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Liace Magazine
Prix de vente du numéro : 2 €
Lettre d’information de l’Amicale des Chefs d’Etablissement de La Poste
Revue bimestrielle
Juillet 2014 - n°145
Une nouvelle gouvernance... Porteuse d’espoir... ?
Rencontre avec Nicolas ROUTIER
Lire page 7
Assemblées Générales
Sous le double signe de l’incertitude et de l’espoir
Lire pages 13 à 16
Doris STEBIG, nouveau Président de la Section des Retraités
Dans la continuité et l’espoir du maintien des effectifs
Lire pages 19 à 23
Liace Magazine n°145 - Juillet 2014
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Je suis alerté(e) par mail à chaque nouveau remboursement santé et je peux consulter mes
remboursements en ligne à tout moment. Mes décomptes sont archivés pendant un an
J’ai accès à toutes les informations concernant mon contrat (garanties, données personnelles,
documentation...) et je peux demander une modiﬁcation
Je trouve, près de chez moi, tous les professionnels de santé dont j’ai besoin et auprès de qui
je n’avance pas d’argent pour mes frais de santé
Je lis en ligne le magazine MG Actualités pour m’informer sur la santé et l’actualité
de La Mutuelle Générale
edito
quelques bonnes nouvelles
L’Assemblée Générale des retraités s’est tenue
SOMMAIRE
à ARGELÈS sur Mer les 26 et 27 mai. Jean Luc
SAUVAGE Président de la section depuis 6 ans
était parvenu au terme de ses 3 mandats de deux
ans. Conformément aux statuts de notre association, il a tout naturellement mis fin à sa fonction et
une nouvelle équipe a été mise en place.
Doris STEBIG, candidat déclaré, a été élu à la tête
de la section avec Yves LE LEUCH comme viceprésident. Doris et Yves connaissent parfaitement
le fonctionnement de l’Amicale et sauront être des relais et des appuis de poids pour
soutenir le travail des actifs.
Ils ont été tous les deux de brillants Présidents nationaux.
Je remercie chaleureusement Jean Luc et Marc pour leur soutien sans faille, leur
loyauté et leur travail à mes côtés.
Je faisais part, dans le dernier LIACE, de notre inquiétude par rapport aux changements « supposés ou incertains» mais attendus… Je déplorais le peu d’information
dont nous disposions.
Les choses ont beaucoup évolué depuis. Notre rencontre avec Nicolas ROUTIER et
Marie LLOBERES du 23 mai dernier nous a apporté une vision très précise de la
nouvelle gouvernance au Courrier et surtout, conforte beaucoup de points sur lesquels nous sommes parfaitement en accord, et notamment sur le rôle du Directeur
d’établissement.
Notre futur rendez-vous, le 10 juillet prochain, avec le Président Philippe WAHL,
nous permettra d’avoir une orientation encore plus précise de la stratégie d’ensemble
du groupe.
Je suis très satisfait de pouvoir écrire ces lignes aujourd’hui. Nos dirigeants ont pris
conscience du rôle que peut jouer l’Amicale, forte ses nombreux adhérents, dans le
déploiement de la stratégie.
J’espère que tous ensemble, après avoir été écoutés et entendus, nous parviendrons à
construire, à réussir la nécessaire performance de toute entreprise et par conséquent,
à garantir l’avenir du Groupe.
Luc PONSY
La vie de l’Amicale
p. 4 à 16
■ En direct des instances nationales
p. 4
■ Vingt ans au service de l’amicale p. 4 à 6
■ Les rencontres et audiences p. 7 à 12
• Direction du Courrier
• Actualités Champagne-Ardenne
• Courrier Meuse Champagne-Ardenne
• Rencontre en Lorraine Nord
• Bilatérale en Lorraine Sud
■ Les Assemblées Générales p. 13 à 16
• Section des Métiers Techniques
• Bretagne
• Bourgogne
• D.O.M.
p. 17 à 18
EXPRESSIONS
■ Courage managérial
■ Un monde où tout va bien
■ La séniorité
Les pages des retraités p.19 à 26
■ L’assemblée générale de la section à Argelès
■ Poitou Charentes en venise verte
■ Réunion en Bourgogne Franche-Comté
■ Les alsaciens et lorrains sur les traces des poilus
■ Echos de la région Nord-Ouest
a noter sur vos tablettes p. 26
p. 27
Les jeux
Liace Magazine
Publication bimestrielle éditée par
l’Amicale des Chefs d’Etablissement de La Poste
LE FOYER DES PTT
36, avenue du Président Wilson
94230 CACHAN
Téléphone/Fax : 01 46 64 20 84
E.mail : [email protected]
Internet : http//www.ace-poste.com
Dépôt légal juillet 2014
ISSN : 1167-5772
Le numéro 2 euros en vente au siège de l’ACE
Abonnement 1 an 5 numéros = 10 euros
Directeur de la publication : Luc PONSY
Rédacteur en chef : Jean-Pierre GUILLOTEAU
Réalisation, mise en page et impression :
TechnoPrint - BP 70077
57602 FORBACH CEDEX
Ont participé à ce numéro :
Alain BRAGHINI, Christian BRUZAT,
Pierre CHATELET, Marc DAIGNEAU,
Jean-Pierre DE SANTIS, Patrick DESTREBECQ,
Anne-Marie FRIOU-GRAMMONT, Noël GARINET,
Jean-Charles GRAVIOU, Didier MEUNIER,
Stéphane MASSONNOT, Laurent NEVEUX,
Bernard MOREAU, Bernard NADEAU,
Françoise PEPIN, Corinne PINAULT,
Yannick ROULETTE, Jean-Luc SAUVAGE,
et Jean TARDIF
La vie de l’amicale
en direct des instances nationales
Rappel : tous les comptes rendus exhaustifs de ces réunions, audiences et assemblées générales sont mis en ligne sur le
site : http//www.ace-poste.com.
LIACE vous rend compte de l’essentiel.
Ce journal est le votre, n’hésitez pas à envoyer vos articles et réactions à :
[email protected]
Vous ne trouverez pas dans cette édition
de compte rendu de Comité Directeur ou
de Conseil d’Administration puisque ces
deux instances ne se sont pas réunies en
mai.
Le Comité Directeur des 23 et 24 avril a été
relaté dans le précédent numéro de Liace.
La raison de cette absence de réunion est
liée au fait que le calendrier de mai avec
sa multitude de ponts n’était pas favorable à la tenue d’une instance.
D’autre part plusieurs assemblées générales (Retraités, Bretagne, Bourgogne et
DOM) se sont tenues fin mai et début juin
en présence de responsables nationaux.
Vous en trouverez les synthèses dans ce
même numéro.
L’actualité récente traduit une reprise des
rencontres avec le Siège :
Tout d’abord à l’invitation de Nicolas
ROUTIER, le 23 mai, puis avec Marie
Hélène MUSSET le 11 juin et enfin avec
l’audience programmée avec Philippe
WAHL le 10 juillet.
Nous rencontrerons également Martine
PERROT, DRH du Réseau et Sabine LORENZI, le 3 juillet à Cachan lors de la
prochaine réunion du Conseil d’Administration.
Jean-Pierre GUILLOTEAU
YANNICK ROULETTE :
VINGT ANS AU SERVICE DE L’AMICALE
Bonjour Yannick,
Nous sommes à mi-parcours du second mandat de Luc PONSY, à la
présidence de l’ACE.
Tu occupes depuis sa première élection, en 2011, la fonction de Vice Président.
Mais selon toi comment qualifieraistu le Vice Président ?
Est-il un Président en devenir, un fidèle Adjoint ou quelqu’un d’autre?
Peut être quelqu’un d’autre… simplement un amicaliste profondément
attaché à notre association et à ce
qu’elle représente pour le métier de
DE. Je suis rentré dans ma fonction
de chef d’établissement en 1995, (la
notion de directeur n’existait pas),
après avoir fait 5 années de distribution et 13 de brigadier. Depuis 1995,
j’ai la chance parce que c’en est une,
d’être amicaliste et de siéger dans les
instances de l’amicale. Départementales, tout d’abord à la présidence de
la Vendée à la suite d’un certain Michel NAULEAU devenu président de
région en remplacement d’Yves LE
LEUCH élu président de la délégation, puis président National.
Puis j’ai remplacé de nouveau Michel
NAULEAU, lorsqu’il a accédé à la présidence de la région Ouest et par la suite
lorsqu’il a quitté cette fonction pour
présider la section Vendée de la MG.
A l’époque où j’occupais les fonctions de brigadier dans le 49, j’avais
côtoyé un Directeur d’Etablissement
qui représentait à mes yeux un modèle professionnel, tant sa personnalité,
et son management étaient proches
de ce que je voulais être et faire.
Ce Directeur d’établissement était et
est encore aujourd’hui un membre
très éminent, très respecté de l’ACE ;
nous formons peut être un « vieux
couple » qui ne semble jamais ou rarement d’accord et pourtant ….
Cet homme m’a encouragé à m’investir dans l’amicale ; il m’a souvent
retoqué mais plus souvent encore,
montré le bon chemin…
Je suis depuis 20 ans membre du
bureau national et j’ai travaillé activement avec les divers présidents
(Yves, Doris, Jacques et Sylvie)
Pour succéder à cette dernière et respecter le principe d’alternance entre
le Courrier et l’Enseigne à la tête de
l’Amicale, Luc PONSY avait toute
légitimité pour postuler à cette prési-
dence et j’ai accepté de devenir son
vice président.
Si nous ne nous connaissions pas plus
que cela à l’époque, très vite nous
nous sommes compris et appréciés.
Pour le vice président que je suis, ce
qui me paraît le plus important, c’est
la vie de l’amicale.
Luc a voulu construire une équipe
soudée, orientée vers les échanges et
le travail sur le terrain et il a souhaité
que l’amicale soit présente sur tous
les territoires. Notre association se
doit de peser sur l’avenir de nos métiers (adjoints et DE), mais attention
peser, ne veut pas dire radicaliser,
faire de l’obstruction. Nous sommes
là en tant que professionnels, pour
décliner la stratégie de l’entreprise ;
notre rôle d’amicaliste consiste à
dénoncer les mauvaises pratiques et
surtout à en proposer de meilleures à
nos yeux de professionnels, puisque
nous sommes sur le terrain au quotidien, et que nous connaissons parfaitement nos métiers.
Vous avez des personnalités différentes et comme c’est le cas dans tous
les « couples », je suppose que vous
avez parfois des avis divergents.
Comment gères- tu ces moments ?
Nous formons un tandem prêt à tout
affronter pratiquement.
Nous sommes presque toujours d’accord sur le fond et bien souvent la
forme, mais Luc est un peu plus rond
(dans tous les sens du terme !!!) dans
l’appréciation des problématiques,
que je ne le suis.
Ceux qui me connaissent savent que
j’ai un peu de mal avec la diplomatie, cela m’a valu des épisodes amicalistes et professionnels quelques
peu mouvementés mais le gars est
comme ça !
Je pense que Luc et moi sommes
complémentaires. Nous partageons
toutes les décisions, et je crois que
nous n’avons jamais eu de divergences d’appréciation (sauf peut être sur
la création de la section des adjoints
et je n’en suis même pas sûr).
Notre vie est rythmée par un coup
de téléphone tous les matins et des
échanges de mails quasi quotidiens.
Alors que Luc occupe un poste de
DET dans le réseau, tu es DE au
Courrier.
L’exercice du métier de Directeur
d’Etablissement présente un certain
nombre de divergences selon que
l’on soit DE ou DET.
Considères- tu que votre travail en
commun à la tête de l’Amicale est le
moyen d’assurer une certaine cohésion et comment envisages-tu de préserver l’unité de l’ACE ?
Nous travaillons dans 2 univers différents mais en dehors des aspects
techniques et spécifiques, nous avons
quasiment les mêmes contraintes,
liées très souvent au management et
à la relation hiérarchique.
Être Directeur d’Etablissement, c’est
développer une relation humaine avec
nos collaborateurs, nos supérieurs et
bien évidemment nos clients.
Mais à mes yeux, je le répète, ce qui
me paraît le plus important, c’est la
vie de l’amicale.
Certains prétendent que tu constitues
avec Luc, un tandem de poids à la
tête de l’ACE.
Combien, pardon, comment pesez
vous sur la défense de vos métiers ?
Ce serait plutôt à Luc de répondre à
cette question …
Luc et moi sommes les relayeurs
auprès des Directeurs de métiers et
du Président, des problématiques
rencontrées, et surtout des propositions issues des réflexions consécutives aux séances de travail des équipes de l’Enseigne, des Adjoints, et du
Courrier.
C’est l’ensemble des adhérents que
nous allons rencontrer dans les régions qui nous dictent les messages
dont nous sommes ensuite porteurs.
Nous avons la volonté d’être reçus
par les responsables du Siège pour
défendre les intérêts de TOUS les
Directeurs d’Etablissement et Adjoints.
Notre objectif est que le travail des
amicalistes puisse peser sur les avis
de nos patrons ; je pense que les récentes rencontres nous témoignent
un certain intérêt.
Nos rencontres avec Nicolas ROUTIER, Marie LLOBERES, Philippe
BAJOU, bon nombre de DEC, DEX,
DSCC DTELP, semblent reposer
sur la confiance et la loyauté.
