Sismicité historique

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Sismicité historique
Groupe APS
Anociation pour l'identification et l'étude des pathologies d'origine sismique dans le bâti ancien
ARCHEOSISMICITE
WïïffiWMM
Sismicité historique
Contribution à la connaissance et à la définition du risque Ji
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Actes des V e Rencontres du Groupe APS
, à
S f l * 5J
Sous la direction de Rémy Marichal ,
rit i y
1
IPSN
Archéosismicité & Sismicité historique
• Groupe APS •
2000
Communication
17. Un vocabulaire commun ou un langage partagé ?
Bruno Heliy*
Ma communication commencera par le rappel d'une situation que j'ai vécue il y a peu
d'années. Ce rappel peut paraître anecdotique,
il reste cependant pour moi un souvenir cuisant
avec comme le goût d'un échec. Dans le travail
que nous avons fait pendant dix ans au sein du
cadre européen consacré aux problèmes posés
par la conservation des bâtis anciens en zone sismique, nous sommes partis, mes collègues des
sciences de la terre, les historiens, les archéologues et les architectes, des notions de risque et
de vulnérabilité. Les développements qui ont
suivis, et que vous connaissez, ont abouti à faire
émerger le concept de cultures sismiques des
communautés locales. Cependant, au moment
où nous nous sommes mis à rédiger des textes
destinés à présenter le bilan de ces dix années de
recherches, nous nous sommes aperçus que la
rédaction que le géophysicien ou le sismologue
pouvait produire reposait sur des définitions du
risque sismique et de la vulnérabilité qui était
inacceptable pour l'historien ou l'anthropologue. Pour les premiers, le risque sismique se
définit comme la résultante, une conjonction
d'un aléa sismique, élément physique, et d'une
vulnérabilité, autre élément physique, caractérisée souvent comme « fonction d'endommagement». Pour les seconds, anthropologues ou
chercheurs en sciences humaines, le risque n'a
pas du tout le même sens : ils veulent parler de
risque assumé ou ignoré, défini comme une valeur positive ou négative, conscients qu'ils sont
du fait que la prise de risque est inhérente à tout
projet humain, qu'elle est pour ainsi dire un élément des choix et des actions ; ils entendent
également parler de vulnérabilité non seulement
technique, mais aussi sociale, celle que le dynamisme ou la stagnation de communautés ou de
sociétés induisent dans leur existence même. J'ai
insisté sur ces divergence dans mon exposé de
l'an dernier, Risque et vulnérabilité (Helly, 2000).
Le conflit rédactionnel que ces divergences de
point de vue ont entraîné n'a pas été surmonté.
Pour les scientifiques formés aux sciences de
la nature, il fallait se plier à une définition unique, une exigence incontournable pour fonder
tout travail scientifique digne de ce nom. Mais,
pour les chercheurs en sciences humaines, le
processus de « réification » de la notion de risque et de vulnérabilité qui semble nécessaire
dans les démarches des spécialistes des sciences
de la nature et des experts, apparaissait comme
déformant et insupportable et ne pouvait obtenir leur adhésion. La question est donc posée
et bien posée : faut-il exiger comme fondement de toute collaboration pluridisciplinaire
la construction d'un langage commun ou bien
faut-il accepter l'incertitude engendrée par la
polysémie ?
Toute science, en réalité, est créatrice de
concepts et de ce fait fabrique des termes,
construit des vocabulaires. La contrainte est
double, elle concerne à la fois le fond et la
forme. Dans tout travail scientifique il faut
isoler des éléments clairs et distincts, conformément à la formule de Descartes, et ce n'est
pas sans raison que Descartes est tenu pour
l'un des pères des sciences modernes. Dans les
sciences de la nature tout particulièrement, on
doit découper le réel en objets clairement
*archéologue, Directeur de Recherche au CNRS,
I Maison de l'Orient Méditerranéen -Jean Pouilloux, 7, rue Raulin, 69007 LYON, e-mail: [email protected]
227
Un vocabulaire commun ou un lexique partagé ?
