Séminaire TSI sport loisirs tourisme

Transcription

Séminaire TSI sport loisirs tourisme
Stratégie régionale d’innovation pour
une spécialisation intelligente (SRI-SI)
Séminaires sur les thématiques de spécialisation
intelligente : TSI Sport, loisirs & tourisme
1
Ordre du jour
Accueil et tour de table (10 minutes)
La démarche SRISRI-SI (20 minutes)
• Les attendus de la Commission
• La spécialisation intelligente
• L’architecture de la SRI-SI en Rhône-Alpes
Les données de cadrage (50 minutes)
• Rappel des enjeux Horizon 2020
• Repères et données chiffrées en RA
• Feuilles de route (Clusters Sporaltec & Montagne)
La vision collective sur la TSI (60 minutes)
• Echanges sur les applications cibles pour RA
Conclusions et prochaines étapes de travail (10 minutes)
2
La démarche SRI-SI
Actualisation de la stratégie d’innovation de la Région,
Région en
vue d’une spécialisation intelligente (SI)
– Inscription dans la stratégie UE 2020 pour une économie
« intelligente, durable et inclusive »
– Articulation avec le programme Horizon 2020 : promotion de
l’innovation et de l’économie de la connaissance (70 milliards d’€)
– Traduction dans les P.O des fonds structurels FEDER et FSE
• Fléchage a minima des fonds sur les thématiques de
spécialisation :
30 à 40% de l’enveloppe FEDER
(prévision budget FEDER 300 M€)
• Les P.O et la SRISRI-SI sont élaborés en parallèle
3
Qu’est ce que la Spécialisation Intelligente?
• Concentration des ressources sur un
nombre limité de priorités afin d’éviter le
saupoudrage et les stratégies « picking
the winner », et de renforcer le rôle de
catalyseur des investissements ;
basée sur une
• Différenciation
analyse AFOM de la région, ses
avantages compétitifs, ses potentiels
d’excellence et ses opportunités ;
• Fondée sur des données probantes et
factuelles, analysant les atouts et les
menaces de la région, incluant l’analyse de
données intra-régionales, interrégionales,
internationales
•
• La mise en synergie de différents acteurs
de l’UE, nationaux et régionaux pour faire
émerger une stratégie partagée ;
Une stratégie adaptée à l’éco
système régional, qui s’inscrit au sein
d’un contexte socio-économique régional
spécifique, expliquée par une histoire
cumulative et évolutive en matière
d’apprentissage et de diffusion de la
connaissance et par l’intensité des
échanges entre les acteurs régionaux
• Impulsée
par
la
découverte
entrepreneuriale, rassemblant les acteurs
du territoire autour d’une même vision
commune
• Une
compréhension
large
de
l’innovation (pas seulement technologique)
reposant à la fois sur des entrées
verticales/sectorielles et des entrées
horizontales/transversales
4
Les enjeux de la SI
Les enjeux de la Spécialisation intelligente pour l’Europe :
• Développer de nouvelles approches fondées sur les caractéristiques uniques de
chaque écosystème régional d’innovation
• Utilisation plus efficace des fonds structurels européens (moins de doublons)
• Répondre aux 6 défis sociétaux (Horizon 2020)
• Attractivité des investissements internationaux
• Développer les partenariats régionaux, interrégionaux et internationaux
• Promouvoir les transferts de connaissances et la diversification technologique
Les enjeux pour Rhône-Alpes :
• La Spécialisation intelligente est une condition ex-ante d’obtention des Fonds
Structurels 2014-2020
• La Région doit faire des choix de spécialisation cohérents avec ses atouts et
identifier les relais de croissance pertinents
5
Déroulement de la démarche
Phase 1 :
Actualisation de la
stratégie
d’innovation de la
Région RhôneAlpes
Février - Avril 2013
Phase 2 :
Élaboration d'une
SRI-SI Rhône-Alpes
partagée par
l'ensemble des
acteurs régionaux
Mai – Septembre
2013
– Objectif : revisiter le cadre de la politique régionale en faveur
de l’innovation (SRDEI & SRESRI - 2011) au regard de la
spécialisation intelligente préconisée par l’UE
• En s’appuyant sur un diagnostic de l’éco-système d’innovation
• En identifiant les potentiels de Rhône-Alpes (appui ARDI + lien
feuilles de route stratégiques des contrats de performance 2013-2018
des pôles de compétitivité)
• En déterminant les politiques d'innovation "horizontales" qu'il
conviendra soit d'initier ou de faire évoluer
– Objectif : Déterminer les thématiques de spécialisation
intelligente (TSI), et mettre en place une SRI-SI telle que voulue
par l’UE
• Définir les TSI prioritaires dans le cadre de la découverte
entrepreneuriale (attendu fort de l’UE),
• Formaliser la SRI-SI Rhône-Alpes, articulant les entrées verticales et
horizontales, et qui servira à l'élaboration du PO FEDER et aux
futures SRDEII et SRESRI
• Faire émerger un schéma de gouvernance de la SRI-SI qui permettra
son suivi dans la durée
6
Diagnostic régional
Diagnostic régional
Analyse des briques de connaissances et technologies clés en RA (TRL) :
• OST, PIA & ANR, Eurostat
• Pôles de compétitivité (ANR, FUI, PSPC), clusters,
