Introduction :
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Introduction :
SUR LA PRESENCE DE L’ANTI-TOM’, LA MOT’ : Un nouvel aspect de la trollique quantique Boorhïn, B. M., Prof of physical Streumology, Teutrollique Institute (-4, 1, -33) Prensent address: Mountyhall Institute of Trollique (-89, -88, -44) Variables : Ent : Entrollpie t : temps g : gravité E : énergie λ = constante variable trollesque INTRODUCTION : Le Hall est, de toute évidence, régi par des lois et des forces communes à tous les êtres qui y sont présents, comme en attestent les nombreux articles de mes éminents collègues cyclotrolls. Dans cet essai, nous nous attacherons par le biais d’un exemple et d’observations d’évaluer l’importance des particules élémentaires à l’origine des forces du hall, ceci nous permettant d’évaluer la croissance inéluctable de l’entrollpie. I. LE COUPLAGE TOM’-MOT’ : La race du tomawak a été prise comme exemple dans ce sujet car elle présente des caractéristiques qui la mettent à la limite de la physique du hall. Un tom peut en effet disparaître à volonté et il est capable d’envoyer de l’énergie à distance par le biais d’un boson (Shogoki et Nemrod, 2004 ; Cosmotroll, 2004 ; Shogoki, 2004). D’après Shogoki (2004), le tom’ générerait des anti-PV, ce qui, je cite, « est inacceptable ». Ainsi je me permets d’émettre l’hypothèse de la présence d’un anti-tom’, la mot’. Comme l’expérience de collision menée sur le sujet Cosmotroll (Gronïk & Boorhïn, 2005) l’a montré, les statistiques n’ont pas pu expliquer la survie pendant une DLA supplémentaire du cobaye. Le sujet est passé alternativement de tom’ (cumul de deux projos) à mot’, survie pendant une DLA (il se sauve) puis enfin il est redevenu tom quand il est mort. Je passerai sa traversée du trou de ver, approfondi dans Kadjar (2005). Certains diront que cela n’est que le fruit du hasard comme le disait Bidochon (2005), je cite, « c’est l’jeu ma pov’ lucette ». Mais j’affirme que cette observation met en exergue la présence de particules d’apparence neutres mais restant fondamentales qui gouvernent le métabolisme du tom : le fourbon pour le tom’ et la carapat pour la mot’. Le Tomawak semblerait être métaboliquement composé par ces deux particules bien cachées, en équilibre instable. Le fourbon dominant, en métastabilité positive, le tom’, lui permettant de créer des projectiles magiques tout en restant camouflé ainsi que de poser des pièges. La carapat’ est émise du moment que l’énergie dépensée par le projectile est 4 fois supérieure à l’énergie de base permettant de maintenir le tom’ camouflé. Donc si Eprojo > 4E°fourbon alors il y a émission d’une carapat’. Il s’en suit que le tomawak ne compte plus que sur sa mot’ pour survivre. Afin d’unifier ces concepts il est commun d’utiliser une valeur sans dimension strictement croissante qui permettra d’évaluer l’évolution de la stabilité des êtres dans le hall, l’entrollpie. II. L’ENTROLLPIE, FONDEMENT DE LA TROLLIQUE QUANTIQUE : Après de nombreuses recherches sur la trollique quantique, nous estimons que chaque entité dans le hall a sa propre valeur d’entrollpie. Cette entrollpie est strictement proportionnelle à l’énergie potentielle de tout corps du Hall (Le Hall ayant une entrollpie luimême). La somme des entrollpies du Hall est égale à ce qui est appelé fort vulgairement par un dénommé DM les « ressources ». J’avoue ne pas comprendre pourquoi il l’appelle comme ça. Mais revenons plutôt à nos gnus. L’entrollpie est fonction du temps puisque plus un troll ou un monstre vieillit, plus son énergie de collision, en cas d’interaction, est forte. Donc, Ent = f(t). Nous pouvons estimer que la tendance générale du hall est de faire disparaître les monstres et de faire remonter les trolls à la surface. Si nous regardons ce phénomène inéluctable sur les trolls (ils ont probablement été créés pour bronzer), l’entrollpie d’un troll baisse quand il monte à la surface (perte de mouches/trésors). Cette observation nous permet de dire