reconnaissables, en « objets purs » exempts de
pollution. Dans le domaine du langage scientifique, ce cartésianisme de bon aloi engendre
une règle absolue : il faut définir clairement de
quoi l'on veut parler et tout le monde doit se
plier à cette règle. Ce que trop de nos collègues
des sciences de la nature ne voient pas ou ne
veulent pas voir, c'est que cette démarche ne
fonde aucunement un langage naturel que l'on
peut étendre à monsieur Tout le Monde, ni
même à d'autres disciplines scientifiques. Ce
constat doit pourtant se déduire des prémisses :
si je découpe dans le réel telle ou telle partie,
que je définis et dénomme pour mes besoins
propres, il ne s'ensuit pas que le vocabulaire
que je crée dans ces conditions doit s'imposer à
tous.
De plus, ce langage scientifique qui vise à
définir un élément du réel reste une création
artificielle. Un exemple : pour le géologue, on
doit caractériser le « sable » comme un agrégat
de particules dont les dimensions n'excèdent
pas plus de zéro virgule un (ou deux ?) millimètres de diamètre. Tout agrégat de granulométrie différente doit recevoir un autre nom.
Mais comment accepter le caractère « naturel »
de cette définition? Faut-il croire que la
Nature a été si bien faite qu'il n'existe pas de
sables dont les grains aient ou non un diamètre
supérieur à zéro virgule un (ou deux ?) millimètres. Ce serait comme de croire que la
Nature a prévu par avance, pour faciliter le travail des scientifiques, que l'eau doit bouillir à
cent degrés dans des conditions normales de
pression et de température.
Galilée disait avec enthousiasme que la Nature
était tout.entière écrite en langage mathématique (Galilée, 1980) ; on doit cependant connaître aussi l'histoire des «falsifications» que
Galilée a été obligé d'introduire dans ses exposés
(et ses expériences) pour être compris (Feyerabend, 1979). Répétons-le, il faut savoir que le
mètre n'est pas dans la nature. Mais c'est une
illusion récurrente, dont il faut savoir qu'elle n'a
rien de scientifique: elle relève plutôt de la
croyance, ou mieux, de la foi. Nombre de nos
228
savants d'aujourd'hui seraient surpris d'apprendre que Newton était théosophe.
Les scientifiques rêvent d'un seul langage et
d'un langage «vrai », c'est-à-dire renvoyant au
réel sans aucune ambiguité. La tentation d'un
langage unique, celle d'en finir avec Babel,
n'est pas d'aujourd'hui. Mais l'idée d'une
unité de la langue, de l'unité des décisions sur
la langue, il faut le reconnaître, est inséparablement liée au pouvoir, aussi bien politique
que personnel, ou même scientifique. C'est
une dimension culturelle de notre civilisation
moderne qui ne doit pas nous échapper.
Cette tentation touche aussi, n'en doutons
pas, les chercheurs des sciences humaines et sociales, comme j'en ai fait depuis longtemps
l'expérience, avec mon ami Christof Wolters,
auquel je dois beaucoup pour la mise au point
des réflexions que je présente ici. On pourra
lire avec profit le petit texte qu'il a préparé pour
VAMP Newsletter du programme Accès Multilingue aux bases de données du Parimoine, Comment
lier Babel à Vautoroute de l'information (Wolters,
2001). On peut ainsi apprendre de la bouche de
documentalistes spécialisés dans la construction
de thésaurus pour les bases de données concernant le patrimoine que « le concept d'habitation
(anglais House) » ne pose pas de problème de
compréhension ni de définition (INRIA, 2000).
Pour rester dans le domaine qui nous occupe,
celui du bâti ancien, il suffit d'ouvrir le Larousse
Universel (édition 1922) pour se rendre compte
que cette affirmation ne va pas de soi (fig. 1).
