dossier de presse - La Maison de La vache qui rit

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dossier de presse - La Maison de La vache qui rit
DOSSIER DE PRESSE
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RELATIONS POUR LA PRESSE ET LES MEDIAS
Philippe FOUCHARD FILIPPI
2, rue Cazotte F-75018 Paris
[email protected]
+ 33 1 53 28 87 53
LA MAISON DE LA VACHE QUI RIT EN
2012
INAUGURÉE EN 2009, à Lons-le-Saunier (Jura)
sur le lieu de naissance du célèbre fromage fondu,
« La Maison de La vache qui rit », s’affirme aujourd’hui
en tant que concept novateur de musée de marque
s’articulant autour d’une expérience de visite ludique
et participative, une scénographie innovante,
une programmation curieuse et stimulante axée
sur trois grands thèmes, reflets et vecteurs des valeurs
de la marque :
1) créativité artistique et culinaire,
2) monde de l’enfance,
3) responsabilité sociétale et environnementale.
Depuis son ouverture, plus de 110.000 visiteurs sont
déjà venus visiter cette « Maison », conviviale
et contemporaine, qui trouve un écho grandissant
auprès des visiteurs de tous âges : enfants,
petits-enfants, parents et grands-parents.
Les visiteurs y retrouvent dans un espace de 2.200 m2
et dans le cadre d’une scénographie ludique et
interactive, moderne et innovante, les temps forts et
les grandes étapes de l’histoire de La vache qui rit,
une des marques les plus emblématiques de la mémoire
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collective française et de bien d’autres pays.
L’EXPOSITION permanente rassemble une
collection unique en son genre d’environ 600 objets
historiques ou contemporains sur la célèbre vache dont
la première boite (1921), le dessin original de Benjamin
Rabier jusqu’aux boites déclinées dans les 120 autres
pays du monde où elle est présente mais également
des « collectors », des affiches, des chansons,
des films publicitaires, des documentaires et des jeux.
La Maison de La vache qui rit offre ainsi un regard
unique en son genre sur l’une des aventures industrielles
et marketing françaises les plus impressionnantes
du 20ème siècle.
Se voulant avant tout un espace attractif et original, elle
y décline un parcours ludique en neuf étapes mettant
en scène La vache qui rit, lui faisant traverser tous les
âges, depuis «Vachscaux » jusqu’à «Vachstronaute».
Ce parti-pris volontaire de décalage, de facétie,
de sourire et de bonne humeur renvoie directement
aux valeurs fondatrices de la marque et au très fort
attachement du public à ce qu’elle représente en termes
de plaisir partagé.
La programmation de La Maison de La vache qui rit
s’articule autour de trois expositions grand public axées
autour des thèmes du design culinaire, de l’art contemporain et du « monde de l’enfance ». A ces expositions
temporaires s’ajoute une série de quatre « animations »
plus directement conçues en direction des enfants.
Principalement programmées durant le temps des
vacances scolaires (Hiver, Printemps, Eté, Automne, Hiver),
celles-ci font intervenir à La Maison de La vache qui rit
des troupes de théâtre pour enfants, des spectacles
de magie, des ateliers de gastronomie en herbe.
En 2012, « La Maison de La vache qui rit », présentera
en premier lieu l’exposition « Food Design,
aventures sensibles » conçue par le designer culinaire Marc Bretillot et Le Lieu du Design (31 mars au 24
juin 2012). Une exposition qui aura pour thème l’innovation en matière culinaire renvoyant aux nombreux enjeux
– industriels, sociétaux, culturels - du design culinaire.
A l’été 2012, La Maison de La vache qui rit présentera
« Au lait ! Quand l’art déborde » (13 juillet - 23
septembre 2012). Conçue en collaboration avec le
Lab’BEL - le fonds de dotation art contemporain du
Groupe BEL – l’exposition mettra en lumière les rapports
entre le lait et les pratiques actuelles en art contemporain. Une exposition sur le jouet, abordé sous l’angle de
réalisations remarquables tant par leur originalité que par
leur fabrication, sera présentée à partir du mois d’octobre.