La position de l’amicale se veut
constructive et plutôt conciliante
avec le Siège.
Cette façon d’agir peut interpeller
certains collègues en raison de l’attitude de flou entretenue par le Siège
et de l’absence de contact réel avec
l’ACE depuis trop longtemps.
Que penses- tu de cette situation et
que proposes- tu pour répondre à
l’inquiétude de certains ?
Même si certains collègues le pensent
et nous le savons, il est faux de dire
que nous soyons ou que nous ayons
été conciliants avec le Siège.
Ce n’est pas seulement mon point de
vue. A plusieurs reprises nos actions
ou nos prises de position nous avons
fait frôler « la correctionnelle »…
Il nous est indispensable de garder le
contact avec la hiérarchie ; être dans
une forme de syndicalisme radical
nous fermerait toutes les portes et nous
ne souhaitons pas qu’il en soit ainsi.
Notre mission est de co-construire,
d’être force de proposition, mais parfois, il faut faire des concessions pour
mieux négocier ou rebondir …
Mais assurément, nous faisons de notre mieux …
Tu as été le Grand Organisateur des
deux derniers congrès.
En sera-t-il de même pour le prochain et quels sont les ingrédients qui
te semblent indispensables à la réussite d’un congrès ?
Notre congrès est le moment le plus
fort de la vie de notre association,
nous nous devons qu’il soit réussi,
c’est un gros boulot, j’y ai mis toute
mon énergie.
André DEZOTEUX, Marc DAIGNEAU et Doris STEBIG ont œuvré
avant moi dans ce même esprit de
partage et de convivialité.
Je souhaite que ces moments soient
comme une communion entre nous ;
cela permet à tous ceux qui y participent de mesurer notre solidarité, d’apprécier toute la convivialité de gens
qui partagent les mêmes valeurs.
Beaune, Roquebrune, Nantes, Bussang, Cahors, Hendaye et Ronce
sont d’excellents souvenirs.
Les congrès de Cahors et d’Hendaye
ont particulièrement marqué les esprits tant l’émotion de se retrouver y
était grande …
En 2015, nous nous réunirons à
Trégunc, et je suis certain que Laurent NEVEUX et toute son équipe
de Bretagne feront de ce congrès une
réussite.
Le Congrès est par excellence l’occasion de réunir toutes les régions,
mais aussi tous les métiers qui sont
défendus par l’amicale et notamment
les adjoints.
Tu n’étais pas un fervent défenseur
de la création de cette section mais ta
position a peut être évoluée ?
C’est vrai ; j’ai été, à un moment, opposé à la création de la section des
adjoints.
J’ai essayé de défendre mon point de
vue ; j’étais un peu seul…
Il était nécessaire de trouver un relais de croissance à notre association,
Les DE sont une espèce en voie de
disparition, (12000 en 2006/2007,
3200 en 2014 et ce n’est pas fini…!)
Il fallait réagir ; beaucoup de Directeurs d’établissement se trouvant sur
des postes d’adjoints, la création de
la section s’en est trouvée facilitée et
1000 collègues nous ont rejoints.
Maintenant il va falloir gérer. Si des
conflits internes entre DE DET et
ADJOINTS sont susceptibles d’exister, nous devons nous préparer à cette
éventualité et nous organiser pour y
apporter des solutions. Le comité des
sages pourra servir de médiateur en
cas de besoin.
Il nous reste à pérenniser la fonction d’adjoint tant au Courrier qu’au
Réseau, et cela ne va pas être facile…
Le nombre de Directeurs d’établissement diminue régulièrement.
Au Courrier aujourd’hui, peut-être
dans le Réseau demain, un « râteau » de cadres est en place.
Ceux-ci travaillent en liaison directe
avec le DE pour assurer le bon fonctionnement de l’établissement.
L’idée de leur offrir la possibilité d’intégrer l’ACE est parfois évoquée.
Qu’en penses-tu ?
Pour demain, il faut penser à la vie
active de notre association.
J’y participe depuis 20 ans … Luc a la
possibilité d’assurer encore un mandat.
S’il le souhaite nous le ferons ensemble…
Après il faudra penser autrement,
changer nos paradigmes… mais je ne
serai pas de ceux qui ouvriront l’ACE
à tous les cadres, car je pense que ce
serait une grave erreur.
Comment envisages-tu l’avenir de l’ACE ?
Comme dans toute association, le bénévolat se meurt ; nos valeurs parlent encore à beaucoup d’entre nous, malheureusement pas à tous ; l’individualisme,
le carriérisme ne sont pas les meilleurs
socles pour faire vivre l’Amicale.
Mais ceux qui s’investissent le font
sans retenue même si, c’est de l’énergie, du temps, beaucoup de temps
mais quand on aime on ne compte
pas et moi j’adore alors… l’amicale
fait partie de ma vie et le sera pour
très longtemps encore.
Ah, j’oubliais, le gars dont je parlais au début, souvenez-vous, celui
par qui tout a commencé, il s’appelle
MARC.
Grand merci à lui, c’est un juste…
L’ACE ne serait plus l’amicale des
chefs d’établissement, et y perdrait
son âme.
Propos recueillis par
Yannick ROULETTE aurait t’il gagné en rondeur ?
La vie de l’amicale - rencontres et audiences
l’ace invitée à la direction du courrier
Le Directeur du Courrier, Nicolas
ROUTIER, ayant souhaité rencontrer
les responsables de l’ACE, Yannick
ROULETTE et Noël GARINET ont
participé le 23 mai à cette réunion à
laquelle participait également Marie
LLOBERES.
Luc PONSY, Président National de
l’amicale n’a pas pu y assister, étant
pris par d’autres obligations.
L’objet de cette rencontre était de
nous présenter la nouvelle gouvernance de la branche «SERVICECOURRIER-COLIS ». On ne parle
plus de Direction du Courrier mais
de DSCC.
Ce qui a été développé au cours de cette rencontre
- Le rapprochement de la branche
COURRIER / COLIS
- Une gouvernance pour réussir la
conquête et la réaffirmation des 3
axes : amélioration continue (satisfaction client, conforter la qualité de vie
au travail et améliorer la performance)
- La co-construction
- La décentralisation : La nouvelle
gouvernance n’entraine aucune évolution au niveau des établissements.
- L’organisation de la branche s’ar-
ticule autour de 9 unités d’affaires
qui regroupent les diverses activités
issues du courrier ou du colis, de la
logistique, de l’international, Etc.
- 5 Pôles business et 2 pôles support
autour du Directeur Général
- Le Pôle services :
Marie LIOBERES avec 5 DEC (-1)
et 38 DOTC (pas de fusions ni suppressions hors Savoie/ 01 et Paris).
Quelques mouvements chez les
DEC : Patricia ODOU (Nord-Est),
Joël LEON (sud-Est)
Création d’une direction de la satisfaction client (Jacky POITOUX) Au niveau des nouvelles DSCC (ex DOTC) :
-F
onction d’adjoint au DSCC généralisée
- Fonction de DAC créée
- Suppression du métier de DGC
- Les DI (directions industrielles) deviennent direction de la satisfaction
client
- Les DE sont rattachés directement
au DSCC ou à son adjoint. Ils sont
membres du CODIR.
- L’ACE s’est félicitée de ces évolutions (le rôle du DGC et les
CODIR faisaient partie de nos
échanges depuis longtemps)
Les 2 pôles supports sont les suivants :
-L
e pôle Vie au travail rassemblera
les compétences suivantes : DRH /
Communication/ Qualité/ Sureté et
le Contrôle Général. Il sera dirigé par
Line EXBRAYAT (ex DEC sud –Est)
-L
e pôle Performance rassemblera la
stratégie, la direction financière, le SI,
La comptabilité et diverses autres activités, le patron en sera Vincent MOULLE Les autres Pôles seront tenus par :
- Pôle courrier : Catherine DANEYROLE
- Pôle Colis : Xavier MALLET
- Pôle Logistique : Yves XEMARD
- Pôle International : Marc PONTET
Ce sont là les principales informations retenues de cette présentation.
L’Amicale est plutôt satisfaite de certaines orientations. Le rôle du DGC
et sa suppression était un sujet que
nous évoquions de façon récurrente.
La reconnaissance du métier d’adjoint dans nos établissements a de
nouveau été mise en avant par Nicolas ROUTIER. Il nous remercie de
l’aider à progresser sur ce sujet.
Pour conclure, une très bonne rencontre dans une ambiance empreinte
de courtoisie.
Yannick ROULETTE
et Noël GARINET
Actualités Champagne-Ardenne
Deux rencontres programmées les
23/24 Avril 2014 par l’ACE avec le
DOTC Serge TEXIER et la DELP
Michelle PERROT. Suite au départ
de Mme PERROT le 4 Avril, Sandrine ARNAUD- CARRÈRE assure
l’intérim DELP et a donc pris le relais pour cette rencontre, nous tenons
à les remercier pour ces échanges.
Rencontre du 24 Avril entre Sandrine ARNAUD- CARRÈRE DELP,
François-Xavier ROSE DAC Enseigne /Réseau et Anne-Marie FRIOUGRAMMONT Présidente de l’ACE.
Cette dernière présente la structure
de l’Ace pour informer Mme Sandrine ARNAUD-CARRÈRE sur le
fonctionnement de notre Amicale.
Les zones de marchés sont elles mise
en place sur la totalité de notre territoire ?
La mise en place s’est faite en 2 étapes
avec 2 Référents désignés : FrançoisXavier ROSE DAC Enseigne/Réseau
et Pascal CHIODO DGC Courrier
- Constitution des zones, le choix
s’est orienté vers des zones où l’activité et le nombre des facteurs est
similaire et selon le pourcentage de
l’activité Courrier sur le périmètre
de la zone avec 2 à 7 établissements
Enseigne maximum ; 12 zones ont
été créées, 10 dans le périmètre de
la DELP, 2 en Meuse.
- Création des objectifs communs
avec remontée au national : pour
2014 Courrier +1000KE, Colis
+200KE, Chrono MPAP Identique, communication Commerciale
MPAP en progression.
La remontée des diagnostics le 15/04
sera suivie d’une concertation le 15/05
entre Sandrine ARNAUD-CARRÈRE, Serge TEXIER, François-Xavier
ROSE et Pascal CHIODO pour étude
des plans d’actions proposés.
Quelles actions de synergie sont prévues ?
Les actions sont mises en place essentiellement sur la base du volontariat,
les RCES ont pour mission de rendre
les facteurs vendeurs à 80% avec un
chiffre d’affaire annuel de 600 €.
1ère Action : l’identification des
clients PROS par les facteurs, définir
un potentiel à développer et créer la
relation avec les clients jamais vus
par l’interlocuteur qui est le mieux
adapté. Les clients des GCPROS resteront dans le portefeuille et seront
toujours rencontrés par eux-mêmes.
2ème action : créer la synergie dans
les 2 sens, les GCPROS vont avoir
une formation spécifique sur les nouveaux services facteur et « recygo ».
3ème action à venir : aide par les
ADAC et MVE sur l’animation des
Carrés Pros, mettre en place le merchandising, le rendre plus attrayant
et développer les compétences sur la
découverte des besoins clients
peuvent être un moyen d’assurer la
présence postale en synergie.
Le DAC et les ADAC participent aux
réunions RCES pour le suivi et l’animation de ces actions, en prévision
création d’une journée « privilège »
PROS multi métiers.
Les parts variables sont cette année
en forte baisse et il n’y a pas eu de
communication sur les parts variables des DETA ?
La DELP est cette année à un taux de
performance plus bas sur la 3ème strate
d’où une distribution de seulement
95 % d’enveloppe.
Pour la communication des parts variables des DETA un rappel sera fait
aux DV.
Quelle sphère d’autonomie entre
DET et DE ?
Chacun garde sa sphère d’autonomie, le pilotage des GCPROS reste
aux DET, création sur PILCO d’un
tableau de bord zone de marchés, il
sera nécessaire de créer des instances
de managers DET/DE afin d’organiser
un pilotage des actions en synergie. Quelle est la position DELP sur la
mise en place des facteurs guichetiers face aux DE qui ne sont pas
très favorables à cette charge dans
leur FGTI ?
La DELP est favorable à la mise en
place des facteurs guichetiers qui
Quelles évolutions sont à prévoir
sur le maillage du territoire et avec
quels accompagnements ?
Pas de prévisions à ce jour sur le
maillage du territoire uniquement les
fusions en cours avec accompagnement individuel des personnes selon
les opportunités.
Anne-Marie FRIOU-GRAMMONT
Entretien de l’ACE avec Serge TEXIER,
DOTC de Meuse Champagne Ardenne
Anne-Marie FRIOU-GRAMMONT, Présidente de l’ACE Champagne Ardennes
et Stéphane MASSONNOT, Vice Président courrier ont abordé les thèmes suivants lors de cette Rencontre du 23 avril
2014.
Comment pensez-vous réussir le challenge de la décentralisation jusqu’au
niveau le plus fin des établissements ?
La décentralisation s’est concrétisée sur
le territoire le 17/12/2012 avec la mise en
œuvre du projet managérial et le passage
de 23 à 13 établissements dont la PIC.