Le développement des normes, selon un
mouvement qui aujourd'hui nous semble nécessaire et irréversible, n'améliore pas la situation. Il est certes facile de constater que les
normes ont une finalité économique et commerciale : développer des normes se fait par la
volonté de rationaliser la production et de tenir
un marché captif. Mais on oublie aussi de faire
le compte de ce que l'on perd : par exemple la
réduction de la qualité et de la spécialisation
des outils et des techniques, des savoir-faire et
Archéosismicité & Sismicité historique • Groupe APS • 2000
— 1073 —
HABITATION
HABITATION : 1. Maison (xi« s.) ; 2. Maison en briques (xn« s.) ; 3. Maison (XIII* s.) ; 4. Habitation fortifiée (xm« s.) ; 6. Maison en bois (xiv* s.) ; 6. Maison (xv« s.) ;
7. Château fort (xv« s.) ; 8. Maison (xviie s.) ; 9. Maison moderne ; 10. Maison de campagne ; 11. Hôtel particulier moderne ; 12. Roulotte ; 13. Maison d'exploitation
agricole ; 1*-. Chaumière ; 15. Gratte-ciel, à New-York ; 16. Maison tonkinoise ; 17. Paillotte annamite ; 18. Maison japonaise ; 19. Maison chinoise ; 20. Maison
cambodgienne ; 21. Village lacustre de la NouveUe-Guinée ; 22. Pavillon tunisien ; 23. Maison coloniale ; 24. Maison soudanaise ; 25. Maison arabe ; 26. Tente des nomades
africains; 27. Habitation inca; 28. Maison aztèque; 29. Chariot des guaranis nomades; 30. Campement de Peaux-Rouges; 31. Tente des Indiens des réserves (Canada);
32. Abri (les Indiens de Patagonie ; 33. Tente fuégienno : 34. Hutte de trappeur canadien ; 35. Hutte d'hiver des Esquimaux.
LAR. u m \ . . i V. — T. I.
61
[fig. i ] Planche extraite du dictionnaire Larousse Universel en 2 volumes, édition 1922, p. 1073, sub verbo Habitation
229
Un vocabulaire commun ou un lexique partagé ?
Norm
•
0 Rm
•#•
Ourchmesser
nach
Lange
1000
3000
4000
I . a u . b : OrbuungSprtnjip fur gormotc (^npicrformotc); c: Grlctdjtcrung bct SScrparfung (*3urf)formate).
2. a-c : ©rlcid)tcruug bcr (Srîa^bcfd)offHng burd) Sortcnbcfdjraufung (Sdjrcibmafdjtnc : Sûïbbanbcr, garbbanb»
fpulcn, 2Baljcn). 3. Scffcrc $la^gcflaltuug unb Staumaufinu^uitg C&ûromûbclj. 4 u. 5. SBcrringctung bct
§tIf8ïDcrfjeuge(Sd)raubcnfd)lûjycl,(5d)raubcujicf;cr). 6.6tîponuiflon2rtgcrraum(8uftrcifcn). 7.StIci4)tcrung
ber 3ufammcnarbcit ucrfd)icbcncr 58ctricbc (Spunocttcu). 8. 3citgc»i)inii bci 3"ftanbîc{juugcn (fiolomotioc).
9. 8etd)tc Sluêiucdjîlung ydjûbOnftcr î c i k (ÎJÎcficr bci Grntcmafdjinrn). 10. Scrrtngcrung bcr 23aulo[tcn
(S3au son ©cd)éifomilicn[;aufcrn).
J8(i 2 - 8 (inb Dit a3rr!jâttniffc rot »nb nad) bu SJoimun^ Datjeflcat.
40M
Der Grofte Brockhaus, 15. Auflage, Leipzig 1932
[fig. 2] Planche extraite de Der grosse Brockhaus, 15e édition, Leipzig, 1932, sub verbo Normung
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Archéosismicité & Sismicité historique • Groupe APS •
des compétences (fig. 2). Il nous faut dans bien
des cas réinventer les uns et les autres dès que
l'on doit revenir sur des produits de ces techniques et de ces savoir-faire. Notre ami Alain
Rideaud, architecte, sait bien par expérience
qu'il vaut mieux utiliser les pouces et les palmes que les mesures métriques pour calculer
un arc en anse de panier.
