l`aviateur - Cie La Cuillère

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l`aviateur - Cie La Cuillère
L’AVIATEUR
Cie la Cuillère
www.cielacuillere.com
M.A.C, Rue Arthur Lamendin, 62430 Sallaumines
Contact: 06 26 69 60 35 / [email protected]
Contact à Paris : 06 82 23 77 09 /[email protected]
L’AVIATEUR
Spectacle de marionnettes
Mise en scène :
Marie Hebert et Caroline Panzera
Direction d’acteurs :
Caroline Panzera
Texte :
Simon Millan
Avec :
Nicolas Jean, Marie Hebert et Antoine Dekclerck
Marionnettes et Scénographie :
Cie l’Artisanie / Ma Fuliang (conseils)
Musique :
(Distribution en cours)
Lumières :
Vincent Lefevre
L’aviateur propose au spectateur une plongée dans l’univers thématique et
biographique d’Antoine de St Exupéry. C’est un récit d’apprentissage où l’on
suit un petit garçon tout au long du chemin qui fera de lui un aviateur. Il retrace
son parcours et ses rencontres, depuis l’initiation à la navigation et à la
mécanique, jusqu’au moment tant espéré : le premier vol.
Les différents rapports d’échelle créés par la Marionnette permettent aux
spectateurs de s’identifier aux personnages. Pour qu’ils restent «des étoiles
vivantes» et non «des hommes endormis». Qu’à la question : que faire de sa
vie ?, ils aient tout le champ des possibles.
Spectacle tout public à partir de 8 ans
Durée : 1h10
Scolaires : CE2, CM, Collèges, Lycées
Jauge : 200 en tout public / 150 en scolaire
CRÉATION : OCTOBRE 2016
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« On est de son enfance comme d’un pays »
Antoine de St Exupéry
GENÈSE DU PROJET :
La lecture de l’œuvre de St Exupéry m’a profondément marquée. J’y ai vu
une philosophie de vie, à la fois riche, complexe et puissante et en même temps
accessible.
Elle se situe quelque part entre le surgissement de notre propre
conscience et le travail que nous tous devons accomplir pour lui donner un
destin physique ; c’est une philosophie du métier, de l’outil, de la difficulté. Il
s’agit d’entreprendre un apprentissage qui nous mènera non pas tant à des
connaissances qu’à une sorte de victoire : « la terre, (dit Antoine de St
Exupéry) nous en apprend plus long sur nous que tous les livres. Parce qu’elle
nous résiste. ». C’est ainsi que nous atteindrons notre vérité : grâce au rabot, à
la charrue, au pétrin, ou encore au crayon, à la truelle ou … grâce à l’avion.
« Le paysan, explique St Exupéry, dans son labour, arrache peu à peu quelque
secret à la nature, et la vérité qu’il dégage est universelle. De même l’avion,
l’outil des lignes aériennes, mêle l’homme à tous les vieux problèmes. »
Le parcours d’un enfant qui devient pilote, sa persévérance, son investissement
dans l’apprentissage du métier et la construction de sa personne, montre que
tout est possible si l’on sent en soi la nécessité de cet effort.
C’est le fil rouge du spectacle, pour que les enfants se sentent capables de
grandes choses. Pour qu’ils restent « des étoiles vivantes » et non « des
hommes endormis » qu’ils deviennent avocat, boulanger ou astronaute.
Qu’à la question : que faire de sa vie ? Ils aient tout le champ des possibles.
Marie Hebert
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La Compagnie La Cuillère, dirigée par Nicolas Jean, est née en 2004 à Lille de la
volonté de mettre en scène un théâtre pluridisciplinaire, mêlant marionnettes
contemporaines, théâtre d’objets et influences circassiennes.
Les travaux de création s’inspirent de situations à la fois banales et
extraordinaires de la vie quotidienne, mais aussi de nombreux ouvrages. La
place de la lecture est essentielle, et le spectacle vivant est un prétexte pour
rendre le livre accessible à tous. Ainsi, il y a dans chaque création de la
Compagnie un travail abouti sur l’esthétique, où l’on comprend le sens par l’image, et
où l’imaginaire a toute sa place.
