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IL BARBIERE
DI SIVIGLIA
LE BARBIER DE SÉVILLE
Gioacchino Rossini
OPERA BUFFA EN DEUX
ACTES 1816
DIRECTION MUSICALE
Giacomo Sagripanti
MUSIQUE
Gioacchino Rossini
(1792-1868)
LIVRET
Cesare Sterbini
D’APRÈS
Pierre-Augustin Caron
de Beaumarchais
MISE EN SCÈNE
Damiano Michieletto
En langue italienne
CHEF DES CHŒURS
José Luis Basso
Surtitrage en français
et en anglais
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DÉCORS
Paolo Fantin
COSTUMES
Silvia Aymonino
LUMIÈRES
Fabio Barettin
Orchestre et Chœurs
de l’Opéra national de Paris
IL CONTE D’ALMAVIVA
Lawrence Brownlee
BARTOLO Nicola Alaimo
ROSINA Pretty Yende
FIGARO Alessio Arduini
BASILIO Ildar Abdrazakov
FIORELLO Pietro Di Bianco
BERTA Anaïs Constans
UN UFFICIALE
Laurent Laberdesque
La création
Le Barbier de séville a été créé au Teatro
Argentina de Rome le 20 février 1816.
L’œuvre
En 1775, Le Barbier de Séville de
Beaumarchais était créé à la Comédie
Française. Le sujet inspira rapidement
de nombreux musiciens, en particulier
Giovanni Paisiello, compositeur très populaire à l’époque, dont l’opéra-bouffe homonyme vit le jour à Saint-Pétersbourg en
1782 avec un vif succès. Lorsque, une trentaine d’années plus tard, Rossini s’attaqua
à son tour à la pièce de Beaumarchais, il
adopta un titre différent (Almaviva ossia
l’inutile precauzione) afin d’éviter toute
accusation de plagiat et il demanda même
par écrit à Paisiello l’autorisation d’utiliser le sujet ! Malgré cela, la première fut
un échec retentissant : les admirateurs de
Paisiello ne pardonnèrent pas à ce jeune
compositeur inconnu de vingt-quatre
ans d’oser se mesurer au célèbrissime
vieux maître. Pourtant, l’opéra de Rossini
s’imposa rapidement et finit même par
supplanter totalement celui de Paisiello.
Le Barbier de Séville marque un tournant
dans la production comique de Rossini. Au
contraire de L’italienne à Alger ou du Turc
en Italie, qui se situent dans le registre
de la pure bouffonnerie, l’œuvre satisfait
aussi bien les amateurs de comique pur
que les partisans d’un théâtre de caractère. Les personnages affrontent ici des
situations concrètes et s’intègrent dans un
climat social défini. Rossini leur a donné
une dimension crédible et une épaisseur
musicale inhabituelles dans l’opéra-bouffe
italien.
L’œuvre à l’Opéra de Paris
Représenté pour la première fois à l’Académie Royale de Musique (salle Le Peletier), le 14 janvier 1828, avec Henriette
Sontag dans le rôle de Rosine, Le Barbier
de Séville a été créé au Palais Garnier le
19 mai 1912, par les artistes de l’Opéra
de Monte-Carlo, avec Elvira de Hidalgo
(Rosine). En avril 1930, l’œuvre est donnée
en italien par la compagnie de Conchita
Supervia, puis trois ans plus tard, en français, dans une mise en scène de Jacques
Rouché. En 1969, Paul-Emile Deiber signe
une nouvelle mise en scène dont les représentations ont lieu au Palais de Chaillot et,
en 1971, Maurice Sarrazin met en scène,
en alternance, Mady Mesplé et Christiane
Eda-Pierre dans le rôle de Rosine. Dix
ans plus tard, l’œuvre revient à l’affiche
au Théâtre des Champs-Élysées, sous la
direction musicale de Gianfranco Rivoli et
dans une mise en scène de Maurice Bénichou. En 1985, elle retrouve la scène de
l’Opéra-Comique, où elle a été représentée de nombreuses fois, dans une mise en
scène de Jean-Marie Simon, sous la direction musicale de Hans Graf et avec, entre
autres, Suzanne Mentzer, Gabriel Bacquier
et Ruggero Raimondi. Les dernières représentations, ont eu lieu au Palais Garnier
en 1992, dans une production de l’Opéra
d’Amsterdam, mise en scène par Dario Fo
et sous la direction de Marcello Viotti, avec,
entre autres, Jennifer Larmore, Ferruccio
Furlanetto et Gino Quilico.