La première des quatre animations – « 1,2,3… Sourire ! » programmée pour les vacances de février en 2012 verra
se produire un spectacle original de magie monté par
« La Grosse Collection », le « Bar à Mômes » de la
Compagnie Banane Cerise, et « La succulente histoire
de Thomas Farcy » par la Compagnie « Le Thé à la rue ».
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UN CONCEPT NOVATEUR DE
MUSEE DE MARQUE
LA MAISON DE LA VACHE QUI RIT vise à
rassembler, conserver et transmettre auprès du plus
large public la mémoire de la marque sur le premier site
de production du célèbre fromage fondu. Elle constitue
également un laboratoire d’idées au service de
l’avenir de la marque. Ce bâtiment de 2.200 m2 est
ouvert depuis le 21 mai 2009.
Avec une programmation d’expositions et d’animations,
de conférences et de spectacles, une boutique et un
jardin pour les enfants, La Maison de La vache qui rit
se définit comme un espace vivant d’échanges et de
rencontres autour de sujets insolites, attachants ou
inédits, mais toujours prêts à éveiller la curiosité.
Créée à l’initiative de Catherine Sauvin, petite-fille de
Léon Bel, le fondateur des Fromageries Bel, La Maison
de La vache qui rit rassemble plus de 600 artefacts
et documents qui reconstituent le patrimoine de la
marque, ses évolutions, ses multiples représentations.
L’idée directrice qui anime la création de La Maison de
La vache qui rit® consiste à revisiter la notion de musée
de marque en créant un espace attractif et original,
convivial et innovant. D’où le choix de conjuguer images,
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sons, films, animations et jeux interactifs pour créer un
lieu à l’image de la marque.
UNE ARCHITECTURE CONTEMPORAINE
PRIVILÉGIANT UNE APPROCHE ÉCOLOGIQUE
Conçu par le cabinet d’architectes Reichen et Robert
& Associés, le projet architectural a été guidé par la
volonté de conserver les caves d’affinage auxquelles
vient s’adjoindre une nouvelle extension. Il privilégie une
approche contemporaine des volumes et de l’espace où
la transparence du verre côtoie le bois brut.
Le travail des architectes a visé une recherche
d’harmonie non seulement entre le présent et le passé,
mais aussi entre l’édifice et son environnement.
La nouvelle aile du bâtiment semble ainsi émaner de
l’ancienne, et telle une simple boite de bois, s’ouvre
sur les jardins extérieurs.
Le site se déploie sur plus de 1.500 m2 d’espaces verts
autour des 2.200 m2 de bâtiments. Il privilégie la
présence de la nature au cœur de l’édifice avec des
baies vitrées et des puits de lumière éclairant les espaces
d’exposition, un mur végétal dans le hall d’accueil.
La conception de La Maison de La vache qui rit s’inscrit
ainsi dans la démarche de développement durable
du groupe Bel. Eclairages basse consommation,
climatisation en circuit fermé, charpente en bois de
mélèze sans traitement chimique, sondes
géothermiques, le bâtiment a fait appel à des solutions
techniques de haute performance environnementale.
Et ses 170 m2 de panneaux solaires font de La Maison
de La vache qui rit une centrale photovoltaïque tout à la
fois discrète, originale et efficace en plein cœur du Jura.
UN PARCOURS LUDIQUE ET INSTRUCTIF POUR LES
PETITS ET LES PLUS GRANDS
Fidèle au parti-pris d’innovation et de bonne humeur
de la marque, le parcours débute par une animation
réinterprétant l’image de La vache qui rit en lui
faisant traverser les âges. Métamorphosée en
Vachscaux, Vachkiris, Liberty Cow ou Vachstronaute,
La vache qui rit raconte de façon ludique et accessible
les grandes étapes de son histoire.
