d`après Alessandro Baricco
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d`après Alessandro Baricco
Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau Sin Sangre d’après Alessandro Baricco Compagnie Teatrocinema Zagal – Laura Pizarro (Chili) Un spectacle fusionnant théâtre et cinéma Sin Sangre Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau d’après Alessandro Baricco 1ère volet de la Trilogie Teatrocinema Compagnie Teatrocinema (Chili) Un spectacle fusionnant théâtre et cinéma Spectacle en langue espagnole, surtitré en français. Production : Compagnie Teatrocinema (Chili) Coproduction : Festival Santiago a Mil (Chili), le manège. mons / Centre Dramatique (Belgique) Avec le soutien de FONDART – Gouvernement du Chili et de Banco Estado (Chili) Production déléguée de l’exploitation en Europe : Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau Avec le soutien de l’ONDA Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau Avenue Victor Hugo. 34200 Sète Yvon Tranchant, direction Marion Fouilland, responsable production fabrique [email protected] 04 67 18 68 68 - 06 07 94 32 02 Laurie Martin, chargée de production [email protected] 06 75 92 98 20 Pierre Blancher, directeur technique [email protected] 06 31 71 61 20 www.scenenationale-sete-bassindethau.com www.teatrocinema.cl Un tourbillon de passions déchaînées sous forme de vengeance, d’amour, d’absolu, de solitude, d’éternité, de fatalité, d’angoisse. Des êtres silencieux porteurs d’un héritage de guerre. Sin Sangre est une invitation à une réflexion profonde autour de notre place dans notre propre histoire, traversée par la douleur, le mystère et la beauté. l’équipe de création Auteur : Alessandro Baricco Compagnie Teatrocinema Adaptation : Laura Pizarro, Dauno Tótoro, Zagal et Diego Fontecilla Traduction : Claudio Di Girolamo Mise en scène : Zagal Avec : Laura Pizarro, Zagal, Diego Fontecilla, José Manuel Aguirre et Etienne Bobenrieth Direction artistique : Rodrigo Bazáes Scénographie : Rodrigo Bazáes, Cristian Reyes et Cristian Mayorga Costumes : Loreto Monsalve Lumière et régie générale : Luis Alcaide Musique : Zagal Régie cinéma : Dauno Tótoro Direction de la photographie : Arnaldo Rodríguez Camera et édition offline : Marcelo Vega Design multimédia : Cristian Reyes et Mirko Petrovich Régie multimédia : Lucio González Création bande-son : Marco Díaz Lumières : Rodrigo Bazáes et Luis Alcaide Storyboard : Abel Elizondo Photographie spectacles : Rodrigo Gómez Rovira Réalisation des costumes : Juana Cid Régie son : José Luis Fuentes Régie plateau : Vittorio Meschi Production exécutive : José Pedro Pizarro Production générale : Compagnie Teatrocinema Postproduction : Cubo Negro et Tres Dedos Sin Sangre Quand la vengeance devient la seule perspective possible, quand la mort s’approprie chaque destinée… La compagnie Teatrocinema, issue de la compagnie chilienne la Troppa, s’attaque au formidable texte d’Alessandro Baricco Senza Sangue à la dimension politique très forte et dresse un portrait métaphorique d’un Chili face à son passé, oscillant entre désir de vengeance et besoin de pardon. Un après-midi très calme dans la ferme de Mato Rujo soudain interrompu par l’arrivée de trois hommes armés. Manuel Roca, connu sous le nom « La Hiena » pour sa cruauté pendant la guerre, doit se rendre. Se sentant traqué par ses assaillants, il cache sa petite fille, Nina, sous le plancher avant de mourir, criblé de balles. Cinquante ans plus tard, le goût amer du sang et le désir de vengeance serrent toujours la gorge de l’orpheline. Quand, au détour d’une rue, elle croise un homme vendant