communique de presse - 21 juin 2010

Transcription

communique de presse - 21 juin 2010
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
MIAMI BEACH, 3 DÉCEMBRE 2010
LACOSTE ELYSÉE PRIZE ’10
UN PRIX POUR LA JEUNE CREATION PHOTOGRAPHIQUE
ANNONCE DU LAURÉAT
LE GAGNANT DU LACOSTE ELYSÉE PRIZE 2010 EST DI LIU (CHINE).
EMBARGO JUSQU’AU 4 DÉCEMBRE 2010 (12h00 GMT) A l’occasion de l’exposition du Musée de l’Elysée (Lausanne) reGeneration2 : Photographes de demain, LACOSTE lance un prix dédié à la jeune création photographique, en partenariat avec le musée suisse. Parmi les 80 jeunes photographes de reGeneration2, un jury a nominé 12 artistes prometteurs en juin 2010 pour participer au LACOSTE ÉLYSÉE PRIZE. Le défi des candidats : s’approprier ou détourner photographiquement le polo mythique de la marque, dont LACOSTE a dévoilé le nom de code cette année (L.12.12). Chaque photographe a reçu une bourse de CHF 3’000 et a eu trois mois pour réaliser trois images. Les 12 artistes bénéficiaient d’une totale liberté artistique. Le LACOSTE ÉLYSÉE PRIZE est doté de CHF 20'000. Il a lieu chaque année. Six mois après la révélation des nominés, le Musée de l’Elysée et LACOSTE sont heureux d’annoncer le nom du lauréat à Miami Beach, pendant la foire Art Basel Miami Beach, en collaboration avec le magazine ArtReview qui consacre son supplément du mois de décembre à l’ensemble des travaux des 12 nominés. Le gagnant du LACOSTE ÉLYSÉE PRIZE est Di Liu (Chine). Le travail du lauréat Di Liu, jeune photographe chinois de 25 ans, porte sur la relation conflictuelle entre nature et société humaine, conséquence de l’urbanisation galopante que connaît la Chine. Le jury a été particulièrement sensible à la qualité et à l’humour des trois images présentées par le candidat chinois. Animal Regulation n°6 Animal Regulation n°7 Animal Regulation n°8 LE JURY DU LACOSTE ELYSÉE PRIZE 2010 Felipe Oliveira Baptista Directeur Artistique, LACOSTE Michel Mallard Directeur, Festival international de Mode et Photographie à Hyères Christophe Pillet Directeur du Design, LACOSTE Agnès Sire Directeur, Fondation Henri Cartier‐Bresson Carla Sozzani Fondatrice et Directrice, Galleria Carla Sozzani Sam Stourdzé Directeur, Musée de l’Elysée Tom Watt Directeur Artistique, ArtReview LES NOMINES DU LACOSTE ELYSÉE PRIZE 2010 Ueli Alder (Suisse) Di Liu (Chine) Kristoffer Axén (Suède) Richard Mosse (Irlande) Benjamin Beker (Serbie) Camila Rodrigo Graña (Pérou) Jen Davis (Etats‐Unis) Geoffrey H. Short (Nouvelle Zélande) Florian Joye (Suisse) Tereza Vlčková (République Tchèque) Liu XiaoFang (Chine) Kalle Kataila (Finlande) Le jury du LACOSTE ÉLYSÉE PRIZE tient à remercier tous les nominés pour leurs travaux de grande qualité. L’ensemble des images est visible dans le supplément du magazine ArtReview de décembre (50'000 exemplaires) et sur le site Internet : http://www.lacoste.com/l1212/#/elysee/prize. Voir aussi : www.elysee.ch, www.artreview.com Contacts presse : Musée de l’Elysée Emilie Jendly Chargée de presse et communication T : + 41 21 316 99 11 F : + 41 21 316 99 12 E : [email protected] W : www.elysee.ch LACOSTE S.A. Véronique Mauduit‐Arlaud Responsable de la Communication institutionnelle T : +33 1 44 58 12 12 E : [email protected] Images de presse : http://picasaweb.google.com/lacostecommunication/LACOSTEELYSEEPRIZE2010?authkey=Gv1sRg
CLLB_7HV9cn_dw&feat=directlink 2 COMMENTAIRE DE DI LIU, LAURÉAT DU LACOSTE ELYSÉE PRIZE 2010 « Dans les images que j’ai réalisées pour le LACOSTE ELYSÉE PRIZE, j’ai choisi trois animaux : un cerf, un rhinocéros et un lapin, animaux qui prennent une place centrale dans la vie quotidienne de la ville représentée. En tant que produit de grande consommation, le polo L.12.12 est l’exact opposé de la nature. Pourtant, en choisissant un animal comme symbole, la marque LACOSTE reflète l’esprit de ce dernier et intègre donc un élément naturel à la vie quotidienne des individus. J’ai fait de même dans mon travail en faisant du polo L.12.12 une partie intégrante de mon oeuvre. En regardant de plus près, on peut distinguer trois polos, un dans chaque image. » Di Liu, photographe COMMENTAIRE DE SAM STOURDZÉ, DIRECTEUR DU MUSÉE DE L’ÉLYSÉE, LAUSANNE « Le travail de Di Liu a su convaincre le jury par sa qualité et son humour. La Chine est une pépinière de talents, comme le prouve ce jeune photographe, dont le travail est particulièrement prometteur. » Sam Stourdzé, Directeur du Musée de l’Elysée BIOGRAPHIE DE DI LIU Di Liu Chine, né en 1985 Formation 2004‐2009 Central Academy of Fine Arts (CAFA), Chine. Expositions collectives 2010 reGeneration2: Photographes de demain, Musée de l’Elysée, Lausanne, Suisse et tournée internationale. 