2000
bien connue, qui a une longue histoire, et qui
s'appelle « lexicographie », c'est-à-dire, pour reprendre une définition classique, à l'art de construire des dictionnaires. Il s'agit bien d'un art,
mais celui-ci s'appuie sur un formalisme qui
peut être décrit : un classement suivant des entrées dans un ordre alphabétique ou thématique,
un classement sémantique par domaines, celui
du géophysicien, celui de l'architecte, celui de
l'historien. Ces dictionnaires reposent fondamentalement sur la construction de ce que l'on
appelle en philologie classique des « concordances », ce qui veut dire que l'on regroupe ensemble, à partir d'un multiplicité de sources, tous
les emplois concordants d'un même terme.
Cette notion de concordances existe depuis la
Renaissance au moins : l'exemple le plus classique est celui des concordances de la Bible. On
utilise aujourd'hui avec l'ordinateur des techniques dites de « mapping » qui ne sont pas très
éloignées de cette pratique.
Il faut donc accepter la diversité des langues et
celle des référents. Car la variété des « artefacts »,
celle des mêmes objets désignés par les mêmes
termes ou des termes synonymes (palais, maison, etc.), connaît, par la force des choses, des
développements « stylistiques » dans le temps et
dans l'espace. On peut même observer des développements synchroniques, autrefois comme
aujourd'hui, que l'on devrait qualifier de « dialectaux ». Dans toutes ces démarches, la partie
non formalisable par le langage reste donc importante (fig. 3).
Tel est bien le cas pour les bâtis anciens sur lesquels portent principalement nos études. Telle
Je conclurai cet exposé par une citation, tirée
est la raison pour laquelle nous ne pouvons par- du programme européen AQUARELLE géré
ler que de cultures sismiques locales, même par l'Institut national de recherche en informasi nous pouvons considérer que les réponses tique et automatique (INRIA), pour le multitechniques de réparation ou de renforcement linguisme dans le domaine des musées (INRIA,
seront quasiment semblables, quels que soient 2000). Vous me pardonnerez parce qu'elle est
les temps et les lieux, quand on doit mettre en un peu longue ; elle porte en fait sur le multiœuvre les mêmes matériaux, le bois, la pierre, linguisme entre langues étrangères, essentielleetc. Cette dernière affirmation renvoie elle- ment le français et l'anglais. Mais vous pourrez
même à quelque chose qui n'est pas « dans la facilement faire la transposition dans la situanature », mais à une modélisation de comporte- tion qui est la nôtre, celle de langues spécialiments, à une anthropologie qui donne à la no- sées propres à chaque discipline scientifique...
tion de culture sismique locale bien davantage le Voici donc cette citation :
statut d'un instrument heuristique (poussant à la
« In the exact sciences, researchers tend to escape the
re-connaissance) que de description de la réalité. multilinguality barriers by using systematically EnIl nous faut donc reconnaître que l'unification glish as the international scientifîc language. Typically,
du langage, par des définitions et des normes, the digital document repository of INRIA (scientifîc
n'a pas de sens, même au regard des critères de papers only) is 91 % in English. This solution is unscientificité que nous voulons nous donner.
practical and unacceptable to curators and researchers in
Comment pouvons-nous, dans cette situa- the humanities, due to thefact that language is not at
tion, traiter le problème de la communication ail <(neutral>} in thèse domains. When talking about
indispensable dans le travail pluridisciplinaire ? art and history, most words carry with them a lot of
Nous devons recourir à un technique déjà implicit meaning that is partly spécifie to each culture
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Un vocabulaire commun ou un lexique partagé ?
