Providence café

Providence café
De Mohamed Rouabhi
Mise en scène Mohamed Rouabhi
Assistante à la mise en scène Deborah Banoun
Conseiller artistique Nicolas Fleury
Décor Eric Soyer assisté de Thomas Ramon
Lumière Nathalie Lerat
Chorégraphie Caroline Marcadé
Costumes Juliette Chanaud
Effets spéciaux Valérie Lesort
Vidéo Jean-François Breut
Son Jean-Michel Nedellec
Direction technique Julien Barbazin
Saison 2002/2003
Dossier de presse au 06/02/03
Avec Philippe Beautier (Ol’Curtis, Ned, Billy), Thierry Beccaro
(Larry Stocker), L a u r e n t G a m e l o n (Terry, Gary), Manuel Le
Lièvre (Chester, Bonzo), Dominique Pinon (Rosco Caine, Sam),
Florence Thomassin (Patty Moriarty, Carol).
Direction de la communication
Corine Péron
01 44 95 98 00
[email protected]
assistée de Marlène Cros-Coitton
01 44 95 98 47
[email protected]
Le texte de la pièce est publié aux éditions Actes Sud-Papiers.
Coproduction Théâtre du Rond-Point, Compagnie Les Acharnés avec l’aide à
la production de Thécif, région Ile-de-France et la Compagnie Jean-Michel
Ribes.
La Compagnie Les Acharnés est en résidence en Seine Saint-Denis. Elle est
subventionnée par le Ministère de la Culture – DRAC Ile-de-France et le
Conseil Général de Seine Saint-Denis.
Durée : environ 1h30
Salle Jean Tardieu (176 places)
Du mardi 4 mars au dimanche 13 avril 2003 à 21h
Les dimanches à 15h30
Relâche les lundis
Réservations : 01 44 95 98 21 / 10
Générales de presse
Jeudi 6 et vendredi 7 mars à 21h
Théâtre du Rond-Point
2 bis, avenue Franklin D. Roosevelt
75008 Paris
www.theatredurondpoint.fr
1
Providence café
Dans une Amérique imaginaire, près de la frontière, un bar
sans âge, un refuge pour les âmes seules.
Là, ne vivent plus que quelques fêlés, un vieux noir, un vendeur
de poulet frit, une jolie serveuse qui attend l’amour.
Un jour, Larry Stocker, le célèbre animateur de talk-show,
franchit la porte…
On n’échappe à la banalité qu’en la manipulant, en la dominant,
en la plongeant dans le rêve, en la livrant au bon plaisir de la
subjectivité.
Raoul Vaneigem
Tronches de vie
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Théâtre du Rond-Point
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Dans l’Amérique profonde, celle de l’ancien sénateur Bush
devenu président, puis gendarme du monde, il y a un bar perdu
près de la frontière mexicaine, le Providence Café.
Ceux qui le fréquentent refont l’histoire tous les jours, accablés
de chaleur, d’ennui et de délires xénophobes. Leur univers,
c’est celui de la télévision et de l’alcool.
Prisonniers de leur vie dérisoire, de souvenirs qu’ils n’arrivent
pas à identifier, d’une mémoire qui fuit doucement, ils passent
leur journée à boire et à raconter la désolation et la misère de
leur existence. Ils entretiennent les mythes racistes sur les
Indiens, les Chinois, la nature et le monde, relayés par une
télévision qui distille une réalité faussée entre les publicités et
le grand show du soir, animé par le célèbre Larry Stocker, le
gagman le plus mauvais du monde.
Car la médiocrité est un autre visage de Providence Café.
La médiocrité de la télévision tout d’abord. Larry Stocker
tétanise son public avec ses blagues d’une rare nullité. Le
personnage qu’il s’est fabriqué oscille entre la naïveté, la
trivialité, la ringardise et la méchanceté. Il rassemble
l’Amérique toute entière chaque soir pour leur débiter les
histoires drôles les plus bêtes qui soient, goûtant avec
délectation les huées de la salle. Et son slogan-je m’appelle
Larry Stocker, mes amis m’appellent Larry, mais j’ai pas
d’amis !-résume à lui seul l’isolement dans lequel notre société
occidentale a condamné l’intelligence et la réflexion pour lui
préférer le divertissement et le loisir.