• Sashimi, Plateformes technologiques, Incubateurs, Oséo, JEI, CIR
Rapports de diagnostic
accessibles en ligne :
Entretiens d’experts
Conduite d’une centaine d’entretiens avec les représentants :
• Des entreprises
• Des pôles, clusters et autres structures d’appui à l’innovation
• Des centres de recherche et universités
• Des pouvoirs publics
• Des experts européens (PTF 3S, DG Entreprises)
Analyse comparative européenne
Analyse des orientations et des indicateurs européens :
• •Regional Competitiveness Index, Regional Innovation Scoreboard, European Cluster
Observatory , Regional Innovation Monitor, Key Enabling Technologies
Benchmarks européens :
• Benchmarks in situ : Baden Württemberg, Stockholm, Helsinki
• Benchmarks documentaires : Catalogne, Zurich, Danemark
Séminaires et réunions de concertation
Séminaire sur les Défis sociétaux Horizon 2020
Séminaires sur les axes transversaux de la SRI SI
Travaux des divers CSFR
Réunions de concertation avec les Agglomérations, les Départements, les
réseaux régionaux…
Contributions sur le site Internet SRI SI
www.innovation.rhone-alpes.fr
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Le contexte régional et
l’approche 4C
Politique sectorielle structurée en RhôneRhône-Alpes autour de 12 pôles
de compétitivité et 12 clusters RhôneRhône-Alpes, avec des croisements et
des collaborations de plus en plus importants entre ces secteurs
CelleCelle-ci représente un socle pour répondre à la demande de l’UE,
dans le cadre de l’élaboration des SRISRI-SI au niveau des régions, de
concentration sur des thématiques de spécialisation (TSI) selon
le prisme « 4C »
Critical mass :
Competitive
Choices :
Collaborative
Privilégier les
secteurs ayant une
masse critique de
ressources & d’atouts
et établir des
coopérations entre
régions afin d’éviter la
duplication d’outils et
la fragmentation des
actions.
advantage :
Faire correspondre le
potentiel académique et
industriel du territoire
avec les besoins et les
capacités des
entreprises ; Développer
la fertilisation croisée
entre secteurs, afin de
faire émerger des relais
de croissance.
Identifier et sélectionner
un nombre limité de
priorités en replaçant
ces activités au sein de
leurs chaînes de valeur
globale. Ces priorités
seront celles où RhôneAlpes se détache des
régions françaises et
européennes
concurrentes.
Leadership : Mobiliser
les acteurs référents
de l’écosystème
d’innovation régional :
acteurs académiques,
entreprises,
administrations et
société civile
(Quadruple Helix
model) afin de créer
des synergies.
8
Horizon 2020 et les TSI
Technologies clefs génériques
Photonique
Défis sociétaux
Horizon 2020
1) La santé, l’évolution
démographique et
le bien-être
2) La sécurité
alimentaire,
l’agriculture durable,
et la bio-économie
3) Energies sûres,
propres et efficaces
4) Transports
intelligents, verts et
intégrés
5) Lutte contre le
changement
climatique,
l’utilisation efficace
des ressources
6) Sociétés inclusives,
novatrices et sûres
Nanotechnologies
Manufacturing
Micro & Nano
Matériaux avancés
Biotechnologies
électronique
Technologies
Marchés
applicatifs
Micro Nano
électronique
& photonique
Matériaux
avancés &
nanomatériaux
Procédés
avancés et
traitement de
surfaces
Numérique
Biotechs
rouges et
blanches
Santé & nutrition
Énergies
Mobilité
Environnement
Contenus &
applications
numériques
Sport, Loisirs &
Tourisme
9
Croisement axes horizontaux
et spécialisation verticale
Approches transversales de l’innovation
Politique sectorielle
Innovation par les usages et territoire d’expérimentation
Innovation sociale
Innovation technologique & transfert
Entreprenariat et innovation
Croissance des PME & ETI
TSI
Soutien à la transition écologique de l’économie
Outils d’appui à l’innovation
Ingénierie financière
Achat public innovant
Appui au montage de projets européens
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Ordre du jour
Accueil et tour de table (10 minutes)
La démarche SRISRI-SI (20 minutes)
• Les attendus de la Commission
• La spécialisation intelligente
• L’architecture de la SRI-SI en Rhône-Alpes
Les données de cadrage (50 minutes)
• Rappel des enjeux Horizon 2020
• Repères et données chiffrées en RA
• Feuilles de route (Clusters Sporaltec & Montagne)
La vision collective sur la TSI (60 minutes)
• Echanges sur les applications cibles pour RA
Conclusions et prochaines étapes de travail (10 minutes)
11
TSI Sport, loisirs & tourisme
Structure des dépenses de
loisirs et culture en France
« Le sport s’est ainsi installé dans différents
secteurs, en particulier l’habillement. Le «
sportswear » est devenu une composante à part
entière des modes vestimentaires, un code de
reconnaissance : seulement 33 % la part des
achats de chaussures de sport destinées à un
usage strictement sportif. La pratique du sport
suscite l’achat ou la location de matériel adapté,
des services et elle est également à l’origine de la
construction d’équipements sportifs ».