des billets de loterie dans un kiosque, son regard croise celui de son dernier bourreau… Adapté du court roman Senza Sangue de l’auteur italien Alessandro Baricco (Soie, Châteaux de la colère, Océan mer, City …), Sin Sangre a véritablement été conçu comme un spectacle de théâtre-cinéma. Le texte original, décortiqué et analysé, a été complètement réécrit en tenant compte des critères et exigences des deux disciplines donnant ainsi naissance à une trame scénique et à un scénario de tournage. Les pistes ont été ensuite suivies simultanément pour garantir la symbiose entre les différents langages. Sur scène, Sin Sangre sera donc un montage théâtral. Bien que la narration et l’axe dramatique soient intégralement basés sur le travail des acteurs, la dramaturgie se verra interpellée de façon permanente par les éléments cinématographiques tels que les projections mais aussi et surtout l’incorporation d’outils propres au cinéma dans la machinerie théâtrale. Un genre innovant, qui génère des émotions nouvelles, qui bouleverse le rapport du spectateur à la scène. Sin Sangre est le premier volet de la trilogie Teatrocinema. L’Homme qui donnait à boire aux papillons créée en 2010 en est le deuxième. Alessandro Baricco Né à Turin en 1958, Alessandro Baricco est diplômé en philosophie. Après avoir été chroniqueur à La Stampa et à La Republica, il fut animateur d’émissions littéraires pour la télévision. Il a publié cinq romans (Châteaux de la colère, Océan mer, Soie, City et Sans Sang), une pièce de théâtre (Novecento, 1994), un recueil d’articles écrits pour le quotidien La Stampa (Barnum. Cronache dal grande show, 1995) et des essais. En 1996, il termine l’écriture de Davila Roa, un texte théâtral pour le metteur en scène Luca Ranconi. Parallèlement à son activité d’auteur, il enseigne à la Scuola Holden, une école centrée sur les techniques de la narration, qu’il a fondée avec quelques amis en 1994. le langage « Dans la compagnie Teatrocinema, nous cherchons de nouveaux langages dramatiques et de nouvelles formes pour mettre en scène des œuvres où les personnages - héroïques ou anonymes – sont des « phares », des points de référence. Chaque spectateur, à travers sa lecture et son expérience particulières, se questionne et analyse son propre chemin d’évolution, son propre univers intime. La compagnie développe un éventail très large de possibilités techniques et créatives grâce à l’intégration de professionnels du théâtre et du cinéma à la fois. Naissent alors de nouvelles potentialités d’approfondir l’impact des mises en scènes. Le langage de Teatrocinema génère la fusion des techniques et des formes narratives du théâtre et du cinéma. La force dramatique déployée en scène, le jeu des comédiens ainsi que les technologies appliquées, permettent de voyager dans le temps et dans l’espace avec des outils tels que le flashback et le flashforward, l’ellipse, le panoramique, la coupe franche, la plongée et la contre-plongée, les changements instantanés de l’axe de la caméra (donc du point de vue du spectateur), pour ainsi narrer en quatre-vingtdix minutes une histoire, même si elle se déroule sur plusieurs siècles et dans différents lieux. Pour la deuxième œuvre, nous cherchons à approfondir ce langage, sa technique et ses potentiels. L’expérience de Sin Sangre nous donne la certitude d’entrevoir seulement une partie du panel des possibilités. Pour atteindre notre but, nous comptons sur ce nouvel outil très stimulant : les variantes offertes par le dispositif scénique conçu par notre compagnie sont illimitées. Elles nous permettent un voyage infini sur des