Pour chaque domaine de pilotage un expert a été mis en place dans les établissements.
Nous travaillons plus spécifiquement sur
2 points de progrès : la montée en charge
de la décentralisation avec la participation des DE aux décisions de l’équipe de
direction DOTC et la décentralisation en
infra-établissement. 13 chantiers ont été
ouverts et chacun est piloté par un DE,
aidé par un ou plusieurs DAS. Le COP
DOTC évolue : par exemple, une heure
est consacrée plus spécifiquement aux
problématiques portées par les Directeurs
d’Établissement.
Le chantier relatif à la responsabilisation infra-établissement est important
et nous avons encore beaucoup à faire
(formation, montée en compétence des
cadres de proximité, CAP par équipe..).
Un accompagnement a été mis en œuvre
à Reims avec l’aide du campus et de la
DQI ; des pistes intéressantes émergent
(par exemple faire travailler les FQ sur
une DJT plus importante que celle des
facteurs de façon à pouvoir consacrer davantage de temps, au quotidien, à la QS, à
l’animation des équipes).
Evolution des structures : les transferts
DOTC/Etablissements, quelle avancée
dans votre DOTC ?
Une quinzaine de personnes ont été transférées vers les établissements dans le
cadre du projet managérial. Des mouvements sont en cours pour les APACT, APC
et OA. Le cadre de l’exercice de leur mission a été déterminé en co-construction ; la
définition de leurs zones de compétence,
leur affectation, leur rattachement hiérarchique, ainsi qu’une note de cadrage entre DE, ont été élaborés. Des perspectives
d’évolution professionnelle sont ouvertes
et tous leurs moyens matériels vont être
transférés aux établissements.
Quel 1er bilan des nouvelles organisations mises en place : les réussites et les
points de vigilance pour l’avenir ?
Les nouvelles organisations doivent faire
baisser les charges (surfaces ; voitures
notamment) et de se mettre en capacité
d’assurer des nouveaux services en étant
présent l’après-midi par exemple près des
clients.
Cependant, nous enregistrons sur la
DOTC une baisse de trafic importante et
une chute des colis sur le 1er trimestre
avec tous les effets sur le compte de résultat : il nous faut impérativement réassurer ce manque à gagner. Par exemple,
Amazon développe et multiplie les réseaux alternatifs. Les nouveaux services
constituent une opportunité pour apporter
de l’activité aux facteurs.
Dette sociale : comment tenir compte
des inégalités entre établissements (point
de départ à 7 pour certains, 14 pour
d’autres) alors que l’objectif est identique : - 7 jours en moyenne par agent ?
Il y a effectivement des écarts entre établissements. La performance s’appréciera en variation entre le point d’entrée et le
point de sortie en fin d’année.
Zones de marché : quelles avancées sur
votre territoire ? Actions synergiques mises en place entre Courrier et Réseau ?
La géographie des zones de marché a
été arrêtée, des objectifs ont également
été définis en commun avec le DOTC le
DETLP. Les DE et DET se sont tous rencontrés pour partager le diagnostic de leur
zone et élaborer des plans d’actions. La
mise en œuvre de ceux-ci est encore un
peu laborieuse à mon goût mais plusieurs
initiatives fonctionnent d’ores et déjà (ex
à Saint-Dizier, les facteurs identifient les
professionnels, et le Gespro les rencontre
en tournée avec le facteur).
Facteurs guichetiers : plusieurs demandes de la part du Réseau, mais financement en intégralité à la charge du Courrier. Les DE qui ont du mal à tenir leur
FGTI cette année ne sont pas très favorables à cette aventure qui va pourtant
dans le sens de l’histoire. Quelle est la
politique de la DOTC en la matière ?
Il y a 2 expériences opérationnelles en
MCA. La mise en place n’est pas toujours
facile : le Réseau doit être demandeur, le
politique local doit être preneur, le candidat doit avoir le profil du poste, il faut
se caler aussi avec la règle des 24 mois
pour les réorganisations … Nous devons
donc être très volontaristes pour réussir
sur ce sujet : le facteur guichetier est en
effet un bel exemple pour promouvoir
les nouveaux services, exploiter au maximum toutes les synergies. Les aspects
budgétaires seront retraités en analyse de
la performance (FGTI, ainsi que CA en
attendant l’objectivation 2015 des zones
de marché).
Evolutions de la gouvernance : quels
impacts dans les établissements ?
La nouvelle gouvernance n’aura pas
d’impact dans les établissements au niveau des organigrammes sans doute mais
les postures doivent évoluer pour satisfaire les clients ; nous entrons dans l’ère
de la « promesse tenue » !
Part variables gelées au niveau des
augmentations pour les groupes B, fortes baisses des augmentations pour les
groupes A, des salariés qui semblent
mieux lotis que les fonctionnaires pour
les augmentations individuelles. Des DE
ou des adjoints qui n’ont comme seul retour que la remise d’un courrier sans ex-
plication individuelle du niveau retenu :
il serait bon de rappeler aux DGC leur
devoir d’information, le sentiment d’incompréhension voire d’injustice pouvant
avoir des conséquences importantes.
La communication individuelle sur ce
sujet en particulier constitue un acte managérial fort et les pratiques que vous me
décrivez constituent une faute !
Les augmentations individuelles sont très
limitées pour tous les niveaux.
Le COP DE a contribué à la définition
de clés de répartition pour bien traduire
la performance de chacun des établissements (pondération selon le delta d’EBE
des établissements à hauteur de 20 % de
l’enveloppe individuelle). En cas d’interrogations sur ce domaine, j’invite chacun
à solliciter son manager pour explications.
Qu’en est-il de la reconnaissance des
adjoints pour lesquels l’ACE souhaite
une animation spécifique et une part variable réellement à la main du DE, sans
imputer l’enveloppe globale des N-1 ?
Les responsables production, le plus souvent adjoints, sont animés tous les mois
par les DGC. Quant à leur part variable
il n’y a pas d’enveloppe spécifique pour
ceux-ci.
Promo ES1 : demande de rappel des
règles
Les promos ES1 dépendent d’abord de la
dimension, du poids du poste occupé.
Anne-Marie FRIOU-GRAMMONT
et Stéphane MASSONNOT
Rencontre avec la DTELP
de Lorraine Nord
Le 19 mai, l’Amicale, représentée
par Didier MEUNIER Président
Région Lorraine (DET 54), Hervé
ROSSI DET délégué 57, Michael
PERREIN DET délégué 55 et Claude
RYBZYNSKI Président DETA Lorraine, a rencontré Véronique BOITOUT, DTELP de Lorraine Nord.
Didier MEUNIER ouvre la réunion
en remerciant Véronique BOITOUT
de recevoir l’Amicale et souhaite débuter les échanges avec :
« Ce qui va bien ».
- Promo ESC1/ISC3 en Lorraine
Nord (IV3) :
L
’ACE salue le choix d’un opérationnel (DET) pour cette valorisation.
-R
apidité dans le paiement de la
part variable (Avril contre Mai
dans nombre de DTE).
- Rôle de filtre joué par 2DV sur 4
quant à la pression croissante.
- Soutien et décision rapide de la
DTE dans un contentieux entre
un DET et son DETA.
- Climat renforcé entre DET.
Les échanges se poursuivent avec :
Les sujets qui préoccupent l’Amicale et les collègues :
- Pression commerciale et reportings tous azimuts :
L’ACE alerte sur le fait que le rôle de
filtre des DV évoqué en introduction
est de plus en plus restreint, et que
la pression et le stress (communicatifs) vont en s’accroissant. Des DET,
qui jusqu’ici n’évoquaient aucun problème se manifestent désormais pour
faire part de leur malaise.
De surcroît, un reporting identique
pour tous ne va absolument pas de
pair avec le management personnalisé
prôné par le Réseau (et qui semblait
pourtant la recette lors de notre bilatérale de janvier, face à la pression et
au reporting).
Véronique BOITOUT : La pression
est plus forte car l’attente et l’exigence sont plus fortes. Si le reporting
n’apparaît pas nécessaire pour le
DET, il peut l’être pour sa hiérarchie.
Demander un reporting, c’est s’assurer que les items sont bien mis sous
pilotage. Chaque DET peut l’adapter
au cas par cas en lien avec son DV, en
fonction de ses forces et faiblesses.
Les DV sont aussi en attente de propositions pour bien faire.
- Part variable en baisse sensible
malgré une implication des managers qui n’a jamais fléchi.
La part variable est attribuée à la
DTELP est fonction de divers critères : Cap emploi, CA, qualité…
En fonction des résultats, l’enveloppe
attribuée à la DTE est multipliée de
0.8 à 1.2, ce qui explique que pour
2013 l’enveloppe distribuée est moins
élevée que l’année dernière.
ACE : Même si nous mettons en avant
le paiement rapide la PV en Lorraine
Nord, nous insistons sur le fait qu’un
élément de rémunération de l’année
N-1 quatre mois après ne peut être
pleinement satisfaisant.
Véronique BOITOUT répond que notre système d’information ne permet
pas une consolidation à 100 % des
résultats plus tôt.
ACE : Merci de faire remonter malgré tout et une fois de plus que le Réseau devrait s’améliorer sur ce point,
par égard envers ses managers.
- « Augmentation » salariale Il n y a pas eu d’accord signé avec
10
les organisations syndicales, les fourchettes ont donc été décidées unilatéralement par le Siège, pour l’ensemble des agents du Groupe, générant la
surprise et la déception.
Véronique Boitout : Les Groupes B et
C du Réseau n’ont pas été augmentés.
Le Groupe La Poste ne peut se permettre d’augmentation plus conséquente dans un contexte de crise et
avec des résultats en baisse.
- Le national alloue aux DTELP
21% pour les MR, plus la mesure
KASPAR 2.5%, soit une enveloppe de 23,5%.
Nous ne sommes pas à ce taux
dans les Terrains ?
Véronique BOITOUT : Au niveau de
la DTELP LN, les taux réels au niveau des Terrains vont de 15 % à 25
% (Terrains à CM, détachements syndicaux, Prudhommes)
Le choix de ne pas « injecter » 21,20
partout permet une adaptabilité.
Les différences sont étudiées, en fonction des absences, évolution de trafic...
- Des DET ont pu constater des changements dans leurs allocations de
moyens (à la baisse), en cours ou
fin de projet d’établissement :
Véronque BOITOUT : Cela se justifie
par les adaptations de la V9 en cours
de route. En effet, la chute de trafic est
plus importante en LN qu’ailleurs :
le national perd 1.34 %, LN 2.9 %,
quant aux bx 2000, ils gagnent +1.6 au
national contre une perte de 1.9 en LN.
Devant cette chute il a été nécessaire
d’adapter nos prévisions de réorganisations, afin que les PT soient calculées au plus juste. En ne faisant
rien, les remplacements auraient
été compliqués ; en réagissant de la
sorte, cela permettra d’autoriser les
remplacements en cas d’absences
intempestives sur des PT qui se justifient, ce qui n’aurait pas été forcément les cas si nous avions poursuivi
le cap initial.
ACE : Les lancements de projet évoqués ont eu lieu initialement avec le
staff entier de la DTE en ETC.
Nous ne pouvons que déplorer que la
baisse de moyens ou la labellisation
d’agents soient ensuite communiquées aux seuls managers sans autre
forme de procès, alors que tout le
processus est remis en cause.
Cela nuit bien évidement à la crédibilité du projet, des managers eux-mêmes qui doivent expliquer seuls, des
opérationnels et de la hiérarchie, et
contribue à la perte de confiance des
agents qui pensent (sic) « que tout ça
n’a servi à rien, puisque l’on n’est
plus associé ».
- Quid des bilans à 6 mois
Véronique BOITOUT : Ils seront programmés au maximum à 6 mois pour
qu’ils gardent leur sens et soient efficaces
Après un séjour minimum de 3 ans
préconisé pour les COBAS sur un
portefeuille, on assiste désormais à
des séjours beaucoup plus courts
depuis le départ de Jacques RAPOPORT, et cela malgré l’avis des DET.
Véronique Boitout se déclare personnellement pour un séjour mini de 3
ans sur le poste mais pas forcement
sur le même portefeuille. Dans le cadre des 5 piliers, les changements ont
été somme toute de faible ampleur. Il
n’y a plus de dogme en la matière.
-Q
UID du Projet de Management
Commercial Unique Réseau/LBP ?
(Les adhérents ont déjà reçu le contenu de la CDSP et les nouveaux organigrammes)
Les directeurs régionaux vont être
nommés début juin. Peuvent se positionner les DTE, les DCRB et les Directeurs de CF.
Les N-1 (Directeurs Territoriaux,
Directeurs RH et transformation, et
Directeur Action Commerciale) devraient être nommés avant août.
ACE : Qui pourra se positionner sur ces
postes ? Y aura t- il appels à candidature
ouverts aux DET, ou seront-ils réservés
aux personnels en reclassement ?
Véronique BOITOUT: Quel que soit
le cas, appel à candidature ouvert ou
non, les DET ne peuvent être les profils prioritaires : sont à repositionner les DV, les DCP, DCB (environ
400 candidats pour 280 postes) +
les DCRB ou DTE qui ne seront pas
nommés sur les postes de Directeurs
Régionaux.