L’entrée dans la première cave invite les visiteurs à la
découverte des origines de la marque.
« Il était une fois dans le Jura » évoque la continuité des
technologies fromagères, la naissance de l’entreprise
BEL à la fin du 19ème siècle et le démarrage de
l’aventure industrielle à Lons-le-Saunier au début du
20ème siècle. D’une cave à l’autre, un film spécialement
réalisé pour le site intitulé L’Opéra industriel permet de
faire le lien avec la réalité de fabrication du 21ème siècle
par le biais d’images inédites sur la fabrication,
le conditionnement, la mise en forme et l’étiquetage
des portions.
Un escalier des contrefaçons déroule ensuite les
nombreuses autres concurrentes bovines - « vache
qui pleure », « vache sérieuse », « vache curieuse », etc.
- qui, toutes à la recherche de la « portion magique »,
tentèrent un jour d’imiter La vache qui rit sans
jamais l’égaler…
Au premier étage, les visiteurs sont invités à découvrir
la manière dont la marque s’est installée dans la vie
quotidienne et la mémoire collective de nombreux
pays au fil de films d’époque, de bandes dessinées,
de chansons, d’émissions de radio, de films publicitaires
et d’animation ou encore d’un documentaire projeté dans
l’auditorium. La première boite conçue pour la marque,
le dessin original de la tête de vache hilare dessinée par
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Benjamin Rabier, des boites de toutes les périodes et de
tous les pays y sont notamment présentés.
Pour donner une dimension plus réaliste aux documents
d’époque, la scénographie s’appuie sur l’évocation d’une
place de village composée d’une épicerie pour
la mise en scène des objets publicitaires, d’un théâtre
de marionnettes pour des saynètes dédiées à
La vache qui rit, d’un kiosque pour lire et écouter les
« Belles histoires de La vache qui rit » et d’une salle
de classe dont les pupitres permettent de découvrir
une animation interactive.
Plus proche de notre époque, c’est une vache sportive
qui est mise en scène aux côtés du champion du monde
et triple champion olympique marocain Hicham
El Guerrouj ou défiant l’océan sur le voilier de
Kito de Pavant.
UNE EXPÉRIENCE INTERACTIVE POUR LES ENFANTS
Dès l’entrée, un badge électronique (RFID) est remis
aux enfants et leur permet de vivre une aventure
interactive et animée en neuf étapes. En fonction de leur
âge, différentes missions leur sont proposées afin
de combattre des aliens loufoques et décalés dont le
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rêve est de s’emparer du fameux secret de La vache
qui rit ... Les bornes multimédia réparties dans chacune
des salles permettent de suivre les différentes étapes de
cette aventure et de collecter des points.
Et afin d’immortaliser la visite, les plus facétieux
peuvent revêtir les atours de la vache et se faire
ainsi photographier.
Et afin que la joie des enfants dure le plus longtemps
possible, un parcours en plein air de 1.300 m2, jalonné
de jeux en bois permet de continuer à s’amuser
tandis que les parents peuvent profiter d’un moment
de détente sur la terrasse de La Maison.
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HISTOIRE D’UNE
« VACHE QUI RIT »
DEPUIS SA CRÉATION EN 1921, La vache
qui rit se définit par l’innovation et l’audace, la modernité
et l’impertinence. Depuis plusieurs décennies, elle est
le résultat d’une aventure agro-industrielle exemplaire
menée au 20ème siècle à la suite du fondateur Léon Bel
(1878-1957). Historiquement, La vache qui rit est l’une
des premières marques de fromage industriel, créée
à une époque où ce domaine d’activité était encore
largement artisanal ou de production fermière.
Sa boite ronde illustrée qui représente une vache hilare
portant des boucles d’oreille constituées de boites
mises en abyme est immédiatement reconnue par 97%
des Français.