2
La télévision n’est plus vecteur de culture ou de connaissance,
d’informations ou de débats, elle est devenue au fil du temps
l’arme fatale du pouvoir économique et politique qui pratiquent
la colonisation massive des esprits.
Devant le poste de télévision imaginaire, il y a un jeune homme,
Bonzo, handicapé physique et mental, qui ne fait plus
différence entre ce qu’il voit sur l’écran et ce qui se passe dans
la réalité. Son histoire est d’une cruauté sans nom. Il est victime
d’une autre déclinaison de la médiocrité, celle des sentiments.
Dans Providence Café, les personnages sont trop humains. Leur
manière de parler, leur commentaire, leur histoire personnelle
est à dix mille lieues de la nôtre, car parfois, ils semblent euxmêmes sortie d’un film bas de gamme. Mais l’acharnement avec
lequel ils témoignent de leur existence, nous les rend encore
plus proches de nous.
Patty, la serveuse du Providence, est un joli bout de femme,
même si son visage est déformé par une maladie étrange. C’est
sans doute ce qui lui permet de vivre dans cet univers
exclusivement masculin et brutal, car personne n’essaye de lui
mettre la main dessus. Elle voudrait aimer, aimer par-dessus
tout et tout son être tend à l’amour. Elle est généreuse et simple,
trop simple. Les autres personnages manquent d’amour, sont
incapables d’en donner, ou ne savent plus comment il faut
faire.
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Rosco, lui, a fait la guerre. On suppose que c’est la guerre du
Golfe. Il en est revenu traumatisé. Puis il a perdu sa femme.
Alors depuis, il vit seul avec des souvenirs et une mémoire qui
fout le camp à chaque seconde, un trou noir qui le rend fou petit
à petit et qui va le conduire jusqu’à l’hallucination éthylique.
Rosco est un personnage trouble. Il est bourru, il fait peur, il est
mystérieux car il cache lui-même des choses sur sa vie, son
passé. Il est violent. Mais jamais il ne va faire de mal à personne
même si le contact avec une arme déclenche chez lui un certain
sadisme.
Et puis il y a encore Terry, Ned le Poissard, Ol’Curtis le rescapé
de la haine des blancs et la mémoire du Sud, et enfin Chester
Cox, le vendeur de poulet frit qui stigmatise chez les autres la
vie dans tout ce qu’elle a de plus pathétique et vaine.
L’Expérience de la révolte.
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L’amour existe. Mais il faut pour ça le traquer en chacun de
nous. Il est difficile d’aimer lorsque tout autour de soi provoque
le dégoût, la révolte ou la solitude. Se battre à chaque instant
contre la médiocrité des comportements et la pauvreté des
sentiments, nous permet de rêver à un monde un peu moins
sordide où l’isolement des individus précipite le temps dans
l’amnésie.
3
Comment a-t-on pu en arriver là ?
Comment a-t-on pu en un seul siècle détruire tout espoir en
l’être humain et en sa capacité à se sortir de lui-même et de sa
propre aliénation ?
Les guerres et les dominations de toute sorte ont anéanti
l’individu et désintégré les peuples. Les progrès inimaginables
de la science ont permis aux hommes de vivre plus longtemps et
paradoxalement de vivre plus longtemps mal.
Le rejet de l’autre, sa propre ignorance, sa volonté de laisser le
monde tel qu’il est, avec des cadavres dans la bouche et un désir
certain d’en finir une bonne fois pour toute, rend tout acte de
résistance héroïque, voire révolutionnaire.
Montrer au théâtre des êtres d’une apparence abjecte, mais qui
au fond ont tout en eux pour mettre fin à ce masque de dégoût
qui nous les rend si misérables, et mettre en œuvre, avec l’aide
de la providence et de la comédie, l’expérience de la liberté, est
un peu le travail utopiste auquel je me suis attaché cette fois-ci.