2009 Niubi Newbie Kids II Exhibition, Schoeni Art Gallery, Hong Kong, Chine. Journey of A Thousand Miles ‐ 2009 CAFA Excellent Graduation Works Exhibition, CAFA Art Museum, Pékin, Chine. Young Artists Promotional Exhibition – 2009 Beijing 798 Festival, Beijing 798 Art Zone, Pékin, Chine. CAFA Graduation Works Exhibition, China Central Academy of Fine Arts, Pékin, Chine. Cograda Word Design Congress 2009 Beijing, CAFA Art Museum, Pékin, Chine. A PROPOS DU MUSÉE DE L’ÉLYSÉE Basé en Suisse à Lausanne, le Musée de l’Elysée est l’une des plus importantes institutions européennes consacrées à la photographie. Depuis 1985, il a accueilli et produit de nombreuses expositions des maîtres de la photographie comme Edward Steichen, Henri Cartier‐Bresson, Edward 3 Curtis ou Robert Capa. Ses expositions de photographie contemporaine ont présenté les travaux de grands photographes, tels que Lee Friedlander, Sally Mann, Robert Mapplethorpe et des centaines de talents prometteurs. Le musée jouit d’une reconnaissance internationale grâce à ses publications consacrées à des aspects de la photographie aussi divers que la représentation du corps, l’art du livre photographique ou l’histoire légale et éthique de la photographie. Les expositions du musée circulent dans des institutions prestigieuses du monde entier, comme la Aperture Foundation à New York, le Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia à Madrid, la Hayward Gallery à Londres, Le Jeu de Paume à Paris, Huis Marseille à Amsterdam, la Art Gallery of Ontario à Toronto et de nombreuses autres institutions. Expositions en cours et à venir: Irving Penn – Les Petit Métiers, 9 Octobre 2010 – 16 Janvier 2011 Bernd & Hilla Becher – Imprimés 1964‐2010, 9 Octobre 2010 – 16 Janvier 2011 Hans Steiner – Chronique de la vie moderne, Février – Mai 2011 Fellini – La Grande Parade, Juin – Août 2011 A PROPOS DE LACOSTE Symbole de l’élégance décontractée depuis 1933, la marque LACOSTE, s’appuyant sur ses authentiques racines sportives, propose un univers unique et original au travers d’une large gamme de produits pour l’homme, la femme et l’enfant. La société LACOSTE S.A. anime et coordonne dix licences mondiales accordées à différents partenaires industriels : vêtements, chaussures, parfums, maroquinerie, lunettes, montres, bijoux fantaisie, linge de maison, ceintures et téléphonie mobile. La marque LACOSTE a réalisé un chiffre d’affaires (gros) de 1,4 milliard d’euros en 2009. Dans les 114 pays où la marque est présente, deux produits Lacoste sont vendus chaque seconde au travers de boutiques LACOSTE, de corners dans les grands magasins et d’un réseau de distribution sélective. Pour plus d’information, merci de visiter www.lacoste.com. A PROPOS DU L.12.12. En 1927, René Lacoste dessine puis fait confectionner pour son usage personnel un lot de chemises en coton dans une maille aérée, confortable et qui, surtout, absorbe parfaitement la transpiration, afin de mieux supporter la chaleur sur les courts de tennis américains. Sans le savoir, René Lacoste venait d’inventer le polo, une nouvelle génération de chemise qui, sous la marque LACOSTE ou copié par d’autres, serait fabriqué à des milliards d’exemplaires. Ce polo constitua immédiatement une révolution chez les amis de René Lacoste, joueurs de tennis, qui portaient alors sur les courts des chemises de ville classiques, épaisses et lourdes, en tissu chaîne et trame, et à manches longues ! La première « chemise LACOSTE» ou «LACOSTE poloshirt » était blanche, légèrement plus courte que ses contemporaines, à manches courtes et col bord‐côtes, et son tissu léger et aéré en maille n'était autre que le "jersey petit piqué". Voyant que l’idée remportait un grand succès auprès de ses amis, René Lacoste eut l’idée de s’associer en 1933 au grand bonnetier André Gillier pour lancer la production industrielle de ce polo griffé du crocodile. C’est à cette époque qu’il la nomma L.12.12 . L pour Lacoste, 1 pour désigner la matière, le coton petit piqué, 2 pour le modèle à manche courte (à manche longue ce sera 1312), et enfin 12 du nombre de versions présentées à René Lacoste. En effet, ingénieur rigoureux, René Lacoste a mis autant d’exigence dans la mise au point de son polo, qu’il en mettait dans le réglage de ses coups au tennis. En étroite collaboration avec l’industriel André Gillier, il fit faire de nombreux prototypes. C’est la douzième version qu’il jugea satisfaisante. Il garda ce chiffre dans le nom de code industriel et ce fut cette appellation qui fut conservée en interne, en hommage à son créateur. 4