doss after danse 10.5.11

Transcription

doss after danse 10.5.11
©Fabrizio Salvetti
® Heidrun Löhr
Compagnie
Rosalind Crisp
Association
Omeo Dance
After d a n s e... before the end
création 2011
administration déléguée, diffusion
Atelier de Paris-Carolyn Carlson
contact
Anne Sauvage, Secrétaire générale
Gaëlle Piton : Diffusion
Annaëlle Richard : Administration
tel. +33 (0)1 41 74 17 07
[email protected]
After d a n s e... before the end
conception et chorégraphie
Rosalind Crisp
danseurs (pressentis)
Mélanie Cholet, Virginie Cincet, Céline Debyser, Max Fossati, Anatoli Vlassov
musique
the birds
lumière et direction technique
Valérie Sigward
costumes
Agnès d’At
durée
1 heure
création
le 10 décembre 2011, Théâtre Pablo Picasso, Ville de la Norville
production
Association Omeo Dance l Cie Rosalind Crisp
coproduction (ferme)
Conseil général de l’Essonne
Ville de La Norville
Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Centre chorégraphique national de Grenoble (accueil studio)
partenaires publics et privés sollicités
DRAC Ile-de-France
ARCADI (en cours)
ADAMI (en cours)
Rosalind Crisp, chorégraphe associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson, bénéficie en 2010 et
2011 d’une résidence partagée entre la Ville de la Norville et l’Atelier de Paris. Elle reçoit le soutien
de la DRAC Ile-de-France, du Conseil général de l’Essonne, de la Région Ile-de-France dans le
cadre de la Permanence artistique et culturelle et de la Ville de Paris.
configuration technique
Toutes salles - adaptation possible
effectif en tournée
8 personnes (5 interprètes, 1 chorégraphe, 1 technicien, 1 chargé de diffusion)
Rosalind Crisp est artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Création 2011 l www.omeodance.com l www.atelierdeparis.org
Depuis 2005, Rosalind Crisp développe une recherche sur le mouvement dansé nommée d a n s e :
la pratique chorégraphique se focalise sur le processus de génération du mouvement, rendant
sensible l'attention constante du danseur à sa disponibilité de bouger (ou non) toute partie de son
corps, dans toutes ses potentialités. Une partie de ce travail repose sur la pratique d'une gamme
dynamique de contraintes chorégraphiques agissant sur les directions, la vitesse, les plans et les
parties du corps en mouvement.
Il
peut
s’agir
par
exemple
de
prendre
conscience de l’initiation d’un mouvement
habituel et de le détourner en redirigeant son
attention sur une autre partie du corps, ou de
regarder comment vient et évolue un geste et
d’agir sur lui en changeant sa vitesse, son
amplitude ou sa durée. Les contraintes sont
actives tout au long du processus, générant
une
danse
personnelle
tout
en
étant
intimement reliée à celles des autres danseurs.
© Patrick Berger
Au-delà de cette intense présence à eux-mêmes, les danseurs développent une écoute à leur
environnement leur permettant d’aller au-delà des contraintes, de jouer avec elles, de tisser des
relations entre eux et avec le public.
De cette recherche sont nées plusieurs pièces, notamment : dance - a piece of research, quatuor, en
Australie (2005); sur les traces du wombat, pièce en extérieur pour 6 danseurs, festival de
Chamarande (2005); d a n s e (1), solo accompagné de l'écriture "live'' de l’écrivain Isabelle Ginot
(2006); d a n s e (4), quatuor en collaboration avec les danseurs Max Fossati, Céline Debyser, Alban
Richard et le musicien suisse Hansueli Tischhauser (2008). Chacune de ces pièces s’inscrivait dans
un espace commun aux interprètes et au public, celui-ci étant invité à suivre au plus près de ses
sensations l’évolution gestuelle des danseurs. Cette proximité implique une interaction entre
danseurs et spectateurs, parfois juste esquissée, parfois plus manifeste, le plus souvent teintée
d’humour.
No one will tell us..., création 2010, représente pour Rosalind Crisp la possibilité de confronter ses
processus à d'autres démarches: celle de Hansueli Tischhauser, musicien-performeur, déjà présent
dans d a n s e (4), Alban Richard, interprète dans d a n s e (4), et chorégraphe lui-même, le
performeur-artiste Andrew Morrish, conseiller artistique de la cie Rosalind Crisp. La pièce se bâtit à
partir de l'identification des processus de chacun, des matériaux utilisés, et les met en confrontation.