Si plusieurs spectacles signés par Nicolas Jean sont d’abord destinés au jeune
public, la Compagnie crée également des spectacles familiaux, et à destination
des adultes.
Dans un souci de démocratisation culturelle et d’éducation populaire, la
Compagnie défend un réel engagement de l’art pour tous au travers d’ateliers,
de stage de pratiques artistiques et de sensibilisation à l’art de la marionnette
contemporaine.
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L’HISTOIRE :
Trois enfants jouent dans leur repère : une cabane dans les arbres. D’un
jeu d’invention surgit une discussion : que faire plus tard ? Deux d’entre eux
ont des projets : suivre la voie tracée par leur père tandis que le troisième,
Charles, rêve de voler. Pour les deux autres, il ne peut s’agir que d’un rêve…
Resté seul, Charles va faire la rencontre d’une figure mystérieuse et qui va lui
donner confiance dans son projet : devenir aviateur.
On suit ensuite Charles dans l’accomplissement de sa destinée. On assiste au
parcours qui fut celui des hommes qui voulaient devenir pilotes à cette époque
et à l’ambiance particulière qui régnait parmi eux. Depuis la formation, avec ces
différentes figures de passeurs de savoirs humains, l’apprentissage de la
navigation et des méandres de la mécanique jusqu’à l’annonce tant espérée du
premier vol : les conseils des camarades avertis, l’épreuve physique et la
solitude ; jusqu’à la fin belle et tragique à laquelle tout pilote, en secret, aspirait
à cette époque : l’accident.
L’aviateur est aussi une histoire à suspens, tout au long du spectacle, Charles se
demande quelle est l’identité de cet homme mystérieux, qui, enfant, l’a
encouragé à devenir pilote. Il ne dispose que d’un petit couteau à la lame
tordue, trouvé après son départ avec des initiales pour résoudre le mystère.
Chaque personnage rencontré apporte à Charles un élément de réponse. On
découvre petit à petit la légende de Canif, célèbre aviateur mort en vol. Ce
n’est qu’à la fin qu’il découvrira que Canif est aussi l’homme mystérieux de son
enfance, qui a reconnu en Charles les qualités pour être pilote et qui lui a, en
quelque sorte, passé le flambeau.
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LA MISE EN SCÈNE :
Le texte et le jeu :
Notre matière première est le texte. Un texte dense dont on ne gardera peutêtre que la moitié, mais un texte qui va jusqu’au bout du propos. Le propos et
la dramaturgie sont nos guides. La part belle est faite à l’interprétation : le
travail consiste à trouver la profondeur des personnages, leur rythme
cardiaque. Il nous faudra donner des tripes aux marionnettes.
Le traitement des personnages :
-Le personnage principal : Charles est représenté à plusieurs âges de la vie. Il
grandit puis vieillit. Cette évolution physique est rendue possible grâce à
l’utilisation de plusieurs marionnettes du même personnage à plusieurs âges et
à un travail sur la voix, de celle d’enfant à celle d’adulte. Charles aura donc un
physique reconnaissable malgré le passage du temps.
-Les personnages qui interviennent dans la formation de Charles sont traités
comme des archétypes de la transmission du savoir. Tous ces hommes
représentent le support humain de la culture. La recherche dans la direction
d’acteurs se porte sur l’exploitation de différentes figures de la transmission du
savoir : l’exalté, le modeste… ; pour souligner l’importance du support humain,
de cette responsabilité transgénérationnelle de l’homme dans ce qu’il a de plus
charnel comme passeur de la culture.
-L’homme mystérieux : cette figure tutélaire, dont les autres personnages
construisent la légende, est celui qui a reconnu en Charles les possibilités
humaines d’être un bon aviateur. Il est omniscient et sera interprété par un des
comédiens manipulateurs. Ainsi le rapport du comédien à sa marionnette,
(guide, accompagnateur) nous renseigne sur le rapport qu’entretient cet
homme mystérieux avec Charles.