horizons très larges et une implication plus grande et plus certaine des spectateurs. » La Compagnie Teatrocinema Cie Teatrocinema Créée en 1987, la compagnie La Troppa (littéralement « La Troupe » de ceux qui marchent d’un pas solide à l’heure de la dictature) laisse pour de nombreux spectateurs du monde entier de magnifiques souvenirs : univers magiques, machineries ingénieuses, une poésie tendre habitant des créations uniques telles que : El Santo Patrono, Rap del Quijote, Viaje al Centro de la Tierra, Pinocchio et Jesús Betz. On garde en mémoire l’extraordinaire travail d’adaptation du roman Gemelos de Agota Kristof. Dix-neuf ans plus tard, en 2006, suite au départ de quelques uns et à l’arrivée de plusieurs autres, La Troppa devient Teatrocinema : un vaste groupe d’artistes appartenant à plusieurs disciplines et unis par l’intérêt commun de la recherche de la beauté et de la poésie, de la narration, de l’image et de la musicalité. A mi-chemin entre théâtre et cinéma, la troupe se dote également d’une nouvelle ligne de conduite : fondre (con-fondre) les langages et les techniques des deux arts, pour qu’ils deviennent inséparables et uniques, pour créer l’illusion de voyager dans l’espace et le temps à travers diverses histoires, de récits vertigineux qui s’envolent au-delà des quatre murs de la salle de spectacle. extraits de presse « Ce n’est pas du cinéma mais cela ressemble à un film. Un spectacle-film qui parvient, en presque 100 minutes, à honorer l’attente très grande qui reposait sur cette création. Chacune des promesses faites par les créateurs se retrouve dans l’œuvre : un dialogue fluide et harmonieux entre le langage théâtral et le langage cinématographique ; la fusion subtile des différents plans, le rythme sombre de la bande son et l’interprétation tellement mature de Laura Pizarro. » Verónica San Juan, La Tercera, Chili – 2007 « Extrêmement étonnant. Absolument parfait. Terrifiant. Précis jusqu’à l’obsession. Créé par la compagnie chilienne Teatrocinema, Sin Sangre est un spectacle unique, à découvrir absolument parce qu’il avance efficacement sur un terrain expérimental, il ouvre des chemins, il propose une chose qui sera peutêtre demain classique mais qui aujourd’hui surprend : l’assemblage quasi permanent d’images virtuelles avec le jeu d’acteur sur scène. » Lucho Bordegaray, Argentine – 2008 « Dense, riche et analytique, Sin Sangre parle aussi bien des profonds conflits universels que de la complexité humaine et de la contradiction des sentiments ». La Libre - Culture, Belgique – 2008 « De la vengeance au pardon. Sin Sangre fait figure d’événement. Universel et singulier, le thème de la vengeance exploré dans Sin Sangre bouleverse le spectateur, surtout lorsqu’il établit un parallèle avec l’histoire du Chili. Dense, riche, profond et psychanalytique, Sin Sangre parle autant des grands conflits de ce monde que de la complexité humaine, des méandres de l’âme et de la pensée, de la contradiction des sentiments. Chaque victime y lira peut-être son histoire ou celle du voisin. La forme, troublante, saisissante, est très aboutie elle aussi : le procédé imaginé garde une grande part de mystère. On savoure ce spectacle filmé en trois dimensions, ces images hyperréalistes et cette forme novatrice et convaincante. Une interprétation de grande qualité avec notamment une Laura Pizarro remarquable dans son jeu distancié. » Laurence Bertels, Belgique – 2008 « Ce spectacle, parole d’honneur, est extrêmement beau. Relaxant. Nouveau… non hyper nouveau. Du théâtre qui ressemble à du cinema, ou du cinema qui ressemble à du théâtre. Ici le procédé