Le Barbier de Séville a fait son entrée à
l’Opéra Bastille en 2002, dans une mise
en scène de Coline Serreau, avec Joyce
DiDonato/Sophie Koch (Rosine), Roberto
Sacca/Bruce Ford (Almaviva), Dalibor
Jenis (Figaro), Carlos Chausson (Bartolo),
Kristinn Sigmundsson/Ferruccio Furlanetto
(Basilio), sous la direction musicale de
Bruno Campanella. En 2014, Damiano
Michieletto fait ses débuts à l’Opéra de
Paris avec une nouvelle production de ce
chef-d’œuvre populaire. C’est cette production qui est de nouveau à l’affiche.
Lola Guerrera, Veranillo de San Miguel 030, 2011 © LOLA GUERRERA / VOZ’IMAGE
Synopsis
ACTE I
Une place à Séville. Accompagné de
quelques musiciens affamés et indisciplinés, le Comte Almaviva vient donner une
sérénade sous les fenêtres de la jeune
Rosine, pupille du docteur Bartolo, dont il
est amoureux.
Arrive Figaro, le barbier de Bartolo. Le
Comte reconnaît en lui son ancien serviteur et lui demande son aide pour approcher sa belle. Rosine apparaît sur le balcon
et laisse tomber un billet dans lequel elle
encourage son soupirant à poursuivre sa
cour. Almaviva le ramasse prestement et
répond par une nouvelle sérénade, dans
laquelle il prétend se nommer Lindoro,
étudiant désargenté et amoureux. Figaro,
très alléché par les largesses d’Almaviva,
accepte d’aider ce dernier à s’introduire
dans la maison du vieux docteur. Il lui
suggère de se déguiser en militaire, muni
d’un billet de logement, et de réquisitionner une chambre chez Bartolo.
Un salon dans la maison de Bartolo. Rosine
affirme sa détermination à s’échapper de
la cage dorée où son tuteur la tient enfermée. Basile, son maître de musique, vient
avertir Bartolo de la présence à Séville du
Comte Almaviva, que l’on dit amoureux
de Rosine.
Cette nouvelle inquiète fort Bartolo, décidé
à épouser lui-même sa pupille, dont il
convoite la dot.
Il cherche avec Basile un moyen de discréditer Almaviva aux yeux de Rosine, peutêtre une campagne de calomnie… Selon le
plan prévu par Figaro, le Comte, déguisé en
soldat et simulant l’ivresse, fait irruption
dans la maison et présente son billet de
logement, en dépit des protestations de
Bartolo. Une vive dispute oppose les deux
hommes. L’esclandre provoque l’arrivée de
la garde, mais l’officier qui la commande,
discrètement mis au courant de l’identité
du noble fauteur de troubles, repart sans
l’arrêter, à la stupéfaction de Bartolo.
ACTE II
Chez Bartolo. Almaviva se présente cette
fois comme l’élève de Basile, venu remplacer le maître de musique soi-disant souffrant, afin de donner à Rosine sa leçon de
chant. Il parvient à s’attirer la confiance
de Bartolo en lui proposant de l’aider à
calomnier le Comte auprès de la jeune
fille. Figaro survient pour raser Bartolo afin
de détourner son attention et de favoriser
l’entretien entre Rosine et le faux maître
de musique. Basile survient inopinément, à
la grande surprise de Bartolo qui le croyait
malade. Une bourse bien remplie parvient à
convaincre Basile qu’il est souffrant et doit
s’aliter sans tarder. Mais Bartolo surprend
le tendre entretien des amoureux. Furieux,
il chasse le prétendu maître de musique et
décide de hâter son mariage avec Rosine. Il
parvient à la convaincre que son soupirant
se moque d’elle et veut la séduire pour le
compte d’un autre. Désespérée, la jeune fille
décide d’épouser son tuteur pour se venger.