Non sans une certaine dose d’ironie.
Mohamed Rouabhi
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Biographie
de Mohamed Rouabhi
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Conservatoire municipal de Drancy (Jacques Robert). École
Nationale de la Rue Blanche (ENSATT). Conservatoire
Européen d’Écriture Audiovisuel.
Au théâtre
Discours de l’Indien rouge de Mahmud Darwich, mise en
scène Carlo Brandt, Prometeo de Rodrigo Garcia, mise en
scène François Berreur, R e q u i e m o p u s 6 1 de Mohamed
Rouabhi, mise en scène Mohamed Rouabhi, Soigne ton droit
de Mohamed Rouabhi, mise en scène Mohamed Rouabhi,
Malcolm X de Mohamed Rouabhi, mise en scène Mohamed
Rouabhi, T e s t a m e n t d ' u n a n o n y m e d e l a c o l o n n e d e f e r
Festival « Sons d’Hiver » à Créteil, Poèmes d e M a h m u d
Darwich, dirigé par Mahmud Darwich, L a M o u s s o n d ’ é t é ,
dirigé par Michel Didym (4° édition Festival d’Ecritures
Contemporaines), N o c e s d e b a m b o u de Jean-Christophe
Bailly, mise en scène Gilberte Tsaï, H i s t o i r e ( s ) d e F r a n c e de
Michel Deutsch et Georges Lavaudant, mise en scène Georges
Lavaudant, La Mousson d’été , dirigé par Michel Didym (3°
édition Festival d’Ecritures Contemporaines), Discours de
l’Indien rouge de Mahmud Darwich, mise en scène Patrick
Pineau, Conversation entre onze heures et minuit de Balzac,
mise en scène Gilberte Tsaï, L e s F r a g m e n t s d e K a p o s i de
Mohamed Rouabhi, mise en scène Claire Lasne, Othon de
Pierre Corneille, mise en scène Anne Torres, Amphitryon de
Heinrich von Kleist, mise en scène Stéphane Braunchweig,
Les Acharnés de Mohamed Rouabhi, mise en scène Claire
Lasne, L a M a i n V e r t e de Jean-Christophe Bailly, mise en
scène Gilberte Tsaï, L’Importance d’être d’accord de Bertolt
Brecht, mise en scène Gilberte Tsaï, The Pitchfork Disney de
Philip Ridley, mise en scène Anne Torrès, De Plein Fouet de
Mohamed Rouabhi, mise en scène Gilberte Tsaï, Le Chien
d’Ulysse de Arlette Namiand et Joël Jouanneau, mise en scène
Jean-Paul Wenzel, L’Exercice de la Bataille de Anne Torrès,
mise en scène Anne Torrès, B.M.C. de Eugène Durif, mise en
scène Anne Torrès, La Tentation d’Antoine de Yves Raynaud,
mise en scène Catherine Boskowitz, S c è n e s d e l a G r a n d e
Pauvreté de Sylvie Péju, mise en scène Marcel Bozonnet, Le
G o u v e r n e u r S a n s  m e de Patrick Reumaux, mise en scène
Patricia Giros, The Story of Kufur Shamma de Jackie Lubeck,
mise en scène François Abou Salem, L a V i l l e e n H a u t d e l a
Colline de Jean-Jacques Varoujean, mise en scène Pierre
Orma, Le Mariage Secret de Fredriech Nietzsche, mise en
scène Arnaud Des Pallières, Oxtiern du Marquis de Sade, mise
en scène Arnaud Des Pallières, Meurtre dans la Cathédrale de
T.S. Elliot, mise en scène Jacques Robert, Edgar et sa Bonne
de Eugène Labiche, mise en scène Jacques Robert.
5
Courts-métrage
Petits Riens de Xavier Durringer, Ah! Ma Zone de Mounir Dridi
L e s C h o s e s R o u g e s de Arnaud Des Pallières, Déminage de
Pierre Oscar Levy, L a M é m o i r e d ’ u n A n g e de Arnaud Des
Pallières, Libre Arbitre de Arnaud Des Pallières et Pas de Pot de
Pierre Oscar Levy.
