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http://www.chansons-paillardes.net http://www.leplaisirdesdieux.fr Vieltge~ en Iie~~e. Jouvenceaux enfiE::(vJté~, Bonne~ gen~, Dr' vous v<,)ir' tous, si nombceux, r6unis cm ce soir estudiantesque, je mon <~lX'Ul' palpiter' d'aise et (le vanité, cie même que ma ponse se dilate outrc mesuce sous l'intluelll:e idoine de nombreuses et bienfaisantes libations. C'est Cèlc cn soir. Angiboust inaugure son 2g e galon. A vous tous, salut. Et vous, FU)tllS, illèS biens aimés, joyeux compagnons dignes de B:JL:dIU~" Jwrdis courcurs de vectus légères, redoutables aux maris, c(\pilbles de cidicocu lisel' tous les jaloux, il vous aussi, salut. Dllns mon llorTi!lque ventr'e, tout plein de jus de la treille, je sens HW tripiliile unvinass6e, gargouiller de joie li ouïr les vertes chansons que vuus brÙtner', Or-gic ct "ipnille ! ChlJfltez, mes Fœtus, chantez et buvez! Que toute celte pl(~bc qui, du haut de ces galeries, vous contemple d'un œil hagard, que toute œtte plèbe ne sorte d'ici qu'affolée de vos vagissements aphro disiaques, clignes de ceux qu'expector(~rent, en par'cille oc.:casion, vos llLleiens. Je veux voil' couler il flots le permanganatique liquide. je veux vous voit' baigner dans un ol:éan doré de champagne. Je veux vous voir suspen du~ Ù la dive boutdlle, et aspirer goulûment avec J'oubli de toute peine, une vic nouvelle qui fera couler plus ardent vott'e sang dans vos veines. Et dansez, et aimez! Hondes folles, ~é1f'abandes endiablées! Faites que vos gn\cieuses jouvencelles, emportées dans le yent de votre ardeur, ne sachcnL plus si c'est le sol qu'elles foulent, pâmées dons la béatitude de leurs sensations, Et clemain, que l'tHIl'OI'e aux doigts de l'Ose, ne découvre en ces lam bris qu'un fastueux et pyramidal amoncellement de corps épuis6s qui témoigne de vÔtl'e V,J!CUI', sellS Rendez-vous tous à la Brasserie de la Marine http://www.chansons-paillardes.net Pour clôturer dignem'ent le Bal... 2, Rue ]Y-[o:nge, 2 ~-~-~--~-~~-----~-~-_:........._--~-~--~-- AN aeOUST ~~ ~ iiii'~Çj- III ~ Nous ne e aignons pas le déluge Car si Dieu inondait l'Univers, A ta panse énorme je juge Que seu 1 /bi~/ tu vid erais les mers. Angibousll Angibousl ! Angiboust ! Angibousl! Comme un ivrogne dans la ville Qu'on ramasse au bord du eIJernin, Qu'on ramène à son domicile Vel's toi (bis) nous étendons la main Angiboust! Angiboust! Angibousl! Angibousl 1 ! (Les (œtus à gt?1OtLX/ Salut à toi, Hai des ivrognes Enfoncé Bacchus el Gambrinus, Ils buvaient, sec. mais tu les cognes Salut à toi qui te,saoÙlas Je plus! Angiboust ! Angibousl! :\ ngiboust ! Angiboust ! 1 Que de nos pipes culottées La. fumée s'élève vers toi Et que no:,; voix avinées Célèbrent (bis! le plus grand des rois Angiboust! AngilJoust ! Atlgiboust ! Angiboust! ! lf'F [~~=~e~ee=@~~ee~~e] Grande Brasserie de Kérinou près BREST LE FRAPER. GOUX & CIE 1 - - - - - - -...._~,...,.,._-t5CJ!SZ$-__r___'.'__--- ~ . . . . l\ / ;. ~l 1 BOCKS ET CANETTES DE L~ALLIANCE EAUX GAZEUSES G~.C& ~ " '" " .. BIÈRE DE TABLE Ta.N&p• • ENT~ Limona.des - ' Sodas Adresse Télégl'aphique : LE FRAPER, Brest - Sirops Téléphone 0-94 http://www.chansons-paillardes.net IV Il c-~ KA lE: J '1 ~- ~5> ----~~ IV C'rst nous 1('$ étadiant:-: qu'aucun mal ne rebute Et que la ville d~ Br'est a ,oeçu dans son sein "\ vaut qu' dans ['Ocean nous fassions la culbute Chantons le gai refl'ain del'étudiantmédecin. 1 L' Jeudi au lieu d'aller écouter la musique De Mon:;ieul' Fœrster faut assister au cours, Il doil nous initit'r aux beautés d' La physique Faut travailler somme toute pour être navais (un jour. v HEFRAIN Heureusement qu'à Brest il y a des petites (femmes Qui nous l'ont oublier le!