Construire ensemble le Foyer Rural de demain

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Construire ensemble le Foyer Rural de demain
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leFoyerRuraldedemain»
La Fédération départementale des Foyers Ruraux est une grosse machine : elle représente une cinquantaine d’associations tous les ans, regroupant 7 à 8 mille adhérents individuels sur un département tout en longueur. Se regrouper devient complexe et nous avions besoin de faire le point sur nos adhérents, leurs modes de gestion, leurs atouts et leurs faiblesses pour mieux définir un avenir fédéral adéquat. Le Conseil d’Administration fédéral a donc demandé la réalisation et la passation d’un questionnaire préalable à la réflexion sur le futur projet fédéral. A la mi‐janvier, nous avions reçu 34 réponses sur 47 associations à jour de leur cotisation (76% de taux de réponse). Ce taux de retour assez exceptionnel est un signe de l’intérêt manifeste que les associations affiliées portent à leur structure fédéral. I] L’association dans son environnement. Premier enseignement : les foyers ruraux confirment leur place d’acteur profondément ancré sur un territoire communal. Autre
Ministère
CAF
CG/95
Comm Comm
0
10
20
30
Commune
Figure 1 : Partenariats liés avec... Le partenaire numéro un et quasiment unique reste la commune. On assiste cependant à la prise de conscience de l’existence des communautés de communes. Mais quelle est la posture vis‐à‐vis de ce nouvel échelon territorial ? A cette échelle, les associations trouvent leur travail reconnu : 67% des répondants s’identifient comme un acteur reconnu de la vie du village, soutenu par sa municipalité alors que 22% se voient plutôt comme un acteur autonome. 60% des foyers pensent être connus et reconnus pour leur travail. Les partenariats évoqués avec les communes (hors subventions, qui sont souvent confondues avec du partenariat) sont : 


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
Mise à disposition de la salle Manifestations en commun Concertation sur les manifestations, lien avec les autres acteurs de la commune Affichage / tracts / bulletins municipaux Prêt de matériel Les foyers ruraux très peu présents dans des dispositifs institutionnels. Seuls 25% des répondants disent participer à des appels à projets. Cette notion semble très floue. A la question ouverte demandant de préciser quels appels à projets sont utilisés, les réponses sont très variées et relativement imprécises : participation aux fêtes communales, TAP, sorties inter‐villages. Un seul Foyer Rural évoque un dispositif national : sa participation à un appel à projets du ministère de la culture par le biais de la CNFR. Une ébauche de dispositifs communs entre Foyers Ruraux voisins, tant sur le plan de la communication que sur le plan de l’animation. Au niveau du réseau de Foyers Ruraux, 25% ont mis en place un dispositif de communication commun et 22% des modes de concertation et de co‐production. Ces coopérations ont été dictées par une volonté d’ouverture, jamais face à des contraintes économiques ou de personnel. Ces coopérations prennent la forme de tournois, sorties, carnaval. II] La gestion de l’association Des CA aux visages très variés : vieillissement des cadres et difficultés de renouvellement du CA ne touchent pas tous les villages de la même façon. La taille du conseil d’administration varie de 6 à 24 personnes (moyenne 13 personnes). La tendance est plutôt à la stabilité (53%) mais les associations qui constatent une baisse n’est pas à négliger (31%). La plupart des associations considèrent que la taille de leur CA est adaptée à la gestion de l’association (67%), 25% trouvant tout de même leur CA trop restreint. L’ancienneté des membres des CA en place est plutôt élevée (un quart des administrateurs en place sont à la tête de leur association depuis plus de 10 ans). Cependant, la bonne ventilation des chiffres dans les tranches d’âge est plutôt en contradiction avec le discours ambiant sur l’absence de renouvellement. Ainsi plus d’un tiers des administrateurs en place le sont depuis moins de trois ans. Moins d’un an 16% De 1 à 3 ans 19% De 3 à 5 ans 20% De 5 à 10 ans 20% Plus de 10 ans 25% Figure 2 : Ancienneté au CA Cette situation en apparence équilibrée recouvre des différences assez importantes entre plusieurs typologies de Foyers : certaines équipes sont très novices (7 associations ont une équipe entière de moins de 5 an) alors que d’autres sont très vieillissantes (8 foyers ont une équipe entière de