Long-métrage
Tous contre lui de Arnaud Des Pallières.
Mises en scène
Providence Café de Mohamed Rouabhi (Mars 2003), Requiem
opus 61 de Mohamed Rouabhi (Octobre 2001), Soigne ton droit
de Mohamed Rouabhi (Novembre 2000), I n t é r i e u r nuit/
Extérieur jour, mise en espace (Octobre 2000), Mahmud
Darwich-récital de poésie avec Ahmed Dari (chant et oud)
(Décembre 1999), B o y s & G i r l s de Mohamed Rouabhi
(Novembre 1999), E l H a f l a de Mohamed Rouabhi (Juillet
1999), M a l c o l m X (version Sénégalaise) (2001), M a l c o l m X
(version Brésilienne-1999), M a l c o l m X (version Italienne1999), M a l c o l m X (version Française) de Mohamed Rouabhi
(1998-2001), Une Mémoire pour l’Oubli de Mahmud Darwich
(1997).
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Auteur
P r o v i d e n c e C a f é , mise en scène Mohamed Rouabhi (Mars
2003), Tout Ne Doit Pas Mourir, mise en scène Patrick Pineau
(Juin 2002), R e q u i e m o p u s 6 1, mise en scène Mohamed
Rouabhi (Octobre 2001), Intérieur nuit/ Extérieur jour mise en
espace Mohamed Rouabhi (Octobre 2000), E l M e n f i , mise en
scène Nadine Varoutsikos (Juillet 2000/Janvier 2001), Thriller,
opéra de Gualtiero Dazzi, mise en scène Christophe Laedlin
(Juin 2000), Soigne ton droit, mise en scène Mohamed Rouabhi
(Octobre 1999), Générale, mise en scène Philippe Lanton,
Isabelle Pietra et Dominique Guihard (Avril 1999), Kisss,
comédie musicale en coécriture avec Alain Layrac, Malcolm X ,
mise en scène Mohamed Rouabhi (1998-2001), U n j o u r , l a
Nuit , mise en scène Catherine Buquen (1998), Au nom du Père
et M a r i e 2 0 0 0 in « Confessions », mise en scène Michel
Didym (1998), L’Âge de Sang in « Une fois une voix », mise en
scène Jérôme Kircher (1998), Tout Ne Doit Pas Mourir , mise en
scène Christophe Laedlin (1998), L a V i e e s t M e r v e i l l e u s e
Comme dans le Monde de Mickey, mise en scène C. Laedlin
(1997), Jeremy Fisher, mise en scène Claire Lasne (1997), Les
Nouveaux Bâtisseurs , mise en scène Claire Lasne (1997), Ma
Petite Vie de Rien du Tout , mise en scène Claire Lasne (1996),
M o i l e C h e v a l & N u i t d e s T e m p s, mise en scène Jean-Paul
Wenzel (1994), Les Fragments de Kaposi , mise en scène Yannis
Baraban (1996), Les Fragments de Kaposi , mise en scène Claire
Lasne (1994), Les Acharnés, mise en scène Claire Lasne (1995
et 1993).
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Biographie de
Philippe Beautier
École du Théâtre National de Chaillot (1989-91).
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Au théâtre, Philippe Beautier a joué sous la direction de
Pascale Liévyn (L a N u i t e s t u n d i a b l e d'après Prosper
Mérimée), A. Seweryn (Peines d'amour perdues de William
Shakespeare), Ruut Weissman (Le Cédrat de Sicile de Luigi
Pirandello), Michel Lopez (M a t c h s d ' i m p r o v i s a t i o n s,
Errances amoureuses de Michel Lopez), Julien Téphany
(L'Ombre d'un franc tireur de Sean O'Casey, Le Belvédère de
Don von Horvath), Godefroy Segal (L a B a l l a d e d u g r a n d
macabre de Michel de Ghelderode, L e B o n R o i D a g o b e r t
d'Alfred Jarry, G r i n g o i r e de Théodore de Banville), Benno
Besson (Qui saitout et Grosbéta et Lapin-Lapin de Coline
Serreau), Xavier Czapla (Dieu aboie-t'il ? de François Boyer),
Julien Téphany (Le Suicidé de Nicolaï Erdman), François HaVan (Si Guitry nous était conté d'après Sacha Guitry, Scènes
de chasse en Bavière de Martin Sperr et Roberto Zucco de B.M
Koltès), Judith Larnaud (L a S a v e t i è r e p r o d i g i e u s e de
Frederico Garcia-Lorca), Laurent Serrano (L e D r a g o n de
Evgueni Schwartz, M i l l e f r a n c s d e r é c o m p e n s e de Victor
Hugo, La Cagnotte de Eugène Labiche).
