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Jessica Rivière [email protected] +336 13 38 76 33 7 impasse Pierre Rocher 61000 Alençon www.lacompagnieboreale.com SIRET : 804 033 470 00019 – Code APE : 9001Z Blanche neige Résumé Il était une fois, une jeune fille prénommée Emma. Contrainte de passer ses vacances chez ses grands-parents, elle s’ennuyait éperdument. Mais de nature curieuse, elle décide de s’aventurer dans le grenier en quête de découvertes. Elle fouille dans les cartons, ouvre les vieilles malles, découvre une ancienne jupe et tombe nez à nez avec un livre tout poussiéreux « Les contes de Grimm ». Emma commence la lecture et malgré elle, va devenir le personnage principal de l’histoire. Pitch : Cette adaptation de Blanche Neige allie théâtre d’ombres, marionnettes et masques avec un décor enchanteur et époustouflant. Une invitation aux rêves… pour petits et grands. Photo de répétition. 2 Blanche neige Pourquoi monter un conte ? Le conte permet d’éveiller et de pousser le développement de l’esprit vers l’imaginaire à travers un récit épique comportant du merveilleux. Il offre la possibilité aux enfants d’étendre leur faculté à rêver et aux adultes de la retrouver intact l’espace d’un instant. Mais le conte, c’est surtout une mythologie de l’intime, de l’intemporel. De par sa contenance philosophique et émotionnelle, il traite de sujets fondateurs auxquels nous sommes confrontés dés la prime jeunesse dans la sphère familiale (rivalité fraternelle) mais surtout dans la sphère intime (dépassement du conflit oedipien, affirmation de la personnalité, détachement de l’enfance…). Il met en relief notre structure psychique et traduit de manière symbolique notre part de fantasmes sous jacents, conscients et inconscients. « Tout conte de fées est un miroir magique qui reflète certains aspects de notre univers intérieur et des démarches qu’exige notre passage de l’immaturité à la maturité. Pour ceux qui se plongent dans ce que le conte de fées a à communiquer, il devient un lac paisible qui semble d’abord refléter notre image; mais derrière cette image, nous découvrons bientôt le tumulte intérieur de notre esprit, sa profondeur et la manière de nous mettre en paix avec lui et le monde extérieur, ce qui nous récompense de nos efforts. » Bruno Bettelheim (à propos de Blanche Neige). 3 Blanche neige Pourquoi monter Blanche Neige ? Un conte emblématique. Jeune fille, orpheline dès sa naissance de l’amour d’une mère, elle grandit au sein d’un château gouverné par une marâtre aux mains de fers. Un jour, la reine apprend de son miroir magique que Blanche Neige la détrône en beauté. Elle ordonne à son chasseur de la tuer et de ramener ses poumons et son foie qu’elle s’empresse de dévorer dés leur arrivée. Mais le chasseur a épargné la vie de Blanche Neige et celle ci trouve refuge dans une maison tenue par sept nains dans la forêt. La reine consulte son miroir et s’aperçoit que la jeune fille est en vie. Elle se déguise par trois fois proposant tantôt un lacet, un peigne puis une pomme empoisonnée. Blanche Neige est retrouvée morte, gisant sur le sol. Les nains conçoivent un cercueil transparent pour Blanche Neige en hommage à sa beauté. Un prince passant par-là, tombe fou amoureux de Blanche Neige. Il décide de l’emporter avec lui dans son royaume. Mais en voulant transporter le cercueil, il trébuche et Blanche Neige, par l’à-coup, se libère du trognon de pomme coincé dans sa gorge. Elle revient à la vie et épouse le prince. Biographie des Frères Grimm. Jacob et Wilhelm Grimm sont deux écrivains et érudits allemands. Jacob est né le 4 janvier 1785 et Wilhelm, le 24 février 1786. Ils font leurs études à l'université de Marbourg, Jacob comme philologue et Wilhelm comme critique littéraire. En 1841, les deux frères s'installent à Berlin et deviennent professeurs dans l'université impériale. Ils y restent jusqu'à leur mort, soit le 16 décembre 1859 pour Wilhelm et le 20 septembre 1863 pour Jacob. En tant que linguiste, l'œuvre majeure de Jacob Grimm est sa Deutsche Grammatik écrite et publiée entre 1819 et 1837. Celle-ci est généralement considérée comme le fondement de la philologie allemande. Dans la deuxième édition, parue en 1822, Grimm expose sa loi sur le changement et le déplacement des sons. Cette loi contribua à la reconstitution des langues mortes. Les frères Grimm travaillent ensemble sur nombre d'autres ouvrages. Ils publient notamment en 1852 le premier volume du monumental et classique Deutsches Wörterbuch, qui est achevé par d'autres érudits en 1958. Les œuvres communes les plus significatives de Jacob et Wilhelm Grimm sont leur collection de contes pour enfants, leur recueil de légendes les enfants, Les Contes pour les enfants et la maison des frères Grimm. 