Les dépenses de loisirs et culturelles représentent
9,1 % de la dépense de consommation des
ménages. La part du budget consacrée aux loisirs et
à la culture varie fortement selon le niveau de vie :
20 % de ménages les plus aisés y consacrent 11 %
de leur budget contre 7 % pour les 20 % de ménages
les plus modestes. En dix ans, la structure des
dépenses de loisirs a évolue : la part des dépenses
consacrées aux services récréatifs et sportifs, aux
voyages à forfait et aux week-ends a augmenté (+
2,7 points au cours des années 2000), alors que les
dépenses de disques, de livres et papeterie sont en
retrait (source INSEE).
Source : INSEE 2009
12
TSI Sport, loisirs & tourisme
Poids économique des articles de sport
(source Sporaltec et INSEE 2009)
Le marché mondial des articles de sport
-Le marché représentait en 2008 au plan mondial 284 Mds
$ dont 45% en Amérique du Nord, 30% en Europe et 19%
en Asie.
Les activités économiques liées au sport en France
- Les activités économiques liées au sport ont généré un
chiffre d'affaires de 35 Mds € en France, ce qui représente
1.85% du PIB.
- L’Etat et les collectivités achètent chaque année pour plus
de 15 Mds € et les ménages plus de 17 Mds €, dont 3.6
Mds € d’articles de sport, 2,6 Mds € de vêtements de sport
de et 1,4 Mds € chaussure de sport. (INSEE 2010).
Salariés dans les activités
économiques liées au sport en France
Source : Ministère des sports chiffres - clefs 2013
13
TSI Sport, loisirs & tourisme
Réparation des licenciés de
fédérations sportives en Rhône-Alpes
FF de football
FF de tennis
FF de ski
FF d'équitation
FF de basketball
FF de judo-jujitsu, kendo et disciplines associées
FF de golf
FF de rugby
FF de natation
FF de handball
FF de gymnastique
FF d'athlétisme
FF de badminton
FF de tennis de table
FF de cyclisme
FF de tir
FF de voile
FF de volleyball
FF d'escrime
FF de taekwondo et disciplines associées
FF des sociétés d'aviron
FF de tir à l'arc
FF d'haltérophilie
FF de triathlon
FF de hockey sur glace
FF de boxe
FF de canoë-kayak
FF des sports de glace
FF de hockey
FF de lutte
FOCUS SUR RHONE-ALPES
Rhône-Alpes est une région sportive qui compte
1,67 millions de licenciés sur 15,66 millions en
France. La région se distingue par sa forte portion
des licenciés dans les fédérations de ski (49% de
la part nationale), ainsi que l’ensemble des sports
liés à la montagne et la nature (spéléologie,
escalade, course d’orientation, sport de traineau,
pêche, vol libre…), à la glace (sport de glace et
hockey sur glace), ainsi que les boules et l’aviron.
0
40 000
80 000
120 000
160 000
200 000
14
TSI Sport, loisirs & tourisme
Poids économique de la montagne française
Activités de
montagne
(Source : Cluster Montagne)
Le tourisme hivernal français
- 300 stations de ski réparties sur 6 massifs
- 30 % des stations majeures mondiales
- 30 % du domaine skiable européen
- 55 millions de journées skieurs en 2011/2012
- 302 millions d’€ investis sur les domaines skiables
- 3 000 kms de pistes de ski
- 3 600 remontées mécaniques
La France est la deuxième destination touristique
hivernale mondiale derrière les Etats-Unis.
- 25 % de fréquentation étrangère
- 23 % du territoire en zone de montagne
- 5 millions de lits touristiques
- 10 millions de visiteurs chaque année
- 130 000 emplois générés
- 7 milliards d’€ de chiffre d’affaires
- 20 % de l’économie du tourisme français
La filière aménagement et équipement de la
montagne en France
- Près de 300 entreprises & environ 5 000 emplois
- 1 milliard d’€ de chiffre d’affaires
- 1 salon professionnel international biennal (Salon
d’Aménagement de la Montagne - Grenoble)
Principaux opérateurs mondiaux de ski
Source : Cluster Montagne
15
TSI Sport, loisirs & tourisme
Les équipements et infrastructures de sport
16
TSI sports, loisirs & tourisme
Défis sociétaux
européens Horizon 2020
Principaux enjeux
marchés identifiés en RA
La présente TSI adresse au moins pour partie les 6 défis sociétaux définis par Bruxelles :
1. la santé et le bien-être ;
2. la sécurité alimentaire, l’agriculture durable, et la bioéconomie ;
3. les énergies sûres, propres et efficaces ;
4. les transports intelligents, verts et intégrés ;
5. la lutte contre le changement climatique, l’utilisation efficace des ressources et les
matières premières ;
6. des sociétés inclusives, novatrices et sûres.