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Le contexte :
Le spectacle se situe à l’époque des premières compagnies d’aviation, lorsque
c’était encore à l’homme seul de conduire son engin avec tous ses muscles,
toute sa peur. Quand la carcasse de l’avion était comme une seconde peau
pour le pilote à l’époque des cabines non pressurisées, que les routes du ciel
étaient encore à ouvrir, quand la navigation était faite de conseils et de tuyaux.
Quand les communications étaient précaires, qu’il n’y avait ni radar, ni GPS.
Quand tout était à construire. La période des années 30, sera retranscrite par
les décors réalistes (objets singuliers, affiches publicitaires), des maquettes
d’avion (Caudron, Ligthning), et les costumes des personnages.
La dimension héroïque, grandiose de cette période, est soutenue par le rythme
du spectacle et la musique.
Le son :
Un soin particulier est apporté au traitement du son. Une nappe sonore est
toujours présente, vrombissement de moteurs, avion. Il pourra éventuellement
y avoir un relais au plateau. Des musiques composées spécialement appuieront
également la dramaturgie.
La marionnette :
L’utilisation de la marionnette s’est imposée comme une évidence au regard de
la thématique abordée : les débuts de l’aviation. Comment mieux faire sentir la
suspension, le vol qu’avec une marionnette ?
Ce sera des marionnettes dites « sur table », articulées et, réalisées selon la
technique propre à Monsieur Ma Fuliang. Elles seront manipulées par un, deux
ou trois comédiens, suivant la technique des marionnettes bunraku. Des
répliques de tailles différentes permettront de jouer sur la différence d’échelle.
De 10 à 80cm.
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LA SCÉNOGRAPHIE :
Le parti pris est de laisser la technique apparente afin de soutenir le propos :
l’apprentissage de la maîtrise de la technique par l’homme le révèle à lui-même.
L’espace scénique est divisé en deux verticalement. Séparant la terre du ciel.
Un grill se trouve à mi-hauteur afin d’éclairer avec précision les marionnettes.
Sur terre, les personnages évoluent sur des plate-formes sur roulettes de 40,
80 ou 120cm de hauteur pour une bonne manipulation des marionnettes.
Plusieurs décors se succèdent et chacun laisse une trace de ce qui s’est passé
au plateau.
L’espace au-dessus, est le lieu des possibles : l’avenir, les rêves des
personnages. C’est aussi le ciel, dans lequel évoluent les avions.
On peut imaginer le mélange des tons de bois, métal et toile de parachute, des
poulies apparentes, des projecteurs…
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L’ÉQUIPE :
Marie Hebert : Metteur en scène / Comédienne manipulatrice
Après une formation de comédienne à l’école Claude Mathieu (2004-2007),
Marie Hebert intègre plusieurs compagnies (Cie la Cuillère à Lille, La Cie Le
temps est incertain (Théâtre du Soleil), Hocemo Théâtre) et joue de nombreux
spectacles. Elle complète sa formation théâtrale en s’intéressant à la
marionnette avec Alain Recoing et Jean-Pierre Lescot.
Riche de ses expériences, elle fonde l’Artisanie, et entend développer un
théâtre d’histoires à l’aide de la marionnette et de l’objet. (2015 : « Le cœur de
maman » 2014 : « Léon raconte l’école » 2013 « Moins d’poubelles », intervention
dans l’espace public en faveur de la réduction des déchets (Mairie de Paris)
2012 « Seule la mer », d’après Amos Oz (Giboulées de la marionnette 2012).
2009 : « Le pays où tout est permis » (+100 représentations).
Elle collabore avec la Cie la Cuillère depuis 2013, en jouant dans « Nom d’une
pomme » et comme regard complice sur « ! Encore ! (des histoires) ». Elle est
l’initiatrice du projet « L’Aviateur » dont elle signe la mise en scène. La
construction des décors et la réalisation des marionnettes sont confiées à sa
cie : l’Artisanie.
