moins de 14 ans - le Groupe Scolaire Saint-Ouen

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moins de 14 ans - le Groupe Scolaire Saint-Ouen
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Quatrième : Séquence 1 : Classer les textes : Identifier les genres et les types de discours
Objectif général : Reconnaître les genres littéraires et les types de discours grâce à des indices
Objectifs secondaires : - distinguer auteur, narrateur et personnages
- reconnaître les classes des mots
Séances 1 et 2 : Lire les textes et les commenter en les expliquant puis les analyser selon des indices
Support : Groupement de textes et livre de français p. 277
Après avoir lu attentivement tous les textes , vous remplirez le premier tableau en vous aidant des feuilles
jointes et le second avec le livre de français p.277
Groupement de textes
Texte 1
Pour se faufiler
Dans l’étroit canal
Qui menait au port avant les bassins,
Elles se pressaient, tes vagues,
Lors de la marée,
Elles se bousculaient,
Elles avaient besoin
Que l’interminable
Soit fini pour elles.
Guillevic, Carnac, Gallimard « Poésie », 1977.
Texte 2
ALERTE A LA POLLUTION
L’homme a toujours déversé ses déchets en mer. Mais aujourd’hui, nous rejetons de plus en plus de
produits toxiques. La Méditerranée serait-elle une poubelle ?
Ce que nous appelons, le « tout à l’égout », c’est bien souvent « le tout à la mer ». Ainsi, les villes côtières
déversent en Méditerranée, chaque jour, par les égouts, 25 millions de mètres cubes d’eaux usées, soit l’équivalent
de 10 000 piscines.
Et il n’y a pas que les égouts : les fleuves apportent aussi leur dose de pollution venus de l’intérieur des
terres, et certaines industries rejettent directement des produits chimiques en mer. Résultat : tous ces produits
arrivent en masse dans les eaux côtières, justement là où se concentre la vie ! ( … )
Et le catalogue n’est pas fini : l’eau, troublée par tous ces rejets, laisse moins bien passer la lumière, ce qui
fait dépérir les végétaux les plus profonds. Par exemple, au- dessous de 25 mètres, les herbiers de plantes marines
sont souvent morts.
Mer fermée, mer-poubelle. ( … )
Dossier écologie de Véronique Sarano,
Okapi, n° 519, juillet 1993, Bayard Jeunesse.
Texte 3
Le mal de mer
« Je ne sais pas si j'ai le mal de mer ? " La réponse est oui car tout le monde a le mal de mer. Mais les symptômes
sont différents selon les individus et leur état de santé. Les moins exposés seront juste somnolents et les cas
extrêmes, I'œil vitreux, le teint violacé avec des nausées permanentes.
Avant d'en arriver là et en suivant ces quelques préceptes on peut éviter le pire.
-Avec les conseils de votre pharmacien ou de votre médecin traitant prenez des médicaments.
-Évitez une nuit blanche avant de prendre la mer.
-Prenez des repas légers et grignotez entre les repas.
-L'alcool et le tabac n'ont pas d'effets apaisants.
-Ne restez pas dans les cabines si ce n'est pour dormir.
2
-Restez au chaud dans votre veste de quart sur le pont ou dans la descente à l'abri du vent.
-Regardez l'horizon.
-Participez aux manœuvres, barrez, ça marche très bien.
Et si malgré tout ça, votre estomac est toujours retourné, faites-vous aider à enfiler un harnais et trouvez un coin
tranquille sous le vent. Arrivé au port, tout redeviendra normal. MichelGonzalez, site Internet avecdesvoiles.com
Texte 4
Au large du Pays de Galles
Éric Tabarly a disparu en mer, au large du Pays de Galles, dans la nuit du vendredi 12 au samedi 13 juin
1998. Le navigateur faisait route vers l'Écosse à bord de son Pen Duick avec un équipage de quatre personnes. Aux
quatre coins du monde, sa mort a soulevé aussitôt une émotion considérable.
Il est minuit quinze lorsque survient l'impensable. Alors que la mer, courte et hachée, se creuse -deux à
trois mètres -soulevée par un vent de force 6, Éric Tabarly commande une manœuvre classique de changement de
voile. Un coup de roulis et, soudain, au moment où il s'apprête à saisir la grand-voile qu'on vient d'affaler, c'est le
choc. Une pièce de gréement, la corne, qui maintient le haut de la voile, balaie le pont et frappe le navigateur à
hauteur de poitrine. Poussé à la mer avec violence, celui-ci n'a pas eu le temps de « crocher ». Ses amis restés sur le
pont l'entendent appeler au secours mais, en quelques secondes, il est happé par les vagues et l'obscurité. ( … )
Ouest-France, 14 juin 1998.
