Ouija , n` touchez jamais. - Paranormal Investigations Belgique

Transcription

Ouija , n` touchez jamais. - Paranormal Investigations Belgique
Cheval fantôme
Cheval fantôme
Lors d’ une manifestation au Caire, une
apparition spectaculaire a eu lieu et a
été reprise par des dizaines de chaîne de
télévision.
Regardez la vidéo c’ est surprenant !
Lieux effrayants du monde
Lieux effrayants du monde.
Voici une liste des lieux classés parmi les plus terrifiants
du monde, de par leur histoire et les événements qui s’y sont
produits.
Asile hanté ?
Asile hanté ?
Les hopitaux psychiatriques à travers le monde ne se compte
plus.
Mais pourquoi ont ils été abandonnés et réduits en ruines ?
Les chasseurs de fantômes en font leurs lieux de pèlerinage.
Mais ces asiles sont ils hantés parcequ’ ils sont abandonnés ?
Le premier hôpital psychiatrique est fondé à Bagdad en l’an
705, et les asiles psychiatriques ont été bâtis à Fès au début
duviiie siècle, au Caire en l’an 800 ainsi qu’à Damas et Alep
en l’an 1270. Les patients étaient bénévolement traités à
l’aide de bains, médicaments, musiques et autres activités
thérapeutiques.
Les hôpitaux psychiatriques modernes ont évolué depuis, et ont
finalement remplacé les asiles psychiatriques en Europe. Le
développement de l’hôpital psychiatrique moderne implique
également l’évolution de la psychiatrie institutionnelle.
L’institutionnalisation en guise de solution pour les « fous »
était fréquente durant le dix-neuvième siècle. En France,
Jean-Étienne Esquirol est à l’origine de la loi qui rendit la
création des hôpitaux psychiatriques obligatoire dans chaque
département en 1838.
Les premiers traitements administrés dans les premiers asiles
psychiatriques impliquaient souvent des restrictions ou
confinements brutaux. À la suite de nombreuses vagues
successives de réformes, et aux changements de méthodes dans
les traitements, les hôpitaux psychiatriques adaptent
désormais leur traitement dans le but d’aider les patients à
être indépendant grâce aux médicaments et aux psychothérapies.
Le psychiatre américain Thomas Szasz insiste sur le fait que
les hôpitaux psychiatriques sont considérés comme des prisons,
non comme des hôpitaux, et que les psychiatres eux sont perçu
comme juges et des gardes, non comme des cliniciens 7 .
L’historien français Michel Foucault est grandement connu pour
sa critique compréhensive de l’usage et de l’abus du système
hospitalier psychiatrique dans sa thèse intitulée Histoire de
la folie à l’âge classique. Erving Goffman, lui, crédite le
terme d’« Institution totale » concernant les hôpitaux
psychiatriques et lieux connexes qui isolent une personne de
la vie extérieure. Goffman place les hôpitaux psychiatriques
dans la même catégorie que les camps de concentration, les
prisons, les organisations militaires et les orphelinats.
Photographie post-mortem
Photographie post-mortem
La photographie post mortem (également connue sous le nom
photographie funéraire) est la pratique de photographier des
personnes récemment décédées. Ces photographies de proches
décédés faisaient partie de la culture américaine et
européenne au XIXe et début du XXe siècles. Commandées par les
familles en deuil, ces photographies les accompagnaient non
seulement dans le processus de deuil, mais souvent
représentaient le seul souvenir visuel du défunt et étaient
parmi les biens les plus précieux de la famille
L’invention de la daguerréotype en 1839 permis de démocratiser
le portrait et de le rendre accessible, même aux personnes
moins aisées. Avant l’invention de la photographie, l’unique
moyen d’obtenir un portrait pour la postérité étant de
commissionner un peintre. Les méthodes photographiques
développées à cette époque deviennent de moins en moins
coûteuses et plus rapides.
La photographie post-mortem se développe dans les premières
décennies de la photographie et devient très commune au
xixe siècle. Elle permet aux familles de conserver au moins une
photographie de la personne disparue. Dès 1842, l’atelier
parisien Frascari propose
personnes décédées.
des
portraits
à
domicile
de
Parmi les photographies post-mortem, les photographies de
nourrissons et de jeunes enfants sont courantes. Durant l’ère
victorienne, le taux de mortalité enfantine était extrêmement
4
élevé .
Plus tard, l’invention de la carte de visite, qui a permis le
tirage de plusieurs images sur le même négatif donna la
possibilité aux familles de pouvoir avoir plusieurs tirages
qu’elles pouvaient par exemple envoyer aux parents de la
personne décédée.