plus de 5 ans, voir 10 ans). La grosse majorité présente malgré tout des équipes qui se renouvellent régulièrement (13 associations présentent une équipe qui s’échelonne harmonieusement de 1 à 10 ans). Les autres associations présentent un rythme de renouvellement chaotique. L’âge des membres des CA est moins surprenant. Nos associations sont majoritairement administrées par des quadragénaires/quinquagénaires (48% des administrateurs, âge moyen 43 ans) et par des retraités (32% des administrateurs ont plus de 60 ans). Seuls deux foyers réussissent à mobiliser des mineurs de plus de 16 ans dans leur CA. La question de l’âge des administrateurs est moins disparate que celle de leur ancienneté. Les écarts entre l’âge moyen des CA de chaque foyer et l’âge moyen total sont très faibles. On peut distinguer un petit groupe de 6 Foyers « de trentenaires ». La question de l’ancienneté ou de l’âge des administrateurs ne traduit pas leur degré de disponibilité et d’implication qui nécessiterait une étude plus qualitative des CA. Concernant la corrélation entre l’ancienneté de l’équipe et celle du bureau, il va de soi que les équipes mal renouvelées sont dirigées par un bureau en place depuis longtemps, au contraire des équipes novices qui sont dirigées par un bureau novice. Sur les autres foyers, la tendance est plutôt à des équipes dirigées par des « anciens dans l’association », les jeunes recrues faisant figures de suiveurs, à quelques notables exceptions près. On peut donc supposer que les « nouveaux engagés » ont plus de mal à s’engager sur des postes de responsabilité et qu’ils sont là pour donner des coups de mains ponctuels. Cependant, les exceptions peuvent nous interroger sur la raison de cette différence d’engagement : manque de volonté/possibilité de la part des nouveaux ou résultat d’une culture associative des anciens ? Un profil d’adhérent très marqué : majoritairement des femmes de 40 ans et plus. Et des enfants d’âge primaire. 5000
4000
3000
2000
1000
0
Homme
Femme
Figure 3 : Répartition des adhérents par sexe Pourquoi 60% de nos adhérents sont‐ils des adhérentes ? La nature de nos activités induit‐
elle cette distorsion ? Ou bien doit‐on chercher du côté des réalités socio‐économiques du territoire ? 61 et +
41 ‐ 60
31 ‐ 40
19 ‐ 30
16 ‐ 18
12 ‐ 15
0 ‐ 11
0
1000
2000
Figure 4 : Répartition des adhérents par âges La pyramide des âges de nos adhérents est particulière : 20% de nos adhérents sont des enfants d’âge primaire et 50% ont plus de 40 ans. Pourquoi les 12/30 ans ont‐ils un poids si peu important dans nos adhérents ? L’une des réponses tient surement à l’absence de ces tranches d’âge sur le territoire : à partir du collège les jeunes dorment chez leurs parents mais vivent sur le territoire urbain de leurs études. Cette réponse ne doit pas nous empêcher de réinterroger nos modes d’animer : nous savons qu’une seconde explication à cette absence tient dans l’envie des jeunes de ne pas s’intégrer à des activités récurrentes planifiées à dates et horaires réguliers. Leur animation relève plus de professionnels que de bénévoles. III] L’association en actions Le questionnaire valide une fois de plus le Foyer rural dans sa dimension pluridisciplinaire et transversale. A des degrés divers, les Foyers interrogés sur leurs vocations se positionnent d’abord comme des associations sportives, puis récréatives et enfin culturelles. Vocation sportive 33
Vocation récréative/loisirs 32
Vocation culturelle 31
Vocation conviviale 28
Vocation sociale 27
Figure 5 : Vocations ressenties Cependant, l’aspect resserré du résultat montre que la définition pluridimensionnelle du foyer rural reste pertinente. Une culture du projet quasiment absente de nos associations. La co‐construction avec les habitants n’est pas un réflexe. On tente avant tout de « parer au plus pressé ». Nos associations n’ont clairement pas encore intégré la culture du projet puisque 80% d’entre elles fonctionnent sans projet d’orientation pluriannuel pour fixer leurs objectifs de développement et évaluer leur action. Et sur les 20% restant, seuls 4 associations disposent d’un projet formalisé par écrit. Cet état de fait est d’ailleurs à rapprocher de l’absence de nos associations dans les dispositifs de type « appel à projet ». Nb de réponses % Le bureau 25 69% Le conseil d'administration 30 83% Les adhérents 10 28% Les animateurs, professeurs et intervenants 10 28% La mairie ou la communauté de communes 5 14% La FDFR/95 0 0% Secteur d’animation/groupement de foyers 2 6% Initiative externe : acteur