NAISSANCE DE LA VACHE QUI RIT
Pourquoi donc Léon Bel se lance-t-il dans la fabrication
du fromage fondu ? La première raison, la plus
importante sans aucun doute, est qu’il est convaincu
que ce produit est un bon produit, qu’il peut plaire
aux consommateurs et devenir, à l’avenir, un produit
incontournable. Autre avantage : un fromage fondu
est pasteurisé et de ce fait, il se dégrade moins vite.
La zone de commercialisation potentielle est donc
beaucoup plus importante.
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Comment l’idée de donner un tel nom - « La vache qui
rit » - à son fromage est-elle venue à Léon Bel ?
Durant la Première guerre mondiale, Léon Bel fut
affecté au 7ème escadron du Train, une unité
également appelée le régiment de Ravitaillement
en Viande Fraîche (le RVF). Au cours du conflit,
l’état-major militaire décida de doter certaines unités
d’un emblème spécifique. L’objectif était de remonter
le moral des troupes tout en resserrant l’esprit de corps
autour d’un symbole qui soit reconnu et apprécié par
les soldats. Pour obtenir le meilleur résultat possible,
un concours fut lancé auprès de plusieurs illustrateurs.
A ce concours participa Benjamin Rabier,
un dessinateur animalier très célèbre au début
de 20ème siècle, créateur du personnage de Gédéon.
Le dessin retenu pour orner les camions du RVF
fut finalement celui d’une vache hilare. Signé Benjamin
Rabier, cet emblème ne portait pas à l’origine de nom.
Mais très rapidement, les militaires vont le baptiser
« La Wachkyrie ». Cette « Wachkyrie » était
évidemment un joli pied de nez fait aux soldats
ennemis dont l’emblème était alors les les Walkyries,
figures légendaires de la mythologie germanique
De retour à Lons, Léon Bel reprend les rênes de son
entreprise, bien décidé à relancer son activité.
Avec l’aide d’Emile Graf, il se lance dans la fabrication
de fromage fondu. Une première recette est mise
au point vers 1919, qui se voit primée dans plusieurs
concours agricoles et le 16 avril 1921, « La vache qui rit »
naît officiellement à Lons-le-Saunier.
LA VACHE QUI RIT, L’AMIE DES ENFANTS
En France, La vache qui rit est très souvent associée
aux enfants. Tout d’abord parce que c’est un fromage au
goût très doux, onctueux et qui peut se manger même
si on n’a pas encore toutes ses dents… C’est aussi un
produit presque centenaire, que tous nous avons connu
enfant, évoquant souvent de nombreux souvenirs.
Mais si La vache qui rit est si étroitement liée au monde
de l’enfance, c’est aussi parce qu’au cours des années
50, la stratégie marketing de la marque s’est orientée
principalement vers la cible des enfants devenus des
« prescripteurs » dans la décision d’achat des parents. La
vache qui rit s’est ingéniée à surfer sur cette tendance en
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multipliant les offres de primes, d’échantillons, de jeux,
d’images, de buvards ou de protège-cahiers.
Les enfants sont également ciblés dans leurs habitudes
de lecture par la présence d’annonces publicitaires
dans la presse enfantine.
Au cours de cette période d’après-guerre, André Marcy,
illustrateur et publicitaire, crée l’expression « La vache
qui rit, l’amie des enfants ». Succès foudroyant pour
ce slogan qui devient la signature de la marque dans
l’univers scolaire. Les protège-cahiers et les buvards
s’avèrent d’excellents relais de publicité et outils
de proximité. Ces différents objets sont remis par
l’épicier du quartier ou envoyés par courrier contre
des preuves d’achat du produit. Aujourd’hui encore,
ces objets restent très appréciés et très recherchés
par les collectionneurs. Non seulement parce qu’ils
rappellent la nostalgie d’un temps révolu mais aussi
parce que ces buvards et ces protège-cahiers ont été
illustrés par des artistes, leur donnant une valeur et
un intérêt supplémentaires, dépassant le strict univers
commercial de la marque.