La pratique atteint son pic de popularité vers la fin du
xixe siècle et en très fort déclin à partir de l’apparition de
la photographie instantanée. Quelques portraits commémoratifs
officiels furent encore produits au cours du xxe siècle.
Style et mise en scène
Photographie funéraire d’une jeune femme par Ole Tobias Olsen
entre 1860 et 1900.
Les premières photos post-mortem avaient pour but de créer une
image du défunt qu’il n’avait pas pu faire ou avoir de son
vivant. Les personnes décédées étaient alors placées et
positionnées pour faire penser qu’elles étaient simplement
assoupies ou bien placées de manière à apparaître plus
réalistes, les yeux ouverts. Les enfants étaient souvent
représentés au repos sur un canapé ou dans un lit d’enfant,
parfois avec jouet. Il n’a pas été rare de photographier de
très jeunes enfants avec un membre de la famille, le plus
souvent la mère. Certaines images (en particulier
les ferrotypes et ambrotypes), étaient parfois teintées pour
ajouter par exemple un peu de rose aux joues du défunt.
Les photographies représentant les personnes décédées dans un
cercueil ou lors des funérailles apparurent plus tard. Moins
populaires aux États-Unis, elles étaient plus courantes en
Europe.
La photographie post-mortem est encore pratiquée dans
certaines régions du monde, comme l’Europe de l’Est.
Ouija
Ouija , n’ y touchez jamais.
Les esprits se servent de nos sens pour nous tromper, la ouija
est un objet des démons .
Ouija
La véritable histoire de la planche Ouija est autant
mystérieuse que la façon dont le « jeu »fonctionne.
L’historien de la Ouija Robert Murch a fait des recherches sur
l’histoire de la planchedepuis 1992; quand il a commencé ses
recherches, il dit, personne ne connaissait réellement ses
origines, ce qui lui paraissait plutôt inhabituel: « Qu’un tel
objet légendaire qui a à la fois suscité de la peur et de
l’émerveillement dans la culture Américaine, comment se faitil que personne ne sache son origine? »
La planche Ouija, en fait, provient directement de l’obsession
du spiritualisme Américain du 19è siècle, la croyance que les
morts sont capables de communiquer avec le vivant. Le
Spiritualisme, qui perdurait pendant des années en Europe, a
violemment touché l’Amérique en 1848 avec l’importance des
Sœurs Fox de l’État de New York; les sœurs déclaraient
recevoir des messages d’esprits qui frappaient sur le mur pour
répondre aux questions, recréant cet exploit de canaliser
(channeling) dans les petits salons à travers l’état. Aidé par
les histoires sur la célébrité des sœurs et d’autres
spiritualistes, le spiritualisme a atteint des millions
d’adhérents à son apogée dans la deuxième moitié du 19è
siècle. Le Spiritualisme fonctionnait pour les Américains: il
était compatible avec le dogme Chrétien, cela voulant dire que
quelqu’un pouvait tenir une séance le Samedi soir et aller à
l’église le jour d’après. C’était une activité acceptable, et
même saine, de contacter les esprits lors de séances, par
l’écriture automatique, ou les fêtes de tables tournantes,
dans lesquelles les participants plaçaient leurs mains sur une
petite table et la voyaient trembler et vibrer, alors qu’ils
déclaraient tous qu’ils ne la bougeaient pas. Le mouvement a
également offert du réconfort à une époque où l’espérance de
vie moyenne était inférieure à 50 ans: les femmes mouraient
lors de l’accouchement; les enfants mouraient de maladies; et
les hommes mouraient à la guerre. Même Mary Todd Lincoln, la
femme du vénérable président, tenait des séances à la Maison
Blanche après la mort de son fils de 11 ans à cause d’une
fièvre en 1862; pendant la guerre civile, le spiritualisme
gagna des adhérents en masse, des gens désespérés de se
connecter avec leurs tendres amours qui étaient partis pour la
guerre et ne revinrent jamais à la maison.
« Communiquer avec les morts était monnaie courante, cela
n’était pas perçu comme bizarre ou étrange, » explique Murch.
« Il est difficile d’imaginer cela aujourd’hui, nous y jetons
un œil et pensons, ‘pourquoi est-ce que vous ouvrez les portes
de l’enfer?’ »
Mais ouvrir les portes de l’enfer n’était pas ce qui était à
l’esprit de quiconque quand ils lancèrent laKennard Novelty
Company, les premiers producteurs de la planche Ouija; en
fait, ils avaient plutôt envie d’ouvrir les portes monnaies
des Américains.