est poussé à l’extrême, jusqu’aux dernières conséquences : illusions d’optique continues et totales, suggestives. L’ambiance obscure et le sens du détail nous rappellent le travail du peintre et photographe Gregory Crewdson. » Franco Cordelli, Corriere della Sera, Italie - 2008 « Une vieille voiture américaine des années 1960 sur une route désertique du Chili. Chromée jusqu’aux dents. Trois hommes à bord. Le paysage qui défile, sur fond de nuages gris. Ambiance nocturne, musique hollywoodienne. Dans quelle salle sommes-nous ? Une salle de théâtre, celle des Abbesses, où commence le spectacle à voir en cette fin d’année : Sin Sangre (« Sans sang »), par la compagnie Teatrocinema. Formée par des anciens de La Troppa, la troupe chilienne la plus importante, elle offre du jamais-vu. Il y a belle lurette que les images filmées ont fait leur entrée au théâtre. Avec Sin Sangre, elles s’unissent d’une façon fantastique, au sens propre : le spectacle semble provenir de l’imagination de ceux qui le voient […]» Brigitte Salino, Le Monde, France – 2009 « […] Teatrocinema n’est pas la première compagnie à exploiter les possibilités de l’image animée. A l’heure où les frontières entre les disciplines s’estompent, le recours aux arts visuels est une tendance forte du spectacle vivant contemporain comme le montrent, chacun à sa manière, le Canadien Robert Lepage et le Belge Guy Cassiers. Mais l’originalité de la compagnie chilienne est de mêler en permanence théâtre et cinéma, sans hiérarchie apparente entre les deux disciplines. Le concept offre au spectateur une 3D d’un nouveau type, très incarnée, avec cinq acteurs jouant entre deux vastes écrans sur lesquels sont diffusées les images des décors (maison, bar, chambre d’hôtel...). […] Teatrocinema a trouvé là des moyens assez complexes et subtils pour évoquer sans manichéisme un sujet sensible, où les bourreaux d’aujourd’hui peuvent être les victimes d’hier, la justice cohabite avec l’idée de vengeance, les vivants avec les fantômes des morts. » Le Point, France – 2009 « […] Dans un éblouissant mais inquiétant dispositif scénique qui mêle jusqu’au trouble théâtre et cinéma – où commence l’un, où finit l’autre ? – la compagnie chilienne raconte une tragédie hélas ordinaire aux dictatures, un drame vertigineux où les bourreaux soudain se font victimes et les innocents s’apitoient sur les coupables ; mais qui est le plus coupable ? Laura Pizarro et Juan Carlos Zagal, qu’on avait connus à la fin des années 1980 à La Troppa, compagnie nourrie d’arts plastiques et d’inventions surréalistes, incarnent avec âpreté et mélancolie ce drame. Dans un style évoquant les films noirs hollywoodiens des années 1960 et la peinture figée d’un Hopper ou d’un Balthus, au fil des images qui filent sur l’écran ou semblent accrocher l’espace et le temps de leurs couleurs glauques et morbides, la troupe, comme surimprimée à la pellicule, réussit un exercice virtuose : dire les monstruosités de l’Histoire sous couvert de divertissement ordinaire. Et ainsi nous dessiller l’œil sur ce que cache tout ordinaire divertissement… » Fabienne Pascaud, Télérama, France - 2010 conditions techniques PLATEAU Dimensions : ouverture au cadre : 10,50 m mur à mur : 12 m profondeur : 8 m minimum derrière le RPF hauteur : 5 m sous frise Velours 4 pendrillons 2 frises rideau d’avant scène pas nécessaire Besoin de visser dans le plateau (VBA 4x40) JAUGE Le décor est simulé par 2 projections d’image vidéo, l’une venant de la salle, l’autre du lointain du plateau. Les acteurs jouent entre les 2 écrans. Pour déterminer les limites des places public : voir