Il est donc évident que les espoirs de
promotions pour les DET sont compromis pour quelques années, hors
opportunités sur des créations de
nouveaux postes.
Bien que conscient du nombre de
personnes à reclasser, l’ACE souhaite que les DET puissent se manifester
sur les appels à candidature évoqués
(choix national).
ACE : Actuellement certains Terrains sont en expérimentation.
- terrain centre ville : fusion de terrain des centres villes
- terrain en milieu rural de forte envergure:
(Organisation prévisionnelle des terrains : 3 à 8 COBAS, 1 animateur
conseil bancaire,1 responsable espace de vente,1 DET, 1 responsable par
établissement rattaché, 1 cadre service arrière et si le terrain est impor-
tant : + 1 responsable partenariat)
Véronique BOITOUT: Ces tests restent des expérimentations et non des
sites pilotes, donc attention aux projections hâtives.
- Zones de marché
Après un lancement plutôt réussi, impliquant les DV et les DGC, les DET
ont maintenant la sensation d’une
totale improvisation sur ce projet.
Aujourd’hui, ce sont les DE et DET
qui se rencontrent et qui doivent finalement faire «tenir » un projet sur lequel ils ont somme toute, peu d’infos.
On « avance à vue », et chaque partie
attend le 1er janvier pour « partager » réellement ses clients.
Le Courrier semble frileux sur le sujet.
Des facteurs guichetiers sont mis
en place avec succès (Amanvillers),
d’autres sont en projet (Montois).
Tout repose sur la personnalité de
l’agent du Courrier nommé, ses compétences et son implication.
L’ACE attire l’attention sur ce qui
avait été signalé dès le début : la nécessité pour le Courrier de former
des remplaçants, sinon l’organisation
reste boiteuse, et c’est le Réseau qui
subit en cas d’absence.
Didier MEUNIER remercie Véronique BOITOUT pour son accueil et
son écoute.
Rendez-vous est pris le 17 octobre
2014 pour notre Assemblée Générale,
avec une autre rencontre possible avant
celle-ci en fonction de l’actualité.
Didier MEUNIER
BILATéRALE ACE / DTELP de Lorraine Sud
Didier MEUNIER, accompagné de
C.GRISEZ et C.RYBZYNSKI a rencontré le 14 mai François CLAUDE,
DELP, assisté de JC.LARUELLE , Adjoint DTE et d’O.RICHARD, DRH.
Nous débutons les échanges avec :
« Ce qui va bien »
- Soutien actif du DTELP dans le cadre de la recherche de mobilité fonctionnelle des DET (départ récent de 2
DET dans le 88).
- Ecoute, soutien et recherche de solutions de la part du DTELP dans le cas
de 2 collègues managers (1 DET et son
adjointe) mis en cause gravement par
un agent : dans ce genre de situation,
une demande d’enquête pour harcèlement ne peut être déclenchée qu’à la
demande de l’agent qui se dit victime.
Un audit a cependant pu être mis en place au sein du bureau à la demande des
managers qui voulaient que tout soupçon puisse être levé. L’audit RH, qui a
permis d’entendre tous les agents du
Terrain, n’a démontré aucun dysfonctionnement et relègue les affirmations
de l’agent au rang d’affabulations.
Aujourd’hui, François CLAUDE préfère regarder vers l’avenir, et prévoir
le comblement du poste concerné.
Une communication (info-poste ?)
sera établie à destination des agents
pour rappeler les sanctions encourues
en cas de fausse déclaration.
François CLAUDE rappelle que ces
situations ne sont pas simples et qu’il
faut prendre toutes les précautions
nécessaires afin de protéger toutes les
parties concernées.
-C
oup de chapeau pour le pilotage DETLP, avec un « reporting sain » basé sur
les priorités, contrairement à nombre
d’autres DTELP (les résultats à la hausse en Lorraine Sud semblent prouver
que le reporting n’est pas la solution).
François CLAUDE ajoute que le management ne se fait pas par du reporting, ni par une sur-activité de mails.
Il tient cependant à rajouter qu’il
faut savoir faire preuve d’une « bienveillance implacable », la poursuite
de ce type de pilotage ne tient donc
qu’aux managers …
Les sujets qui préoccupent l’Amicale et les collègues :
- Qualité : critère d’accessibilité téléphonique COBA :
En cas « d’inacceptable pour le Terrain »,
impossible de savoir qui est le coba
concerné, donc impossibilité de vérifier,
et impossibilité de plan d’action ciblé.
Demande est faite de pouvoir identifier
le COBA concerné.
Jean Christophe LARUELLE précise que
la volonté du Siège est de communiquer
globalement et non individuellement.
Nous réitérons malgré tout notre demande, qui sera répercutée.
- Quid de l’avis des DET sur le recrutement des apprentis ?
Un DET a donné une appréciation
défavorable pour l’embauche d’un
apprenti. Il n’est pas retenu par le jury
à l’issue du BTS.
Nous retrouvons cet apprenti quelques
mois plus tard avec un contrat d’embauche comme COBAR, après un passage dans un autre département.
Qui sera en 1ère ligne lorsque les résultats du
dit coba ne seront pas au rendez-vous ?....
Un deuxième DET et un MV ont alerté
sur la nécessité de ne pas donner suite à
la période d’essai du COBAR.
François Claude nous annonce que
l’avis des managers sera suivi et le
nécessaire fait.
- Appel à candidature DET dans le
Pays Haut reconduit, sans que les
premiers postulants soient informés qu’ils ne sont pas retenus?
François Claude s’engage à ce que ce
dysfonctionnement ne se reproduise plus.
- Fusions Gérardmer/Bruyères et
Neuves-Maisons/Ludres
11
Les 2 DET en place ayant candidaté
sont retenus Chef de Projet (logique
pour l’ACE).
Les 2 Terrains restent classifiés DET1,
les critères CA CCE, Encours Financiers et portée managériale n’étant pas
atteints simultanément, malgré une incertitude de départ sur le Terrain de
Neuves Maisons.
-Q
uelle latitude pour les managers dans
le choix de leurs collaborateurs ?
Le DRH explique qu’il existe actuellement un audit sur les personnels en
reclassement. La règle est toujours la
priorité pour les personnes en reclassement qui répondent à un appel à
candidature.
Dans le cas présent, il s’agit bien d’un
personne en reclassement depuis plusieurs années, que nous mettons sur
le poste à l’essai pendant 6 mois, afin
d’avoir toutes les garanties.
- Que doivent penser les managers
opérationnels de la dernière Promo
ESC1/ISC3 en Lorraine Sud (IV3)?
(2 cadres sup. fonctionnels promus,
0 opérationnel)
ACE : N’y a-t-il aucun opérationnel
sur toute la DTE qui aurait mérité cette
valorisation, de par son implication sur
le terrain et ses résultats ?
François CLAUDE : il y en aura l’année prochaine.
Nota : le nombre de promo est fixé par le
DEX, le choix revient ensuite aux DTE.
- Le national alloue aux DTELP
21% pour les MR, plus la mesure
KASPAR 2.5%, soit une enveloppe
de 23,5%.
Or dans les terrains, le taux est de
14.5% Où se trouve la différence ?
Jean Christophe LARUELLE nous répond que cette allocation est donnée
pour le volume d’absence de la DTELP.
Il est calculé sur la V9.4, sur les moyens
donnés et non sur le cadre existant.
Au niveau de la DTELP Lorraine Sud,
les taux réels au niveau des Terrains
vont de 13% à 36% (Terrains à CM, détachements syndicaux, Prudhommes)
Le choix de ne pas « injecter » 21,20
partout permet une adaptabilité.
Les 2.5% de la mesure KASPAR sont
forcément des MRM (2.5% des PT
remplaçables Production et encadrants
si absence adjoint) Dans la DTELP, ils
sont en moyen EAR.
La DTELP a souhaité donner 14.5% à
12
chaque terrain, ce qui est le taux incompressible pour les absences prévisibles.
Les différences sont étudiées, en fonction des absences, évolution de trafic...
- Qui est en charge de la communication des mesures estivales ?
Un coup d’arrêt avait été sonné par les
élections. Il est temps de reprendre la
communication pour la période estivale (en plus des relations et rencontres
élus normales)
Elle se fait par les DET, avec le DRT si
besoin pour les zones sensibles et pour
les DET débutants.
- Part variable en baisse sensible
malgré une implication constante
des managers
La part variable attribuée à la DTELP
est fonction de divers critères : Cap
emploi, CA, qualité…
En fonction des résultats, l’enveloppe
attribuée à la DTE est multipliée de
0.8 à 1.2, ce qui explique que pour
2013 l’enveloppe distribuée est moins
élevée que l’année dernière. Si nous
continuons le bon travail entamé en
ce début d’année, notre enveloppe sera
multipliée par 1.2 l’année prochaine et
nous verrons la différence.
ACE : les objectifs augmentant, nous
pouvons douter de l’atteinte de ceux-ci
par Lorraine Sud, et donc redouter un
coefficient de 0,8 une nouvelle fois ?
Jean Christophe LARUELLE : non car
les DTE sont classés par benchmarking, le coefficient de 1.2 est pour les
premiers, le coefficient de 0,8 pour les
derniers.
ACE : Nous déplorons une nouvelle
fois un paiement au bout de 5 mois de
notre part variable sur l’année écoulée.
DTE : lorsque nous avons reçu les fichiers,
nous avions 3 jours pour la répartition si
nous voulions un paiement en avril.
Le choix de la qualité a été fait, plutôt
que celui de la précipitation.
ACE : Merci d’insister également
auprès des DV pour que partout l’analyse de la FDR soit faite en fonction
des moyens accordés pendant l’année,
et pas seulement sur les résultats.
(Ex : non atteinte objectif LBP mais
absence Gescli+Cocli+CSP, pondérer
les objectifs initiaux/FDV présente)
CDSP : l’ACE demande à la Direction
de penser à inviter les DET à des heures différentes lorsque plusieurs projets
sont discutés. Par égard pour les mana-
gers et par égard pour les projets présentés, une ½ heure minimum semble
nécessaire entre chaque présentation.
Le DTELP assure que le nécessaire
sera fait.
- QUID du Projet de Management
Commercial Unique Réseau/LBP ?
(Les adhérents ont déjà reçu le contenu de la CDSP et les nouveaux organigrammes)
Les directeurs régionaux vont être
nommés début juin. Peuvent se positionner les DTE, les DCRB et les Directeurs de CF.
Les N-1(Directeurs Territoriaux, Directeurs RH et transformation, et Directeur Action Commerciale) devraient
être nommés avant août.
ACE : Qui pourra se positionner sur ces
postes ? Y aura-t-il appels à candidature
ouverts aux DET, ou seront-ils réservés
aux personnels en reclassement ?
DRH : bonne question à laquelle nous
n’avons pas de réponse aujourd’hui.
Réunion à Paris prochainement, nous
la poserons.
Actuellement des Terrains sont en expérimentation :
- terrain centre ville : fusion de terrain
des centres villes
- terrain en milieu rural :
Organisation prévisionnelle des terrains :
- 3 à 8 COBAS
- 1 animateur conseil bancaire
- 1 responsable espace de vente
- 1 DET
- 1 responsable par établissement rattaché
- 1 cadre service arrière
Si le terrain est important : + 1 responsable partenariat
- Zone de marché
Après un lancement plutôt réussi, impliquant les DV et les DGC, les DET
ont maintenant la sensation d’une totale improvisation sur ce projet.
Aujourd’hui, ce sont les DE et DET
qui se rencontrent et qui doivent finalement faire «tenir » un projet sur lequel
ils ont somme toute peu d’infos.
On « avance à vue », et chaque parti
attend le 1er janvier pour « partager »
réellement ses clients. Le Courrier
semble frileux sur le sujet.
F.CLAUDE rencontrera F.ROGUET
pour relancer le projet.
Rendez-vous est pris le 17 juillet 2014
pour de nouveaux échanges.
Didier MEUNIER
La vie de l’amicale - Assemblées générales
Assemblée Générale des métiers techniques
L’ACE est fortement représentée dans
les métiers techniques puisqu’à la DSEM
nous enregistrons un taux d’adhésion
proche de 80% parmi les directeurs territoriaux. Tous étaient réunis ce 2 Avril en
AG en présence de Luc PONSY, Président national de l’ACE.
Hubert CERTES, Directeur de la DSEM
a répondu à l’invitation qui lui a été faite
de venir échanger avec les managers. Ont
été évoquées, les questions brûlantes relatives aux adaptations rendues nécessaires par la séparation des métiers au sein
de la DSEM et l’intégration de celle-ci au
Réseau La Poste.
Devant l’assemblée, Luc PONSY a
rappelé l’historique et quelques fondamentaux concernant l’ACE, son rôle
d’accompagnement dans la stratégie de
l’entreprise et sa mission auprès des managers.
Après quelques points d’organisation et
de trésorerie, la discussion s’est ouverte
sur nos métiers, les réorganisations en
cours dans le Groupe et plus particulière-
ment dans la filière technique. Les débats
ont fait apparaître l’intérêt des participants pour leur métier mais aussi quelques inquiétudes quant à l’avenir.