Texte 5
Lendemain d’orgie
Tout dormait à bord de L'Épervier; Mélie seule était montée sur le pont, agitée par une vague inquiétude.
Quoique la nuit fût encore sombre, une lueur blafarde, qu'on apercevait à l'horizon, annonçait l'approche du
crépuscule. Bientôt de larges bandes d'un rouge vif et doré sillonnèrent le ciel, les étoiles pâlirent, disparurent, le
soleil commença de poindre, puis s'éleva lentement sur les eaux bleues et immobiles de l'océan, qu'il sembla
couvrir d'un voile de pourpre. Le calme étant toujours aussi plat, le brick restait en panne sous ses amures de la
veille. Mélie rêvait assise sur le banc de quart, sa tête cachée entre ses deux mains; mais lorsqu'elle la releva, le
jour, déjà assez élevé, lui permettait de distinguer les objets qui l'entouraient: elle frémit d'horreur et de dégoût !
C' étaient des matelots couchés au milieu des pots et des débris du repas de la veille; c'était le désordre le plus
complet; les boussoles renversées, les manœuvres et les cordages confusément mêlés, des armes et des verres en
éclats, des tonneaux défoncés laissant couler sur le pont des flots de vin et d'eau-de-vie...
Eugène Sue, Kernok le Pirate, chapitre X, 1830
Texte 6
Mer : n.f ( lat.mare ) 1. Très vaste étendue d’eau salée qui couvre une partie une partie de la surface du globe : la
mer Rouge. 2. Villes, plages qui bordent la mer : aller à la mer. 3. Eau de la mer ou de l’océan : la mer est chaude.
4. Marée : haute mer. 5 . A la surface de la lune, ou de certaines planètes du système solaire, vaste étendue
faiblement accidentée : . 6. Grande quantité de liquide, dune chose quelconque : mer de sable .
3
Quel est le thème commun à tous ces textes ?
Complétez ce tableau à l’aide des feuilles de cours distribuées :
Texte 1
Texte 2
Texte 3
Texte 4
Texte 5
Texte 6
Qui écrit ?
Quelle époque ?
Qui raconte ?
Qui voit ?
Qui parle ?
Quel type de
discours ?
Quelle forme ?
Quelle
intention ?
Quel effet ?
Quel genre ?
Complétez ce tableau à l’aide des mots soulignés en vous servant de votre livre p. 277
Nom Pronom AQ Verbe Déterminant Adverbe Conjonction Conjonction Préposition Onomatopée
Coordination subordination
Quel est le thème commun à tous ces textes ?
Complétez ce tableau à l’aide des feuilles de cours distribuées :
Texte 1
Texte 2
Texte 3
Texte 4
Texte 5
Texte 6
Qui écrit ?
Quelle époque ?
Qui raconte ?
Qui voit ?
Qui parle ?
Quel type de
discours ?
Quelle forme ?
Quelle
intention ?
Quel genre ?
Complétez ce tableau à l’aide des mots soulignés en vous servant de votre livre p. 277
Nom Pronom AQ Verbe Déterminant Adverbe Conjonction Conjonction Préposition Onomatopée
Coordination subordination
4
Séance 3 : reconnaître et distinguer les classes de mots
Phrases écrites par les élèves
Séance 4 et 5 : Lire les textes et les commenter en les expliquant puis les analyser selon des indices
Support : Groupement de textes et livre de français p. 277
Après avoir lu attentivement tous les textes , vous remplirez les tableaux en vous aidant des feuilles jointes et
du livre à la p. 277
Texte 1
En approchant de la ville, ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n'ayant plus que la moitié de son habit, c'est-àdire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. " Eh ! mon Dieu ! lui dit
Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? - J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le
fameux négociant, répondit le nègre. - Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? - Oui, monsieur, dit le nègre,
c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année. Quand nous travaillons aux sucreries, et
que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe : je me
suis trouvé dans les deux cas. C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe. Cependant, lorsque ma mère me vendit dix
écus patagons sur la côte de Guinée, elle me disait : " Mon cher enfant, bénis nos fétiches, adore-les toujours, ils te feront vivre
heureux ; tu as l'honneur d'être esclave de nos seigneurs les blancs, et tu fais par là la fortune de ton père et de ta mère. "
Hélas ! je ne sais pas si j'ai fait leur fortune, mais ils n'ont pas fait la mienne. Les chiens, les singes et les perroquets sont mille
fois moins malheureux que nous ; les fétiches hollandais qui m'ont converti me disent tous les dimanches que nous sommes
tous enfants d'Adam, blancs et noirs. Je ne suis pas généalogiste ; mais si ces prêcheurs disent vrai, nous sommes tous cousins
issus de germain. Or vous m'avouerez qu'on ne peut pas en user avec ses parents d'une manière plus horrible.