Au cinéma, Philippe Beautier a joué sous la direction de Fina
Torrès (Mécanique céleste), Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro
(La Cité des enfants perdus), Claude Zidi (Astérix contre Jules
César), Marie-Christine Questerbert (La Chambre obscure),
Jean-Pierre Jeunet (L e F a b u l e u x D e s t i n d ' A m é l i e P o u l a i n),
François Dupeyron (L a C h a m b r e d e s o f f i c i e r s), Franck
Schneider (Entre deux eaux), Anna-Laura Bodé (Eve et Adam),
Jean-Louis Padis (C a s u s B e l l i), Hervé Mimran (La Dérisoire
inconsistance des déjeuners).
Philippe Beautier a coécrit avec Jean-Louis Padis Casus Belli,
Bogey au 18, Contre-emploi, Une deux trop (courts métrages),
Bien mal acquis profite ... parfois (long métrage), avec Laurent
Serrano (L e s N o u v e l l e s a v e n t u r e s d u c h a t b o t t é (Pièce de
théâtre), avec Michel Dahan (L e C a r r é m a g i q u e -Théâtre).
Philippe Beautier a adapté (Scènes de chasse en Bavière d'après
Martin Sperr), La Dérision (Pièce de théâtre) et Presque marié
(Pièce de théâtre).
Philippe Beautier a mis en scène Carapaces (d'après une idée de
Eve Rouvière) et L'Ange et la môme de Pauline Hemsi.
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Biographie de
Thierry Beccaro
Conservatoire de Meudon. Cours Chabrier. Actor Studio (Jack
Waltzer).
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Au théâtre, Thierry Beccaro a joué dans Fau(x) frères (mise en
scène Martine Feldmann), P o i v r e d e C a y e n n e de René de
Obaldia, V o y a g e d e n o c e s (mise en scène M. Camoletti),
L’Alouette de Jean Anouilh, L e S a u t d u l i t de Ray Cooney,
Boeing Boeing de M. Camoletti, L e s F e m m e s s a v a n t e s de
Molière, Sans rancune (mise en scène P. Mondy), D u v e n t
d a n s l e s b r a n c h e s d e S a s s a f r a s de René de Obaldia, Les
Diablogues de Roland Dubillard, Les Émigrés de Mwrozek.
Au cinéma, Thierry Beccaro a joué sous la direction de Pierre
Olivier Scotto (L e R o m a n d e L u l u ), Dominique Farrugia
(D e l p h i n e 1 Y v a n 0), Bertrand Tavernier (L'Appat ) et
Alexandre Arcady (L'Union sacrée ).
Pour la télévision, Thierry Beccaro a joué dans Crim’ de
Gérard Marx, Cordier juge et flic de Gilles Behat « Otages »,
Avocats et associés de Philippe Triboit et Cordier juge et flic
de Gilles Behat « Adieu Mulet ». Thierry Beccaro est
également présentateur de « Motus » sur France 2, « 40° à
l’ombre » sur France 3, « Surprise sur prise » sur France 2,
« Télé matin » sur France 2, « Matin bonheur » sur France 2
et pour la radio (RMC, France Inter, Radio Bleue).