Simon Millan : Auteur
Simon Millan est un auteur vénézuelien, philosophe de formation qui participe
depuis le début aux créations de Marie Hebert : « Le pays où tout est permis »,
« Seule la mer », « Le cœur de maman ». Lorsqu’il n’écrit pas, Simon Millan est
aussi ébéniste à Paris.
Caroline Panzera : Direction d’acteur / Mise en scène
Elève à l’Ecole Claude Mathieu, elle complètera sa formation à l'École
Internationale Jacques Lecoq. Elle joue de nombreux spectacles. Elle devient en
2009 la collaboratrice artistique des projets de compagnonnage à l'étranger du
Théâtre du Soleil. Elle assiste Ariane Mnouchkine et ses artistes associés:
Hélène Cinque, Georges Bigot. Elle apprend au cours de ces voyages au
Cambodge et en Afghanistan à travailler collectivement et à écrire un spectacle
à partir d'improvisations. Elle met en scène en 2012 Notre commune, histoire
méconnue racontée sur un char, pour la rue, au sein de la Cie Les Lorialets. En
2014, elle fonde la Baraque Liberté.
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Nicolas Jean : Comédien manipulateur.
Après deux années de formation théâtrale universitaire et pratique(DEUST),
Nicolas a rejoint l’école de cirque de Lomme. Il s’est spécialisé dans les portés
acrobatiques et la manipulation d’objet. Il créé en 2004 la compagnie La
Cuillère dans le but de développer son propre univers. Après un premier
spectacle : Les bonhommes de pluie, Les vies de grenier a vu le jour en 2005. C’est
dans ce cadre qu’il a découvert la marionnette. Une technique qui a retenu
toute son attention depuis : stages à l’ENSAM, puis deux nouvelles créations :
Sacré silence(2008) de Philippe Dorin qu’il a codirigé, et Mr Rabiboche(2008) un
solo « marionnettique » sur corps castelet qu’il a écrit et créé. Il participe
également en tant que comédien marionnettiste dans la face caché du soleil,
création du groupe F au château de Versailles en 2008 et 2009. Nicolas met en
scène et coécrit avec Fabienne Rouby le spectacle Le Mur (2011), puis adapte
en 2012 Nom d’une pomme !, spectacle inspiré d’un album jeunesse à
destination des 3/6 ans. !Encore ! Des histoires..., sa dernière création, à partir de
18 mois, arrive en 2014. Parallèlement, il continue de se former auprès de
nombreux professionnels et encadre régulièrement des ateliers et des stages
pour tous les publics autant en construction qu’en jeu.
Antoine Deklerck : comédien manipulateur
Comédien et chanteur formé à l'École Claude Mathieu, à l'Académie des Arts
de Minsk en Biélorussie, et au théâtre du Hibou où il étudie le Masque avec
Luis Jaime Cortez, il étudie le chant depuis 2012 aux Glottes Trotters dirigé
par le docteur Martina Catela. Depuis 2010, il travaille régulièrement à Genève,
avec La Ronde d'Arthur Schnitzler à la Parfumerie auprès de Patrick Mohr, et en
2011 Stop I need a change, mis en scène par Johanne Hariri. Il crée à Paris La
Norale de Choël, chorale-spectacle qu'il chante, joue et dirige. De 2012 à 2014, il
participe à la tournée nationale de la comédie musicale de Louis Chedid, « Le
Soldat Rose » où il remplacera Cabrel et Sanseverino. En 2014, il intègre la
Comédie Framboise pour sa dernière création « Victor ou les enfants aux
pouvoirs » de Roger Vitrac joué au Théâtre actuel à Avignon.
