Bulletin de l`ARIM - Marketing Research and Intelligence Association
Transcription
Bulletin de l`ARIM - Marketing Research and Intelligence Association
www.mria-arim.ca/MONTREAL Bulletin de l’ARIM Chapitre québécois Avril 2013 Merci à nos commanditaires La publication de Forum est rendue possible grâce au soutien de nos commanditaires. Le concours de la relève en recherche marketing vient de franchir une nouvelle étape. La date limite de remise des propositions étant maintenant passée, le comité du concours se réunira le 14 mai prochain afin de faire l’évaluation des propositions. Soulignons que sur la liste des inscrits figurent des étudiants provenant de diverses universités québécoises : HEC Montréal, Laval, Concordia, McGill, Sherbrooke et UQAM. Rappelons que trois prix en argent récompenseront les meilleures propositions : 3 000 $, 2 000 $ et 1 000 $. Bonne chance à tous les concurrents! 1 AVRIL 2013 Venez célébrer la relève et l’arrivée de l’été avec l’ARIM! L’Association de la Recherche et de l'Intelligence Marketing vous invite à venir célébrer l’arrivée de l’été lors de sa soirée du mercredi 29 mai prochain. Au cours de cette soirée, vous aurez l’occasion d’entendre les trois finalistes du concours de la relève en recherche marketing présenter leur proposition ainsi que d’assister à la remise des prix. L’ARIM est fière de s’impliquer auprès de la relève. Pour l’occasion, vous êtes tous conviés au restaurant French Connection, qui offre le meilleur des produits du Québec déclinés en multiples services, un menu toujours en perpétuelle évolution, une ardoise changeante quotidiennement, au gré des arrivages, des saisons et des humeurs des chefs. Situé au cœur du bouillonnant Plateau Mont-Royal, le French Connection est un incontournable! Cet événement favorisant les échanges se déroulera au restaurant French Connection situé au 4675, boul. SaintLaurent (coin Villeneuve E), à proximité du métro Laurier le mercredi 29 mai à partir de 17h00. 75 $ pour les membres et 105 $ pour les non-membres. Comment s'inscrire? Des points seront alloués aux détenteurs de la désignation PARM pour leur participation. Afin de faciliter l'octroi de vos points, nous vous encourageons à vous inscrire via le portail de l'ARIM. MCP 5 2 AVRIL 2013 Lucie Leclerc quitte le CA du Chapitre québécois de l’ARIM C’est avec beaucoup de regrets que nous vous apprenons que Lucie Leclerc a quitté ses fonctions d’administratrice au sein du CA du Chapitre québécois de l’ARIM le 30 avril dernier. Lucie Leclerc, Présidente directrice générale BIP (Bureau d’Intervieweurs Professionnels inc.) Quelques mots sur Lucie Leclerc Après quatre années bien remplies passées au CA de l’ARIMQuébec, Lucie a fait le choix de se retirer car elle estimait être moins en mesure de s’y consacrer pleinement. Elle laisse derrière elle plusieurs réalisations importantes pour le CA et le souvenir d’une collègue exceptionnelle. À ce titre, elle a d’ailleurs généreusement accepté de demeurer membre du jury du concours de relève pour cette année. Lucie est aussi très active dans le milieu culturel et fait partie de plusieurs conseils d’administration. Elle-même détentrice d’une formation en musique de haut niveau, elle préside depuis maintenant un an le cabinet de financement de la faculté de musique de l’Université de Montréal dans le cadre de la grande campagne «Campus Montréal» sous la présidence de John Parisella. Sa contribution au monde des affaires à Montréal a par ailleurs été reconnue l’année dernière, puisque Lucie a été choisie comme finaliste pour le Prix femmes d'affaires du Québec 2012. Tous les membres du CA du Chapitre du Québec de l’ARIM la remercient pour son implication au cours des quatre dernières années et lui souhaitent beaucoup de succès dans ses multiples projets. Lucie Leclerc dirige BIP depuis 1988 avec la passion et la minutie d’un chef d’orchestre. Évoluant dans le domaine des sondages depuis près de 25 ans, elle a acquis une solide réputation et détient à son actif près de 6 000 projets, dont certains – par leur complexité et les sujets traités – sont uniques dans le milieu de la recherche. 