A partir de 1954, Alain Saint-Ogan, un des illustrateurs
ayant travaillé sur les buvards, anime tous les jeudis
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après-midi sur Radio Luxembourg une émission pour
enfants intitulée « La vache qui rit au paradis des
animaux ». Le succès de ce rendez-vous hebdomadaire
est si grand qu’il donnera lieu à l’édition de ces histoires
sous forme de livres, illustrés par Saint-Ogan lui-même
dont une grande partie est exposée à l’intérieur du
kiosque au premier étage de La Maison.
Plus tard, La vache qui rit fut souvent associée à des
personnages tels que Mickey, Tintin, Lucky Luke, Astérix
ou Gaston Lagaffe. Parmi tous ces « mariages », celui
avec les héros de Walt Disney a été particulièrement
heureux. En 1979, La vache qui rit organisa un premier
festival de films pour enfants produisant un film
constitué d’extraits de 14 dessins animés de Walt Disney,
diffusé dans 96 salles de cinéma en France. L’opération,
reconduite plusieurs années, s’accompagnait
d’opérations promotionnelles sur les boîtes et dans
les magasins.
En 1985, une opération promotionnelle fut organisée par
la marque autour du personnage de Gaston Lagaffe.
Cette collaboration aboutit à l’édition d’un album exceptionnel, aujourd’hui très recherché par les collectionneurs
où le héros de Franquin y croise La vache qui rit.
LA VACHE QUI RIT ET LE SPORT
A toutes les époques, La vache qui rit s’est associée
à des événements sportifs de premier plan. Sa célébrité
« sportive » s’est en grande partie construite sur les
routes du Tour de France. Mais la marque s’est
également investie depuis 2006 dans la voile avec
le skipper Kito de Pavant à la barre du bateau Groupe
Bel dont la grand-voile et la coque arborent fièrement
l’image de La vache qui rit. Déjà vainqueur de
deux Transats, Kito de Pavant et le Groupe Bel
ont également effectué deux tours du monde en
solitaire et sans escale.
En 1998, La vache qui rit fut partenaire de l’équipe
de France de football championne du monde. Deux
ans plus tard, aux côtés de l’athlète marocain Hicham
El-Guerrouj, elle apporta son soutien au champion du
monde, trois fois médaillé olympique.
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AUDACE MARKETING ET CONTRIBUTIONS
ARTISTIQUES
Depuis sa création en 1921, La vache qui rit surprend
par ses produits et par sa communication.
Créativité, innovation, modernité et impertinence sont
les vecteurs qui définissent son histoire et qui lui ont
permis de faire partie intégrante de notre patrimoine
alimentaire, industriel et culinaire.
Par son nom imprimant d’emblée l’idée de facétie,
de bonne humeur, de générosité et de partage, par
sa couleur rouge appelant l’attention, par ses boucles
d’oreille offrant un écho infini à l’image de la marque,
par le design de sa boite ronde et de ses portions
argentées, La vache qui rit s’est très vite imposée
comme une icône du marketing moderne.
Rappelons qu’elle n’hésita pas à faire appel à de grands
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artistes à la suite de Benjamin Rabier tels que Paul
Grimault - le réalisateur du chef-d’œuvre d’animation
Le Roi et L’Oiseau - qui l’anima à l’écran ou aux
illustrateurs Hervé Baille (1896 – 1974), Albert Dubout
(1905 – 1976), Alain Saint Ogan (1895 – 1974) ou
l’illustrateur contemporain Jacques Parnel.
En retour, de nombreux artistes se sont servis et
inspirés de La vache qui rit dans leurs propres créations
de Bernard Rancillac à Wim Delvoye. En 2011,
Jean-Charles de Castelbajac fut sollicité pour une
création destinée à célébrer les 90 ans de La vache qui
rit. Toujours en 2011, les écoles de Condé à Paris,
la HEAD à Genève, l’Ecole de Communication Visuelle
de Paris et de Nantes ainsi que l’Ecole supérieure
des Beaux-Arts de Quimper furent à l’origine
de l’exposition « Même pas vieille » présentée à
Lons-le-Saunier puis à Paris.