Les équipements sportifs
Les équipements de protection
Les accessoires de sport
Les infrastructures de pratiques sportives
Les services sportifs
L’urbanisme et l’architecture
Les aménagements hiver
Les aménagement été
Les risques naturels
L’environnement
Chiffres clefs Rhône-Alpes du secteur sports, loisirs et tourisme
Rhône-Alpes est la 1ère région française dans les sports et loisirs, forte de 25 000 salariés, soit 50 % des emplois
directs et indirects français du secteur. La région compte près de 250 entreprises liés aux équipements sportifs,
équipements de protection, accessoires de sport, infrastructures et services sportifs. Elle concentre 80% du potentiel
français de l’industrie de la montagne, des loisirs et de l’outdoor , tirant profit des compétences régionales dans les
domaines des nouveaux matériaux (composites, plastiques, etc.) et des tissus techniques.
Avec 100 000 emplois directs, et autant d'emplois indirects, 7 % du PIB régional soit 10 milliards d'euros de
consommation touristique, la Région Rhône-Alpes est la deuxième destination touristique de France. Rhône-Alpes est la
première destination montagne avec 35,9 % des séjours montagne réalisés en France. Avec155 stations de sport
d’hiver, 2 167 remontées mécaniques et 83 sites nordiques, la montagne est le premier espace fréquenté en RhôneAlpes avec 50 % des nuitées régionales.
17
TSI Sport, loisirs & tourisme
Acteurs et réseaux régionaux de recherche dans le secteur des sports, loisirs & tourisme :
• Centres de recherche et de formation : 4 universités et 21 laboratoires de recherche ayant des formations ou activités
en lien avec le secteur du sport, loisirs et tourisme.
• Clusters labellisés RA : Sporaltec, Cluster Montagne
• Pôles de compétitivité : Techtera, Imaginove, Plastipolis, ViaMéca, Minalogic, Tenerrdis, Axelera…
• Centres techniques Rhône-Alpes : Centre technique du cuir , IFTH, CTP, CETIM…
• Cité du Design de Saint-Etienne et Laboratoire des usages et des pratiques innovantes (LUPI)
• Centres de recherche et espaces d’expérimentation : Ifremmont (institut d’excellence en médecine de montagne), I
Institut de la Montagne, LPE, RMIS, IRSTEA , CEA, Universités, Living Lab Sport’In LL
Clusters régionaux Sporaltec & Montagne
Acteurs industriels et tertiaires de la région :
• Articles de sports & loisirs : Rossignol, Salomon et Look (sport d’hiver), Obut (pétanque), Babolat (équipements des
tennis), TSL Outdoor (Raquettes à neige), Corima, Mavic & Stronglight (vélos)…
• Habillement, sportwear & lifestyle : Lafuma (articles de sport de plein air), Quechua (matériel outdoor), BV Sport
(habits de sports), Thuasne, Redlight, Ganzoni, Gibaud , Sigvarices (Textiles et habillements)…
• Equipements et infrastructures de sports & loisirs : POMA (transport par câble), Desjoyaux (piscines), Gerflor –
Teraflex sport (revêtements pour salles de sport), Myneige (enneigeurs), skidata (forfaits)……
• Aménagement été & hiver : Compagnie des Alpes (stations de sport d’hiver), MND (Aménagement), GEOD
(aménagement & cartographie), Prisme (Installations ludiques), Lumiplan Montagne (solutions de communication)…
• Risques naturels et équipements de sécurité : Petzl (équipement d’escalade, alpinisme et de sécurité), Béal
(cordes de montagne et de sécurité), Engineerisk (avalanches), Avaroc (Pare avalanches), TAS (isques naturels)…
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Feuilles de route des clusters
Feuille de route Montagne
Feuille de route Sporaltec
19
Ordre du jour
Accueil et tour de table (10 minutes)
La démarche SRISRI-SI (20 minutes)
• Les attendus de la Commission
• La spécialisation intelligente
• L’architecture de la SRI-SI en Rhône-Alpes
Les données de cadrage (50 minutes)
• Rappel des enjeux Horizon 2020
• Repères et données chiffrées en RA
• Feuilles de route (Clusters Sporaltec & Montagne)
La vision collective sur la TSI (60 minutes)
• Echanges sur les applications cibles pour RA
Conclusions et prochaines étapes de travail (10 minutes)
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Modalités de définition des TSI
Processus de « Découverte entrepreneuriale » : méthode de
concertation de l’ensemble des acteurs de l’écosystème
d’innovation
• 12 séminaires de travail sur les territoires (de mi-mai à mi-juin)
• 1 séminaire plénier de capitalisation (début juillet)
• Site Internet collaboratif (opérationnel début mai)
Les TSI devront s’inscrire au croisement :
enjeux sociétaux / atouts technologiques / marchés applicatifs
Grâce à une vision régionale partagée conforme aux « 7C »
21
Modalités de définition des TSI
Travail collectif sur la définition des applications cibles pour
la TSI sport, loisirs & tourisme
– Temps de réflexion personnel pour définir des propositions
d’applications prioritaires pour Rhône-Alpes au regard des 7C :
•
•
•
•
•
•
•
Etre CIBLEE,
Avoir une taille CRITIQUE,
Développer un avantage COMPARATIF,
Faire des CHOIX,
Etre en phase PRE-COMMERCIALE,
Avoir des perspectives de CROISSANCE,
Faire CONVERGER les moyens et les financements sur les entreprises