After d a n s e… before the end, création prévue pour l'automne 2011, consiste à revenir à l'intérieur
du processus d a n s e en y intégrant de nouvelles perspectives, notamment sur son rapport à
l'écriture
d'une
p a rt ,
et
aux
rel ati ons
en t re
l es
dan seu rs
Rosalind Crisp est artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Création 2011 l www.omeodance.com l www.atelierdeparis.org
d' au t re
p a r t.
After...
" Après cinq années de recherche et de pratique,
d a n s e, en tant que processus chorégraphique et
mode de travail avec d'autres artistes, est devenu
"ma" danse, c'est-à-dire mon approche même de
la danse, philosophique et pratique.
© Patrick Berger
Si je devais en énoncer quelques grands fondamentaux, je dirais que:
- d a n s e instaure une totale égalité entre les composantes de la danse (gestes, usages de l’espace,
du temps, des différentes parties du corps…) - comme entre les danseurs. Chacun a la même
importance, la même valeur.
- Le danseur, toujours tenu en éveil, a la responsabilité de maintenir une écoute fine de ce qu'il
compose dans l'instant et de procéder constamment à des choix, que ce soit dans l'immobilité ou le
mouvement.
- d a n s e demande à chaque danseur de devenir pleinement responsable de sa danse en prenant
conscience de ses propres nécessités, de ses préoccupations et de ses intérêts. C'est un processus
d'autonomisation qui actualise son potentiel de création. Ainsi, parce que chaque individu "se" danse,
il évolue en connaissance de lui-même, prend confiance en sa matière, ce qui lui donne en outre une
présence forte sur scène.
- Dans ce processus, le groupe se constitue à partir de principes et valeurs qui produisent, non pas
un lexique commun, mais une certaine nature de danse.
- Le travail avance par dialogue entre conceptualisation et imaginaire: c'est du mouvement de l'un à
l'autre que naît la danse. Le conceptuel consiste à déconstruire et analyser le mouvement, à
identifier et nommer les concepts et les outils. L'imaginaire, c'est un générateur personnel,
insondable, qui fait la poésie et l'humanité de la danse. d a n s e est ainsi une dynamique entre le
feed back et le feed forward, entre perception et action.
Cette maturation a été possible grâce à une longue pratique mais également aux fructueux
échanges avec les danseurs français qui partagent cette recherche avec moi depuis quelques années.
Alors qu'ils découvraient une approche qui sollicitait leur propre potentiel, non pas pour une
réutilisation au profit du "chorégraphe", mais pour développer leur autonomie dans la génération du
mouvement, ils ont pris goût à cette liberté et n'ont cessé depuis d'avancer dans leur pratique.
Rosalind Crisp est artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Création 2011 l www.omeodance.com l www.atelierdeparis.org
Aujourd'hui, nous avons atteint une maturité et une base de travail suffisamment solide pour
explorer de nouvelles directions. Deux axes semblent à ce stade particulièrement intéressants :
d'une part, l'approfondissement des paramètres compositionnels, notamment la question de la
relation entre les danseurs, d'autre part, le dialogue entre l'écriture et l'improvisation. Chacun va en
outre évoluer dans ses questionnements et ainsi nourrir le travail commun. Sur la question de la
relation en duo par exemple, le mouvement entre le feed back et le feed forward, entre l'écoute de
soi et l'attention à l'extérieur particulièrement intense dans le processus de d a n s e, ne permet pas
une interaction totale à deux. Les contraintes relationnelles prennent également leur source dans le
processus de d a n s e. Ainsi, un duo pourrait se constituer à partir d'un danseur en écoute à soi et
d'un autre en réponse. La réponse pourrait s'attacher à une partie du corps ou une modalité du
mouvement (direction, niveau...).
A ce stade du travail, mon rôle consiste à guider les échanges, à garder une vue sur l'ensemble du
travail et à extraire les structures de la matière qui se dégagent de la pratique. En rapport avec la
plasticité de la chorégraphie, les structures n'imposeront pas de carcan à la danse, mais seront
flexibles avec elles, en écoute avec elle et le public. Les structures mettront en lumière la matière
même, et permettront sa mise en relation le plus directement possible avec le public. L'idéal étant
que le public oublie les structures pour voyager pleinement avec la matière.