C’est donc sur ces questions d’avenir
qu’Hubert CERTES a débattu très ouvertement dès qu’il nous a rejoints. Plusieurs
points étaient encore en négociation entre les directeurs de la DSEM, de la DTC
et les organisations professionnelles notamment sur les modalités de transferts
d’effectifs.
La DTC reprend les activités techniques
du Courrier réalisées par la DSEM.
La DSEM est rattachée au Réseau La
Poste à partir du 12 Mai.
L’effectif correspondant à la charge de
travail transférée est évalué à une centaine de techniciens qui devraient quitter la
DSEM et rejoindre la DTC. Les transferts
se réaliseront entre Juin et Décembre en
fonction des vœux de chacun et le cas
échéant des mutations d’office pourraient
être envisagées après cette période.
L’intégration de la DSEM au Réseau La
Poste LBP ne modifie rien dans nos organisations en 2014, la DSEM demeurant
une direction à compétence nationale au
sein du Réseau.
Cependant une réorganisation sera rendue nécessaire ensuite au même titre que
dans les DAST et les DELP dans le but
de construire un pôle support cohérent
pour le Réseau. Hubert CERTES annonce un chantier sur ce thème à la DSEM,
chantier auquel les directeurs territoriaux
sont invités à participer dès le séminaire
de Juin.
On voit que des changements sont prévus, changements dont les DTSI veulent
être pleinement acteurs.
Hubert CERTES reçoit ce message fort
que l’assemblée voulait faire passer à
cette occasion. Les discussions se sont
poursuivies autour du repas de clôture de
nos travaux.
Patrick DESTREBECK
Les Amicalistes de Bretagne
se retrouvent nombreux
Le 16 Mai 2014 à Mur de Bretagne
(22) a eu lieu l’Assemblée Générale de
l’ACE Bretagne en présence de Corine
PINAULT membre du Comité Directeur
de l’ACE et de Marc CAZERES Président de la Section Adjoint de l’ACE.
La réunion s’est déroulée en présence
de 75 participants !
La matinée a été divisée en 2 parties.
Dans un premier temps, le rapport moral ainsi que le bilan financier de l’équipe sortante ont été votés à l’unanimité
des présents.
L’élection d’un nouveau bureau a eu
lieu à l’unanimité des votants.
La délibération du nouveau bureau régional a donné lieu au renouvellement
des mandats de président et trésorier et
à l’élection d’un nouveau vice-président et responsable communication.
Le nouvel organigramme est indexé à
ce compte-rendu.
Bretagne et Jacques MESLIN pour
Haute Bretagne.
La deuxième partie a permis de nombreux échanges (MCU, DET2, etc…)
par groupes (DOTC, DET, DETA), et
les questions de l’après-midi pour les
DOTC et DELP ont été préparées dans
le même temps.
En fin de matinéé, Gilles GARBE
de la GMF a reprécisé les avantages et les modalités d’utilisation de la
protection juridique (rappel des N° :
0149148792 de 8h30 à 18h00 en semaine, et 0147111215 pour l’urgence
WE et nuit)
L’après-midi, les DELP et DOTC
étaient présents :
Au Réseau, Yvan LEVY pour HauteBretagne, et Jean-Christophe MERKLER pour Ouest-Bretagne
Au Courrier, Pascale JORY pour Ouest
Les échanges se sont déroulés dans
deux salles, une par métier.
Un questionnaire « vie au travail »
sur le principe du questionnaire national a été envoyé à tous les DET et
DETA de Bretagne (200). Plus de la
moitié ont fait retour !! La restitution des réponses a été présentée aux
DELP en début d’après-midi. Les réponses sont édifiantes quant au « mal
être » des cadres ayant répondus !
Les questions suivantes ont été formulées ensuite :
ACE : Aujourd’hui, nous ressentons
une pression managériale qui augmente et une perte totale de confiance.
En contrepartie, cette pression ne dé13
montre pas une augmentation des résultats et est plutôt contre-productive !
Ne pensez vous pas que redonner de
la confiance aux DET serait une des
clefs du succès ?
La réponse de JC MERKLER est peu
convaincante. La «pression» est normale pour travailler, il nous indique que
les résultats se sont améliorés sur sa
DELP, que le reporting n’est pas du reporting, et ne comprend pas cette perte
de confiance.
En résumé, c’est stand-by, tout va
bien !
Yvan LEVY est plus mesuré, et semble
intéressé par une restitution plus complète du sondage présenté sur sa DELP.
Il est très étonné des réponses, et s’interroge sur la façon dont les questions du
sondage ont été présentées, notamment
sur le grand dialogue. On lui rappelle
que le CR du grand dialogue a été envoyé en même temps que le sondage.
Quel avenir pour les DET, suite à l’évolution de la ligne de management ?
Les réponses sur ce sujet sont floues,
personne ne sait rien.
Quid des zones de marché ?
Le fonctionnement en termes d’animation reste à définir, il faut «construire
et animer» ces zones lors des échanges
sur les plaques.
Comment sera accompagnée la formation bancaire pour les DET, DETA,
guichetiers,…en termes de temps et
d’argent ?
Jean-Christophe MERKLER, reconnaît
que cette formation sera effectivement
chronophage sur le temps personnel,
mais aucun dispositif n’est mis en place
pour aider les personnes formées.
Quand est prévue la généralisation de
CCP express en Bretagne ?
Réponse commune des DELP : après
des DV pilotes, la généralisation devrait intervenir en septembre ou octobre 2014.
Jean-Charles GRAVIOU
PRéSIDENT
Laurent NEVEUX
DET
18 avenue de La Poste - 56342 Carnac cedex
Tél. : 02 97 52 22 53 - Port. : 06 07 89 41 99
Mail : [email protected]
VICE-PRéSIDENT
Gilles JAFFRE
DE
La Chapelle de la lande
BP 43209 - 35432 St Jouan des Guérets
Tél. : 02 99 19 25 00 - Port. : 06 72 53 23 96
[email protected]
trésorier de région
Philippe BORVON
DET
CS 17826
29678 Morlaix Cedex
Tél. : 02 98 88 23 00
Port. : 06 83 93 84 04
[email protected]
responsable adjoints
Michelle PLESSIS
DETA
4 Rue de la Tour d’Auvergne
29209 Landerneau
Tél : 02 98 85 00 86
[email protected]
RESPONSABLE COMMUNICATION
Jean Charles GRAVIOU
DET
Rue François Mauriac
56607 Lanester cedex
Tél: 97 76 80 30
Port: 07 88 20 48 48
[email protected]
REPRESENTANT DES RETRAITES
Claude SOLEE
Retraité
7 Allée des lauriers
22700 Louannec
Port. : 06 77 89 70 52
[email protected]
Délégué du 22 Réseau
Stéphane ROLLIER
DET
Correspondant du 22/35 Courrier
Gilles JAFFRE
DE
membre
René MARCHADOUR
Retraité
Nicolas LE TUTOUR
DET
Correspondant du 29/56 Courrier
Jean-Marc LE BOUCHARD
DE
membre
Mélanie PINARD
DET La Poste
Philippe BORDON
DET
Membre
Lydie BELLIARD
DETA
membre
Patrice HARDY
DET
Jean-Charles GRAVIOU
DET
Membre
Philippe APPRIOU
DE
membre
Stéphane RAULT
DET
14
BEAUNE : ASSEMBLEE GENERALE DE BOURGOGNE
Alain BRAGHINI, Président de la
région Bourgogne accueille ses collègues, en ce 6 juin 2014 à Beaune
pour une assemblée générale sous de
bons hospices !
Denis VANDENBROUCKE y représente les instances nationales.
Les Rapports
Après avoir remercié les partenaires
historiques que sont la GMF et AZUREVA, il présente son rapport moral
dans lequel il précise :
« Début 2013, lors de ma prise de
fonction, Philippe BAJOU succédait
à Jacques RAPOPORT. A cette époque, nous évoquions un certain flou
lié à cette transition.
Lors de l’AG, les groupes de travails
remontaient certaines difficultés :
- Part variable et revalorisations
sans entretiens préalables ni justifications,
- Pilotage axé sur le combien
-M
oyens de remplacements inadaptés,
- Stocks de reliquats de congés de fin
d’année.
Pour les DE, le dialogue permanent
était déjà une réalité avec le DOTC.
Il subsistait des inquiétudes quant à
l’effet entonnoir de la décentralisation, et le staff était submergé :
- Absence de N-1 identifié,
- Posture des DAS à améliorer.
Pour les adjoints de l’enseigne, ils
servaient déjà de variable d’ajustement au guichet et les déplacements
ainsi que le pilotage des multi sites
s’avérait compliqué.
Un an et demi après, certains problèmes perdurent ou se sont amplifiés.
Les zones de marché, porteuses d’espoir sur notre CA (1 + 1 = 3) montrent
leurs limites. Seules les initiatives locales (à la charge des managers) ont
le mérite de faire avancer les choses.
Beaucoup d’énergies et de réunions
pour des résultats limités. La montagne va-t-elle accoucher d’une souris ?
L’amicale, porteuse de valeurs telles
que la solidarité, l’amitié, le soutien
reste un refuge dans nos moments
de doutes. Aussi, je tiens à remercier
ici les membres du bureau qui œu-
vrent à son succès et qui donnent de
leur temps et leur énergie.
2013 – 2014, c’est 5 rencontres avec
nos managers, 4 conseils d’administration et 5 réunions du bureau,
sans compter les interventions pour
lesquelles j’ai été sollicité. Il reste du
travail à accomplir avec des rencontres DOTC à planifier et un développement de la présence de l’amicale
sur bourgogne sud.
Tels sont les enjeux pour l’ACE de
Bourgogne.
A la suite de ce rapport moral, Patrick
LIGIER présente le bilan financier
Le Débat
A l’issue de ces deux rapports un débat s’instaure au cours duquel sont
notamment abordés :
des dérives sur les journées non travaillées des COBAS à l’occasion
des journées du DEX.
Sur Bourgogne nord, les DV imposent le report des ARTT avec une
compensation qui n’est pas conforme avec le code du travail. L’exception devient la règle. Il en résulte de
la fatigue et des temps de récupération insuffisants. Le grand dialogue
est déjà loin.
La succession des campagnes locales et nationales empêche la mise en
œuvre des plans d’actions définis
avec les DV dans le cadre des entretiens de performance mensuels.
• La difficulté à réunir les membres,
bien que le nombre d’adhérents soit
élevé, en raison d’une couverture
géographique importante.
Nous proposons des séances débats
courtes incluant la pause déjeuner
pour pallier les absences.
•P
our la Banque, le sujet d’inquiétude
porte sur le devenir de nos collègues
DET proches de la retraite qui ne seront pas concernés par le cursus de
formation bancaire qui s’étalera sur
deux années. L’entreprise va-t-elle
investir sur du personnel partant ?
•L
es départs des DET n’engendrent
pas leur remplacement. Pas d’appels à candidature lancés, mais des
fusions se profilent. La cible de COBAS à piloter augmente.
• L’exposition de certains DE / DET
vis-à-vis des managers pose le problème de représentativité.
• Au Courrier, nous évoquons l’évolution des DGC sur les postes d’adjoints DOTC avec un rôle d’expertise. La forte baisse des tournées est
en concordance avec les flux. De
nouveaux services pour maintenir
l’activité (ex: RECYGO / new bizz)
seront promus également par les
deux entités dans le cadre des zones
de marché.
Election du nouveau
bureau de région
Il est reconduit en totalité à l’exception de Sébastien BUAT MENARD
qui a quitté la région. Il est remplacé
par Philippe LEPLAT, DET à CHALON SUR SAÔNE. Suite à ce départ, il n’y a plus de DE au sein du
bureau.
Patrick GAGNARD se propose comme intervenant au gré des demandes
du bureau sans en faire partie. Proposition acceptée.
•D
ans le Réseau, nous constatons
Alain BRAGHINI
15
ISMAËL GALETTE
EST LE NOUVEAU PRESIDENT DES DOM
sidence à Ismaël GALETTE, DET à
Pointe à Pitre.
Magalie VIDAL et Henri BIRON,
deviennent vice- présidents pour la
Guyane et la Martinique.
Denise reste trésorière et Claudine ENRETART reste secrétaire de la région.
Les travaux se sont bien évidement prolongés tout le week-end avec une partie
conviviale et touristique sur le site de
l’ile aux pigeons, et de la réserve Cousteau.
L’assemblée générale de Guadeloupe
Martinique Guyane s’est tenue les 7 et
8 juin dans le très bel hôtel de fort royal
à Deshaies en Guadeloupe en présence
de Luc PONSY, Président National et
Yannick ROULETTE, Vice Président..
Une trentaine de collègues des 3 départements a participé aux travaux
sous la présidence de Monique SAINT
MARTIN qui achevait son troisième
mandat et s’oriente vers un nouveau
métier bien mérité, celui de retraité.
Les travaux statutaires se sont déroulés
le matin, avec le rapport moral de la
Présidente de Région et celui de Denise, la trésorière perpétuelle, figure
emblématique des DOM puisqu’elle
officie à la trésorerie depuis de nombreuses années.
nir des précisions sur les changements
de gouvernance et d’orientation tant au
Réseau qu’au Courrier et de leur déclinaison dans les départements d’outremer.