La nuit tombe et un orage éclate. Figaro et
le Comte s’introduisent discrètement dans
la maison mais Rosine repousse le jeune
homme. Le malentendu est vite dissipé et
les amoureux se réconcilient. Un notaire
survient afin de signer le contrat de mariage
entre Rosine et Bartolo. Figaro retourne la
situation et entreprend de faire signer le
contrat entre Rosine et Almaviva, avec
Basile pour témoin. L’offre d’une bague précieuse et la menace d’un pistolet achèvent
de convaincre Basile de trahir Bartolo, le
contrat est signé.
Quand Bartolo arrive et veut faire arrêter
Almaviva, il est trop tard, le mariage est
prononcé. Devant le Comte qui dévoile sa
véritable identité, le docteur doit s’incliner.
La promesse du Comte de lui laisser la dot
de sa pupille calme son dépit.
Damiano
Michieletto
MISE EN SCÈNE
Damiano Micchieletto s’est imposé
en peu de temps sur la scène
internationale comme un des
représentants de la jeune génération
des metteurs en scène italiens. Il a
étudié la mise en scène d’opéras et
de spectacles à l’École d’Art
Dramatique de Poala Grassi à Milan
et est diplômé en Littérature contemporaine de l’Université Ca’
Foscari à Venise, sa ville natale. En 2003, il fait ses débuts au
Wexford Opera Festival avec la production de Svanda Dudak de
Weinberger, qui fut très acclamée et pour laquelle il reçoit l’Irish
Times Theatre Award de « L’Opéra de l’année ». Parmi ses autres
productions d’opéras nous citerons : Il Dissoluto Punito de Carnicer au
Mozart Festival de La Coruna ; L’Italiana in Algeri au Théâtre
Olympique de Vicence ; La Gazza Ladra et La Scala di Seta au
Rossini Opera Festival à Pesaro, co-produit avec le Théâtre
Communale de Bologne ; Il Cappello di Paglia di Firenze au Théâtre
Carlo Felice de Gêne ; Jackie O’ au Lugo Opera Festival ; Lucia di
Lammermoor, Il Corsaro et Luisa Miller à l’Opernhaus Zurich ; Roméo
et Juliette et Don Giovanni au Théâtre La Fenice de Venise ; une
reprise de La Gazza Ladra au Théâtre Communale de Bologne ;
Die Entführung aus dem Serai au San Carlo de Naples ; Il Barbiere di
Siviglia à Genève ; Madama Butterfly à Turin ; L’Elisir d’Amore à
Valence ; The Greek Passion à Palerme ; Così fan tutte au Nouveau
Théâtre National de Tokyo, Don Giovanni, Le Nozze di Figaro et Così
fan tutte à Venise ; La Bohème au festival de Salzburg et à
Shanghai ; Il Trittico au Théâtre an der Wien et à Copenhague ; L’Elisir
d’Amore à Graz et Madrid ; Poliuto à Zurich. En 2013, il met en scène
Il Barbiere di Siviglia à Valence et Saint-Étienne, une nouvelle
production de Falstaff pour le Salzburg Festival, Un Ballo in maschera
et La Scala di Seta au Théâtre de la Scala.
Pour la saison 14-15 Damiano Michieletto présentera Il viaggio a
Reims, au Nederlandse Opera d’Amsterdam, Guillaume Tell à
Londres, au Royal Opera House, et les reprises de ses productions
Il Barbiere di Siviglia et Così fan tutte respectivement à l’Opéra
national de Paris et au Liceu de Barcelone. Il s’implique également
énormément dans le théâtre dramatique, très important dans son
parcours artistique. Il a mis en scène une édition très originale et
appréciée de Il Ventaglio de Goldoni et plus récemment L’Ispettore
generale di Gogol avec le Teatro Stabile de Veneto, dans une vision
corrosive et envoutante. La saison prochaine Daminao Michieletto
mettra en scène pour le Piccolo Teatro de Milan, Divinas Palabras de
Ramón María del Valle-Inclán, texte fondamental et visionnaire du
théâtre espagnol du 19e siècle suspendu entre le tragique et le
grotesque.