> soucis du moment Aimez les Etudiants, aimez- les bien Mesdames L'amour qu' vous leur donnerez ils vous l'r'en (dront au cent. C'est nous les fœtus, les vetit'l fœtus Les p'tits avol,tés qu'on cons~rve dans (l'eau-d'vie C'est nous les fœtus. les petits fœtus Tous ratatinés de la tête à ['anus. C' qui nous cm .. ° le plus c'estcetle sacrée police Pas moyen d' chahuter sans s'faire foutr'e au L' matin dês qu'il l'ait jour on court à la visite Soigner des gen:s malsains ce qui manque de (gaité Il faut s' tremper les doigts dans les crachats (d' bronchite Sans quoi par le major on se fait engueuler', (violon, Aussi nous menaç.ons de nous faire anarchistes Si qu'on ne la raye pas de la constitution. VII C' que naos plaignons le plus c' sont les syphi III Puis qUilnd on a fi ni de ploter les malaries Vitl;' on quitte sa blouse sentant la pharmacie EU'ol; se lave lesma:ns rE'mplies de marmelade Pour se pr~cipitel' au cour;:; d'Histologie, @> (litiques. Des pauvr' bougres qu'ont pas de veine et qu'on (traite de cochons. Aussi nous demandons tous à la République Quand est-ce qu'on décrèter:) l'entrée libre au (Boxon. ~~!Jf;if.SJ,'i;.~~~~'"4'Z---..,.."""... .... -' --- --- -._-.-' Nouveautés Élégantes Robes" Manteat.:x " Tailleurs Blouses - l:ingerie " Fourrure ~\ ~! ntTilf[]m~~l11 ! ln~' fil, ~a Jj~~1]~~~~ lUtit~~ ~~~ Hôtel des CôtesQdu-Nord. 1 2, RUE MONGE 2, BREST 1 . LESQUELEN-MERCIER PROPRIÈT AIRE ° 41, RUE DE SIAM, 41 BREST JG'nam'nres ~ JGa'ni.ne\s ~an\i.s con1orh'n\e::; Téléphone: 5-24 Restaurant du Grand Café, Téléphone: 6-08 17, Rue de Siam, 17 http://www.chansons-paillardes.net VI Il o ~ ~::J \.::: pROGRAMME r~... DES DANSES FARANDOLE FOX-THOTT ~~ BOSTON ONE-STEP SCHOTTISCn ESP. n Décoration . de la Maison FARANDOLE TANGO FOX-l'ROTT COELENBIER BOSTON FARANDOLE TANGO FOX-l'ROTT - L n ~ ~- I Fremière Fartie @ "l '.. l' 1 Installation Electrique de M. MAUPAS Deuxième Fartie FARANDOLE BOSTON FOX-THOTT ONE STEP TANGO BOSTON FOX-THOTT ONE STEP SCHOTTISCn ESP. 1..' A 1 1 ~~ 1 ~~~L 1 Jl\l& N' nl ~ riJ~ http://www.chansons-paillardes.net y- BOSTON 1 FOX-TROTT LA FUITE ~ ROJle ~ ~ ~ a: ~ ~ ~ i'1Il ~ ~ 00 C 0 ~ tlj 00 ~ f ~ \'") . '. \( http://www.chansons-paillardes.net \ · FIN DE MOIS ---_~~_e;_...o.~.__.. _ http://www.chansons-paillardes.net 0, qui dira jamais la mortelle tri:::.tesse De ces heures sans fin oÙ plane un mor-ne effroi, Sans que vienne un seCOUI-S uux affreuses détrcsses Qui étreignes les cœurs quand s'ncMve le mois; Quand les ventr'es sont aüux et q LlC les podws vides Contre lc corps vidé font pendre leur néant, .Par les longs soirs brumeux oÙ des êtres livides Pussent, tout éblouis du feu des restaunmts, Et semblent demander, par dclÙ les ténèbr'cs, Au Seigneur tout puissnnt, qui fut toujours rupain : «( Pourquoi donc cT'éns-tu ees {lns de mois funèbres, Et que ne voyons-nous, comme les pctits pains Que tu multiplies en un jüur de fringale, S'arnoneeler l'agent, morte la MouÏse pâle? .~l~,~e~n,~(~~~~,~-=~~~,~,~\il [~ ~~~~~ .... ~~~~~w.;v~~~~1.J ~-s-<= J >e- ~ I1onaez-uous Hôtel et Estaminet des Voyageurs GIr3YLl GICE S f1ÜMBHI{D BREST - Rue de Siam - SA TABLE des B . RE~ST Nouveaux Papfams SON CONFORT ~)AIië~.'~ / ' " ~u.e\qu.es ~\ems l'Cl'""' j u. Synthétiques: " " 1a\s-mo\ mom\-( " c:r\ \ . \\Ou. \" m ' a \ln? e "JJ eu.\' a.e CD, ~ \" 'j ~C\.u.eJO\' L~ l ~(Q)T~It.m Un monne de bouquins, en pesants bataillons, S'assoupit, poussip,reux, sur de profonds rayons; Alentour, effrayants, des alambics immenses DistiJ lan t en leu rs tlancs d'étranges qui ntessences Et Ion sent qu'en ces lieux, du rite eonsacré Qui peut crée"r la vie, est caché le secret; Toute la science est là, on ne sait oÙ, énorme, Invisible, qui dort en de!!