J’envisage le déroulement du travail sur une période allant de décembre 2010 à novembre 2011,
pour permettre une incorporation plus profonde des matériaux et prendre vraiment le temps de la
réflexion. Les répétitions, devraient se découper en blocs de deux à trois semaines, dont une période
de résidence au Critical Path de Sydney. Je souhaite en effet initier un échange entre ma compagnie
française et les danseurs australiens qui sont en contact avec ma pratique depuis longtemps. Cela
mettra notre recherche actuelle en perspective, et nourrira, je crois, l’ensemble des artistes. A l’issue
de cette résidence, nous présenterons notre travail dans divers endroits en Australie."
Rosalind Crisp, février 2010
Rosalind Crisp est artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Création 2011 l www.omeodance.com l www.atelierdeparis.org
d a n s e...
« Le premier mot qui me vient pour parler du
travail avec Rosalind, c’est l’honnêteté. À
aucun moment, je ne peux me cacher derrière
une dramaturgie, une narration, un effet
lumineux… Je parlerais d’une présence au
plateau sans artifice. L’idée que les spectateurs
assistent au travail d’un « artisan » me plaît
beaucoup. Rendre visible l’acte de création.
Nous sommes souvent très proches des gens,
donc tout est audible, nos respirations, nos
bruits, nos pas.
Ce qui est passionnant pour moi, c’est de rentrer dans son monde ! Nous avons des grilles de
qualités, des gammes de dynamiques assez précises qui conduisent à la production d’un mouvement
dans l’instant, mais qui laissent aussi raisonner nos personnalités.
L’immédiateté du geste est une surprise de chaque instant à laquelle je réponds en laissant danser
mon instinct. Rosalind nous apprivoise dans son monde d’une façon qui me touche beaucoup. Elle
valorise les bases, les fondements de chacun d’entre nous pour renforcer ce socle et nous permettre
une liberté qui rend tout possible, jusqu’à se laisser submerger… c’est ce à quoi j’aspire ! »
Céline Debyser, danseuse
« Le cadre d’élaboration du projet d a n s e me permet de dynamiser la relation entre des outils
corporels et cognitifs dans un but créatif. Le savoir et l’intuition, l’organisé et l’aléatoire ne
s’opposent plus mais coopèrent. Un endroit accueillant la complexité se construit, ce qui me touche
particulièrement. Comment traverser l’instant de façon à le savourer, à le découvrir et à le modéliser
tout à fois ?
Le défi est de taille car il s’agit néanmoins de travailler dans un cadre qui a ses enjeux esthétiques et
philosophiques. Mais une part respectable reste consécutive de ce que chacun y investit. Il
n’appartient qu’à ses pratiquants de reconnaître suffisamment ses fondements, de se les approprier,
de devenir le processus lui-même et ce qu’il adviendra. »
Max Fossati, danseur
Rosalind Crisp est artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Création 2011 l www.omeodance.com l www.atelierdeparis.org
Parcours
Rosalind Crisp l chorégraphe, danseuse
®Patrick Berger
Chorégraphe et danseuse australienne, Rosalind Crisp s’est formée à la danse classique et
contemporaine à la Victorian Ballet School de Melbourne en Australie, et en Contact Improvisation,
release et Body-Mind Centering® au European Dance Development Centre, aux Pays-Bas. En 1992
et 1993, elle travaille avec différents chorégraphes en Belgique (R. de Herdt, A. Baervoets, E.
Raeves) et au Canada (P. Bingham, C. Fischer-Credo, H. Meller).
En 1996, Rosalind crée le Omeo Dance Studio à Sydney, lieu de résidence pour sa recherche et
repère pour le développement artistique de toute une communauté de danseurs. Elle chorégraphie
plusieurs pièces dont, en 1999, Accumulation 1-40, pièce pour 24 interprètes. Elle initie également
des échanges artistiques, comme BerlinXchange et Franco-Omeo-Exchange, et codirige deux
éditions du festival international Antistatic (1997 et 1999). Récompensée par le Women and Arts
Fellowship du Gouvernement de Nouvelles Galles du Sud, elle reçoit également le prix « Mo »
australien de la meilleure danseuse en 1996 et une bourse, en tant que chorégraphe, du comité de
la Danse du Conseil australien des Arts (2000-2001).