Des changements de périmètre courrier
ont été annoncés pour la Guadeloupe,
et une normalisation du métier de DE
devrait voir le jour, avec notamment
les projets d’établissement et la mise à
disposition d’un véhicule.
Le changement de gouvernance s’est
également effectué au sein du bureau
régional de l’Amicale puisque Monique SAINT MARTIN a laissé la pré-
L’ambiance, les sourires et moult mets
créoles ont très largement contribué à la
réussite de cette assemblée générale.
Les participants se sont quittés avec
regrets le lundi après-midi après avoir
partagés un repas typique savamment
préparé par Monique et Denis DE STE
ROSE.
Luc et Yannick remercient très chaleureusement toute l’équipe organisatrice
pour son dévouement et son exceptionnel accueil.
Luc PONSY
et Yannick ROULETTE
Le statut particulier des DOM, à savoir une direction unique « CourrierRéseau », a induit un travail collectif
pour identifier les thèmes soumis aux
questions à poser à Mme Michelle PAOLINI, DTELP de la GUADELOUPE et à M. Jean-Claude MANERE,
DTELP DE MARTINIQUE qui nous
ont fait l’honneur de leur présence dans
l’après-midi.
Les thèmes abordés ont permis d’obte16
expressions
Courage managérial
Je veux parler de tous les courages et
des courages de Tous, à la Poste
Chaque jour, nous tous, en faisons
preuve :
- Les agents du guichet, les facteurs
qui, au quotidien, en ne faisant que
leur métier sont confrontés à des situations non apprises, enseignées
désormais dans les écoles ou universités (insultes, attaques, incivilités.)
- Les conseillers bancaires qui portent
la réussite de LBP et maintenant en
grosse partie celle du Groupe.
- Les encadrants qui absorbent en permanence les états d’âmes, les réclamations clients, les problèmes d’absences non remplacées, les attaques
verbales, physiques ou juridiques.
- Les DETA qui ne savent plus où donner de la tête car ils cumulent leurs
soucis, angoisses, avec ceux des
autres, précédemment cités.
- Les Directeurs d’Etablissement…
Je ne sais plus quoi ajouter pour les DE
et DET, car ils sont aujourd’hui res-
ponsables de tout et de tous.
Attaqués, pas toujours suivis dans leurs
décisions, peu écoutés.
Alors j’ai cherché sur Internet une définition du courage managérial :
Le
courage
managérial
doit
aujourd’hui s’exprimer dans le quotidien de l’entreprise, à chaque niveau
de la hiérarchie. En effet, il ne suffit
plus d’appliquer les directives émanant de la direction. L’entreprise attend de ses salariés, de ses managers
qu’ils fassent preuve d’initiative et de
courage dans de nombreuses circonstances.
Le courage peut et doit prendre plusieurs formes et se manifester dans
toutes sphères du management, que ce
soit la gestion des personnes, des activités, des systèmes, des ressources. Il
peut s’agir d’évaluer sa performance
et celle de ses collègues sans complaisance, d’exiger un changement de
la part des membres de son équipe et
d’en réaliser un soi même.
Voilà tout est dit !
Je veux maintenant donner une liste
des « bons exemples » :
- J’ai vu un Directeur de Territoire «licencier » un DV qui avait des « méthodes inappropriées de management »
- J ’ai vu un DV mettre à pied un conseiller
bancaire, un agent responsable syndical, sur insistance de son DET
- J’ai vu un DRH engager des procédures à l’encontre d’un DE, et d’un
Responsable d’agence
- J’ai vu un DEX sortir un DELP
Je ne suis pas fière d’établir cette liste,
mais j’estime souhaitable que ceux qui
ont des méthodes hors jeu soient dénoncés et/ou sanctionnés.
Le courage est là et c’est aussi le mien,
ce doit être aussi le vôtre, que de dénoncer chaque dérive, même si le chemin est long pour arriver à une reconnaissance.
Corinne PINAUD
Un Monde où tout va bien (?)
On découvre quelquefois un décalage
dans notre vie entre ce que l’on entend
et ce que l’on ressent. Par exemple on
connaît les écarts de température en
période de froid entre ce qu’indique le
thermomètre et ce que l’on ressent avec
le vent qui nous glace les os quand on
met le nez dehors …
Sur le plan professionnel on nous parle
de l’écart entre la qualité affichée et
la qualité attendue (ou qualité réelle),
entre ce que La Poste (s’auto)affiche
comme indicateurs et ce que les clients
retiennent de nous en termes de qualité. Par exemple, malgré l’énorme travail fait par l’Enseigne sur la réduction
réelle du temps d’attente, les clients
continuent de nous reprocher une sempiternelle attente alors que quand ils
font leurs courses, savent-ils combien
de temps ils perdent avant de vider leur
chariot en caisse ?
A l’heure de la prise en compte des
Risques Psycho-Sociaux (RPS) des
managers, il n’est pas toujours aisé
d’exprimer dans un collectif local des
interrogations, voire un certain mal-être
lié à toutes les incertitudes et à la difficulté de manager au quotidien. Tiraillé
entre les objectifs dont il comprend la
nécessité et un contexte économique et
social difficile, le manager doit gérer
ce décalage. C’est un facteur de stress
personnel mais également pour l’ensemble de l’équipe qui constatera l’état
psychique de celui qui la dirige …
Puisqu’exprimer quelque chose d’autre
que des propos lénifiants peut être ressenti comme une atteinte au moral des
troupes, puisque montrer son stress
peut être considéré comme une marque
de faiblesse, voire de mauvaise posture
managériale, on garde tout pour soi !!
(Réf. LIACE N°142 page 13 - analyse
du sondage ACE sur la qualité de la
vie au travail - « le stress reste caché,
voire tabou et en tout état de cause
confiné au privé et à l’intime rendant
17
expressions
sa détection et sa prévention collectives très difficiles ») … Et on dit, on
répète et on se répète façon « méthode
Coué » : TOUT-VA-BIEN ! TOUTVA-BIEN !
dégrader. Certains diront qu’un optimiste pense que « TOUT-VA-BIEN »
… C’est faux, c’est la définition de
l’idéaliste et du vendeur de rêves, pas
celle de l’optimiste ...
Après une formation à la « prévention » des RPS, on sait que cela existe
et nous ne sommes ni dans une minimisation, ni dans une montée artificielle de ce phénomène. Dire qu’on
ne pense pas que tout aille bien ne veut
pas dire qu’on a basculé dans le « côté
obscur » du « TOUT-VA-MAL » !
L’optimiste pense plutôt que « TOUTNE-VA-PAS-FORCEMENT-SIMAL-SE-PASSER », c’est quelqu’un
de réaliste et de pragmatique. C’est
aussi quelqu’un qui sait qu’il va devoir
monter et faire monter en compétence
ses équipes pour obtenir des résultats toujours plus ambitieux dans un
contexte toujours plus difficile, et donc
qui va rechercher appui et soutien pour
lui et ses équipes. Sa posture réaliste,
partagée et comprise par tous mobilisera le collectif vers le haut.
Connaissez-vous la différence entre un
optimiste et un pessimiste ?
Le pessimiste dit « TOUT-VA-MAL »
… et en effet, il pense que tout va se
Il n’y a pas pire sourd que celui qui
ne veut pas entendre, et pire aveugle
que celui qui ne veut pas voir … Alors
gageons que nos patrons soient toujours plus attentifs à l’état du collectif
managérial et à l’écoute de ce que les
managers ont envie et besoin de leur
dire. Dans ce domaine comme dans
d’autres, l’ACE est un espace d’écoute
et d’échange incomparable, mixant les
métiers et les générations pour le bien
de tous.
Alors formulons un vœu : que tout aille
bien pour vous sur les plans personnel
et professionnel !
Jean-Pierre DE SANTIS
LA SéNIORITé (1) EST A LA MODE
Décidément, notre chère Poste veut encore s’occuper de nous, les retraités.
Pas spécialement de « nous, les anciens
de la maison », (faut pas rêver !!!), mais
de tous les seniors ….
Après avoir signé un contrat de partenariat avec un groupe important de maisons de retraite en France, elle s’intéresse également à la « Silver Economie
», service qui englobe tous les biens
et services non médicaux destinés aux
personnes âgées.
Certes, ce n’est pas de la philanthropie !!! Mais, du fait que le nombre de seniors continue et continuera d’augmenter, il peut être intéressant pour La Poste
de rentabiliser ses services à domicile.
C’est pourquoi, dès maintenant, des
essais sont effectués pour confier de
nouveaux services aux facteurs équipés
du terminal Factéo. (Beaucoup de terminaisons en « O »)
Tout d’abord, Cohésio : un service de
visites auprès de personnes isolées ou
âgées ou bien encore fragilisées.
En cas de problèmes constatés, le facteur pourra alerter les services compétents (à l’aide de son terminal).
Ensuite, Portéo : un service de portage
à domicile de médicaments ou de produits culturels (livres, DVD …) ?
18
Enfin, Relevéo : un service destiné à gérer le relevé des compteurs d’énergie (et
peut-être aussi, d’autres compteurs)…
Merci facteur, Merci La Poste !!!
Mais La Banque Postale tient également à répondre de mieux en mieux aux
besoins des seniors que nous sommes.
Elle sait bien que les vieux ont des économies ….
On va donc proposer aux retraités,
de nouveaux moyens pour « mieux
vieillir » :
- des contrats d’assurance santé
- des offres dépendance
Et même, faciliter la gestion de leurs
comptes bancaires sur des tablettes !!!
Quelques instants plus tard, un mail
m’informe que la nouvelle box qui
m’est offerte sera mise en instance dans
un relais (bureau de tabac), proche de
mon domicile, Ouf !!!
Et Merci Qui ?
L’opérateur, qui, pour ses envois de
colis, n’a pas choisi La Poste !!!
(1) Séniorité : Ce terme d’ethnologie se dit de
la prééminence et des garanties déterminées par
l’ancienneté.
Bernard MOREAU
Merci La Banque Postale !!!
Au moment où je terminais l’évocation
de ces beaux projets (sans pour autant
les « Portéo nues », il faut rester prudent !), un voisin est venu m’informer
que, suite à des suppressions de tournées de distribution sur notre ville, notre bureau d’instance a été changé …
Pour me rendre à cette nouvelle adresse, il me faudra désormais prendre deux
lignes successives de tramway …
retraités
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
DE LA SECTION DES RETRAITÉS ARGELÈS
SUR MER 26 et 27 MAI 2014
Si exceptionnellement le ciel est gris à ARGELES et la température peu de saison, la
chaleur est en nous …
C’est avec grand plaisir que nous nous
retrouvons, toutes et tous, pour œuvrer au
sein de l’Amicale.
Jean Luc SAUVAGE, Président de la section ouvre cette Assemblée Générale, en
présence de des accompagnants qu’il remercie de leur présence.
Monsieur RAMBAUD, nouveau Directeur
du centre AZUREVA, et Madame COUSTEIX, Directrice adjointe, présentent le
village vacances, au sein de cette belle région de Catalogne.
Nous regrettons l’absence de certains de
nos amis pour des ennuis de santé. Par
contre, l’absence volontaire des responsables de la Zone Méditerranée suscite la
réprobation.
Une minute de silence est respectée à
l’égard des collègues qui nous ont quittés.
Les travaux sont ouverts par les rapports
d’activité.
RAPPORT D ACTIVITE
DU SECRETAIRE
Ce dernier insiste sur le travail de recrutement afin d’obtenir de nouvelles adhésions.
Celui-ci regrette le trop faible investissement de la part des actifs pour nous fournir les coordonnées de ceux qui partent. Il
relate la présence des retraités A.C.E. au
Comité de veille dont il assure les comptes rendus. Enfin, il participe à maintenir
des liens étroits entre notre association et le
Foyer de Cachan.
RAPPORT D’ACTIVITE
DU TRESORIER
Raymond DORE décrit un bilan satisfaisant puisque les recettes ont été perçues
à hauteur de 97% et les dépenses limitées
à 89% des prévisions. Le compte d’exploitation est positif. L’inquiétude reste cependant vive en ce qui concerne la lente érosion du nombre de nos adhérents. Ceci est
dû à deux causes principales : le vieillissement et les départs naturels non compensés
par le recrutement chez les jeunes retraités
puisque de moins en moins nombreux du
fait de la suppression continue des postes
de Directeur d’Etablissement. Diverses solutions sont proposées et seront mises en
vigueur incessamment. Nous aurons l’occasion d’en reparler.
Les vérificateurs aux comptes soulignent
l’exactitude et la conformité de la trésorerie et demandent que quitus soit donné au
trésorier.
RAPPORT D ACTIVITE
DU PRESIDENT
Dans ce rapport que vous avez pu lire dans
le dernier LIACE 144, Jean Luc SAUVAGE souligne les bouleversements survenus
à la Poste et leurs conséquences sur la non
résolution des quelques avantages en nature accordés précédemment.
Le Président a assisté à plusieurs réunions
de retraités en Régions où il a pu apprécier
l’activité déployée dans ces dernières.
Il répond, ensuite, à quelques questions sur
la présence des adhérents de la section lors
des Assemblées Générales en région. Elle
est statutaire pour les délégués de région et
de départements qui sont d’office membres
des bureaux régionaux. Il insiste sur le fait
que pour ces A.G. les représentants des retraités empêchés doivent impérativement
être remplacés.