– Présentation et justification de ces 3 applications cibles et
positionnement sur la matrice technologies / marchés
22
Sport, loisir & tourisme
Technologies
Marchés
applicatifs
Micro & nano
électronique
Matériaux
avancés
Accessoires de
Chipset & smart contrôle
sport
Matériaux
composites
Procédés
avancés
Prototypage 3D
Numérique
Connexion et
transmission
de données
Impression - sérigraphie
Thermo-soudure
E-commerce
Sportswear,
lifestyle
Textiles
fonctionnalisés
Equipements &
infrastructures
Billettique & RFID
Textiles techniques
Nouveaux matériaux
de construction rapide
Design
Vêtements communicants
Design produit et
customisation
Plateforme et
univers de marque
Living lab et
innovation par
les usages
Transports par câble
Systèmes de protection
Aménagement
été-hiver
Risques
naturels &
équipement de
protection
Textiles techniques et
matériaux composites
Capteurs et
métrologie et
contrôle à distance
Systèmes de
cartographie
Systèmes intelligent intégrés
Textiles techniques et
matériaux composites
Objets communicants
Géo-localisation et
sécurité
23
Sport, loisir & tourisme
Technologies
Marchés
applicatifs
Santé, bien être
& nutrition
Micro & nano
électronique
Instruments de
mesures et
d’évaluation
Matériaux
avancés
Textiles techniques
Mobilité
Procédés
avancés
Numérique
Encapsulage de
principes actifs
Transports par câble
Design
Design sensoriel
Écrans et
interfaces
Connectique
embarquée
Energie
Optimisation des
équipements
Efficacité énergétique
et rénovation des
bâtiments en
montagne
24
Ordre du jour
Accueil et tour de table (10 minutes)
La démarche SRISRI-SI (20 minutes)
• Les attendus de la Commission
• La spécialisation intelligente
• L’architecture de la SRI-SI en Rhône-Alpes
Les données de cadrage (50 minutes)
• Rappel des enjeux Horizon 2020
• Repères et données chiffrées en RA
• Feuilles de route (Clusters Sporaltec & Montagne)
La vision collective sur la TSI (60 minutes)
• Echanges sur les applications cibles pour RA
Conclusions et prochaines étapes de travail (10 minutes)
25
Prochaines étapes
Séminaires TSI (du 21 mai au 20 juin)
V0 de la SRISRI-SI avec 1er rendu P.O (15 juin)
Séminaire de capitalisation sur les priorités (8 juillet)
Déclinaison en dispositifs – policy mix (juillet août)
Version finale de la SRISRI-SI (fin septembre)
Présentation régionale (7 octobre)
26
Merci de votre participation
Contact :
Christine Picard
Direction du développement
économique et de l’emploi
[email protected]
Annexes
Diagnostic (1/5)
Part nationale en %
36% ANR PdC
30 %
28% FUI
20 %
13.1% publications
11.4% doctorants
10 %
11.9% DIRD
9% Fonds européens PdC
7.7% Fonds FP7
13.9% brevets
13.9% créations
12% CEI & JEI 12.6% effectifs
industriels
11.4% exports
10% de la population métropolitaine, des emplois et du PIB…
8.2% effectifs 8.4% Capital
investissement
6% Capital finance &
assurance
risque
Echelle TRL
29
Diagnostic (2/5)
Part nationale en %
30 %
36% ANR PdC
Très
forte
performance
sur la R&D
collaborative
28% FUI
20 %
Bons
13.1%
investissements
publications
11.9% DIRD
11.4% doctorants
10 %
en recherche
9% Fonds européens
Faible
PdC Fonds
7.7%
performance sur
FP7
les projets UE
13.9% brevetsBonne
13.9%dynamique
créations
de
créations
12% CEId’entreprises
& JEI 12.6% effectifs
industriels
10% de la population métropolitaine, des emplois et du PIB…
8.2% effectifs
finance &capacité de
Faible
6% Capitalassurance
financement
risque
Echelle TRL
30
Diagnostic (3/5)
Forces
Faiblesses
Tissu industriel
Près de 18% de l’industrie nationale basée en RhôneAlpes et première région de sous-traitance de France
Tissu économique varié comportant des territoires très
spécialisés (Oyonnax, Vallée de l’Arve)
Tissu industriel bénéficiant de l’effet d’entraînement de
leaders mondiaux
Un tissu essentiellement composé de
très petites entreprises (moins de 50
salariés) interrogeant sur ses capacités
d’innovation (taille critique)
Des pertes d’emplois dans les filières
industrielles (-7% entre 2008 & 2010), en
particulier dans le secteur informatique
Dépenses de R&D
Seconde région de France avec 2,59% du PIB de
dépenses de R&D
Des investissements de R&D significatifs dans les
secteurs high tech et traditionnels (bonne répartition)
Des dépenses privées de R&D
insuffisantes au regard du tissu
économique (1.7% du PIB) et qui ne
permettent pas d’atteindre le objectifs
européens
Innovation
technologique
Un écosystème d’innovation très marqué par
l’innovation technologique : 10e rang européen en
innovation technologique et 5ème place pour l’activité
scientifique et technologique
D’autres régions européennes sont plus
dynamiques sur 2003/2008 (Eindhoven,
Karlsruhe, Munich…)
Innovation non
technologique
Une forte dynamique des acteurs régionaux sur le
champ de l’innovation sociale (ex : Rhône-Alpes
région en pointe sur les PTCE, nombreuses initiatives
novatrices sur le sujet de l’organisation du travail et
des relations sociales)
Des démarches souffrant d’un manque
de structuration au niveau régional (ex :
innovation par les usages) et un lien
avec les autres politiques d’innovation
