calico-dossier de presse
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Calico – extraits de presse Plouc Magazine – Octobre 2009 Je cite : "De l'humain dans les mots où les chansons trouvent racines. Faire le jeu invite à infléchir le cours des choses en mettant l'homme au centre. Faire le jeu, adossé aux étals, poser au milieu, le fragile principal…". Intemporel, ça s'écoute jusqu'au siècle prochain. Christian Décamps – ANGE Franco Fans – Juin 2008 Il y a un petit côté désuet dans la voix de Calico qui en fait tout le charme. Troisième album, sans artifice, où l'homme prend le temps de se Poser là sur des rythmiques douces mais pas mielleuses. La musique sait se faire vivifiante : Passé l'âge et son final enlevé lance la partie. Le groupe a les cartes en main et sème le trouble chez les auditeurs, qui se mettent bien vite à table, devant un jeu si riche. La tempête gronde. Katel, nouvel atout majeur, rejoint Jean-Marie au chant pour une embardé expéditive. 1mn47s de gratte aux petits oignons. Foutaises prolonge le plaisir avec des harmonies délicates. Quoi dire … Les paris sont ouverts. Espérons que les cinq musiciens raflent la mise et que le public ne se couche pas. Calico relance le rock breton et nous sommes au tapis. Noesis Rock & Folk – Qualité France – Mai 2008 En cinq ans, Calico a acquis une certaine réputation grâce à de nombreux concerts et quelques albums. Le troisième essai du quintette breton (qui compte trois frères en son sein) impose une chanson pop francophone. La démarche empreinte de musicalité sait jouer des nuances entre retenue pudique et déferlement lyrique pour privilégier les climats, à l'image d'une réussite flagrante, "Poser là", toute en délicatesse et en impact mélodiques. H.M. Sortir – Mai 2008 Trois albums (Les cafés impersonnels, La posture et faire le jeu), trois frangins (Gildas, Hervé et JeanMarie Le Goff), et autant de raison de laisser Calico faire le (beau) jeu. D'abord, précisons que le groupe mérite largement sa place de titulaire dans l'équipe de la chanson française rock. Présent dans le dernier top 15 sélectionné pour le prix Adami – Bruno Coquatrix (lauréate : Emily Loizeau), celui-ci a également reçu un coup de cœur du prix du disque Le Mag – Le Télégramme remporté par Yann Tiersen et Da Silva. Il y a ensuite cet appétit textuel auquel répond un évident talent mélodique. Apre et prépondérante, la voix n'a pas son pareil pour "poser au milieu le fragile principal" (faire le jeu). Enfin, et pour en finir avec cette règle de trois, on dira que l'ensemble n'est pas sans rappeler Noir Désir dans Des visages, des figures. Certains accords de guitare, certaines mélodies, certaines intonations de voix… Abrasif et habité, faire le jeu nous invite à boire Calico jusqu'à la lie, et pour notre plus grand bien cette fois. Jean-Baptiste Gandon. M-la-music – Avril 2008 Comme la tempête qui souffle parfois dans le centre-Bretagne, le titre phare de même nom est court. Mais rock. Interprété avec l’énergisante Katel, "La tempête" est en trois albums, le premier duo de Calico. Avec "Faire le jeu" les Bretons signent un album qui montre ô combien le groupe a gagné en maturité depuis "Les cafés personnels", premier album déjà séduisant. La voix de Jean-Marie Le Goff est ici plus posée ("Quoi dire"), les choeurs ("Jusqu’au sang") plus présents, les instruments forment un tout cohérent. Réalisé par Gaël Robin ("Le Baptême" de M), "Faire le jeu" vous file même quelques 1/4 claques. Il y a cette reprise de l’ex-Innocents JP Nataf ("Enveloppe", présente sur "Plus de sucre"). Il y a "Jusqu’au sang", prenant. Il y a ce texte sur l’électrique "Foutaises". Surtout, surtout, il y a ces notes de piano, les cordes légères d’un violoncelle, ces respirations. "Quoi dire" si ce n’est sublime. **** Stéphane Guihéneuf. Dimanche Ouest France – Avril 2008 On les aime bien, Calico, comme on aime bien la sincérité avec laquelle les trois frangins Le Goff et leurs deux complices mènent leur barque. Ce troisième album marque la belle maturité atteinte aujourd'hui par le