Voltaire, Candide, chap. XIX, 1759
Texte 2
De l'esclavage des nègres . Si j'avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que
je dirais : Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique pour s'en
servir défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher, si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux
dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête ; et ils ont le nez si écrasé qu'il est presque impossible de les plaindre. On
ne peut se mettre dans l'idée que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout
noir. [...] On peut juger de la couleur de la peau par celle des cheveux, qui, chez les Égyptiens, les meilleurs philosophes du
monde, étaient d'une si grande conséquence qu'ils faisaient mourir tous les hommes roux qui leur tombaient entre les mains.
Une preuve que les nègres n'ont pas le sens commun, c'est qu'ils font plus de cas d'un collier de verre que de l'or, qui, chez des
nations policées, est d'une si grande conséquence. Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes ;
parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait par croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens. De
petits esprits exagèrent trop l'injustice que l'on fait aux Africains. Car, si elle était telle qu'ils le disent, ne serait-il pas venu
dans la tête des princes d'Europe qui font entre eux tant de conventions inutiles, d'en faire une générale en faveur de la
miséricorde et de la pitié ? Montesquieu, L'Esprit des lois, 1748
Texte 3
Des hommes qui ne consultent que leur bon sens, et qui n'ont pas suivi les discussions relatives aux colonies,
douteront peut-être qu'on ait pu ravaler les Nègres au rang des brutes, et mettre en problème leur capacité intellectuelle et
morale. Cependant cette doctrine, aussi absurde qu'abominable, est insinuée ou professée dans une foule d'écrits. Sans
contredit les Nègres, en général, joignent à l'ignorance des préjugés ridicules, des vices grossiers, surtout les vices inhérents
aux esclaves de toute espèce, de toute couleur. Français, Anglais, Hollandais, que seriez-vous, si vous aviez été placés dans les
mêmes circonstances ? Je maintiens que parmi mes crimes les plus stupides, et les crimes les plus hideux, il n'en est pas un que
vous ayez le droit de leur reprocher.
Longtemps en Europe, sous des formes variées, les Blancs ont fait la traite des Blancs ; peut-on caractériser autrement
la presse* en Angleterre, la conduite des vendeurs d'âme en Hollande, celle des princes allemands qui vendaient leurs
régiments pour les colonies ? Mais si jamais les Nègres, brisant leurs fers, venaient, (ce qu'à Dieu ne plaise), sur les côtes
européennes, arracher des Blancs des deux sexes à leurs familles, les enchaîner, les conduire en Afrique, les marquer d'un fer
rouge ; si ces Blancs volés, vendus, achetés par le crime, placés sous la surveillance de géreurs** impitoyables, étaient sans
relâche forcés, à coups de fouet, au travail, sous un climat funeste à leur santé, où ils n'auraient d'autre consolation à la fin de
chaque jour que d'avoir fait un pas de plus vers le tombeau, d'autre perspective que de souffrir et de mourir dans les angoisses
du désespoir ; si, voués à la misère, à l'ignominie, ils étaient exclus de la société ; s'ils étaient déclarés légalement incapables de
toute action juridique, et si leur témoignage n'était même pas admis contre la classe noire ; si, comme les esclaves de Batavia,
ces blancs, esclaves à leur tour, n'avaient pas la permission de porter des chaussures ; si, repoussés même des trottoirs, ils
étaient réduits à se confondre avec les animaux au milieu des rues ; si l'on s'abonnait pour les fouetter en masse, et pour
enduire de poivre et de sel leurs dos ensanglantés, afin de prévenir la gangrène ; si, en les tuant on en était quitte pour une
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somme modique, comme aux Barbades et à Surinam ; si l'on mettait à prix la tête de ceux qui se seraient, par la fuite,
soustraits à l'esclavage ; si contre les fuyards on dirigeait des meutes de chiens formés tout exprès au carnage ; si blasphémant
la divinité, les Noirs prétendaient, par l'organe de leurs Marabouts, faire intervenir le ciel pour prêcher aux Blancs l'obéissance
passive et la résignation ; si des pamphlétaires cupides et gagés discréditaient la liberté, en disant qu'elle n'est qu'une
abstraction (actuellement telle est la mode chez une nation qui n'a que des modes) ; s'ils imprimaient que l'on exerce contre les
Blancs révoltés, rebelles, de justes représailles, et que d'ailleurs les "esclaves blancs sont heureux, plus heureux que les paysans
au sein de l'Afrique" ; en un mot, si tous les prestiges de la ruse et de la calomnie, toute l'énergie de la force, toutes les fureurs
de l'avarice, toutes les inventions de la férocité étaient dirigées contre vous par une coalition d'être à figure humaine, aux yeux
desquels la justice n'est rien, parce que l'argent est tout ; quels cris d'horreur retentiraient dans nos contrées !