Invitée en France en 2002 par Michel Caserta, directeur de la Biennale nationale de danse du Valde-Marne, elle travaille entre l’Australie et la France de 2003 à 2005, créant la Compagnie Rosalind
Crisp/Association Omeo Dance à Paris en 2004. En 2005, à Sydney, elle chorégraphie et danse un
duo avec le pianiste Nigel Kellaway et crée dance – a piece of research, avec Lizzie Thomson,
Joanna Pollitt, Olivia Millard. La même année, en France, elle lance d a n s e, projet de recherche et
de création en collaboration avec l’écrivain Isabelle Ginot. Ce projet génère plusieurs pièces et
événements : d a n s e, pièce vidéo d’Eric Pellet créée au Fresnoy en 2005, d a n s e (1), solo créé
avec Isabelle Ginot en 2006; sur les traces du wombat, projet pour 6 danseurs, commande du parc
de Chamarande en 2005;
d a n s e (4), quatuor avec Céline Debyser, Max Fossati et Alban Richard en 2008; No-one will tell
us... trio en collaboration avec le performeur Andrew Morrish et le musicien Hansueli Tischhauser
en 2010;
d a n s e lab, déclinaison pédagogique du projet d a n s e.
Sa rencontre avec Carolyn Carlson permet à Rosalind Crisp d’inscrire le projet d a n s e dans des
rendez-vous artistiques réguliers avec le public, « Les Crocodiles », à l’Atelier de Paris. Ces
moments partagés lui permettent d’expérimenter sa pratique avec d’autres artistes (Pascale
Tardiff, Michel Thouseau…). En 2004, elle devient artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn
Carlson. Régulièrement accueillie par la Biennale nationale de danse du Val-de-Marne, elle trouve
également un soutien au Centre national de la danse et à Mains d’œuvres.
Parallèlement au projet d a n s e, Rosalind Crisp mène des échanges de processus artistiques endehors des temps de production avec des artistes de champs et de pratiques différents,
Rosalind Crisp est artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Création 2011 l www.omeodance.com l www.atelierdeparis.org
notamment Andreas Müller, Andrew Morrish, Labor Gras... En 2008/2009, elle était professeur
invitée du projet pilote de BA en danse contemporaine de l'Université des Arts à Berlin, codirigé par
Boris Charmatz. Elle y crée une pièce pour trois danseurs : 36 mouvements for the arms and legs.
Elle répond en outre à des commandes d'autres compagnies, comme le Ballet allemand
Vorpommern Greifswald en 2007, la compagnie Berlinoise Two Fish en 2010, et des structures
européennes comme le Trinity Laban de Londres où elle crée deux pièces, en 2007 et 2009, pour
une vingtaine de danseurs.
Mélanie Cholet l danseuse
Après une formation au CCN de Mathilde Monnier (E.X.E.R.C.E), elle rejoint les compagnies de
William Petit/Sandra Martinez, Yann Lheureux et Serge Ricci. Elle est interprète pour Alban
Richard /ensemble l’Abrupt depuis 2000. Elle rencontre Laura Scozzi sur des projets plus théâtraux
et poursuit son travail de comédienne. Elle est également interprète pour Sophie Daviet, Mark
Tompkins, Thomas Lebrun, Edmond Russo et Shlomi Tuizer.
Virginie Cincet l danseuse
Formée à l'école Rick odums puis au CNDC d’Angers, elle travaille tout d'abord avec la Cie
calligramme (chorégraphie de Boris Jacta), puis rejoint la CIE Thel danse (chorégraphie de Gabriel
Hernandez) lors de sa création en 1996. Parallèlement elle travaille avec Dominique Jégou dans la
Cie les danses de Dom et avec la Cie Charivari (chorégraphie collective).
Céline Debyser l danseuse
Elle se forme au conservatoire régional de Paris en danse classique puis au CNSMDP où elle obtient
en 1995 son diplôme en danse contemporaine. Son parcours professionnel l’amène à travailler
notamment avec Hervé Diasnas, Jean-François Duroure, Richard Mouradian, Françoise Murcia, Mié
Coquempot, Odile Duboc, Erika Zueneli et récemment Kataline Patkaï et Myriam Gourfink. Titulaire
du diplôme d’Etat, elle mène parallèlement un travail de sensibilisation auprès de différents publics,
amateurs, musiciens, scolaires.
Max Fossati l danseur
Après avoir obtenu le diplôme d'Etat de professeur de danse, Max Fossati intègre la formation du
Centre national de danse contemporaine d'Angers puis celle du Centre chorégraphique national de
Montpellier. Il participe depuis 2002 aux projets de Gabriel Hernandez et d’Alban Richard. Il a
dansé pour Matteo Moles, Osman Khelili, Odile Duboc et plus récemment pour Virginie Mirbeau.
Anatoli Vlassov l danseur
Anatoli Vlassov a une double culture franco-russe et un parcours composite. Il s’initie à la danse et
se forme auprès de Laurent Pichaut, Myriam Gourfink, Rosalind Crisp, Mark Tompkins, Frans
Poelstra, Steve Paxton, Lisa Nelson, Julyan Hamilton, Vera Orlock, et suit en 2010 la formation
EX.E.R.CE au CCN de Montpellier sous la direction de Mathilde Monnier.
