Capoeira Senzala
Transcription
Capoeira Senzala
Un peu d’histoire L’histoire de la capoeira a incontestablement débuté avec la déportation des esclaves africains vers le Brésil. Au XVI e siècle, les colons, pour exploiter les richesses du sol brésilien, déportèrent des esclaves africains. Afin de les contrôler, ils séparaient les individus de même la famille et de la même tribu pour éviter les coalitions. Ainsi chaque groupe comprenait un mélange de différentes cultures, coutumes et traditions. Au début du XVII e siècle, certains esclaves se rebellèrent et se rassemblèrent dans des camps nommés «quilombos». Certains quilombos réunissaient plus de 30 000 fugitifs. Les leaders des révoltés contribuèrent beaucoup au développement de la capoeira et elle constitua une arme semble-t-il efficace contre les colons. Ainsi au tournant du XVIII e débuta la répression de la capoeira. En 1780, le mot «capoeiragem» apparut dans les registres de police et inquiéta les autorités. Les réprimandes étaient sévères, qui était pris à faire de la capoeira était enfermé. Capoeira Senzala Valeur ajoutée La Capoeira allie l’apprentissage d’un art martial avec l’apprentissage de chants et d’instruments typiques, indispensables à la Capoeira. Ceci en fait un sport extrêmement ludique et varié qui favorise les improvisations personnelles. La pratique de cette activité sportive augmente la résistance physique ainsi que la coordination motrice et le sens du rythme à travers la musique. Les cours sont ouverts à tous et ne demandent pas de préparation physique spéciale. En 1888, l’esclavage est aboli au Brésil mais la capoeira reste interdite. Certains capoeiristes, certes libérés mais laissés miséreux, se servent de la capoeira pour voler. Des criminels se fixent des lames de rasoirs aux orteils afin d’asséner des coups mortels. La capoeira est alors reniée par une partie de ses initiés et cependant, dans l’ombre, elle survit jusqu’en 1937. La capoeira... que ces légendes soient exactes ou non n’a pas d’importance, ce qui compte c’est que les capoeiristes d’aujourd’hui continuent à trouver un sens à leur pratique à travers de ces légendes traditionnelles. Inscription, prix & horaires L’association culturelle Senzala – Genève a comme objectif la divulgation en Suisse de la capoeira et de la culture Afro-brésilienne à travers l’organisation de spectacles, animations ou participation à des manifestations culturelles diverses Ainsi, la Capoeira est introduit comme outil éducatif pour les jeunes et les enfants dans les écoles, centres de loisirs et maisons de quartier. Référence Chez Shinbudo Martial Arts Academy, vous avez la chance de pouvoir travailler avec Alex, plus connu comme Timbalada, son surnom dans le milieu de la capoeira. Il est né et a grandi à Bangu, banlieue de Rio de Janeiro. Il a commencé à pratiquer la Capoeira à l’âge de 12 ans et s’est entrainé avec différents groupes. En 1995, il a rencontré Garrincha son maître actuel avec qui il collabore jusqu’à aujourd’hui. Après plusieurs années d’enseignement au Brésil, Timbalada s’est rendu en Espagne, en France et maintenant en Suisse pour enseigner ce sport et transmettre cet art de vivre (culture) plus loin. Depuis 2004, il donne des cours hebdomadaires pour enfants, ados et adultes à Genève, Versoix et Nyon et maintenant à Cointrin au Shinbudo Martial Arts Academy. © 2006 Dojo Shinbudo - concept & composition: www.ama-asian.com Public cible Inscription sur place ou formulaire disponible sur notre site internet www.shinbudo.ch - Pour les adultes: tous les vendredis de 18h00 à 19h30 - Tarif annuel: 450.-, 6 mois: 300.-, 3 mois: 200.- Lieu << Dojo SHINBUDO 81 av. Louis-Casaï 1216 Cointrin Secrétariat: 079 362 43 57 w w w. s h i n b u d o . ch [email protected] Union Sportive de Cointrin - Dojo Shinbudo yrin Aéroport Piscine des Ailes Dojo Shinbudo Ecole de Cointrin Ch. du Ter min a Rui sse au Hôtel Ramada 0 e1 lign nc TPG êt: Jo Arr << Renseignement Me e nèv Ge ï asa s-C i Lou Av. Lau san n e> > ux >>