groupe costarmoricain. Cela se ressent par cette façon d'enrouler, autour des textes de leur chanteur, une pop fluide, aérée, aux langueurs poétiques, qui se tend parfois pour devenir plus rock. Ils revendiquent placer ce disque autour "de l'humain", racontent que l'on passe vite "l'âge de sourire", que l'on avance un peu hébété ("ça se protège"), entre pauses et tempêtes, pour arriver à croire qu'"on pourrait bien s'entendre/sans jouer des égos". Il y a de la profondeur dans les histoires de Calico, ponctuées de jolies ballades comme la sensible Quoi dire. Michel Troadec. krinein – Mars 2008 Le rock à la manière bretonne, on le connaissait déjà par l'intermédiaire de Yann Tiersen, Miossec ou Katel comme une sorte de bourrasque énervée dans ses accords emportant toute mélodie sur son passage mais aussi comme le calme après la tempête avec de grands moments de chanson. Comme si le monde s'arrêtait à Brest, Calico pousse un cri du coeur en douze titres intitulé Faire le jeu. A travers des textes follement porteurs, le groupe peut tenir la comparaison et se positionner comme un égal de qualité à ses glorieux prédécesseurs. Après une introduction somme toute intéressante mais ressemblant un peu trop à du Matmatah sur Passer l'âge, c'est véritablement à travers Ca se protège ou Le fil que l'album prend son essor faisant découvrir un Calico rock dans lequel les sonorités se croisent et se décroisent, comme si tout volait autour de la voix de Jean-Marie Le Goff. Le vent marin de l'océan est encore plus fort avec la suivante. On le devine sans lire la biographie ou le booklet mais Katel apporte sa pierre à l'édifice construit par Calico sur La tempête. Dans son style caractéristique, sa guitare résonne à travers des arrangements énervés et parvient à merveille à mettre en valeur les paroles. De touts ces textes jaillit une idée prédominante, celle d'une histoire personnelle mise en exergue pour nous rappeler un vrai état d'esprit breton (Foutaises). Heureusement, des perles venues de nulle part comme On (n')attend apporte un véritable vent de fraîcheur à ce déluge avec toujours cette même énergie parvenant à mélanger instrumentation et chant sans n'en dévaloriser aucun. La légère touche électronique apporté par le clavier s'entend à peine. Que de bonnes surprises nous attendent encore... D'autres titres virent plus du côté de la chanson comme Poser là, le nostalgique Quoi dire ou le titre éponyme. Une plume inspirée parcourt les pages blanches avec un langage riche, ne contribuant toutefois pas à rendre facilement accessible certains titres. L'écriture fleuve du groupe peut aussi les desservir car les mots ne sont mieux mis en valeur seulement lorsque le rythme est lent, laissant transparaître cette sensibilité à fleur de peau qu'on aime partager avec eux... Calico fait le jeu dans son album à tous les niveaux et en dépit de quelques légers défauts, le groupe donne envie de le découvrir sur scène comme la plupart de ses congénères régionaux. et on peut être sûr que lorsque la Bretagne rock, il n'y pleut pas, un exemple ici même... Juro. Ouest France – Chronique concert Festival Mythos - Avril 2007 "Calico, du rock français bien balancé Le quintette costarmoricain pointe le bout de son nez dans le paysage de la chanson française, dopée au rock à guitares. 2/4 La famille, les potes s'étaient mêlés, hier, au public du Thabor qui, en début de soirée, ne manque jamais de faire la queue devant le cabaret botanique où les jeunes pousses de la chanson française ont scène ouverte. Il faut dire que les Calico sont loin d'être des inconnus dans la région. Les cinq garçons, originaires de Rostrenen, même s'ils ne se produisent sous ce nom que depuis 2003, jouent ensemble depuis 11 ans. Les Calico ne sont donc plus des gamins. D'où, une complicité et une complémentarité, déjà bien rodées, sur scène. Aujourd'hui, le groupe commence à percer dans un genre, pourtant bien encombré, naviguant entre la chanson-folk à texte et le rock français bien balancé, entre les Innocents et Louise Attaque." Ouest France – Rubrique Talent de l'Ouest - Décembre 2005 "Calico a bien grandi … le groupe propose aujourd'hui un deuxième album pop rock abouti aux mélodies et aux arrangements soignés. Je suis content que vous soyez là qui ouvre le disque appelle indéniablement au fredonnement … Un groupe à suivre." Michel Troadec Le Mag du Télégramme – coup de cœur le prix du disque - Février 2006 "Si le son est plus lumineux que sur Les cafés impersonnels, premier opus remarqué, les textes sont également plus fouillés. En 13 titres, Jean-Marie Le Goff jette un regard sans complaisance sur la télé (L'air cathodique), évoque superbement la mort avec La faucheuse au final résolument rock, emprunte les mots d'un Loïc Lantoine (Je renais) et laisse planer ses doutes (Lola) lorsqu'au soir d'un été 2003, l'actu s'entrechoque. Plus abouti, cet album est l'alchimie réussie entre nostalgie (Le bistrotier, Fifteen), ballade légère (Passage), et critique du quotidien (Comme A, La posture) d'où s'échappe une lueur, celle d'être là. Je suis content que vous soyez là chante Calico. Nous aussi." Stéphane Guihéneuf "D'abord se laisser conquérir par la voix âpre du chanteur qui décline humblement la partition des sentiments. Et puis, goûter à ces mélodies qui vous font parcourir une chanson à fleur de rock. Enfin, prendre "La posture" comme une claque revigorante dans un paysage musical français parfois un peu trop lisse. Bref, chouette galette !" Gwenaëlle fleur Ouest France – chronique du concert aux Vieilles Charrues - Juillet 2006 "Calico enflamme le cabaret en fin de festival. Le groupe « centro-breton » Calico présente son deuxième album La posture en tournée. Retour sur leur passage réussi à la scène cabaret des Charrues. Dimanche 23 juillet, 22 h un peu plus loin et à l'abri de la machine « papys Pixies », du côté de la Garenne, sous le chapiteau du Cabaret, les cinq membres du groupe Calico entrent sur scène comme on rentre dans une arène … Calico a l'habitude de la scène, des festivals, ça s'entend et ça se voit ! … Chansons à texte et vibrations pop-rock La sauce a pris, l'ambiance est montée pour ne jamais redescendre. Pendant une heure trente, les Bretons ont mis le feu, à coup de sons pop rock « à ouache », de chansons à textes, d'histoires à écouter, de musique à la vibration énergétique. Pas besoin de 60 tonnes de matériel, de jet privé ou de costume paillettes. Une basse (Fabien Autret), une batterie (Gildas Le Goff), un clavier (Hervé Le Goff), une guitare (Vincent Crenn) et un chanteur guitariste (Jean-Marie Le Goff) et le tour est joué, comme quoi la simplicité... " Vanessa Armor, magazine régional – Décembre 2006 3/4 ".. Je suis content que vous soyez là chante Calico … Visiblement le public ne regrette pas non plus de s'être déplacé. Le titre est l'un des 13 morceaux de La posture, le deuxième album du groupe, primé meilleur album Jeune Artiste par Produit en Bretagne. Programmé cet été aux Vieilles Charrues et à Bobital, les 5 copains font leur petit bonhomme de chemin. Sans brûler les étapes. Pleins feux sur Calico." Yann Guénégou Le Télégramme – Août 2006 "Calico : la chanson rock belle et intelligente à la fois. Mercredi soir le groupe Calico a d'emblée séduit le public loudéacien… Non seulement sa chanson rock à des tripes mais ses paroles ont du sens, sa musique est puissante et sa voix, magnifique …" Ouest France – Mars 2006 " La pop rock énergique de Calico au Glenmor. Bientôt couronné par le grand prix Jeune artiste 2006 du meilleur disque produit en Bretagne, le groupe Calico a donné un concert à l'espace Glenmor avec le soutien des Vieilles Charrues. … La carrière montante du groupe Calico a franchi une nouvelle étape, mardi dernier, avec un de leurs meilleurs concerts donné au Glenmor devant un public d’invités … «On les aime bien et on s’est volontiers associé au groupe pour la préparation de ce concert en résidence au Glenmor, avant leur passage aux Vieilles Charrues, le 23 juillet prochain», conclut, à leur sujet, Jean-Jacques Toux, le programmateur du festival." Jean-Pierre Bénard 4/4