4 Blanche neige Un conte-nant riche et pertinent. Blanche neige est un conte traditionnel et en ce sens un « conte-nant » initiatique. Adapter le conte de Blanche Neige, c’est redécouvrir et retransmettre une fable universelle aux problématiques éminemment modernes. De la monoparentalité à la recomposition familiale à l’état d’orphelin. Blanche Neige perd sa mère à la naissance et grandit sans amour maternel. Le roi, son père, se remarie plus tard avec une femme qui devient la belle mère de Blanche Neige. La figure du père disparaît alors totalement du conte. L’histoire se concentre ainsi sur la relation conflictuelle entre Blanche Neige et la reine. Figure maternelle hostile et froide, elle condamne la jeune fille à mort. La fillette se retrouve seule et orpheline. Le passage délicat de l’enfance à l’âge adulte. Le prénom de Blanche Neige est symbolique. Etymologiquement, il fait référence aux manteaux de neige ornant les paysages d’hiver. Ainsi ce « blanc » renvoie au caractère pure, immaculé et angélique de ce personnage. Dans le conte, nous assistons au parcours initiatique d’une enfant devenant femme et qui doit se confronter au monde adulte brutal et cruel. Blanche Neige est une jeune femme trop naïve et doit se battre contre les dangers de l’existence. L’apprentissage de la sagesse. Perdue dans la forêt, Blanche Neige rencontre les sept nains, personnages chthoniens et asexués. Ils lui proposent de l’accueillir en contrepartie de tâches ménagères et domestiques. Ainsi auprès d’eux, Blanche Neige découvre la responsabilité de tenir une maison comme la société de l’époque l’attendait d’une femme, bonne épouse et bonne mère. Chez les nains, elle apprend également à vivre dans un milieu modeste où la nature est prédominante, loin du microcosme luxueux du château. Les dangers de la superficialité. D’un caractère envieux et individualiste, la marâtre inverse le processus normal de la construction féminine et du modèle maternel. Elle devrait aimer Blanche Neige comme son propre enfant, l’épauler, la soutenir et l’éduquer. Pourtant la reine est restée à un stade narcissique qui la rend vulnérable. Sa beauté est une obsession, une maladie qui la prive de pensées bienveillantes. Elle refuse la fatalité de vieillir et s’acharne avec rage contre le temps qui passe. Elle en devient alors monstrueuse au point d’ingérer le foie et les poumons de sa belle fille qu’elle jalouse tant. 5 Blanche neige La faim du pouvoir. Diriger. Détruire. Donner les ordres. Tuer sans scrupules. Désirer quelque chose et l’obtenir. La reine est ce reflet du pouvoir. Elle est aux commandes d’un royaume et en occupe tous les postes (guerrier, financier, politique). Elle est à la fois une puissance foncièrement masculine et féminine. Elle cultive sa beauté pour hypnotiser les hommes et se faire redouter d’eux. Sa condition fait d’elle un être solitaire qui n’a pour seul ami qu’un miroir magique. 6 Blanche neige Note de mise en scène, Ce que nous voulons faire du conte. Le théâtre jeune public est une forme à part entière, souvent considérée comme une forme mineure. Paradoxalement elle donne pourtant la liberté d’aller vers la création pure car elle ouvre toutes les portes de l’imaginaire. La seule contrainte importante qu’elle impose c’est que l’artiste, qui pense un spectacle pour enfants, doit réfléchir à la perception des sentiments de l’enfant. Tout comme l’adulte, il ressent la peur, la colère, l’amour et la tristesse mais il réagit davantage avec tous ses sens à fleur de peau. En partant de ce facteur, nous avons dessiné une