GIOACCHINO
ROSSINI
(1792-1868)
Gioacchino Rossini (né à Pesaro
le 29 février 1792, mort à Passy
le 13 novembre 1868).
Fils de musiciens (son père jouait du cor
et sa mère chantait dans des troupes
d’opéras forains), Rossini travaille lui-même le chant et l’harmonie à
Bologne, sous la férule de l’abbé Mattei. Dès l’âge de dix-huit ans, il fait
représenter à Venise son premier opera buffa, La Cambiale di matrimonio,
qui sera vite suivi d’ouvrages du même genre (L’Inganno felice, L’Occasione
fa il ladro, etc). En 1813, la création de Tancrède, également à Venise, lui
ouvre les portes du succès et fait de lui le maître incontesté de la scène
lyrique italienne pendant de nombreuses années. Les œuvres se
succèdent à un rythme effréné : Le Barbier de Séville et Otello en 1816,
La Cenerentola et Armide en 1817, La Donna del lago en 1819, Maometto II
en 1821, Semiramis en 1823, etc. À partir de 1824, il se fixe à Paris.
C’est là qu’il crée son dernier opéra, Guillaume Tell (1829), et vit jusqu’à sa
mort, tout en continuant à exercer une influence sur la vie musicale
parisienne et à s’adonner à certaines passions comme la cuisine (on lui
doit la recette du fameux « tournedos »). STEPHANE
LISSNER
DIRECTEUR DE L'OPÉRA NATIONAL DE PARIS
Né le 23 janvier 1953 à Paris, Stéphane
Lissner a dirigé durant toute sa carrière
des théâtres, des festivals et des maisons
d’opéras en France et en Europe.
Il monte sa première pièce de théâtre à
l'âge de seize ans puis crée, à dix-huit
ans, son propre théâtre dans une salle
du 7e arrondissement de Paris, le Théâtre
Mécanique, où il travaille notamment
avec Alain Françon et Bernard Sobel
entre 1972 et 1975. Il y exerce tous les
métiers : régisseur, électricien, auteur ou
encore metteur en scène.
Il est ensuite nommé secrétaire général du
Centre dramatique national d'Aubervilliers
(1977-1978) puis codirige le Centre dramatique national de Nice jusqu'en 1983.
En 1984-1985, il enseigne la gestion des
institutions culturelles à l'université ParisDauphine. De 1984 à 1987, il dirige le festival parisien Printemps du théâtre.
Il est administrateur du Théâtre du Châtelet (Théâtre musical de Paris) dès 1983
puis en est nommé directeur général en
1988. Il le restera dix ans, tout en assumant en parallèle la direction générale de
l'Orchestre de Paris (1993-1995).
De 1998 à 2006, il prend la direction du
Festival international d'art lyrique d'Aix-enProvence. Il y crée l'Académie européenne
de Musique, conçue comme un prolongement du festival vers la pédagogie et la
promotion de jeunes talents.
Parallèlement, il co-dirige avec Peter Brook
le Théâtre des Bouffes du Nord entre 1998
et 2005. En 2002, il s'associe avec Frédéric Franck pour reprendre le Théâtre de la
Madeleine, qu'il quittera en 2011.
De 2005 à 2014, il devient surintendant et
directeur artistique du Teatro della Scala
de Milan. Il en est le premier directeur
non Italien. De 2005 à 2013, il est également directeur de la musique des Wiener
Festwochen en Autriche.
Au cours de sa carrière, il a travaillé avec
les plus grands chefs d’orchestre, metteurs
en scène ou chorégraphes parmi lesquels :
Daniel Barenboim, Pierre Boulez, William
Christie, Simon Rattle, Esa-Pekka Salonen… ;
Luc Bondy, Stéphane Braunschweig, Patrice
Chéreau, Klaus-Michael Grüber, Claus Guth,
Mario Martone, Peter Sellars, Peter Stein,
Dmitri Tcherniakov, Robert Wilson… ; Pina
Bausch, William Forsythe…
Nommé directeur délégué de l’Opéra
national de Paris en octobre 2012, il a pris
ses fonctions le 1er août 2014.
