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Flash-back -
Revue électronique
hebdomadaire du Centre Mohammed VI de
Soutien à la Micro-finance Solidaire
-
N°8- Semaine du 20 au 26 décembre 2010.
« Flash-back » est une revue hebdomadaire électronique d’articles, d’études et de rapports
sur le Micro-Crédit et la Micro-Finance au Maroc et dans le Monde sélectionnés par les
soins de l’équipe du Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire. Elle est
diffusée à l’ensemble des acteurs du secteur dans notre pays.
S’agissant d’une sélection d’articles, d’études et de rapports dans l’objectif de diffuser
l’information et encourager l’échange, le Centre ne peut alors pas cautionner le point de
vue exprimé par la source.
Sommaire :
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[ParisMatch.com] La microfinance, l’antidote aux excès du capitalisme
[le Dire et le Faire, le Faire et le Dire] Microfinance : un moyen pour une fin !
[L’Hebdo.ch] La microfinance en question
[Centre d’Information et de Documentation de l’Inde Francophone] Le micro crédit en
crise dans l’Andhra Pradesh
[MicroWorld.org] La microfinance indienne doit sortir du débat sur les taux d’intérêt
[Kantakji.com] Micro-finance et pauvreté au Maroc : Outils d'évaluation et Impact
[Portail Microfinance] Les clés pour comprendre les différents aspects de la question
des transferts de migrants
[Organisation Internationale du Travail] Le point sur la micro-finance au service du
travail décent
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La microfinance, l’antidote aux excès du capitalisme
« (…) Si les principes de la microfinance avaient été appliqués à la finance normale – ne
prêter qu’à des gens solvables, considérer que le métier de banquier n’est pas seulement de
prêter, mais aussi de conseiller, de garder les crédits dans ses livres et ne pas les titriser pour
les transférer à d’autres, et prêter à des gens dont vous pensez qu’ils agissent utilement –,
alors la crise ne serait pas survenue », dit Jaques Attali (Economiste et Président du Groupe
PlaNet Finance), dans une interview qu’il a accordé à Paris Match. Lire l’interview.
[le Dire et le Faire, le Faire et le Dire] Microfinance : un moyen pour une fin !
« (…) La Micro-finance est un moyen au service d'une fin, mais cela ne suffit pas pour
éradiquer la pauvreté, il faut aussi du travail, de la compétence et du savoir. La grande
presse a certainement trop monté en épingle ce phénomène qu'il faut cependant soutenir. Et
lorsque certaines MFI commettent des erreurs, on voudrait tout remettre en cause ? Non,
(…), ne jetons pas le bébé avec l'eau du bain. » Lire l’article.
La microfinance en question
« Où est donc passé l’enthousiasme généralisé pour la microfinance? (…) L’heure est à la
désillusion. En Inde, une crise de surendettement a provoqué une cinquantaine de suicides.
Au Bangladesh, le premier ministre accuse les institutions de microfinance de "sucer le sang
des pauvres". (…) Au milieu du flot de critiques, des voix s’élèvent pour défendre un outil qui
vit sa première crise de maturité.» Lire l’article.
Le micro crédit en crise dans l’Andhra Pradesh
« Le micro crédit a sorti des millions de gens de la misère, mais la crise actuelle permet de
stigmatiser des failles dans ce système en apparence idéal. » Lire l’article.
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La microfinance indienne doit sortir du débat sur les taux d’intérêt
« Selon Kaushik Basu, conseiller principal en économie du gouvernement indien, (…)"La
microfinance est un secteur qui coûte très cher, avec peu d’argent prêté à beaucoup de gens.
Les taux d’intérêt ne peuvent pas être aussi bas que ceux pratiqués dans un milieu urbain
classique." » Lire l’article.
Micro-finance et pauvreté au Maroc : Outils d'évaluation et
Impact
« Pour juger l’impact de la micro-finance, il faut l’évaluer avec des méthodes et outils
scientifiques, tel que le AIMS-SEEP. Ces outils ont été testés au Honduras, au Mali, en
Bolivie, au Pérou, aux Philippines et en Europe de l’Est, pour juger leur efficacité.
L’application de ces outils au cas du Maroc montre la limite de l’impact de la micro-finance
pour lutter contre la pauvreté. » Lire l’étude.
Les clés pour comprendre les différents aspects de la question des
transferts de migrants
« La manne des transferts des migrants représente la catégorie de flux financiers la plus
importante vers les pays en développement. Quel rôle les IMF peuvent-elles jouer dans la
valorisation de l’épargne des migrants ? Quelles possibilités ont-elles pour rentabiliser des
services de transferts internationaux ou domestiques et développer des produits pour les
migrants ? » Lire ce dossier thématique.
Le point sur la micro-finance au service du travail décent
« L’accès à la micro-finance peut réduire les déficits de travail décent. Les prêts d’honneur,
les prêts étudiants, les incitations telles que le remboursement des intérêts d’emprunt, les
relations avec les partenaires sociaux et les ONG, ainsi que la fourniture de micro-assurance,
la combinaison de services financiers et de transferts de fonds sous conditions, d’éducation,
d’aide juridique ou de soins de santé offrent de véritables moyens de faire reculer le travail
des enfants, de réduire les vulnérabilités, de sensibiliser et d’améliorer les conditions de
travail. » Lire l’article.
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