forme pour lui et surtout pour l’enfant qui sommeille en chaque adulte. Notre premier travail a donc été de replonger dans notre enfance et d’échanger sur les souvenirs de spectacles que nous avions vu. Nous avons longuement cherché. Et Blanche Neige est apparue, comme une évidence pour nous deux. Qui est Blanche-Neige? Une jeune fille qui va devenir une femme. Le symbole de ce délicat passage de l'adolescence qui transforme un enfant en adulte, une jeune fille en femme. En tant que femmes, cela nous inspirait tout particulièrement. Loin de nous l'idée d'en faire une gentille princesse aspirant à être une parfaite ménagère. Nous ne sommes plus au 19ème siècle. Qui est Blanche-Neige maintenant? Au 21ème siècle? C'est toi, c'est moi, c'est nous. Un petit bout de femme en proie aux doutes, aux questionnements existentiels, aux crises d’adolescences, aux révoltes. Un être qui essaye de faire corps avec lui même et à trouver sa place dans le monde qui l’entoure. Une femme imparfaite habitée par des espoirs, des fantasmes, des désirs et qui est prête à virevolter avec sa vie quitte à la perdre jeune. C'est pourquoi nous avons inventé le personnage d'Emma, figure de Blanche-Neige des temps modernes. Une Blanche-Neige 2.0, qui telle Alice aux pays des merveilles, va être plongée dans l'univers du Conte et être confrontée à une multitude de personnages haut en couleurs dont son pendant maléfique, la reine. Personnage corollaire à Blanche Neige, la reine n’est ni une sorcière, ni un monstre. C’est un être ordinaire qui a peur de vieillir et qui craint l’inéluctable fatalité de la mort. Et c’est cette peur, qui va la déshumaniser et qui causera sa perte. 7 Blanche neige L’étonnant banquet des Blanche Neige – Centre Pompidou – Catherine Bay Dans notre mise en scène, nous avons fait le choix de mettre la même interprète pour jouer la mère de Blanche Neige (douce, aimante, tendre) et sa belle mère (déterminée, glaciale, menaçante). Sont elles deux facettes d’une seule et même personne ? Peut être que ce qui change fondamentalement c’est la manière dont Blanche Neige la perçoit ? La mère attentionnée et protectrice de l’enfance a fait place à la mère effrayante avec qui l’adolescente est en conflit. Ce conte nous touche car il n’est pas manichéen malgré les apparences. Il n’y a pas de personnages tout blanc ou tout noir. Blanche Neige, qui est d’une plus grande beauté que la reine, peut devenir mauvaise. La reine aurait pu être une bonne personne. Tout est une question de choix et de perspectives d’avenir. Ce que la morale nous révèle, c’est que nous sommes tous soumis à des tentations irrésistibles à chaque étape de notre vie. Il est de notre ressort de ne pas céder aux désirs capricieux, de rester raisonnable et de rechercher le bonheur dans des choses simples. Les supports de jeux. Blanche Neige est un conte mythique. Comment allions nous réinventer cette histoire ? Notre premier impératif était de fabriquer un univers visuel fort et pictural mais surtout symbolique et réfléchi. C’est tout naturellement que nous avons cherché à travers des médiums pluridisciplinaires. Ces supports de jeu nous permettent de traiter les épisodes les plus sombres du conte avec poésie, mystère et délicatesse. 8 Blanche neige Le masque. Il y a deux masques dans notre spectacle : allégories du bien et du mal. Le premier symbolise Blanche Neige. Emma le rencontre dans sa rêverie sans savoir de qui il s’agit. Elle laisse cette entité faire corps avec elle. Tel le Ying et le Yang, ce demi masque, fait écho à la dualité, à l’individualité et à la complémentarité des deux jeunes filles. Le deuxième masque est en matière miroitante et réflectrice. Il est la représentation de la mort et des pulsions irrépressibles. Il convainc la reine d’abandonner son reste d’humanité pour arriver à son but comme une peau de chagrin. En échange, il la transforme en âme monstrueuse. Pour Blanche Neige, il est l’étape clé de sa période d’initiation à la vie. Est elle prête à braver les dangers de l’existence ? Blanche neige succombe une nouvelle fois, hypnotisée par la tentation. La danse. Au delà des mots, le corps a lui seul peut exprimer un