3 AVRIL 2013 Une nouvelle membre du CA du Chapitre québécois de l’ARIM C’est avec plaisir que nous accueillerons dès le mois de mai une nouvelle membre sur le conseil d’administration du Chapitre québécois de l’ARIM. Madame Audrey Paradis siègera à partir de Montréal. Quelques mots sur Audrey Paradis Audrey Paradis, M.Sc., PARM Vice-présidente – Ad hoc recherche Le CA en 2013 : Daniel Brousseau, Président ARIM Québec Michel Saulnier, Président sortant Teymour Azar, Trésorier Linda Di Luzio, Sécrétaire Catherine Castonguay, Évènements spéciaux Rachel Belleau, Concours de la relève Audrey Paradis, Formation Raymond Cyr, Membership Stéphane Rivard, Bulletin Forum Anne Marie David, Événements spéciaux En plus d’agir à titre d’administratrice, Audrey sera la personne responsable du volet Éducation au sein du CA, tâche auparavant assumée par Daniel Brousseau. Très motivée par ce défi, elle a déjà des idées qu’elle souhaite mettre de l’avant. Audrey s’est jointe à l’équipe d’Ad hoc recherche en janvier 2012 en tant que vice-présidente. Elle est spécialiste en recherche marketing avec 23 ans d’expérience au sein de l’équipe de recherche marketing de Bell Canada. Audrey est titulaire d’une maitrise en informatique et recherche opérationnelle (option statistiques) de l’Université de Montréal (M.Sc.), où elle a d'ailleurs complété sa scolarité de bachelière en 1987 au programme bi-disciplinaire mathématiques-informatique. Audrey est aussi certifiée professionnel agréé en recherche marketing (PARM) par l’ARIM. En 2011, elle a été récipiendaire du CWC/Corus Fellowship: Digital Media & Technology Career Accelerator Program, ce qui lui a permis d’approfondir ses connaissances des nouveaux médias et des technologies numériques. Les membres du CA du Chapitre du Québec de l’ARIM lui souhaitent la bienvenue! Caroline Lévesque, Activités de Québec Julie Fortin, Activités de Québec 4 AVRIL 2013 Dans le cadre de sa Tournée à travers le Canada, Sandy Janzen, Présidente de l’Association de la recherche et de l’intelligence marketing au niveau national est venue à Montréal le 4 avril dernier pour échanger avec les membres et non-membres sur la direction future et les enjeux de l’ARIM. Loi Canadienne Anti-Pourriel (LCAP) Sandy Janzen, Présidente de l’Association de la recherche et de l’intelligence marketing (ARIM) au niveau national Dans le cadre de cette visite, nous vous avions demandé de nous transmettre d’avance vos questions pour les dirigeants de l’ARIM. L’une des questions qui a le plus retenue l’attention concerne l’application de la Loi Canadienne Anti-Pourriel (LCAP). Vous trouverez plus de détails sur le site de la Gazette du Canada. Selon les renseignements qui nous ont été communiqués, la Loi ne s'appliquerait pas aux activités de recherche commerciale tant qu'il n'y a pas de sollicitation. En guise de clarification, Industrie Canada fait la déclaration suivante: « …certains lecteurs ont interprété le terme « message électronique commercial » comme tout message envoyé dans le cours d’une activité commerciale, ce qui a soulevé la préoccupation selon laquelle les messages comme les confirmations d’un désabonnement réussi ou les messages SMS de courtoisie envoyés aux clients en itinérance seraient couverts par le terme. La définition de « message électronique commercial » se limite dans la Loi à tout message qui encourage la participation à une activité commerciale. Vous avez une bonne pratique, un ‘insight’, une façon de voir différente, une trouvaille? Nous sommes certains que d’autres pourraient en bénéficier. Faites-nous parvenir votre idée de texte et nous la publierons le mois prochain, avec votre nom. Faites parvenir votre texte à Stéphane Rivard à l’adresse suivante : stephane.rivard@incidence recherche.com Dans la mesure où un message est envoyé dans un contexte commercial, mais qu’il ne répond pas à la définition de message électronique commercial prévue par la LCAP, ce n’est pas un message électronique commercial aux fins de la Loi. » Ainsi, une étude de fixation de prix pour une entreprise de téléphonie, par exemple, ne déclencherait pas la LCAP, à moins qu’elle soit accompagnée d’un argumentaire de vente visant à faire en sorte que le consommateur change de forfait de téléphonie. 5 AVRIL 2013 Par François Perreault, journaliste Contagious À l’ère des réseaux sociaux, où le bouche à oreille, les références et les recommandations d’amis exercent une influence considérable sur les prises de décision, les marques cherchent à devenir « contagieuses ». Contagious regroupe donc des observations reposant sur 10 années de recherches sur de tels produits qui parviennent à faire parler d’eux. En plus, on y analyse l’influence des gens les uns envers les autres. Le volume traite notamment du cas désormais célèbre du broyeur Blendtec, un produit banal en soi, mais dont les vidéos hilarantes intitulées Will it blend? ont intéressé à ce jour plus de 200 millions d’internautes. Contagious: Why Things Catch On, Jonah Berger, Simon & Schuster, 2013, 256 pages, 26 $. Il s’attarde aussi aux phénomènes viraux qui peuvent causer du tort à une marque, comme ce désormais célèbre court film d’un voyageur mécontent qui a accusé le transporteur United d’avoir détruit sa guitare. L’auteur propose six grands principes, allant de la valeur sociale (on partage ce qui nous fait bien paraître) à la valeur pratique (on partage ce qui peut servir à d’autres), en passant par la valeur émotive (on partage ce qui nous est cher). Drunk Tank Pink C’est bien connu, notre environnement influence fortement notre façon de penser