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LES NOMS DE LA VACHE QUI RIT A TRAVERS LE MONDE
THE LAUGHING COW LA VACHE QUI RIT - THE LAUGHING COW
DANS LES PAYS ANGLOPHONES
VESELA KRAVA
EN RÉPUBLIQUE TCHÈQUE ET EN SLOVAQUIE
AU CANADA
‫ةكحاضلا ةرقبلا‬
(ĀL-BAQARAH ĀD-DAHIKA) DANS LES PAYS ARABES
LA VACA QUE RÍE KRÓWKA ŚMIESZKA
EN ESPAGNE
EN POLOGNE
VACA CARE RÂDE DEN SKRATTANDE KON
EN ROUMANIE
EN SUÈDE
Con bò cười ラフィングカウ
AU VIÊT NAM
Весёлая Бурёнка
(VESSIOLAIA BOURIONKA) EN RUSSIE
DIE LACHENDE KUH
EN ALLEMAGNE
AU JAPON
DEN LEENDE KO
AU DANEMARK
Η Αγελάδα που
(I AYELÁDHA PU YELÁ) OU : (I AYELAVA POU YÉLA) EN GRÈCE
ILAY OMBY VAVY MIFALY LA MUCCA CHE RIDE
À MADAGASCAR
EN ITALIE
DE LACHENDE KOE A VACA QUE RI
AUX PAYS-BAS
笑牛牌
EN CHINE
AU PORTUGAL
GÜLEN İNEK
EN TURQUIE
FAITS & CHIFFRES / LA VACHE QUI RIT C’EST :
12 MILLIARDS de portions consommées chaque année à travers le monde
25 UNITÉS
14
Sur les
de production du groupe BEL,
sont consacrées à la fabrication de La vache qui
rit. Deux d’entre elles sont situées en France, dans le Jura, à Lons-le-Saunier et Dole. Il s’agit des 2 plus anciennes
usines du groupe.
125 portions consommées par seconde dans le monde.
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LE GROUPE
BEL
GROUPE FAMILIAL international d’origine
française, BEL est spécialisé dans la conception et la
fabrication de fromages de marque de qualité,
adaptés aux modes de consommation du monde
entier et accessibles à tous.
Le groupe Bel est présent dans plus de 120 pays par
le biais de 25 sites de production, 33 filiales, 5 marques
internationales : La vache qui rit, Mini Babybel, Kiri,
Leerdammer et Boursin et 25 marques nationales
adaptées aux modes de consommation locale :
Apéricube, Port Salut, etc.
Bel s’appuie sur trois piliers indissociables de son succès :
un outil industriel ultra-performant, notamment au
travers d’avancées technologiques en miniaturisation ;
des équipes marketing pionnières avec des sagas publicitaires inoubliables ; et des forces de vente, réactives,
très proches du terrain, avec des plans merchandising
adaptés aux nouveaux modes de consommation.
Ce sont les 11.300 collaborateurs du Groupe répartis à
travers le monde qui bâtissent ces facteurs clés
de succès et qui s’engagent à les rendre pérennes en
appliquant, dans leurs univers professionnels, les cinq
valeurs fondatrices de Bel : l’éthique, l’innovation,
l’enthousiasme, la compétence et la cohésion.
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DIX OBJETS ET IMAGES DE LA MAISON DE
LA VACHE QUI RIT
1921
première boite
Wachkyrie
Benjamin Rabier
Buvard
(Hervé Baille / Albert Dubout)
Alain Saint-Ogan
Livre / émission de radio
18
L’opéra
industriel
Parcours
multimédia
1955
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La Maison de La vache qui rit en
Animations
90 ans de la marque
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19
TROIS QUESTIONS A PHILIPPE MARKARIAN,
DIRECTEUR DE LA MAISON DE
®
LA VACHE QUI RIT
Quelle est la vocation de La Maison ?