que, de manière répétitive, l’entrollpie du troll baisse jusqu’à contrer la gravité et le faire remonter à la surface. Ce phénomène entraînant une création d’anti-PV (Shogoki, 2004) et une forte dissipation d’énergie résultante. Cette dissipation d’énergie est capable de créer les « trous-de-ver » (Kadjar, 2005) et de volatiser temporairement les mouches. L’entrollpie n’est jamais négative mais dans ce cas exceptionnel, elle est capable de baisser. Si on accepte que cela arrive régulièrement en fonction de l’énergie de collision subie par le troll alors : E troll (t) = λ Ent troll Ent troll = f(t)+gxsin(µ) Où µ= f(Ent° troll*λ-Efriction) Il est aussi remarquable que les fortes différences d’entrollpie entre les corps du hall génèrent une énergie potentielle considérable entre ces corps. Par exemple un troll à faible entrollpie (A) à proximité d’un/de monstres/ trolls (B) dont l’entrollpie totale est exponentiellement plus forte (Ent B > e Ent A) va générer un champ d’attraction infini poussant A et B à se retrouver en milieu confiné. Ainsi par énergie de collision, Ent A va rapidement baisser de gxsin (µ) et si Ent B < 9x Ent A alors Ent B va croître. Ceci est confirmé par le passage d’un milieu non confiné (tom-tom) à un milieu confiné lors de l’interaction Madcyclo-Teutrollique décrite par Gronik & Boorhïn (2005). III. SYNTHESE ET CONCLUSIONS : L’entrollpie est une valeur croissante proportionnelle à de nombreux paramètres qu’il est difficile d’estimer. L’entrollpie d’un corps est la somme de particules élémentaires encore mal connues comme le fourbon pour le tom et le blindon du durak (boorhïn, in prep). Etant donné que les mouches sont une fonction du temps il est probable qu’elle participent à des croissance brutales de l’entrollpie. Notamment, je soupçonne les mouches à lunettes de contenir de nombreux fourbons. L’estimation de l’entrollpie des corps, déjà abordée sans le savoir avec le CdMBE (Connaissance des Monstres à Balayage Electrollique) et le AAS (Analyse Anatomique Spectrollmétrique), nous permettra d’estimer et de mieux comprendre les énergies potentielles de collision entre tous les corps du hall. Cette connaissance ne peut être abordée que par l’observation des actions que le troll effectue de façon naturelle depuis plusieurs cycles. En conclusion, si toute cette énergie de collision pouvait être canalisée dans un seul cerveau de troll, il en résulterait un effroyable mal de crâne pour le troll en question et soit il exploserait, soit il comprendrait les fondements de la trollique quantique, alors que nous n'en sommes nous-mêmes qu'aux balbutiements. Je ne peux donc qu’encourager la poursuite des expériences de collision menées par l’équipe des Madcyclotrolls car elle pourrait à terme créer une sorte de messie de la science trollique. La poursuite de ce but totalement désintéressé exige un grand nombre de sacrifices mais les générations futures n’en seront que plus reconnaissantes. REFERENCES Bidochon, 2005 – Comme disait Lucette, Ed. Gibert Trollef, 12500p. Boorhïn, in prep - L'activité des particules élémentaires trolliques neutres : métabolisme unitaire trollesque : le blindon du Durakuir Cosmotroll, 2004 – Grand collisionneur de Trolls - Review of Modern CycloTrolls, 1, p.1 Gronïk & Boorhïn, B.M., 2005 – Efficience de la combinaison Pistage/DE/Collision dans un espace à 5 Teutrolliques et un Tomawak Madcyclotroll - Review of Modern CycloTrolls, 3, p.1 KadJar, 2005 - Sur l'existence de "trous de ver" trollquantiques entre les niveaux souterrains et la surface - Review of Modern CycloTrolls, 2, p.3 Shogoki, 2004 – Des trésors et de leurs secrets - Review of Modern CycloTrolls, 1, p.3 Shogoki et Nemrod, 2004 – Bases d’une théorie des champs trollesques - Review of Modern CycloTrolls, 1, p.4 . REMERCIEMENTS : Je tiens à remercier Since et Millia pour l’inspiration ainsi que Séraphin Dethez pour sa disponibilité et Gronïk pour ses conseils avisés. Mes bénédictions aussi à ceux qui liront ça jusqu’au bout, merci.