pas suffisamment développé
31
Diagnostic (4/5)
Forces
Faiblesses
Financement de
l’innovation
De nombreux dispositifs de financement en
région
Des réseaux de business angels qui se
structurent progressivement
Les fonds d’investissement (publics et privés) sont
trop modestes par rapport à l’intensité industrielle et
technologique régionale (tickets insuffisants)
Les fonds privés sont peu nombreux (fonds
patrimoniaux et corporate venture)
Création et
croissance
d’entreprises
innovantes
Rhône-Alpes est la deuxième région de
France pour la CEI (12% entre 1998 et 2007)
et les JEI (12%)
Des belles réussites entrepreneuriales en
Rhône-Alpes
Peu d’entreprises innovantes issues de la recherche
publique (moins de 10%)
Peu de success stories avec des entreprises issues
de la recherche connaissant un développement
important
Réseaux
d’acteurs de
l’innovation
De nombreuses compétences et capacités à
travailler ensemble
Un paysage foisonnant d’acteurs, une mise en
cohérence pas toujours évidente à trouver (plus de
200 intervenants)
Des espaces qui reste à construire pour l’innovation
non technologique
International
Rhône-Alpes représente 12% des
exportations nationales (seconde région de
France )
1 emploi régional sur 3 est lié aux échanges
internationaux
Un taux d’ouverture international en retrait pour les
PME et ETI innovantes
Un positionnement insuffisant sur les pays à forte
croissance (Brics)
32
Diagnostic (5/5)
Forces
Faiblesses
Briques de
connaissances et
technologies clefs
Nombreux succès au PIA : 28 EQUIPEX et
LABEX, 2 IRT, 2 IEED
Des équipes régionales de recherche bien
évaluées (forte proportion d’équipe A+ et A)
Des compétences régionales identifiées sur
les KET (Micro-Nano)
Des pôles universitaires qui peinent à se structurer
de manière plus intégrée (IDEX)
Une visibilité internationale de la production
scientifique insuffisante (faible visibilité dans les
classements internationaux type Shanghai…)
R&D collaborative et
projets partenariaux
Un territoire précurseur sur l’animation de
ses filières (politique cluster en 2003)
Un territoire leader sur tous les appels à
projets d’écosystèmes (Pôles de
compétitivité, grappes, RTRA, RTRS…)
Un besoin de rationalisation des initiatives
sectorielles
Un effet de dispersion de financement sur de
multiples réseaux
La gestion de nombreuses interfaces entre les
différents écosystèmes
Transfert de
technologies et
accès au marché
Un importante réseau de PFT et PFMI
De nombreux Instituts Carnot (18 soit la
moitié du réseau national)
La présence de plusieurs living lab et de la
Cité du Design pour les approches usages
La valorisation de la recherche peu organisée à
l’échelle régionale (SATT tardive)
33
Technologies clés génériques
Dans le cadre d’Horizon 2020, l’Union Européenne vise à assurer la promotion de sa production industrielle européenne de
produits et services basés sur les technologies clés génériques (Key Enabling Technologies) qui ont pour caractéristiques
d’être particulièrement diffusantes sur de nombreux marchés. Selon la définition de la Commission :
« Les TCG sont des technologies à forte intensité de connaissances et de capital associée à une forte intensité de recherche et développement (R&D),
à des cycles d'innovation rapides et intégrés, à des dépenses d'investissement élevées et à une main-d'œuvre hautement qualifiée. Leur influence est
omniprésente, car elles catalysent l'innovation dans les processus, les produits et les services dans l'ensemble de l'économie. Elles présentent un
intérêt systémique, sont multidisciplinaires et trans-sectorielles, touchent à de nombreux domaines technologiques, avec une tendance à la
convergence et à l'intégration des technologies, et ont la capacité d'induire des changements structurels. En particulier, les TCG se distinguent par deux
caractéristiques des autres « technologies génériques : elles sont intégrées au cœur des produits innovants et elles stimulent les chaînes de valeur
européennes stratégiques ».
Les six technologies cibles sont : la nanotechnologie, la micro et la nanoélectronique (y compris les semi-conducteurs),
les matériaux avancés, la biotechnologie , la manufacturing et la photonique.
Source : Les technologies clés génériques , UE 2011
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Technologies clés génériques
Les TCG contribuent au développement de technologies révolutionnaires dans des secteurs tels que :
• L’énergie (par exemple, énergies renouvelables, biocarburants, énergie solaire),
• Les transports (p. ex. véhicules de transport plus légers, plus sûrs et économes en énergie),
• La fabrication (p. ex. temps réduits pour les matériaux et les processus, économies d'énergie),
• La chimie (p. ex. traitement écologique), l'environnement (p. ex. capteurs pour la surveillance de l'environnement),
• L'information et la communication (p. ex. puces pour la convergence nomade multimédia et l'informatique en
•nuage),
• La médecine (p. ex. thérapie et dépistage génétiques)
• Les produits de grande consommation (p. ex. téléphones mobiles, éclairage).