Ma Fuliang : Scénographe / Constructeur de marionnettes
Né à Shanghai, Ma Fuliang commence son apprentissage des marionnettes à 13
ans aux côtés de grands marionnettistes chinois. Diplômé de l’Institut d’Art
Dramatique, il entre à 21 ans au Théâtre National de la Marionnette de
Shanghai, dont il sera le directeur du département de conception des
marionnettes pendant plus de 10 ans.
Installé en France depuis 1991, il poursuit ses recherches sur la marionnette
occidentale à l’Institut International de la Marionnette de Charleville Mezières.
Il crée en 1996 la Cie du Petit Cheval et joue ses spectacles à la Ferme du
Buisson, au Grand Bleu à Lille, au Festival d’Avignon, au Festival Mondial de la
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marionnette ou au TGP de St Cyr (dont il est artiste associé depuis 2004).
Il travaille parallèlement pour d’autres compagnies de théâtre ainsi que pour
des émissions télévisées (Guignols de l’Info, Minikeums). En 2003, il réalise les
marionnettes de « Siegfried Wagner » mise en scène par Stéphane
Braunschweig pour le festival d’Aix en Provence.
En 2010, il est invité par le centre UNIMA-Canada pour donner des cours de
fabrication de marionnettes ainsi qu’au festival Marionnettissimo. En 2011, il
devient artiste associé à la ville de Saumur.
Vincent Lefevre : Créateur lumière
Régisseur lumière et comédien, il éclaire de nombreux spectacles : Nouvelles de
la mer, cie Et demain… Il est également le régisseur général de la Villa Noailles
à Hyères, où il couvre les évènements les plus importants de ce lieu culturel,
comme le Festival International de la mode. Il participe aux dernières créations
lumière du Théâtre du Soleil. Il est aussi passionné par les trucages et les
machineries et développe ses inventions pour la Cie de théâtre de rue Les
Lorialets et la Baraque liberté.
Maxime Gillet : Costumier
Après avoir créer les costumes de la première mise en scène de Nadège
Coste, travaillé pour la compagnie Utopia II (BEL) sous la direction de Mina Ly,
Maxime Gillet étudie la conception et la confection du costume historique et
contemporain auprès de l'ATEC. Il s'initiera à la construction de décors auprès
de J.B. Manessier, confectionnera des costumes de marionnettes pour le TJP
Strasbourg, des accessoires pour la Cie SHAM (Le Bourget) et des masques
pour le théâtre des Rochers (Clamart). Il sera approché par l'ensemble
contemporain l’Itinéraire pour harmoniser leurs musiciens. Enfin il
accompagnera la compagnie L'Artisanie lors de la création de Seule La Mer.
Pour l’Aviateur, il réalisera les costumes des marionnettes.
BESOINS TECHNIQUES :
Ce spectacle est conçu pour un plateau de minimum 8 m d’ouverture, 6 m de
profondeur et 5 m de hauteur.
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COPRODUCTIONS ET SOUTIENS :
Recherche de partenaires en cours. Ceux qui nous soutiennent déjà :
Coproducteurs : Les scènes associées :
-M.A.C de Sallaumines
-Espace culturel Ronny Coutteure de Grenay
-Le centre Arc en ciel de Liévin.
Soutiens :
-Théâtre de la Licorne / Centre de Création pour la Marionnette
Contemporaine et le Théâtre d’Objets (résidence et étape de travail en juin
2016)
-Le Bateau Feu/ Scène Nationale Dunkerque (soutien logistique)
-La Nef à Pantin (résidence et création du spectacle en octobre 2016)
-Espace culturel « La Gare » à Méricourt (résidence)
-Le Conseil Général du Pas-de-Calais
CRÉATION :
-Sortie de résidence à la Nef les 21 et 22 Octobre 2016
-Tournée chez nos coproducteurs (quinzaine de dates) à partir de janvier 2017.
CONTACT :
Administration/Production/Diffusion :
Nicolas Jean : 06 26 69 60 35/contact@cielaciuillère
Responsable artistique :
Marie Hebert : 0682237709 /[email protected]
Responsable technique :
Vincent Lefevre : 0610475749/[email protected]
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