Stéphane Lissner est chevalier de la
Légion d'honneur, officier de l'Ordre National du mérite et de l'Ordre du Mérite de la
République italienne. PHILIPPE
JORDAN
DIRECTEUR MUSICAL
Directeur Musical de l’Opéra national de
Paris et Directeur Musical des Wiener Symphoniker depuis de la saison 2014-2015,
Philippe Jordan est déjà reconnu comme
l’un des chefs d’orchestre les plus doués et
les plus passionnants de sa génération. Il
prend à 6 ans sa première leçon de piano.
À 8 ans, il rejoint les Zürcher Sängerknaben et à 11 ans commence le violon. En
1994, à l’âge de 16 ans, il entre au conservatoire de Zurich où il obtient le diplôme
de professeur de piano avec mention. Il
étudie parallèlement avec le compositeur
suisse Hans Ulrich Lehmann et continue
ses études de piano auprès de Karl Engel.
Dans la même période, il travaille comme
assistant de Jeffrey Tate sur le Ring de
Wagner présenté au Théâtre du Châtelet.
Philippe Jordan commence sa carrière
comme Kapellmeister au Stadttheater
d’Ulm en 1994-1995. De 1998 à 2001, il est
assistant de Daniel Barenboim à la Deutsche
Staatsoper de Berlin. De 2001 à 2004, il est
Directeur musical de l’Opéra de Graz et de
l’Orchestre Philharmonique de Graz, puis de
2006 à 2010 principal chef invité à la Staatsoper Unter den Linden Berlin.
Pendant ce temps, il fait ses débuts dans les
plus importants opéras et festivals internationaux comme le Semperoper de Dresde, le
Royal Opera House Covent Garden, l'Opéra
de Zurich, la Wiener Staatsoper, le Metropolitan Opera New York, le Théâtre royal de La
Monnaie de Bruxelles, le Teatro alla Scala de
Milan, la Bayerische Staatsoper de Munich,
le Festival de Bayreuth, le Festival de Glyndebourne, le Salzburger Festspiele et le Festival d’Aix-en-Provence.
En concert, Philippe Jordan a dirigé les Berliner Philharmoniker, le Philharmonia Orchestra de Londres, l'Orchestre de Chicago,
l'Orchestre de Cleveland, l’Orchestre de Philadelphie, le National Symphony de Washington, l'Orchestre Philharmonique de New
York, les Wiener Philharmoniker, la Staatskapelle de Berlin, le NDR Hamburg, le DSO
Berlin, le Filarmonica della Scala, l’Accademia Nazionale di Santa Cecilia de Rome,
l’Orchestre Philharmonique de Radio France,
l’Orchestre Gustav Mahler des Jeunes et
le Tonhalle de Zurich. Il se produit régulièrement en tant que pianiste en récitals et
musique de chambre.
Au cours de la saison 2014/15, Philippe
Jordan se consacre entre autres, avec les
Wiener Symphoniker, à un cycle intégral des
symphonies de Schubert, à des compositions contemporaines et aux grands oratorios de Bach. À l’Opéra national de Paris, il
dirige les nouvelles productions de L’Enlèvement au sérail et du Roi Arthus, la reprise de
Pelléas et Mélisande ainsi que l’intégrale des
symphonies de Beethoven. Il sera présent au
Bayerische Staatsoper de Munich avec une
nouvelle production d’Arabella et une reprise
de Tristan et Isolde.
Philippe Jordan a enregistré en DVD Werther
(Wiener Staatsoper), Doktor Faust (Opernhaus Zurich), Salomé (Covent Garden), Les
Noces de Figaro (Opéra national de Paris).
Il a également enregistré l’intégrale des
concertos pour piano de Beethoven avec
François-Frédéric Guy et l’Orchestre Philharmonique de Radio France ainsi que
Pelléas et Mélisande avec l’Orchestre
de l’Opéra national de Paris (Naïve), le
Requiem de Verdi et des extraits symphoniques du Ring des Nibelungen (Erato/
Warner Classics). Pour ces trois derniers
enregistrements, il a été nommé « Artiste
de l’année – Classica 2013 ».
En septembre 2014 il a enregistré en CD la
symphonie Pathétique de Tchaïkovski avec
les Wiener Symphoniker.