langage. Il peut éclairer une situation complexe et interrogative pour un enfant. C’est quoi la mort ? C’est ce que nous avons construit dans notre création en installant des moments dramatiques par la musicalité et la danse. Nous rendons également hommage à cet art en revenant à son essence originelle. La danse est née pour célébrer les dieux, donner du courage et conjurer les sorts. La vidéo projection. Dans notre scénographie, la vidéo projection est un élément extrêmement important. Il va non seulement venir habiller l’espace en créant de nouvelles perspectives visuelles, de la profondeur, en enrichissant le décor (paysages, illusion d’optique, passage du réel au fabuleux…), en figurant les nains mais également en symbolisant l’âme et les sentiments qui traversent le personnage de La Reine. En effet, son miroir magique est une vidéo projection d’elle-même sur tout le décor, qui lui parle et lui répond. Le miroir existe-il vraiment ? Est il réellement magique ou n’est-il que le reflet des pensées intimes qui agitent La reine ? Dans notre adaptation, nous nous sommes attachés à mettre à avant les ambivalences de la personnalité de La reine, tantôt femme de pouvoir puissante et sans scrupules, tantôt femme en proie au doute et au questionnement, la folie la guette dans sa quête de la beauté absolue. C’est également grâce à une image d’elle démultipliée en vidéo projection que nous mettons en avant sa place médiatique et politique qui désire être partout, tout contrôler, tout diriger tel le phénomène de Big Brother. 9 Blanche neige Un univers magique : La scénographie. Avec Sarah Deweppe, la scénographe, nous avons imaginé un décor polyvalent et poétique qui se déplie, se transforme et fait apparaître des personnages au gré de la fantaisie de la dramaturgie. Un livre géant. Instrument principal de notre scénographie, une grande structure représentant un livre géant, symbole de l'art, du pouvoir et de la beauté de l'imaginaire. Cette structure est constituée de grandes images en pop up qui construisent et déconstruisent tour à tour l'espace. Les comédiennes déplient, sortent, tournent, déploient des éléments pour créer le château de la reine, le chasseur, la forêt… Ce n’est pas seulement un décor mais ce livre est créateur de jeu. Grâce à cette construction, nous faisons surgir des ombres qui démultiplient les illustrations et transforment l’espace au point de créer une forêt luxuriante, riche et accueillante ou bien un endroit mystérieux et angoissant. Des costumes créatifs et surprenants. L’esthétique de la pièce repose d’une autre part sur un champ chromatique choisi. Il nous semble nécessaire de respecter la part symbolique des couleurs car elles agissent comme un référent pour le public. Ainsi Emma, qui est une « teenager », porte au début de l’histoire un tee shirt jaune, un short en jean et des baskets pailletées. Lorsqu’ elle bascule dans le conte et devient Blanche-Neige, une jupe en tulle ivoire avec une ceinture de led jaune lumineuse et féerique complètent son costume. Nous voulons donner à la Reine, figure de la femme politique guerrière et médiatique, une apparence spectaculaire. Ainsi, elle porte des escarpins plateformes pour allonger sa silhouette et pour dominer physiquement Blanche Neige. Sa tenue est composée pour moitié d’éléments métalliques réfléchissants tels qu’une collerette, un collier girafe et un bras squelette articulé qui nous rappelle en permanence sa monstruosité tandis que le reste de son costume met en exergue sa féminité. Pour Le Prince, nous avons voulu nous éloigner de l’archétype classique du Prince charmant et en faire un petit gars sympa d’aujourd’hui à l’allure de skateur. 