Biographie de
Laurent Gamelon
Au théâtre, Laurent Gamelon a joué sous la direction de
Philippe Ferran (J a c q u e s a d i t), Laurent Gamelon (Régime
sensuel), Eric Civanyan (L e s P i e d s d a n s l ’ e a u), Jean-Michel
Ribes (Le Pont des soupirs, Brèves de comptoir, Les Nouvelles
B r è v e s d e c o m p t o i r , J e f f r e y B e r n a r d e s t s o u f f r a n t ), Danièle
Chuteaux (Popkins), Martin Lamotte (L e C r é p u s c u l e d e s
lâches), Jean-Luc Moreau (S i l e n c e e n c o u l i s s e s), Bernard
Murat (La Puce à l’oreille) et Roger Planchon (La Dame de chez
Maxim’s et Les Démons).
Au cinéma, Laurent Gamelon a joué sous la direction de
Patrick Schulmann (Profs et Les Oreilles entre les dents), José
Pinheiro (Ne réveillez pas un flic qui dort ), Mathias Ledoux
(Docteur Apfelgluck), Georges Lautner (Triplex), Bertrand
Blier (Merci la vie , Les Acteurs), Gérard Jugnot (Une époque
formidable), Roger Planchon (Louis, l’enfant roi),
8
Gérard Jourd’hui (Vieille canaille), Coline Serreau (La Crise),
Patrice Leconte (Tango), Marco Pico (La Cavale des fous ), JeanMichel Ribes (C h a c u n p o u r t o i), Francis Weber (Le Placard,
Tais-toi… ) et Jean Veber (Le Pharmacien de garde).
Biographie de
Manuel Le Lièvre
École Florent. Conservatoire National Supérieur d'Art
Dramatique de Paris.
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Au théâtre, Manuel Le Lièvre a joué sous la direction de M.
Brochon (Monserrat de Robles), D. Cardwell (4 pièces en 1 acte
de Sacha Guitry), J-P. Oudin (A v a n t l a d o u c h e, Festival
d'Avignon Off), T. de Vallombreuse (L e s B o u l i n g r i n s de
Courteline), J-C. Berjon (Reniflard and co des Marx Brothers),
F. Rostain (Les Trois mousquetaires de Alexandre Dumas), B.
Bayen (Qu’une tranche de pain de R.W. Fassbinder), Y. Baraban
(Les fragments de Kaposi de M. Rouhabi), A. Tardy (L’été de R.
Wengartten), G. Lavaudant (Six fois deux et Ulysse matériaux de
G. Lavaudant), Philippe Adrien (Victor ou les enfants au pouvoir
de R. Vitrac), J-M. Patte (Demi-jour , Mes fils ) et Jérôme Robart
(Tes de Jérôme Robart).
Au cinéma, Manuel Le Lièvre a joué, notamment, sous la direction
de M. Rosier (Pullman Paradis ), L. Ferreira Barbosa (J’ai horreur
d e l ’ a m o u r), B. Jacquot (Sade), A. Zulawski (La Fidélité ), A.
Kechiche (La Faute à Voltaire ), P. Jolivet (Le Frère du guerrier), N.
Schmidt (Après la pluie le beau temps), F. Dupeyron (Momo ).
Biographie de
Dominique Pinon
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Au théâtre, Dominique Pinon a joué sous la direction de Yannis
Kokkos (L e S o n g e d ’ u n e n u i t d ’ é t é ), Michel Raskine (Barbe
bleue ), Valère Novarina (L’Origine rouge ), Gildas Bourdet (Le
Malade imaginaire de Molière, L a M o r t d ’ A u g u s t e et L ’ E t é de
Romain Weingarten, L’Inconvenant et Station service de Gildas
Bourdet), Jorge Lavelli (L ’ O m b r e d e Venceslao de Copi, S i x
personnages en quête d’auteur de Luigi Pirandello, Mein Kampf
de Georges Tabori, M a i s o n d ’ a r r ê t de Edward Bond), Renaud
Cojo (P o u r L o u i s d e F u n è s de Valère Novarina), Franck
Hoffmann (Les Oeuvres complètes de Billy Le Kid de Michael
9
Ondaatje) et Tom Toelle (Minna Von Barnhelm de Lessing).
