Sabou (Mix N’ Metisse, 2013)
Mali continues to produce some of the finest music in West Africa. This
time it’s Abou Diarra, a virtuoso musician originally from the Wassulu
region. He is a formidable singer and skilled instrumentalist as well.
Abou Diarra plays the kamale ngoni, a traditional West African lutestyle instrument used by hunters that looks like a small kora.
Like other contemporary Malian artists, Abou Diarra makes a tasty mix
of traditional Malian music with blues, jazz, funk, and modern elements. I’m a little surprised that he is not getting more attention in the
world music press. His music is fresh and engaging and would appeal
to fans of Oumou Sangare, Issa Bagayogo or Salif Keita.
On Sabou, Diarra combines dazzling fast pieces with irresistible slow
tempo material. Abou Diarra demonstrates his chops as a kamale ngoni player, with fabulous solos and fascinating interactions with guitars
and other instruments. In addition to familiar percussion instruments
such as balafon, jembe, bass, and evocative Fula flute, the album also
features unconventional elements such as piano and Balkan-style
Sabou is an outstanding recording of contemporary Malian roots music
and certainly one of the great surprises of the year in West African
music. accordion.
UNITED KINGDOM
Inside World Music 4th august 2013
UNITED KINGDOM
fRoots august 2013
JAPON
Diskunion 13th june 2013
JAPON
El Sur Records 13th june 2013
ITALIE
SMA 10th june 2013
Abou Diarra, fra modernità e tradizione
Virtuoso dell’antico strumento africano n’goni, il maliano Abou Diarra, dopo l’album An Ka Belebele è tornato con un nuovo progetto intriso dei
panorami musicali della sua terra d’origine. Non mancano nei testi questioni importanti come l’emigrazione dei giovani e l’occidentalizzazione del
continente nero.
Al pari di tanti altri artisti africani di talento, anche Abou Diarra rimane un musicista di nicchia, almeno in Italia. In altre parti d’Europa, come in
Francia, è apprezzato, viene intervistato e i suoi cd hanno un buon riscontro tra quanti seguono i nuovi cantautori/griot dell’Africa Occidentale.
È estremamente interessante conoscere il suo cammino di vita, nonché artistico. Nato nel 1975 nel sud del Mali, precisamente nella regione di
Sikasso, Abou Diarra ha fabbricato il suo primo strumento musicale a 14 anni. Figlio di una cantante e di un noto cacciatore detentore di conoscenze animistiche, Abou è cresciuto circondato dalla musica e da antiche storie manifestatisi attraverso cerimonie tradizionali.
Spinto dalla voglia di viaggiare e di apprendere, abbandona adolescente il suo villaggio. Nel frattempo, il padre se ne va, lasciando moglie e figli
senza di che vivere. Abou Diarra decide quindi di andare in Costa d’Avorio per guadagnare qualcosa, attinge anche alle sue abilità musicali, in
modo da inviare alla madre un po’ di denaro per aiutare la famiglia. L’esperienza in Costa d’Avorio è stata dura e talvolta frustrante. Come ricorda
Abou Diarra: “Ho lavorato per circa due anni presso un commerciante, ma ha rifiutato di pagarmi il compenso corrispondente a circa 30mila
franchi CFA, ovvero neanche 50 euro. Me ne sono andato e nella città di Abidjan ho incontrato Yoro Diallo, grande virtuoso di n’goni. Desideravo
diventasse il mio maestro, ma doveva rientrare a Bamako. Seppur scoraggiato, grazie a un altro incontro – un musicista che mi ha donato uno dei
suoi due n’goni – ho proseguito il mio percorso.
Camminando, per quattro mesi e 26 giorni, da Abidjan a Bamako, ho appreso i segreti di questo antico strumento”. Abou Diarra diventa così,
giovanissimo, un eccellente suonatore di n’goni, che diventa il “suo” strumento prediletto. Dopo cinque anni lontano dal suo villaggio, ritorna.
Viene accolto con entusiasmo e riverenza per le qualità artistiche di cui è dotato. Da allora, evolve come musicista unendo i ritmi tradizionali del
Mali con elementi sonori tipici del blues e del folk: dà vita a composizioni solari, che affondano le radici nel sole e nei colori dell’Africa. Il suo stile
mescola saggezza ancestrale con nuovi linguaggi moderni appressi durante la sua permanenza in Costa d’Avorio.
A partire dal 2008, la sua musica e il suo modo originale e al contempo antico di suonare lo n’goni vengono sempre più apprezzati, soprattutto in
Francia, tanto da essere invitato a vari happening a Parigi, Rennes, Montpellier e Nantes. Nel 2010 realizza An Ka Belebele, disco estremamente
interessante per sonorità e contenuti. Molte le tracce interessanti, a partire dal brano “Démocratie”, in cui Abou Diarra parla del nuovo corso
politico in Mali, dopo il colpo di Stato degli inizi degli anni Novanta. La democrazia è instaurata, ma nel 2010 tante questioni rimanevano ancora
aperte: Quando la democrazia è arrivata – canta il griot – tutti ci credevano. Ma poi, la situazione è diventata complicata. Gli affitti delle case sono
più cari, come anche l’elettricità, i trasporti, l’acqua. Ma i salari delle persone sono rimasti stabili, sempre troppo bassi…
Dopo tre anni da quel disco, Abou Diarra è tornato con Sabou, termine che in lingua Bambara (tra le più diffuse in Mali) significa “grazie a” o
anche “a causa di”: una parola che cambia di significato in base alle circostanze, agli eventi. Sabou indica un percorso, di vita e artistico: un
viaggio sperimentato da Abou Diarra in questi ultimi anni, scandito dal rispetto verso le tradizioni della sua terra e dalla riverenza verso la saggezza degli anziani. Da qui la scelta di cantare in lingua Bambara, di cantare “grazie a” quanti hanno lasciato una traccia lungo il suo cammino
esistenziale.
Silvia C. Turrin
10-06-2013
Lo n'goni è una sorta di liuto, tra gli strumenti più usati dai djeli o griot. Ha una cassa di risonanza a forma ovale fabbricata attraverso l'incavatura
di un tronco di legno o ricavata da una zucca ovale ed allungata tagliata a metà. La cassa di risonanza è ricoperta da una pelle di capra. Tra la
cassa e la pelle è incastonato un bastone. Sull'estremità superiore del bastone vengono fissate le corde (generalmente 3, 4 o 5), tese fino ad un
foro, effettuato nella pelle di capra, creato per la fuoriuscita del suono. Vi sono vari tipi di n'goni: quello ad arpa chiamato Dozo N'goni e il Kamale
N'goni, suonato dai griot in occasione di feste, celebrazioni.
SELECTION DEEZER JULY 2014
SELECTION WMC SEPTEMBER 2013
SELECTION WMC AUGUST 2013
SELECTION WMC JUNE 2013
SELECTION WMC YEAR 2013
SELECTION FRANCOPHONIE DIFFUSION JUNE 2013

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