10 Blanche neige La Compagnie Boréale / L’équipe. Jessica Rivière Auteur / Metteur en scène / Comédienne Directrice Artistique Jessica Rivière débute sa formation théâtrale aux Cours Simon puis Aux Ateliers du Sudden et parfait son enseignement auprès de Jean Michel Rabeux. Artiste pluridisciplinaire, elle suit en parallèle une formation de danseuse Modern Jazz et contemporaine, de trapéziste à l’Académie Fratellini, une formation de masques et de Commedia Dell Arte avec le Théâtre du Hibou et de théâtre d’objets ainsi que des marionnettes. Sur la scène, on la retrouve dans Le Songe d’une Nuit d’été de Shakespeare mis en scène par Raymond Acquaviva, Séance de Nuit de Georges Feydeau par Annabelle Guilhem, Anouilh dans tous ses états mis en scène par Thierry Harcourt, Un fil à la patte de Georges Feydeau et La patrouille des femmes mise en scène d’Isabelle Starkier, Des âmes sur le béton des villes de Jean Pierre Siméon mis en scène par Rémi Prin, Les Canailles / Un mariage Orthopédique de Lucas Olmedo, Wikileaks: the papers de Franck Lebovici. Avec la Compagnie Clarance Vidocq et les diablesses des Batignolles et Aimez vous les uns les autres mis en scène par Jean Grimaud et Paris les yeux fermés avec la Cie In Situ. Elle signe sa première mise en espace Ulysse contre-attaque ou le chant X de l’Odyssée raconté à deux voix au Festival d’Aurillac 2012. A la télévision, elle joue pour la série chinoise Fleurs et Brumes de Ding Yang Guo. Au cinéma, elle apparait aux côtés du collectif costaricain La Media Docena dans Maikol Yordan de viaje perdido de Miguel Gomez. 11 Blanche neige Marion Champenois Auteur / Metteur en scène / Comédienne Marion Champenois s’est formée aux ateliers des compagnies Actéa et Papillon noir. Elle a obtenu sa Licence d’Etudes Théâtrales à l’Université de Caen et a intégré l’Eicar où elle suit l’enseignement de Pascale Roberts. Elle poursuit sa formation aux Ateliers du Sudden sous la direction de Raymond Acquaviva ainsi qu’au sein de la Compagnie Jacques Fontaine. Marion joue Stop the tempo de Gianina Carbunariu mis en scène par Françoise Labrusse avec lequel elle remporte des prix dans différents festivals. Elle a ensuite interprété L’Infante dans Le Cid de Corneille et Aman dans Esther de Racine mis en scène par Marie Montegani, Helena dans Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare et Calonice dans Lysistrata d’Aristophane mis en scène par Raymond Acquaviva. Elle enchaîne avec La répétition création de Pierre Poirot et Véronique Affholder. Elle est actuellement à l’affiche des Coquelicots des tranchées mis en scène par Xavier Lemaire (prix Avignon 2014 et Prix Théâtre public Molières 2015), Un Fil à la patte de Georges Feydeau mis en espace par Isabelle Starkier ou elle défend les rôles de Marceline et Miss Betting et Simon et Léna, hommage à Boby Lapointe mis en scène par Eva Dumont. Sarah Deweppe Scénographe Après une maitrise d’Arts Plastiques à Bordeaux, Sarah Deweppe s’installe à Bruxelles en 2005 où elle commence à assister les scénographes Raphaël Rubbens et Estelle Rullier pour les pièces de Claude Schmitz. A partir de 2011, elle commence aussi à travailler dans la décoration plateau de cinéma et de pub. Depuis 2013, elle vit et travaille à Paris. 12 Blanche neige Cyril Romoli Création musicale Tour à tour comédien, chanteur et musicien, il joue sous la direction de Jean-Laurent Cochet (Le Sexe faible au Théâtre Hébertot), Guy Rétoré (Entre deux portes au TEP), Jean-Pierre Dravel et Olivier Mace (Le Squat au Théâtre de la Madeleine), Jean Menaud (Vie et mort de Pierre Paolo Pasolini au Vingtième Théâtre), Hevé Bernard Omnes (Le projet Laramie au Vingtième Théâtre), Marion Bierry (L’Illusion comique au Poche Montparnasse et au Théâtre Hébertot), Alain Sachs (Calamity Jane au Théâtre de Paris)... Il joue et chante dans Chance, La guinguette a rouvert ses volets, Ce soir il pleuvra des étoiles, Paradisco, Le Roi Lion au Théâtre Mogador et plus récemment sous la direction de Giuliano Peparini dans 1789 Les amants de la Bastille au Palais des Sports à Paris et Mistinguett, reine des années folles, mis en scène par François Chouquet au Casino de Paris et au Comédia. Il compose également des comedies musicales destinées au jeune public, Les contes de la Folie Méricourt, Il était une fois, Pas Sages… et des musiques de spectacles, pour Fellag dans C’est à Alger, qu’il accompagnait sur scène comme pianiste et comédien et dernièrement la musique du Cercle Caucasien de Bertold Brecht mis en scène par Fabian Chappuis. Il tourne également régulièrement à Paris et en province son piano solo A l’heure où les lionnes apparaissent . 13