HABITATION
1072 —
HABITATION : 1. Abri primitif: 2. Grotte de troglodytes; 3. Village lacustre; 4. Abri dans les arbres; S. Construction mégalithique; 6. Cabane des Romain!
primitifs; 7. Nuraghc primitif; 8. Habitation gauloise; 9. Hutte germaine; 10. Maison étrusque; 11. Maison égyptienne; 12. 13. Tente et maison héhralquM;
14. Tente assyrienne; 16. Maison phénicienne; 16. Maison assyrienne; 17. Habitation des Romains (époque impériale); 18. Maison perse; 19. Maison grecque;
20. Hutte des premiers aryens ; 21. Tente aryenne ; 22. Maison hindoue; 23. Chariot barbare ; 2*. Villa mérovingienne ; 25. Ring des Avares (vn« 8.); 36. MaiiOO
byzantine; 27. Maison slave ; 28. Maison Scandinave; 29. Habitation mauresque (Espagne); 30. Maison vénitienne (xvi« s.); 31. Chariot-tente de GengU-Khan;
32. Maison indo-musulmane ; 33. Maison à l'italienne ; 34. Pavillon hollandais ; 35. Chalet suisse ; 36. Isba russe.
10 — «1
[fïg. 3] Planche extraite du dictionnaire Larousse Universel en 2 volumes, édition 1922, p. 1072, sub verbo Habitation
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Archéosismidté & Sismiàté historique • Groupe APS • 2000
and is easily lost when translating the discourse to afor-phie références, etc., to try tofind the équivalent coneign language. This phenomenon is perfectly knoum cepts) and term(s) (or expressions) in another language.
and explicitfor our prqfessional users. It constitute the The second conséquence is that researchers in thèse domain diffîculty when trying to "translate" thesauri,
mains can hardly use "scientific-English" for ail their
that is to define équivalence relations between conceptspublications as this is done in exact sciences. Ofcourse,
represented by canonical ternis. The strict équivalence is
this also implies that most référence documents and cataeasy to define for very gênerai ternis (every culture knowslogues are created in the national language of their
what is a i(house}y and what is a "music instrument") authors, and that each researcher has infact a very limibut becomes more and more probkmatic as the ternis be-ted interestfor the uraw data"proposed in a language
come more spécifie (fig. i et 3). For instance, each cul- that he does not easily understand. As will be explained
ture has its oum "understanding" of the semantic of in thefinal conclusion, this, abng with some morepoli"monastery", an it is quite interesting to see the dif- tical reasons, may explain why the "aquarelie-like" Sysférent définitions (scope-notes) and classification (spécifie
tems that are already deployed or aregoing to be deployed
terms) given to this term, to related ternis, and to the in the comingperiod are national ones. »
apparently équivalent French term "monastère" in an
Nous voyons bien par l'expérience que l'exiAmerican, an English and a French thésaurus, ail dea- gence ou la requête d'un vocabulaire commun
ling with architecture. Needless to say that ifwe coula ou unique est tout à fait illusoire. C'est pouraccess to ajapanese thésaurus, the nearest set ofconceptsquoi, tout en nous demandant de satisfaire sans
would be even more diffèrent.
renâcler à l'exigence d'expliciter et de mettre à
plat nos définitions et nos concepts respectifs,
« Thèsefacts hâve several conséquences. Thefirst one is
that the production ofmultilingual terminology resourcesje nous invite tous à assumer et à partager, dans
is extremely long : each term hastobe checked through itsnos études et nos travaux pluridisciplinaires, la
scope-note, a sample of instances (examples), bibliogra-validité et la richesse de la polysémie.
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Un vocabulaire commun ou un lexique partagé ?
I Bibliographie
I
INRIA, 2000
INRIA, Aquarelle Final Report, 4.1.3. Multilinguality, consultable à l'adresse web suivante : http://aquarelle.inria.fr/aquarelle/EN/final-report.htm
Feyerabend, 1979
Feyerabend P., Contre la méthode, trad. française, Seuil, 1979, p. 152-155.
Helly, 2000
Helly, B., Risque et vulnérabilité, Archéosismicité et vulnérabilité du bâti ancien, Perpignan, mai 1999,
Actes des IVe journées du Groupe APS, Perpignan, 2000, p. 229-240.
Galilée, 1980
Galilée, Opère, Edizione Nazionale, t. VI, p. 232, in Galileo Galilei, L'essayeur, Les Belles Lettres, 1980.
Wolters, 2001
Wolters, C , Comment lier Babel à l'autoroute de l'information, AMP Newsletter du programme Accès
multilingue aux bases de données du patrimoine.
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