plan ci-contre VIDEO La Cie amène le matériel vidéo. Il est très important de bien placer le vidéoprojecteur qui est en salle (voir plan ci-contre), et de réserver des fauteuils si nécessaire. IMPORTANT : Pour le suivi du surtitrage, la coordination des images et le réglage des 5 micros HF, les 4 régies doivent être installées en salle derrière le dernier rang, au milieu. Dimension des régies : voir plan ci-contre MONTAGE Le spectacle joue au 6eme service (de 4h) 1 service d’habilleuse à l’arrivée, puis 1 service par représentation 4h de démontage LUMIERE 36 circuits de 3KW La Cie amène son pupitre à raccorder en DMX SON Contact technique Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau Pierre Blancher, directeur technique [email protected] 04 67 74 32 52 - 06 31 71 61 20 Mixage 24 voies analogiques Diffusion :- façade avec sub adaptée au théâtre - plateau: 6 x 600w type CH, Amadeus … - salle : 2 x 600w type CH, Amadeus … derrière le dernier rang public Machines :- 6 voix de compression - 3 equalisateurs stereo La Cie amène ses 5 mic HF Représentations en Europe 2010 - 2011 18 et 30 août, 1er et 3 septembre Festival International d’Edimbourg (Ecosse) 12 octobre 2010, Théâtre des Salins, Scène nationale de Martigues (13) 15 octobre 2010, Festival Les Translatines – Bayonne (64) 27, 28 oct. 2010, Les Ecuries, PBA+Eden – Charleroi (Belgique) 6 novembre 2010, L’Athanor, Scène Nationale d’Albi (81) 9 novembre 2010, Théâtre Georges-Leygues – Villeneuve-sur-Lot (47) 12 novembre 2010, Festival Temporada Alta – Gérone (Espagne) 19 novembre 2010, Théâtre de Vitoria (Espagne) 21 novembre 2010, Théâtre de Logroño (Espagne) 25 novembre 2010, Théâtre de Aviles (Espagne) 27 novembre 2010, Théâtre de Pamplona (Espagne) 25, 26 janvier 2011, L’Apostrophe, Scène Nationale de Cergy-Pontoise et du Val-d’Oise (95) 29 janvier. 2011, Le Channel, Scène Nationale de Calais (62) 1er février 2011, Théâtre Jean Vilar – Saint-Quentin (02) 3 février 2011, Scène Nationale Evreux Louviers (27) 2009 – 2010 2, 3, 4 octobre 2009, Festival Temps d’Images - Arte / La Ferme du Buisson, Scène nationale – Noisiel (77) 24 novembre 2009, Le Volcan, Scène Nationale – Le Havre (76) 26 novembre 2009, DSN Dieppe, Scène Nationale – Dieppe (76) 1er, 2 décembre 2009, Théâtre d’Angoulême, Scène Nationale – Angoulême (16) 10, 11 décembre 2009, L’Espal, Scène Conventionnée – Le Mans (72) 14 - 22 décembre 2009, Théâtre de la Ville, Théâtre des Abbesses – Paris (75) 8 janvier 2010, Théâtre Dionysos – Cahors (46) 12, 13 janvier 2010, Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau (34) 16 janvier 2010, Théâtre de Vénissieux (69) 19 janvier 2010, Centre Culturel, Château Rouge – Annemasse (74) 21 janvier 2010, Le Dôme, Scène Conventionnée – Albertville (73) 26, 27 janvier 2010, Le Théâtre, Scène Nationale – Narbonne (11) 29, 30 janvier 2010, Le Carré des Jalles – Saint-Médard-en-Jalles (33) 1er, 2 février 2010, Théâtre de Brétigny, Scène Conventionnée – Brétigny/Orge (91) conditions financières Prix de cession : 1 représentation : 9 000 euros hors taxes 2 représentations : 16 000 euros hors taxes Un devis sera specifiquement élaboré pour une série plus longue. Frais annexes pour 11 personnes en sus : 5 acteurs 4 techniciens 1 régisseur – chargé du surtitrage 1 chargée de production / diffusion - Quote-part des frais de voyage de l’équipe sur le territoire européen - Quote-part des frais de transport du décor sur le territoire européen - Hébergement hôtel 3 étoiles - Défraiements repas sur la base SYNDEAC - Quote-part des frais annexes relatifs aux jours off pendant la tournée en France