Selon Bruxelles, le marché mondial
des technologies clés génériques
devrait approcher 1 300 milliards
d’euros en 2015 (+54% par rapport
à 2008) et cette croissance devrait
avoir des effets très positifs sur
l’emploi en Europe (pour les
nanotechnologies, les prévisions
prévoient 400 000 emplois en
Europe en 2015 pour 160 000
en 2008).
Source : Les technologies clés génériques , UE 2011
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TCG : Micro & Nano électronique
Enjeux technologiques : Les technologies micro et nano électroniques portent sur les limites physiques
et elles nécessitent d’importants investissements (une ligne de production peut atteindre 4,5 Md€). les
nouveaux développements portent aujourd’hui sur deux dimensions : la continuité de la loi de Moore pour
les circuits microélectroniques (More Moore), l’ajout de nouvelles fonctions (More than Moore) :
1.
« More Moore » pour poursuivre le plus loin possible les progrès technologiques (next génération CMOS) et
miniaturiser les dispositifs pour les nœuds technologiques en-deçà de 20 nm,
2. « More than Moore » pour tirer le meilleur parti des technologies existantes, en utilisant de nouveaux concepts
architecturaux : system on a chip (SoC), system in package (SiP). L’intégration hétérogène permet ainsi de
coupler les puces électroniques (mémoires), avec des composants de natures différentes telles que les circuits
numériques, circuits analogiques, circuits de puissance, capteurs, composants RF, diodes, etc. en utilisant de
courtes interconnexions verticales.
Enjeux marchés : Les technologies micro et nano électroniques sont valorisées sur des marchés en
croissance mais marqués par des cycles économiques importants, liés notamment aux évolutions
anticipées des industries clientes. Selon les données du WSTS, le marché mondial des semi-conducteurs
va atteindre 291 Md$ en 2010, contre 226 en 2009 mais 270 en 2008. En dépit de ces variations, le taux
de croissance annuel est de l’ordre de 5%.
Source : Les
technologies clés
2015, DGCIS
Principaux acteurs en France et en RA
• R&D publique : CEA-Leti, Minatec, LAAS, LTM,
IEMN, IEF, LPN, LIRMM, Tima, etc.
• R&D privée : STMicroelectronics, ST Ericsson,
Soitec,Thales Micro, Altis, FREESCALE, Eurofarad, etc.
• Pôles de compétitivité et réseaux : Minalogic,
Catrene, Aeneas (Eniac), cluster Euripides du
programme Eurêka, Instituts Carnot, Coordination
Nationale de la Formation en Microélectronique et en
nanotechnologies (GIP CNFM), etc.
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TCG : Nanomatériaux
Enjeux technologiques : Au-delà des applications actuelles connues des nanotechnologies touchant un
grand nombre de secteurs d’applications industrielles, il est important de souligner que le réel potentiel de
rupture des nanotechnologies repose sur la mise en convergence de nombreuses disciplines telles que la
chimie, la physique, la biologie ou l’ingénierie. En ce sens, les nanotechnologies se positionnent comme
une technologie clé transversale. Les nanotechnologies rassemblent à la fois les nanomatériaux, les
nano-produits, les procédés de fabrication, de manipulation, de caractérisation et les outils de
modélisation-simulation travaillant à des échelles de l’ordre de la centaine de nanomètres. A ces échelles,
la matière présente de nouveaux comportements, de nouvelles propriétés à exploiter.
Enjeux marchés : les nanotechnologies et nano matériaux intéressent de nombreux secteurs soit dans
une logique de recherche d’amélioration incrémentale de la performance, soit dans une logique de
rupture. Sont concernés en particulier : les transports (automobile, aéronautique…), le textile, la
cosmétique, l’alimentaire, la pharmacie, le bâtiment… En 2007, le marché mondial des nanotechnologies
était estimé à 135 milliards de dollars. En 2010, le marché des nanomatériaux seuls est estimé entre 2 et
3 milliards d’euros. Ces valeurs sont encore loin des promesses d’un marché des nanotechnologies
estimé au début des années 2000 à 1 000 milliards de dollars.
Source : Les
technologies clés
2015, DGCIS
Principaux acteurs en France et en RA
• R&D : CEA (Minatec, Leti, etc.), Fédération C’Nano,
Ineris, Inserm, CNRS (IEMN, LPN, IEF, LAAS)
• Intégrateurs/Utilisateurs : Arkema, Marion
Technologies, EADS, Mecachrome, Nanoceram, Olmix,
Rhodia, STMicroelectronics, Saint-Gobain
• Centres de compétences : Pôle Axelera, Aerospace
Valley, Cancer-Bio-Santé, Lyon-Biopôle, Medicen,
Minalogic, System@tic
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TCG : Biotechs blanches
Enjeux technologiques : Les biotechnologies blanches (ou biotechnologies industrielles) consistent en
l’emploi de systèmes biologiques (bactéries/ enzymes) pour la fabrication, la transformation ou la
dégradation de molécules ou de bio-systèmes grâce à des procédés enzymatiques ou de fermentation
dans un but industriel. Elles ont pour objet la fabrication de produits chimiques et de bioénergie. Les
biotechnologies blanches reposent sur deux savoir-faire :
• Les biotechnologies enzymatiques : exploitation de biocatalyseurs ayant la capacité de reconnaître les
formes énantiomériques de molécules complexes.