Pour l'exprimer, on demanderait à notre langue de nouvelles épithètes ; une foule d'écrivains s'épuiseraient en
doléances éloquentes, pourvu que n'ayant rien à craindre, il y eût pour eux quelque chose à gagner.
Européens, prenez l'inverse de cette hypothèse, et voyez ce que vous êtes.
Nègres, 1808.
Abbé GRÉGOIRE, De la littérature des
* presse : enrôlement forcé des matelots ** géreur : directeur d'une exploitation coloniale
Texte 4
Je me fais fouetter
Je pleure et crie
Moi je suis enchaîné
Maltraité pour toujours
Pendant que d’autres
Sont heureux dans leur maison
Reçoivent beaucoup de cadeaux
Pendant que je reçois des coups de fouet
Je survivrai ou bien mourrai
J’ai survécu grâce à un héros
Qui est apparu devant nous,
Ce héros s’appelait Victor Scholcher
Il nous a tous sauvés
Scholcher m’a emmené chez mes parents
Je les ai revus
Et je suis redevenu heureux
Elève de 4 ème .
Texte 5
Acte I Scène II. − Trivelin, avec cinq ou six insulaires, arrive, conduisant une Dame et la suivante, et ils accourent à
Iphicrate qu'ils voient l'épée à la main.
TRIVELIN, faisant saisir et désarmer Iphicrate par ses gens. − Arrêtez, que voulez-vous faire ?
IPHICRATE. − Punir l'insolence de mon esclave.
TRIVELIN. − Votre esclave ! vous vous trompez, et l'on vous apprendra à corriger vos termes. (Il prend
l'épée d'Iphicrate et la donne à Arlequin.) Prenez cette épée, mon camarade; elle est à vous.
ARLEQUIN. − Que le ciel vous tienne gaillard, brave camarade que vous êtes !
TRIVELIN. − Comment vous appelez-vous ?
ARLEQUIN. − Est-ce mon nom que vous demandez ?
TRIVELIN. − Oui vraiment.
ARLEQUIN. − Je n'en ai point, mon camarade.
TRIVELIN. − Quoi donc, vous n'en avez pas ?
ARLEQUIN. − Non, mon camarade; je n'ai que des sobriquets qu'il m'a donnés; il m'appelle quelquefois
Arlequin, quelquefois Hé.
TRIVELIN. − Hé ! le terme est sans façon; je reconnais ces Messieurs à de pareilles licences. Et lui,
comment s'appelle-t-il ?
ARLEQUIN. − Oh, diantre ! il s'appelle par un nom, lui; c'est le seigneur Iphicrate.
TRIVELIN. − Eh bien ! changez de nom à présent; soyez le seigneur Iphicrate à votre tour; et vous,
Iphicrate, appelez-vous Arlequin, ou bien Hé.
« L’île aux esclaves » de
Marivaux
Quel est le thème commun à tous ces textes ?
Complétez ce tableau à l’aide des feuilles distribuées :
6
Texte 1
Texte 2
Texte 3
Texte 4
Texte 5
Qui écrit ?
Quelle époque ?
Qui raconte ?
Qui parle ?
Qui agit ?
Quel type de
discours ?
Quelle forme ?
Quelle intention ?
Quel genre ?
Complétez ce tableau à l’aide des mots soulignés dans les textes
Nom
Pronom Adjectif
Verbe
Qualificatif
Déterminant Adverbe
Conjonction
Coordination
Conjonction
subordination
Préposition Onomatopée
Quel est le thème commun à tous ces textes ?
Complétez ce tableau à l’aide des feuilles distribuées :
Texte 1
Texte 2
Texte 3
Texte 4
Texte 5
Qui écrit ?
Quelle époque ?
Qui raconte ?
Qui parle ?
Qui agit ?
Quel type de
discours ?
Quelle forme ?
Quelle intention ?
Quel genre ?
Complétez ce tableau à l’aide des mots soulignés dans les textes
Nom
Pronom Adjectif
Verbe
Qualificatif
Déterminant Adverbe
Conjonction
Coordination
Conjonction
subordination
Préposition Onomatopée