Rosalind Crisp est artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Création 2011 l www.omeodance.com l www.atelierdeparis.org
Presse
No-one will tell us... Festival Dance Massive, Melbourne, mars 2011
« Au-delà de l'analogie, le mouvement de Crisp est étonnant dans son altérité pure... la syntaxe standard de la
danse est effacé. C'est magique. ...Personne ne va nous dire (les artistes) ce qu'il faut faire, (le public) ce que
cela signifie, (quelqu'un) ce qu'il est. Eh bien, c'est la danse, danse théâtre même, comme jamais auparavant.»
Keith Gallasch, RealTIme, avril/mai 2011
http://www.realtimearts.net/feature/Dance_Massive_2011/10241
No-one will tell us... trio 2010 à l’étoile du nord, Paris
« En invitant sur scène un musicien et un performer, Rosalind Crisp ouvre son univers à l'autre, dans une
volonté de partage. Une danse du possible qui devient celle de la rencontre.(…) Très vite, on comprend qu'il ne
s'agit pas, dans cette pièce, de donner à voir mais aussi à sentir; il ne s'agit pas de produire des effets mais de
laisser les éléments se rencontrer, se bousculer, se faire écho dans l'instant. »
Mélanie Papin, PARISart, octobre 2010
No-one will tell us... trio 2010 au festival transfrontalier, Luxembourg
« Une technique à nulle autre pareille... Ce qui pourrait s'apparenter à un exercice de style laborieux chez un
apprenti chorégraphe, relève ici du grand art. »
Marie-Laure Rolland, Luxemburger Wort, 27 mai 2010
d a n s e (1) , solo 2006/2007 au Performance Space CarriageWorks Sydney
« ... a rare chance to see a dance maker at the top of her game. »
« ... une rare chance de voir une chorégraphe au sommet de son art. »
Deborah Jones, The Australian, 1er juin 2007
d a n s e (1) , solo 2006, à la Condition Publique, Roubaix
« Un spectacle hautement graphique... Dubitatifs ou emballés, les spectateurs partagent une fascination pour
cette danse tonique où le cœur captive l’œil. Une performance étonnante... Une artiste unique.»
Benjamin Dhier, Nord Eclair, 14 mai 2006
d a n c e , quatuor 2005, à la Dancehouse, Melbourne
« Ce travail, c’est l’idée même de la danse. C’est extrême, c’est ludique, c’est raffiné et risible à la fois. Il
n’offre pas de résolution ni de narration ni de sens prescrit (mais il est possible de trouver chacun de ceux-ci si
vous le désirez). Il offre le corps comme site de pratique, comme réceptacle d’humanité et de sens, comme un
medium vital et indéniable pour la communication et comme une merveille physiologique. Vous ne verrez rien
de tel nulle part ailleurs. »
David Corbet, Melbourne Stage-online, décembre 2005
ducktalk, solo 2004, au Performance Space, Sydney
« (...) Crisp provoque chez le public des réponses viscérales extraordinaires (...) nous emportant littéralement
dans son espace et dans sa respiration même. »
Lee Christofis, The Australian, novembre 2004
tread, quatuor 2003, à l’Espace culturel du Kremlin Bicêtre/ Biennale nationale du Val de Marne
«Rosalind Crisp sculpte la danse comme d’autres les phrases. C’est parfaitement beau et riche en signification.»
Muriel Steinmetz, L’Humanité, mars 2003
raft, solo 2002, au Centre des Bords de Marne/ festival Novembre Australien Biennale du Val de Marne
« soliste charismatique, Rosalind Crisp possède en effet un rare don de présence qui lui permet d’investir
pleinement l’espace scénique... (elle) ne fait jamais oublier qu’elle danse à chaque instant avec l’ensemble de
son corps... »
Maria-Daniella Strouthou, La Terrasse, février 2003
Rosalind Crisp est artiste associée à l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson
Création 2011 l www.omeodance.com l www.atelierdeparis.org

Documents pareils

SEUiLS NO ONE WiLL TELL US... - Trois C-L

SEUiLS NO ONE WiLL TELL US... - Trois C-L Invitée en France en 2002 par Michel Caserta, directeur de la Biennale nationale de danse du Val-de-Marne, elle a travaillé entre l’Australie et la France de 2003 à 2005, devenant chorégraphe assoc...

Plus en détail