Stefan Zweig, le voyageur

Transcription

Stefan Zweig, le voyageur
les après-midi de la VILLA ROLAND
Stefan ZWEIG
lu par Yves Mahieu
Stefan ZWEIG, le voyageur …
De son propre aveu, il lui semble
n’avoir rien fait d’autre, entre dix-huit
et trente ans, que parcourir le monde.
New-York, Bruges, le Brésil, Séville, la Russie, Ypres, Bénarès …
Autant de lieux qu’il fait revivre, autant d’impressions diverses –
mouvement, mélancolie, couleurs – autant de moments et d’images
qui l’ont marqué : la tombe de Tolstoï, émouvante dans sa simplicité
et son anonymat, le sarcophage de Shakespeare à l’abbaye de
Westminster, la lumière d’Alger, ou encore, en Inde, ce vieillard qu’on
laisse mourir seul au bord du fleuve.
Fragments de pensée, morceaux d’intimité, ces «Ecrits de voyage»
apportent un éclairage nouveau au «Monde d’hier» et aux
«Journaux» et nous font pénétrer plus avant dans le sanctuaire de
l’œuvre de Zweig.