Durée des spectacles *
OPÉRA
MADAMA BUTTERFLY
PLATÉE
DON GIOVANNI
MOSES UND ARON
L’ELISIR D’AMORE
LE CHÂTEAU DE BARBEBLEUE / LA VOIX HUMAINE
LA DAMNATION DE FAUST
WERTHER
CAPRICCIO
IL TROVATORE
IL BARBIERE DI SIVIGLIA
DIE MEISTERSINGER VON
NÜRNBERG
IOLANTA / CASSE-NOISETTE
RIGOLETTO
DER ROSENKAVALIER
LEAR
LA TRAVIATA
AIDA
BALLET
BALANCHINE / MILLEPIED /
ROBBINS
ANNE TERESA DE
KEERSMAEKER
LA BAYADÈRE
WHEELDON / MCGREGOR /
BAUSCH
BATSHEVA DANCE COMPANY
BEL / ROBBINS
IOLANTA / CASSE-NOISETTE
ROMÉO ET JULIETTE
RATMANSKY / BALANCHINE /
ROBBINS / PECK
SPECTACLE DE L'ÉCOLE DE
DANSE
LES APPLAUDISSEMENTS
NE SE MANGENT PAS
GISELLE
ENGLISH NATIONAL BALLET
PECK / BALANCHINE
FORSYTHE
1re PARTIE
ENTRACTE
2e PARTIE
19.30 - 20.25
19.30 - 20.45
19.30 - 21.05
19.30 - 21.15
19.30 - 20.45
30'
30'
35'
20.55 - 22.25
21.15 - 22.20
21.40 - 23.10
30'
21.15 - 22.15
ENTRACTE
3e PARTIE
TOTAL
2h55
2h50
3h40
1h45
2h45
19.30 - 21.25
1h55
19.30 - 20.40
19.30 - 20.20
19.30 - 22.00
19.30 - 20.45
19.30 - 21.05
30'
25'
21.10 - 22.20
20.45 - 21.25
30'
30'
21.15 - 22.25
21.35 - 22.35
17.30 - 18.55
45'
19.40 - 20.40
19.00 - 20.30
19.30 - 20.30
19.00 - 20.15
19.30 - 20.55
19.30 - 20.05
19.30 - 20.45
35'
30'
30'
30'
30'
30'
21.05 - 22.45
21.00 - 22.05
20.45 - 21.40
21.25 - 22.30
20.35 - 21.40
21.15 - 22.20
1re PARTIE
ENTRACTE
2e PARTIE
20.30 - 21.00
25'
21.25 - 22.20
1h50
19.30 - 20.25
20'
20.45 - 21.15
1h45
19.30 - 20.20
20'
20.40 - 21.20
20'
21.40 - 22.20
2h50
19.30 - 20.00
20'
20.20 - 20.50
20'
21.10 - 21.40
2h10
21.40 - 22.30
1h00
2h00
3h45
3h00
25'
21.50 - 23.00
30'
21.10 - 23.15
25'
22.05 - 23.05
25'
22.05 - 22.40
ENTRACTE
3e PARTIE
2h50
3h30
2h30
2h55
3h05
5h45
3h45
2h35
4h05
3h00
3h10
2h50
TOTAL
19.30 - 20.30
19.30 - 19.55
19.00 - 20.30
19.30 - 20.30
20'
35'
20'
20.15 - 21.30
21.05 - 22.45
20.50 - 21.20
19.30 - 20.20
20'
20.40 - 21.15
1h45
19.30 - 20.25
20'
20.45 - 21.30
2h00
20'
19.30 - 20.35
19.30 - 20.20
19.30 - 20.10
19.30 - 19.55
19.30 ! 19.55
1h05
20'
20'
20'
20'
20.40 - 21.35
20.30 - 21.00
20.15 - 21.00
20.15 ! 20.40
20'
21.20 - 21.50
20'
21.00 ! 21.25
Minutages sans applaudissement - *Horaires susceptibles d'être modifiés. Les nouveaux spectacles
Attention : L'heure de début de certains spectacles varie en fonction des jours de la semaine. Veuillez vous référer à l'heure de vos billets
2h05
2h20
1h30
1h55

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