Au cinéma, Dominique Pinon a joué, notamment, sous la
direction de Francis Palluau (Bienvenue chez les rozes ), JeanPierre Jeunet (Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain, Alien la
résurrection), Zabou Breitman (M o i c ’ e s t l a m é m o i r e), José
Miguel et Estaban Ibarretxe (Sabotage), Thierry Boscheron (Sur
u n a i r d ’ a u t o r o u t e ), Patrick Timsit (Quasimodo ), Hervé
Hadmar (Comme un poisson dans l’eau ), Guy Jacque (Violetta
l a r e i n e d e l a m o t o , J e m ’ a p p e l l e V i c t o r ), Lionel Kopp
(M o r d b u r o ), Diane Bertrand (U n s a m e d i s u r l a t e r r e), JeanPierre Jeunet et Marc Caro (L a C i t é d e s e n f a n t s p e r d u s,
Delicatessen), Marco Pico (La Cavale des fous ), Manuel Sanchez
(Les Arcandiers ), Henri Herre (Août ), Robert Enrico (La
Révolution française), Ken Mc Mullen (1871 ), Arthur Joffe
(Alberto express), Jean-Claude Riga (Bleu marine ), Ermanno
Olmi (La Légende du saint-buveur ), Roman Polanski (Frantic),
Vadim Glowna (The devil’s paradis ), Jacques Richard (Cent
francs l’amour ), Bahloul Bahloul (T h é à l a m e n t h e ), JeanJacques Beinex (La Lune dans le caniveau , Diva), Jean-Claude
Missaien (T i r g r o u p é), Daniel Vigne (L e R e t o u r d e M a r t i n
Guerre,Nominé au César du meilleur espoir masculin), Arthur
Joffe (La Découverte et Merlin ou le cours de l’or, Palme d’or du
court-métrage à cannes).
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Biographie de
Florence Thomassin
Cours Véra Gregh. Studio 34. Cours Pygmalion
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Au cinéma, Florence Thomassin a joué sous la direction de
Bernard Dubois (J e t e t ’ a i m e ), Giacomo Battiato (Benvenuto
Cellini ), Renée Blanchart (L a V i e s u r M a r s), Francesca
Comencini (S i j e p o u v a i s t ’ a i m e r ), Costa Kekemenis (La
Cinquième saison), Martine Dugowson (Mina Tannenbaum ),
P.et L. Alessandrin (Ainsi soient-elles), Jean Becker (Elisa),
Didier Le Pecheur (D e s N o u v e l l e s d u b o n d i e u ), Edouard
Molinaro (Beaumarchais ), Patrick Grandperret (Les Victimes),
Jan Kounen (Dobermann), Nicolas Boukhrief (Le Plaisir « et
ses petits tracas »), Henri Herre (L ’ î l e d u b o u t d u m o n d e),
Gérard Mordillat (Paddy), Marion Vernoux (R i e n à f a i r e ),
Bernard Rapp (U n e a f f a i r e d e g o û t, Nomination meilleur
second rôle Féminin César 2001) et Marc Esposito (Le Cœur
des hommes ).
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Pour la télévision, Florence Thomassin a joué sous la direction
de Marc Evans (Le Jeu du roi), Daniel Duval (Les Lendemains
q u i t u e n t ), Don Kent (O d y s s é e b i d o n ), Jacques Ertaud
(Catherine courage ), Philomène Esposito (Le Mas theotine, Le
G a n g d e s p o u p é e s), Françoise Romand (V i c e v e r t u e t v i c e
versa ), Henri Helman (U n e v i e p o u r u n e a u t r e), Patrick
Grandperret (I n c a d e o r o ), Xavier Durringer (Les Vilains),
Gérard Mordillat (L ’ A p p r e n t i s s a g e d e l a v i l l e), Dominique
Ladoge (L e s S a g a r d s), Christiane Spiero (B o n n e c h a n c e ,
maman) et Stéphane Kurc (Contre vents et marées).
Direction de la communication
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assistée de Marlène Cros-Coitton
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