Les rapports du Secrétariat, de la Trésorerie et du Président sont adoptés à l’unanimité.
Le Président regrette, une nouvelle fois,
l’absence des Délégués élus de Méditerranée qui laissent leurs adhérents sans représentation alors que cette réunion se tient
dans leur région.
Ensuite Monsieur ESCLOPE, adjoint
d’ARGELES, représentant le Maire invité
à cette A.G, nous décrit l’environnement
et les difficultés touristiques de sa ville qui
passe, en période estivale, de 9 000 à 150
000 habitants. Il regrette l’abandon progressif des Services Publics et stigmatise
l’absence de civisme des estivants.
LE TOUR DES REGIONS
Chaque représentant fait part de son activité et des difficultés rencontrées. Michel
LEFEBVRE, nouveau Délégué de la zone
Nord Ouest ouvre le débat et résume l’activité de toutes et tous.
- Renforcement du travail de prospection à
la fois vers les Adhérents mais aussi vers
les responsables.
- Difficultés de relation avec les actifs, également confirmé pour l’Ile de France.
- Organisation de deux rencontres annuelles et à cette occasion quelques difficultés
de transport malgré le covoiturage.
Cela est commun à toutes les Zones et Régions.
Cependant, malgré l’optimisme ambiant,
l’inquiétude sur la survie le la Section reste
latent.
Un espoir subsiste grâce à la vigueur de
la nouvelle Section des Adjoints avec un
nombre grandissant d’adhérents qui représenteront tôt ou tard un potentiel pour notre
section.
POINT SUR LA MUTUELLE
En son absence, Jean Luc SAUVAGE
donne lecture du texte préparé par Daniel
GIET qui reprend l’essentiel de ce qui a été
exprimé lors du Comité de veille (LIACE
143) et le contenu du Journal de la M .G.
N° 27.
Ill nous invite à rester vigilants, nous retraités, et surtout à participer aux Assemblées
Générales départementales de la Mutuelle
Générale et à s’y exprimer.
Il souligne avec vigueur la politique de la
M.G. basée sur l’absence de solidarité intergénérationnelle.
ELECTION
DU NOUVEAU PRESIDENT
Après trois mandats « très actifs », le Président sortant ne pouvant statutairement se
représenter, un appel à candidature avait
donc été organisé. Doris STEBIG était le
seul candidat en lice. Un bureau de vote
est constitué, présidé par Jean Pierre BERTIN.
Doris STEBIG présente sa profession de
foi, s’il est élu, il sera secondé par Yves
LE LEUCH comme Vice président. Leur
mission a pour finalité de maintenir pour
le moins nos effectifs, de pérenniser les
valeurs de l’Amicale : amitié, convivialité,
19
retraités
solidarité et soutien à ceux ou celles en
difficulté. Il souhaite par ailleurs maintenir
coûte que coûte la cohésion au sein de la
Section des Retraités et la pérennité de notre action.
Le vote se déroule à bulletins secrets, Doris obtient 18 voix sur 19 votants et devient
donc le nouveau Président de la section.
Un nouveau bureau est constitué, dans lequel entrent 2 collègues issus de la dernière
élection organisée : Claude JAQUELIN
(voyage), et Jean Pierre GUILLOTEAU au
Secrétariat. Jean Luc SAUVAGE et Marc
DAIGNEAU, désormais membres de droit
du bureau national, seront chargés de divers travaux devant contribuer au recrutement de nouveaux adhérents.
Le nouveau Président affirme sa solidarité
avec nos camarades actifs.
Sa profession de foi est annexée au présent compte rendu.
Les Présidents et Vice président régionaux,
respectivement, Pierre SERVEILLE et
Thierry MECHAMBRE, interviennent
pour nous présenter leurs diverses activités
et les difficultés d’exercice de la profession.
S’ils exercent un métier différent du nôtre,
ils vivent une réorganisation permanente
tant au courrier avec une baisse régulière
du trafic (-30% en quelques années) qu’à
l’Enseigne qui redevient « Réseau » avec
une fréquentation des bureaux en chute
également. Des évolutions vers la Banque
Postale semblent aussi se dessiner …
Ensuite nos invités, Eliane CAHUZAC
pour l’A.C.R, et Francis JAMMES pour
l’A.N.R. nous décrivent tout à tour leurs
propres interrogations quant à l’avenir.
Leurs conclusions sont très proches des
nôtres !!
Enfin, Madame Georgette TORREILLES,
représentant la G.M.F nous expose toutes
les possibilités mises à notre disposition
par notre partenaire, que ce soit en matière
d’assurance mais également en placements
et divers.
Nous avons l’honneur d’avoir parmi nous
les deux principaux responsables de l’Amicale, Luc PONSY et Yannick ROULETTE.
Ils décrivent la politique de l’association au
niveau national, les réussites obtenues, sans
pour autant masquer les difficultés en cours
et les inquiétudes sur l’avenir !
Luc PONSY, Président de l’Amicale retrace l’activité des actifs. Il nous informe
du courrier reçu des collègues de la Méditerranée et reste très optimiste sur l’avenir
de la section des retraités et de l’A.C.E. en
général. Il nous remercie pour notre contribution au sein de différentes commissions,
puis en particulier pour la trésorerie, le secrétariat et l’édition du journal LIACE.
Avant de conclure, Jean-Luc SAUVAGE
nous demande d’avoir une amicale pensée
pour nos Collègues des DOM TOM.
Nous retrouvons les conjoints présents
pour un après-midi festif, à savoir la visite
du site splendide de COLLIOURES.
L’Assemblée Générale se termine dans la
convivialité habituelle avec un repas copieux et une soirée très animée par le centre AZUREVA … et quelques conteurs !!!
Bernard NADEAU
PROFESSION DE FOI DE DORIS STEBIG
Cher(e)s Ami(e)s
Au mois de Mai, Jean-Luc SAUVAGE termine statutairement
son troisième mandat à la tête de la section des retraités de notre
association.
Elu à la suite de Marc DAIGNEAU, il l’a judicieusement conservé à ses côtés en tant que vice président et conseiller expérimenté
et averti.
Succédant tous les deux à d’éminents personnages, je veux rendre hommage à leur action, leur dévouement et aux réussites qui
ont marqué ces mandatures :
- Grâce à leur ténacité, les avantages internes à l’entreprise, destinés aux retraités ont été négociés puis attribués non sans difficultés.
- Le soutien sans faille aux actifs, notre participation à tous les
niveaux de l’ACE a perduré et s’est même accrue, attestant notre totale et inextinguible solidarité.
- Pour être plus forts lors de la défense de nos intérêts et de nos
retraites, des échanges et relations avec les autres associations
de retraités postiers ou télécommunicants ont été noués.
- La chute inéluctable du nombre de nos adhérents a été grandement contenue grâce aux initiatives ponctuelles mises en
place.
- Des actions auprès de la Mutuelle ont été menées et des projets
préjudiciables à nos yeux, dénoncés.
- La maîtrise de la trésorerie est avérée au prix d’efforts et d’attentions permanents.
20
Bien d’autres actions ou réflexions sont à mettre à leur actif mais
les plus grandes réussites restent : la poursuite de la cohésion
de notre section, l’amitié qui unit ceux qui ont partagé l’exercice
du même métier, la convivialité chaque fois renouvelée lors de
nos retrouvailles, le soutien à ceux qui sont dans la difficulté ou
la maladie.
Protéger et faire perdurer ces vertus amicalistes, héritées de nos
prédécesseurs, constitue une bien belle mission.
Nous en sommes les garants et notre devoir consiste à les communiquer par l’exemple à tous ceux qui intègrent le métier, c’est
notre objectif prioritaire.
Afin de sauvegarder ces vertus, poursuivre les actions antérieures,
continuer à défendre nos retraites et acquis, nous avons décidé, en
total accord avec Yves LE LEUCH qui occuperait le poste de vice
président, de soumettre ma candidature à la présidence de notre
section.
Naturellement, ceux qui ont conduit avec succès la section resteront très proches afin de nous faire bénéficier de leurs conseils
et leurs savoir-faire, particulièrement au niveau des actions en
faveur du recrutement et des relations externes.
Merci de votre confiance, vous pouvez compter sur nos valeurs
et notre expérience pour préserver la solidité d’une équipe unie
vers les mêmes objectifs.
Doris STEBIG
Yves LELEUCH
retraités
bureau national
Président d’Honneur
Claude BRANCHU
Président National
Doris STEBIG
Vice Président National (1)
Yves LE LEUCH
Membres de droit (7)
Bernard MOREAU
Pierre CHATELET
Jean MAYET
René DELRIEUX
Marc DAIGNEAU
Jean-Luc SAUVAGE
Eliane LELY
secrétaires (2)
tresoriers (2)
Bernard NADEAU
Raymond DORE
Gérard CHOLIN
délégués de zone (8)
Michel DEBRIE : Bourgogne Rhône Alpes
Claudette ROCHE : Centre massif Central
Roland WENDLING : Est
Jean-Paul SCHILZ : Ile de France
Guy SARLIN : Méditerrannée
Alain NOË : Midi Atlantique
Michel LEFEBVRE : Nord Ouest
Eugène MANCEL : Ouest
MEMBRES DU BUREAU ÉLUS (9)
Louis BOLLE-REDDAT
Daniel GIET
Jean-Pierre HAMON
Mireille LEVEQUE
Claude JAQUELIN
Bernard PACAULT
Christian BRUZAT
Paul FRIDLANDER
Monique VILLIEN
21
retraités - Images de l’assemblée générale
Vue de la salle
Une assistance attentive
J-Luc SAUVAGE et Marc DAIGNEAU ouvrent l’assemblée générale
Bernard NADEAU et Raymond DORE présentent leur rapport
Les travaux
22
Doris STEBIG
Nouveau Président de la Section
Pierre SERVEILLES et Thierry MECHAMBRE
Président et Vice Président des actifs de la région
Luc PONSY et Yannick ROULETTE
Attentifs pendant les travaux
Luc PONSY remercie les retraités
pour l’aide qu’ils apportent aux actifs
retraités - Images de l’assemblée générale
L’adjoint au maire d’Argelès sur Mer
Mme Eliane CAHUZAC de l’ACR
Mme Geneviève TORREILLES de la GMF
M. Francis JAMMES de l’ANR
Vue de Collioures
Le groupe sur les hauteurs de Collioures
Les invités
Les loisirs
Gastronomie et bonne humeur au menu
Au son du DJ
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retraités
LES RETRAITÉS DE POITOU CHARENTES
AU CŒUR DE LA VENISE VERTE
En Poitou-Charentes, depuis de très nombreuses
années, les délégués départementaux, à tour de
rôle, accueillent dans leurs départements respectifs notre Réunion Régionale Annuelle.
Ce 3 juin, notre ami Daniel MICHEL, délégué
départemental nous donne rendez-vous dans son
département : la Charente-Maritime.
La visite de l’Abbaye de Maillezais, un restaurant reconnu de qualité, une météo localement
plutôt clémente, tous les ingrédients sont là
pour que cette journée soit une réussite… Mais
dans toute machine, même bien huilée, un petit grain de sable peut venir tout bloquer …
Notre restaurateur a mis la clé sous la porte !!
Nous frisons la cata … !
Un plan B est mis en place sur le champ et grâce
à la réactivité immédiate de Daniel, avec l’aide
appuyée de Jean-Pierre BERTIN, la solution est
rapidement trouvée. Après avoir prévenu chaque
participant, le problème est résolu !
LA REUNION DE TRAVAIL
Après les remerciements d’usage du Délégué
régional, c’est un plaisir d’avoir parmi nous, le
doyen d’entre nous, Robert DEVAL.
Nous avons aussi une pensée pour ceux qui, empêchés pour diverses raisons, n’ont pu se joindre
à nous aujourd’hui.
Ensuite, plusieurs sujets d’actualité sont abordés.
Au niveau national
Tout d’abord un large compte rendu de l’Assemblée Générale de la section des retraités de l’Amicale à Argelès-sur-Mer, est présenté à nos amis.
Entre autres, l’élection d’un nouveau président
national : Doris STEBIG. Jean-Pierre GUILLOTEAU fait son entrée au bureau national des retraités et occupe le secrétariat, de même que Claude
JAQUELIN, chargée d’organiser les voyages.
L’état des finances est stable, malgré une situation des effectifs à suivre de près.
Jean-Pierre BERTIN suggère de constituer,
au niveau national, une cellule de recrutement
consacrée à la recherche de nouveaux adhérents.
Malgré les réticences du siège de La Poste, les
demandes d’avantages en nature sont constamment renouvelées.
Au niveau régional
Nos réunions annuelles :
• En janvier, les responsables Poitou-Charentes
programment les réunions de l’année.
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• Au cours du 1er trimestre nous sommes invités
et nous participons à l’Assemblée Générale
de l’Amicale des Cadres Retraités d’OrangeFrance Télécom.
• Notre Réunion Régionale Annuelle (ex : AG)
a lieu, au second trimestre. Les amis de l’ACR
participent nombreux.
• La date de notre’’ Rencontre d’Automne’’ a
toujours lieu le premier mercredi d’octobre.
