1.Son côté alsacien est griffé Walcker (des voitures Chenard et
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1.Son côté alsacien est griffé Walcker (des voitures Chenard et
1.Son côté alsacien est griffé Walcker (des voitures Chenard et Walcker pour les amateurs de voitures anciennes). Côté maternel il faut aller beaucoup plus à l’est vers la Pologne. Mais des deux côtés on ne connaissait qu’un seul chemin pour idéaliser la vie : celui qui passe par la peinture. Etre peintre est donc pour Emily Walcker aussi naturel que de respirer. Pour Emily Walcker, l’Alsace est une redécouverte faite d’une multitude de signes qu’elle a su et voulu interpréter et qui, au fil des ans, l’ont reconduite vers un berceau familial abandonné déjà du temps de ses grands-parents. Et avec son air de jeune fille à la fois mutine,attentive et réservée, de fait, on l’imagine volontiers à la recherche d’une "Madeleine" muée en kougelopf des temps perdus. La force de sa peinture en témoigne. Ecrit par Evelyne Dreyfus, journaliste, pour le site de la maison de l’alsace (http://www.maison-alsace.com) dans la rubrique "Un(e) Alsacien(ne) à Paris", le 13 avril 2007 2.Son sujet : ... la matière vivante soumise au temps ou les animaux comme nature morte. Altération, consommation alimentaire ou moyen d’explorer les mystères du temps par delà la vision de surface. Ecrit par Francine Garnier,peintre, dans la brochure du salon "Rencontres des Arts à Thevet-Saint-Julien", Août 2006. 3.Bien que traiter... la nature morte en peinture relève du symbolisme, Emily,dans les traces de Kupka, relie les éléments du quotidien entre eux pour raconter une histoire de matière organique empreinte de spiritualité, sensible à l’esprit de liberté de ce peintre passé du figuratif à l’abstrait… Marquée par le tableau de Kupka "La gamme jaune" qui traduit l’univers de la poésie relié à la musique. La peinture d’Emily sera mise en musique… par les jazzmen du ParisPrague Jazz club (Paul Susen : violon, Laurent Suk : contrebasse, Carl Gales : piano). Extrait de l’article Exposition/jazz : Mercredi 22 mars 2006 à 18h vernissage "Sur les traces de Kupka" paru dans le programme 2006 du Centre Tchèque, Paris 6, écrit par Y.de Preva. 4.Cette jeune peintre de talent... exposera une série de pastels et fusains en novembre prochain au Cirque d’Hiver Bouglione (…) Ses rencontres avec l’acrobate René Rappelin et Emilien Bouglione lui ont fait découvrir l’univers du cirque. Nous sommes heureux de saluer cette nouvelle artiste qui a mis son talent au service de ce thème qui nous est cher. Ecrit par Dominique Denis dans le magazine "Le cirque dans l’univers" n°205, 2ème trimestre 2002. 5.Emily Walker, artiste peintre... ne cache pas une passion en rien souterraine pour le métropolitain ; c’est le mélange des genres et des gens qui grouillent dans les couloirs du métro qui inspire l’artiste. Tout ce qui fait la vie parisienne de tous les jours (…) Le métro aérien, histoire de prendre de la hauteur, a aussi charmé la peintre. Mais c’est surtout la station Barbès-Rochechouard qui a impressionné sa rétine(…) Résultat : des toiles gaies et très colorées (… En plus d’avoir un joli coup de pinceau, Emily Walcker, à tout juste 30 ans, présente déjà une belle biographie professionnelle. Ecrit par Emmanuelle Rey dans Paris France Soir, le samedi 09 février 2002 6.L’"Alsacienne de cœur"... Emily Walcker a dessiné les illustrations des tomes 1 et 2 de la version française des aventures d’Harry Potter(…) mais la dessinatrice ne fait pas fortune, malgré le succès commercial de la série... Aujourd’hui, Emily est embarquée dans une autre aventure, celle de la peinture ; son crédo : peindre l’environnement tel qu’il est, sans en gommer ni les néons disgracieux, ni les éléments qui symbolisent le quotidien… Ecrit par Elodie Bécu dans l’article "Emily Walcker et l’art du dessin", DNA/Région, n°306dimanche 31 décembre 2006 7.Lors d’un rendez-vous... dans son atelier alors que nous discutions de son travail j’ai aperçu sur un des murs, pourtant très chargé d’œuvres, deux masques peints qui m’ont tout de suite fait voir une autre facette du travail d’Emily que je ne connaissais pas et qui chez elle était en état d’attente. Ces masques n’étaient pas de vrais masques que l’on porte pour des mascarades puisqu’ils n’avaient pas d’ouverture ni pour les yeux ni pour la bouche ; ils étaient donc importables et la peinture y était déposée comme sur une toile. Je lui ai dit "je veux des masques pour ton exposition chez Headscape" (…) Ecrit par Yves Sabourin, chargé de mission en textile au ministère de la Culture à propos de l’exposition de masques chez Headscape Paris 03 juin 2000.