> vases informes. Sans jamais se hâter, inlassable vieillard, Au sein de ce chaos travaille le Potard. Son cuir ratatiné ne craint plus les acides, Son corps est momifié, ~es gencives sont vides, 'Son crÙne est dénudé et son bonnet crasseux nut coifler Hypocrate ; en l'éclair de SeS yeux, Qlli semble illuminer la cave toute entière, On croit voir les lueurs qui sortent d'un cratère. III Seul, tranquille et muel, pal' g-estes réguliers, Le Potard accomplit des travaux familiers; 11 sourit aux fla.cons. aux creustJts. aux collyres El les lIacons dans l'ombre, ont l'air de lui sourire; II p.,coute le feu, qlli ehanle dans le four, Echaull'ent un sirop tout frémissant d'amour; Le sifflement joyeux qui moute des bassines Haconte au vieux Potard des secrets d'officine. IV II écoute, grisé somnolant à demi. TIercé par la chanson de tous ses vieux amis, Et tandis qu'il malaxe, et retourne, et triture En un mortier de marbr'e une horrible mixture Qui jadis guérissait les maux'de nos aïeux, II semble, travailleur sombre et mystérieux, Etre un dieu qui pétrit le limon qui enrante, La range d'où naitra la beauté triomphante. • • e.~.~*œ~~~~w~.*œ§ œ~~~~~~.~~~ ~ ~CD~~:IliJ. ~œ o::1l œ l;L). Q AU GRAND 'it TBÉATRE ~ La Cathode Enragée ! ou L.ION ORPHELIN Grand Roman Cinéma en 84 énjsodg à 18 deurés ~~ http://www.chansons-paillardes.net II " .SbEa; t;RC91~ H 'J\t1l~1lla> " ~---t:L..~ ~ Il ~ ~ Trois lhésal'ds s'en allaient gaiumellt, QU<lull ils eur', nt passé leur th0sc, Ils choisil'ent, sclot! le claSSl'IlH::nt, Dne e311'i01'(' qui leur plaise! Le premiel', le pèl'e de l'en faut, Aussitôt ~'enfuit au Soudan; Le deuxi~m(', avec sa vérolt:, Etait mû!' I:our la Métropole; L'autl'e rut clli-rougp, ID permutant, Troi" «( Naval:; " s'cn allaient gai~mcnt. Trois éLudiauLs gl'illlpa.iont, dispos, au miH de cocagne L'un ('st 'i'asoll, l'nuL!'e est Moco, Le t,/'oisiëll1e Csl 1ils de Blct,annc ; Ils s'en allaient, joyeux garçons, La hou che pleint' de chan~ons, D'analomi&. plein la cervelle, Le (liabl" daDs Jeur escarcelle, Vel's la r\:cvllle et Vel'S Hu)'t'ieallx, Trois fœlus s'on allaient dispos. J'OUI' hl g'oil'e, 'l'l'ois" J\'avais » s'en allairnt gaiement, Au bout de leurs trois uns d'(~colc. LE' premipr avait lin enrant, Le deuxième avait. " la vérole! Lo troisièrne, presque impuissant, F.lluisé ]'laI' le ll'emblcUlent. Le cœur las, la moelle vii.l6e, IncaIJable d'ulle seule idé!', Songe li l'hymen bir.n chastement TroIs" Navais ») s'en aJiai,~nt gaiement, <?'~~:'i~(*><f.-~~~·~~~('l:pœ~~·).:~(.~~ >:~ ~ -r ':.'0:;"0<:;;z. ):0~~ ,~,~'P,*<?.~<:U- ~tj)<?~ ::.;g,<:i2'(;~~~ __ o:_ ..................... ~ ~ r-~~' (K' ~ ,,~-// ~ 'l'l'ois majors vont clopin-c'opant; Ce sont lt-s " Navals l' de l'histojr(~, Huminallt bien amÏ\remcnt Lenr antique "ève de gloiJ'e, Le cul-l'ange, coe", gaiJ", Aux bleus pl't'scl'it de j'ip,ica, L" marin UlPllrt hémiplilgiqne, Le enlonial. quoique hrpaliq'lp., A cinq !]itlons se f.J'onvenl contel,t! aü sont les l)eaux (1 No."l1.is 1) d'Antan '1 Lisez tous! le dernier ROMAN-FEUILLETON publié par le ' " Bacille Déchaînè" ou I'11f~III~-'lj l Il 1 ou 1NZE W" . . . . ANS sous TERRE 'lffillllrll~IDI VIE D'UN CADAVRE Il Il !111 LA ,111111 SJ ~,~C!P~~~ U\"'loŒ;lW ~ 1J....... 1 1 1 Prix de l'abonnement :Ielon la tête du client 1 Uu Abonnement dorme dI'O'a~Salul mililaire,., I)eux. Abollnements dOlJnent droit ~IU saluL étel'neI... f __ http://www.chansons-paillardes.net IV Il .J