Nos effectifs :
• Le bilan suit la tendance actuelle, c’est-à-dire
légèrement à la baisse.
Le problème est hélas général, nous observons le
même constat chez les actifs puisque le nombre
d’Établissements ne cesse de diminuer. À l’ACR
et à l’ANR, les problèmes sont identiques.
Claudie LABARDE, Présidente régionale des
actifs de la région Poitou-Charentes nous fait
part des dernières nouvelles locales.
Pour pouvoir suivre (à peu près !!) l’évolution et
les changements de ce métier, la présence de nos
amis actifs est vraiment indispensable.
L’intervention de Marc VIGNAULT, Président
régional de l’ACR, montre une constante similitude de nos difficultés au sein de nos deux
associations.
Le repas convivial, et de bonne qualité, est mis
à profit, comme d’habitude, pour prolonger les
débats et discussions.
venu l’un des plus puissants édifices du Poitou.
L’ensemble monastique fut construit sur un îlot
calcaire de l’ancien golf des Pictons, actuel Marais Poitevin.
Tout au long des XI et XIIème siècles, l’abbaye
de Maillezais, loin d’être en marge du monde
extérieur, participe pleinement à la vie économique et politique du Bas-Poitou. Se plaçant en véritable seigneurie ecclésiastique et féodale, elle
accumule terres et richesses.
Au début du XIIIème siècle, les abbayes de
Maillezais, de Nieul-sur-l’Autise, de Saint-Michel-en-l’Herm, de l’Absie et de Saint-Maixent
s’unissent pour aménager ce vaste territoire qui
devient le Marais Poitevin.
Au XVIIème siècle, les guerres de religion causent
très vite la ruine de l’abbaye qui est abandonnée.
A la suite de la Révolution française, les murs
sont vendus.
Classée Monument Historique en 1924, elle est
rachetée par le Conseil Général de Vendée en
1996. Ce dernier la restaure et la valorise.
Avant de clore cette journée, des plus conviviales, rendez-vous est pris pour la traditionnelle
‘’Rencontre d’Automne’’ organisée cette année,
par nos amis de l’ACR, le mercredi 1er octobre.
Jean TARDIF
LA VISITE
Nous quittons ce joli village touristique au cœur
de la Venise Verte, dans le Marais Poitevin, pour
nous rendre à Maillezais, lieu de la visite.
Après avoir longé les canaux calmes et tranquilles dans leur écrin de verdure, nous pouvons admirer sereinement ce début de saison !
L’Abbaye de Maillezais
Bien que connue de tous, on se plait à la visiter,
voire à la revisiter.
Notre jeune et gentille guide nous plonge dans
un monde vieux de 10 siècles.
Fondée il y a plus de 1000 ans, l’abbaye de
Maillezais constitue un patrimoine d’exception
en Bas-Poitou. Tour à tour monastère bénédictin, évêché puis place forte protestante, elle
connut une longue phase de destruction initiée
par les guerres de religion.
Les vestiges qui s’imposent aujourd’hui à notre
regard illustrent l’histoire d’un monastère de-
retraités
LES RETRAITéS DE BOURGOGNE
ET FRANCHE-COMTé SE RETROUVENT à LUX
Il est 16h00 et une bonne trentaine de joyeux
convives quittent le restaurant « Les Charmilles » à Lux, proche de Chalons sur Saône.
Il y avait ce matin une réunion organisée
par l’Amicale des Chefs d’Etablissement
de La Poste, pour ses adhérents retraités de
Bourgogne et de Franche Comté.
Nous allons à leur rencontre.
Nos premiers interlocuteurs sont Jean
GUILLEMAIN et Louis BOLLE-REDDAT, les délégués de ces deux régions (qui
autrefois, pour La Poste, n’en faisaient
qu’une... et demain aussi peut être !!!)
Votre réunion s’est-elle déroulée comme
vous le souhaitiez ?
Parfaitement, malgré l’absence excusée du
Président National, nous avons pu échanger
pas mal d’informations et de réflexions sur
l’avenir de La Poste et sur la vie de notre
association, après nos exposés et celui de
Bernard MOREAU, qui ont fait apparaître
les sujets essentiels (pôle de recrutement à
installer pour la section des retraités, actions
dans les régions, envisager de revenir à la
parution d’un « Liace retraités » pour relancer l’intérêt à la lecture de cette revue).
L’avenir de La Poste concerne-t-il les retraités que vous êtes ?
Même si la solidarité entre générations n’est
plus ce qu’elle était autrefois, nous les retrai-
tés sommes inquiets de la suppression des
bureaux de Poste, et de leurs responsables…
Les créations de Relais Poste, et surtout la
nécessité de trouver d’autres activités pour
les distributeurs suite à la chute du volume
du Courrier nous interpellent forcément.
Quant à la vie de votre Amicale, vu l’ambiance à la sortie du restaurant, tout va bien ?
Effectivement amitié et convivialité sont
toujours au rendez-vous.
Néanmoins quelques inquiétudes sont
apparues : baisse du nombre d’adhérents
actifs (suite aux suppressions des établissements), mais la création de la section des
Adjoints laisse espérer l’inversion de cette
tendance, absence de contacts dans certains
départements entre actifs et retraités, mais
nous gardons le moral !
Nous interrogeons ensuite Jeanine
CAILLOT-CARTON, Présidente régionale des cadres retraités d’Orange, accompagnée de Michel COLLOMBAT, l’ex
Président national de cette association.
Nous rencontrons les mêmes problèmes que
nos amis postiers, notamment en matière
de recrutement (difficulté voir impossibilité
d’obtenir les noms des futurs retraités).
Concernant la communication, nous avons
conservé une revue spécifique retraités.
L’évolution rapide des métiers est parfois
difficile à suivre.
Nous terminons cet entretien avec Michel
DEBRIE, responsable de la zone Bourgogne-Rhône Alpes (le responsable de la zone
Est, Roland WENDLING étant excusé)
Très bonne réunion de travail. En outre, les accompagnants ont découvert sous la direction
d’un guide très documenté, les vieux quartiers
chargés d’histoire de Chalon-sur-Saône.
En résumé, félicitations à Marc HUOT, délégué du 71, à Jean GUILLEMAIN lequel,
après dix années de bons et loyaux services, passe le relais à Jean-Louis FREREJACQUES de la Côte d’Or.
Les portières claquent, les voitures démarrent...
A l’année prochaine en Franche-Comté.
B.M et J.G
LES RETRAITéS ALSACIENS ET LORRAINS
SUR LES TRACES DES POILUS
Ce 12 juin 2014, le temps est magnifique en
Lorraine près de LUNEVILLE, la campagne
est belle, la récolte des mirabelles est prometteuse, les tenues sont légères, les mines
sont réjouies. A l’initiative de Roland WENDLING, délégué de la zone Est, les retraités
Alsaciens et Lorrains se sont retrouvés dans
une ferme-auberge à MATTEXEY, village
de 80 habitants qui a vu en une seule journée
sa population passer à 110… Roland WENDLING, comme à son habitude avait justifié
son titre en déléguant l’organisation à un
homme de confiance, Marcel ERBA, régional de l’étape. Aux dires de tout le monde ce
fut une réussite.
En ouvrant la rencontre, Roland WENDLING a souligné sa satisfaction de voir une
trentaine de personnes réunies et de compter de nouveaux adhérents dans l’assistance.
Il a annoncé que, malheureusement, Michel
HACQUIN de Jarny, fidèle participant à ces
rencontres semestrielles, venait de disparaître
la semaine précédente. Une minute de silence
a été respectée. A noter que Daniel GIET a
représenté l’Amicale à ses obsèques.
Didier MEUNIER, président régional Lorraine des actifs, avait bien voulu répondre favorablement à l’invitation de ses amis retraités. Au cours de son intervention, il a tenu à
les tenir informés des évolutions de La Poste
et du métier de Directeur d’Etablissement.
La France célèbre actuellement le centenaire
du début de la guerre de 14/18. Marcel ERBA
avait à cette occasion invité un historien local,
René EURY, afin de parler des combats qui
se sont déroulés, dans cette partie de la Lorraine tout au début de la guerre, du 25 au 27
Août 1914, et opposant les forces françaises à
des forces bavaroises. Au mois d’août 1914,
les Allemands tentent de passer en force
entre ROZELIEURES et SAINT REMY
AU BOIS dans le but de franchir la «trouée
de CHARMES» espace vide entre les villes
de Toul et Epinal, qui étaient très fortifiées.
Des combats acharnés à la baïonnette sont
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retraités
livrés dans ROZELIEURES. Bataille pas très
connue et pourtant ! En 3 jours, elle aurait
fait 10 000 morts ! Le 134ème RI de Mâcon
y perdit le tiers de ses effectifs ! Maurice
BARRÈS a écrit : « Si Paris a été sauvé à la
Marne, c’est parce que Castelnau avait vaincu à Rozelieures ». En effet, si les allemands
étaient passés, ils auraient pu rejoindre l’autre
armée en provenance de la Belgique et ainsi
encercler Paris.
Moment obligatoire pour ce type de rencontre : le repas. Pris dans la ferme-auberge, ce
fut un délice avec des produits maison tant
au niveau des légumes que des viandes. Et
même les vins venaient de Toul…
On ne se quitte pas comme çà ! L’après midi
fut consacrée à la visite de la maison de la
Mirabelle à ROZELIEURES. Mirabelle de
NANCY nous a précisé le propriétaire (n’en
déplaise aux messins et aux alsaciens bossus). Après une dégustation (avec modération) d’un cocktail à la mirabelle, chacun a pu
réintégrer son domicile.
La réforme territoriale envisagée par nos gouvernants, et qui verrait la création d’une grande région Alsace et Lorraine, n’est pas encore
effective. Pourtant l’ACE Est l’a déjà faite
depuis plus de sept ans ! Et quelles que soient
les décisions politiques, elle continuera puisque à DENEUVRE (près de BACCARAT),
Jean-Paul QUIGNON et HERCULE attendent les amicalistes en début d’automne.
Pierre CHATELET
A NOTER SUR
VOS TABLETTES
• DOM
Président :
Ismaël GALETTE
DET : 97111 Morne à l’eau
Portable : 06 90 24 38 80
Vice Présidents :
Henri BIRON
DET : 97220 La Trinité
Portable : 06 93 25 73 98
ECHO DE LA zone NORD-OUEST
Le 30 avril
dernier les
représentants
de la zone
Nord-Ouest
se sont réunis
dans la ville
de PÉRONNE au restaurant, « Le Bistrot d’Antoine » situé près du
Mémorial de la Grande Guerre, pour y élire
leur nouveau délégué de zone.
Claude BAILLY ayant assuré trois mandats se
devait, suivant l’article V de notre Règlement
Intérieur, de procéder à son remplacement.
Deux candidats avaient postulé à sa succession :
- Lucien HOCHEDEZ, actuel délégué régional des Hauts de France
- Michel LEFEBVRE du bureau national des
actifs en charge de la redynamisation des
régions en perte d’activités.
Avant d’ouvrir le bureau de vote, Lucien HOCHEDEZ a fait état de son parcours au sein
de l’Amicale depuis son adhésion.
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Michel LEFEBVRE, quant à lui, a présenté,
après avoir fait un constat sur la région, son
programme pour les deux ans à venir.
Claude BAILLY, a distribué le matériel électoral aux délégués habilités à voter, et a ouvert
le bureau de vote.
Après dépouillement des scrutins, Michel
LEFEBVRE a été élu avec la majorité des
voix et a été proclamé nouveau délégué de
zone pour le Nord-Ouest.
Jean-Luc SAUVAGE
Magali VIDAL
DET : 97300 CAYENNE
Portable : 06 98 92 28 76
• BRETAGNE Vice Président :
Gilles JAFFRE
DE : La Chapelle de la lande 35432 St Jouan des Guérets
Tél : 02 99 29 25 00
Portable : 06 72 53 23 96
• BOURGOGNE
Michel LEFEBVRE
Vice Président :
Philippe LEPLAT
DET : Chalons République
71100 Chalons sur Saône
Portable : 06 65 60 17 92
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Les dossiers de l’écran - Pour voler ou pour nager
Réalité abstraite - Démonstratif
Première impression - Dans le sillage de la vedette
Donnés à entendre - Peu changer d’un coup - Démonstratif
Fin de non recevoir - Estomac qui permet tous les abus
Parler affaire - Jeune homme
Parler affaire - Jeune homme
Repasse au chaud - Courroie
Insulaire breton - Ancien sportif
Mousse à l’anglaise - Formation d’un réseau
Le jugement dernier - Appel de détresse
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Verticalement
1 Petit coin - Vallées où va l’eau
2Eau des Grisons - Ne fait pas partie de l’effectif
3Travaille à la maison - Gaillard d’avant
4Etablit d’une manière durable
5Un coup pour rien - Privée de jus
6 Sans élan - Caractères routiers
7Sujet masculin - Fait une seconde fois - Aride
8Aspiration d’ouvrières - Fait un zeste d’un geste
9 Etalon dans les champs - Félins hybrides
10Sport de club - Bêtes d’intérieur
11Prendre à bras le corps - Poire souvent tapée
12Dans le Morbihan - Cubes de bois
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