Plus qu’un énième musée d’entreprise, le groupe Bel
a souhaité faire de ce site un lieu à l’image de La vache
qui rit, dans lequel le consommateur, devenu visiteur,
retrouvera les valeurs de convivialité, d’humour et
d’innovation qui caractérisent cette marque.
A travers la notion de maison, l’objectif est double :
d’une part, garantir au public qu’il trouvera un lieu
où passer un moment agréable et divertissant,
accessible à toutes les tranches d’âge et à toutes
les catégories sociales ; d’autre part, rendre plus
familière encore La vache qui rit, une marque devenue
au fil des années une véritable icône populaire.
Vous définissez La Maison de La vache qui rit comme
un “laboratoire d’idées”. Qu’entendez-vous par là ?
La Maison de La vache qui rit a effectivement été
pensée comme un laboratoire d’idées. Parce que le
succès de La vache qui rit repose sur un savant mélange
de tradition et d’innovation, La Maison
souhaite elle aussi participer à cette «recette magique»
et peut-être même contribuer à certaines évolutions
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de la marque, en initiant des collaborations nouvelles et
des rapprochements inédits entre La vache qui rit et les
visiteurs. C’est bien en cultivant cette proximité et cette
convivialité que La Maison participera quotidiennement
au dynamisme d’une marque à laquelle chacun, et en
particulier les Franc-Comtois, sont très attachés.
Que viennent y trouver vos visiteurs ?
Quel que soit leur profil, ceux-ci apprécient
particulièrement la diversité des animations
et la richesse de notre collection, et ils consacrent
plusieurs heures à la visite de notre établissement.
Les enjeux de notre communication sont aujourd’hui
de bien définir en quoi La Maison de La vache qui
rit est différente des musées traditionnels et de faire
connaître toutes les richesses que cet établissement
peut leur proposer.
BIBLIOGRAPHIE
La vache qui rit : sa vie, ses recettes
Catherine Bonifassi
Éd. Michel Lafon, novembre 2006
(ISBN 2749905680)
Benjamin Rabier : Gédéon, La vache qui rit et Cie
Ed. Somogy, 2009
(ISBN 978-27572-0281-4)
C’est une vache, elle rit
Gilles de Bure
Éditions Nicolas Chaudun, 2009
(ISBN 978-2-350-39058-1)
La Vache qui rit, Les 30 recettes culte
Ilona Chovancova
Ed. Mini marabout
(ISBN. : 978-2-501-07318-9)
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INFORMATIONS PRATIQUES
Dates et horaires d’ouverture 2012
En février, mars et décembre
De 10h à 18h, les week-ends, jours fériés et vacances scolaires (toutes zones)
En avril, mai, juin, septembre, octobre et jusqu’au 7 novembre 2012
De 14h à 18h, du mardi au vendredi
De 10h-18h, les week-ends, jours fériés et vacances scolaires (toutes zones)
En juillet et en août
Tous les jours de 10h-19h
Ouvert toute l’année pour les groupes, sur réservation
Fermé du 8 au 30 novembre et du 1er au 31 janvier + 25 décembre
Adresse
La Maison de La vache qui rit
25, rue Richebourg - 39000 Lons-le-Saunier
Informations
Par téléphone au + 33 (0)3 84 43 54 10
www.lamaisondelavachequirit.com
Tarifs 2012
Adulte : 7.50 €
Enfant – 3 ans : gratuit
Enfant 3 à 6 ans : 3 €
Enfant 7 à 18 ans : 5 €
Tarif famille : 20 €
Tarif réduit : 5.50 € (chômeur, RSA, handicapés, carte Jeune)
Tarif groupes : nous contacter
Location
Nous contacter
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