• L’ingénierie métabolique : utilisation de micro-organismes capables de transformer directement la
biomasse (amidon, cellulose, oléagineux, protéines, saccharose, résidus organiques) ou des minerais
(accumulation de métaux, production de sulfure métallique, volatilisation de métaux par méthylation).
Enjeux marchés : Dans le secteur des biotechnologies industrielles, la valeur des produits biochimiques
(hors produits pharmaceutiques) passera de 1,8 % de l'ensemble de la production chimique en 2005 à un
pourcentage compris entre 12 et 20 % d'ici à 201518. Un récent rapport du Forum économique mondial
(FEM) concluait que la conversion de la biomasse en carburant, en énergie et en produits chimiques
pourrait entraîner une progression de l'économie mondiale de 230 milliards de dollars d'ici à 2020.
Source : Les
technologies clés
2015, DGCIS
Principaux acteurs en France et en RA
• R&D : LISBP (Insa Toulouse), ICSN, IFP, Inra,
Genoscope
• Utilisateurs : Arkema, Aventis, Bioattitude,
Biométhodes, BMSystems, Caspeo, Chamtor,
Deinove,
Lesaffre, Libragen, Metabolic Explorer, Proteus,
Roquette, SNF, Sofiprotéol
• Centre de Compétences : ARD, Industries AgroRessources (IAR), Axelera
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TCG : Procédés avancés
Enjeux technologiques : Les procédés avancés portent sur les technologies pour les surfaces et
l’ingénierie des surfaces. Le traitement de surface et en particulier le dépôt de couche mince sont des
techniques développées dans le but de procurer de nouvelles fonctionnalités ou performances aux
matériaux. Les fonctions recherchées sont multiples : la réflectivité optique, de réaliser des surfaces
anticorrosion, bactéricides, auto-nettoyantes, adhésives, de mouillage, de frottement, de sensibilitérésistance à des espèces chimiques données…
Enjeux marchés : Le marché du dépôt de couche mince est un marché dynamique. À titre d’exemple, le
marché mondial de la CVD (Chemical Vapor Deposition) devrait atteindre les 12 Md$ d’ici à 2013 pour 7,3
Md$ en 2008.
Source : Les
technologies clés
2015, DGCIS
Principaux acteurs en RA
• R&D publique : LTDS (ECL) , DIPI (ENISE), LaMCos
(INSA), LCG (ENISE), CEA Liten
• Entreprises (R&D) : HEF, Impulsion (R&D),
intégrateurs : Renault Trucks, Porcher, Hexcel, Plastic
Omnium, SNR , CAT, Stäubli, MGI Coutier, Ugitech,
Saint Gobain, Essilor…. (intégrateurs)
• Centres de compétences : CETIM, Equipex/Labex
MANUTECH, IFTH, CTP, PEP…
• Pôles de compétitivité : VIAMECA, Techtera,
Plastipolis, Arve Industries
Source : Manutech
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TCG : Numérique
Enjeux technologiques : La filière du numérique est aujourd’hui confrontée à plusieurs natures d’enjeux :
Virage du Cloud Computing.
. La maîtrise croissante du processus de développement du logiciel.
. L’évolution massive vers les applications mobiles et au-delà, l’informatique ubiquitaire et l’internet des objets.
. La montée en puissance de l’ingénierie collaborative et des processus d’innovation ouverte.
. Le sourcing : des données sources de plus en plus diverses et hétérogènes.
. Le bouleversement des modèles économiques
Enjeux marchés : L’industrie européenne du logiciel emploie 2,75 millions de personnes et elle
représente un chiffre d’affaires annuel de 180 Md€. Occupant la seconde place au plan international avec
32% des parts de marché, elle connait un croissance significative sous les effets conjugués du
développement d’internet, des applications mobiles et du cloud computing. Les prévisions prévoient une
activité européenne de 383,5 Md€ en 2020.
Source : Digital
Agenda UE, Cluster
Edit, Usine Nouvelle,
Principaux acteurs en France et en RA
• Entreprises : 10e D’ETI : CEGID (2 300 p), HARDIS (631
p), FIDUCIAL (460 p), VISIATIV (340 p), ESKER (275 p),
DIMO GESTION (220 p) SWORD, EVERTEAM, A-SIS,
CIRIL…, ainsi que et 80 % de PME qui réalisent 45 % du
CA dont certaines pure players web très innovantes
(ANTIDOT, KALISTICK…)
• R&D publique : INRIA, INSA, ENSIMAG, INPG…
• Pôles de compétitivité et clusters : Minalogic,
Imaginove, Edit…
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Contacts
Région Rhône-Alpes
Christine Picard – chef de projet
[email protected]
06.72.81.62.51
Algoé consultants
Olivier EXERTIER - Manager
[email protected]
06 09 25 86 88
Marie-Claire BESANCON - Manager
[email protected]
06 09 25 87 77
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