et d’agir. Toutefois, dans Drunk Tank Pink, l’auteur tente de démontrer que nous sommes influencés par bien plus que ce que nous voyons. Cet enseignant adjoint au département d’affaires et de psychologie de l’école Stern de l’Université de New York estime en effet que même d’infinis détails servent à expliquer nos comportements. Alternant entre psychologie, recherches médicales et même culture, son ouvrage trace de multiples liens de cause à effet entre ce qui nous entoure et la manière dont nous agissons. Drunk Tank Pink: And Other Unexpected Forces that Shape How We Think, Feel, and Behave, Adam Alter, Penguins Books, 2013, 272 pages, 27,50 $. Un exemple parmi plusieurs : les services ferroviaires japonais sont parvenus à diminuer les taux de suicide et de criminalité en recourant à des lumières bleues… à la fois apaisantes et évocatrices de la police. De même, des écoliers à qui l’on avait fait croire qu’ils étaient supérieurement intelligents en raison de la couleur de leurs yeux ont obtenu des notes plus élevées que la moyenne… jusqu’au jour où on leur a prétendu le contraire. 6 Suite AVRIL 2013 Small Message, Big Impact Au football, il n’est pas nécessaire de viser le touché à chaque jeu, mais plutôt de chercher à avancer sur le terrain pour s’approcher de la zone des buts. Ce principe fort simple est à la base du livre Small Message, Big Impact. Son auteure, qui dirige une firme californienne de communication publique et de formation en vente, croit en effet qu’il est futile de vouloir convaincre systématiquement chaque interlocuteur à qui l’on parle. Small Message, Big Impact: The Elevator Speech Effect, Terri L. Sjodin, Penguin Books, 2012, 240 pages, 24,95 $. Ce qu’il faut, c’est parvenir à susciter sa curiosité pour qu’il en arrive à vouloir en savoir plus. Et il n’est pas nécessaire non plus, selon elle, d’être bavard pour convaincre et séduire. De fait, ce qu’elle qualifie de « conversations d’ascenseur », c’est-à-dire des propos se résumant en moins de trois minutes, peuvent suffire à produire l’effet recherché. Dans un monde où nous sommes constamment sollicités (appels téléphoniques, textos, courriels, etc.), l’art de se résumer devient un enjeu capital. Les messages efficaces sont donc courts, structurés, avec un objectif et une finalité, mais surtout, ils doivent mener à une étape subséquente ou à une quelconque forme de relation entre les deux parties. Can’t Buy Me Like Récemment, les fans de Veronica Mars ont récolté ensemble plus de 3,2 millions de dollars afin de financer la production d’un film tiré de cette défunte série télévisée américaine. Cet exemple illustre bien le pouvoir des marques qui parviennent à se faire aimer. Can’t Buy Me Like constitue justement un plaidoyer pour que les stratèges en marketing cessent de tenter de convaincre et de séduire par de la pub ou par ce qu’ils appellent le « pouvoir mythique » des médias sociaux. De toute façon, les consommateurs n’écoutent plus les entreprises, mais ils s’écoutent discuter entre eux à propos desdites entreprises. Can’t Buy Me Like: How Authentic Customer Connections Drive Superior Results, Bob Garfield et Doug Levy, Penguin Books, 2013, 240 pages, 25,95 $. Après l’ère où les annonceurs se contentaient de présenter leurs produits et d’en vanter les attributs, est venue celle de la persuasion, où les marques cherchaient à livrer le bon message aux bonnes personnes et au bon moment. Pour Bob Garfield et David Levy, nous entrons maintenant dans l’ère du relationnel, où tout est désormais une question de transparence, d’empathie et d’authenticité. La profitabilité ne doit plus s’avérer la seule raison d’être d’une organisation, selon eux. Une entreprise doit faire la différence pour un monde meilleur, prendre position sur des enjeux et déployer des initiatives sociales auxquelles les gens pourront s’identifier. 7 AVRIL 2013 Le saviez-vous? Vous avez une bonne pratique, un ‘insight’, une façon de voir différente, une trouvaille? Nous sommes certains que d’autres pourraient en bénéficier. Faites-nous parvenir votre idée de texte et nous la publierons le mois prochain, avec votre nom. Faites parvenir votre texte à Stéphane Rivard à l’adresse suivante : [email protected] Les membres à l’affiche Cette rubrique sert à annoncer : des nominations, promotions, honneurs, prix reçus, congés, retraites, etc. Veuillez soumettre vos annonces (quelques lignes maximum) à Stéphane Rivard à l’adresse suivante: [email protected]. Nous les publierons dans le prochain bulletin mensuel! Poste à pourvoir Pour afficher un poste, contactez Catherine Castonguay au secrétariat de l’ARIM au (514) 935-7666 poste 243 [email protected] Pour nous joindre Le numéro de téléphone pour joindre Catherine Castonguay au secrétariat de l’ARIM est le (514) 935-7666, poste 243. Elle se fera un plaisir de répondre à vos questions. 8