local (associations, institutions…) : 1 3% Figure 6 : Initiative des actions L’initiative des actions est le plus souvent à mettre au crédit des CA ou des bureaux, rarement de l’extérieur. Si la place des animateurs, professeurs et intervenants n’est pas étonnante, le faible taux d’initiative des adhérents pose question : est‐ce parce qu’on ne leur laisse pas assez de place d’expression ou bien est‐ce de la passivité consommatrice ? A noter que l’absence d’investissement dans les actions proposées par la FDFR/95 est ici criante alors que sur la période étudiée, la fédération a mené plusieurs propositions autour des mangas ou des musiques actuelles. Une offre d’animation stable mais qui ne se renouvelle que très peu : on fait vivre ce qui existe et fonctionne, on innove difficilement. Activités
régulières
Evénements
Figure 7 : Evolution des activités sur 5 ans Figure 8 : Evolution des événements sur 5 ans Pour 58% des associations, le nombre d’activités proposées est stable sur ces 5 dernières années. Les autres foyers se partagent en deux parts égales entre ceux qui créent des sections et ceux qui en ferment. Concernant l’événementiel, la stabilité du nombre de manifestations proposée dans l’année est équivalente (56%). En revanche, les associations qui créent des événementiels nouveaux sont légèrement plus nombreuses que ceux qui en arrêtent. Stable Légère hausse Hausse Forte hausse Légère baisse Baisse Forte baisse La situation actuelle n’est pas très dynamique au regard de la création de nouveautés. Dans leur très grande majorité les associations tentent de maintenir ce qui fonctionne. Les moyens financiers comme le taux d’occupation des équipes rendent compliqué toute tentative de faire du neuf. Dix‐neuf associations n’envisagent pas d’actions de renforcement de leurs activités actuelles. Le relatif équilibre entre les créations et les fermetures montre qu’il s’agit plus d’opportunités, de dynamique locale que d’une tendance conjecturelle. Dix‐huit associations envisagent la création de nouvelles activités dans les 3 ans à venir. IV] Les moyens humains Les équipes de bénévoles sont stables. Les bénévoles sont tournés vers l’action et pas la gestion de l’association. Evolution Pourcentage Baisse 36% Stabilité 61% Hausse 3% Figure 9 : Evolution du bénévolat (hors CA) Les 61% d’équipes stables ne doivent cependant pas cacher que 36% des équipes se déclarent en baisse d’effectifs. Dans la grande majorité des associations, il est constaté que l’engagement bénévole se porte en priorité sur des actions ponctuelles (note moyenne de 6.6/10) puis sur la gestion d’activités régulières (note moyenne de 4.9/10). En revanche, les aspects administratifs et comptables sont en général délaissés par les bénévoles. La question de l’engagement des bénévoles est une fois de plus un facteur très discriminant d’un foyer à l’autre, le total des notes attribuées allant de 2 à 48 sur les 50 points possibles. Un accueil de nouveaux bénévoles pas toujours réfléchi et organisé. L’intégration des nouveaux bénévoles n’est clairement pas une priorité. Seuls 5 associations évoquent un parcours d’intégration des nouveaux bénévoles et nous tombons à 3 lorsque nous évoquons un document d’accueil écrit. Les modalités d’intégration les plus évoquées sont le « parrainage » des nouveaux par les anciens et la transmissions des compétences « sur le tas ». Deux associations parlent d’un temps formel de réunion de présentation autour du CA. Cependant, la question semble avoir parfois été mal comprise puisque beaucoup nous parlent des modalités de recrutement et non de leur intégration. Le constat d’adhérents consommateurs qui ne font pas vivre l’association s’amplifie. La signification de l’adhésion à un projet associatif et l’engagement dans une démarche d’Education Populaire se sont considérablement effacés au profit d’une attitude de consommation d’activités. % associations
Part des adhérents présents à l’AG
25
Moins de 15%
50
Autour de 30%
25
Autour de 50%
Figure 10 : Taux de participation aux AG Seul un quart des associations réussit à regrouper environ la moitié de ses adhérents à l’assemblée générale. La très grosse majorité regroupe environ 30% de ses adhérents. Mais surtout un quart réunit moins de 15% avec des chiffres très bas. Certaines annoncent même ne pas avoir d’adhérents présents lors de leurs AG. Un recours au salariat pas encore généralisé. Seul 58% des associations interrogées ont au moins un salarié pour l’animation des activités. Parmi celles‐ci, 22% traitent leur gestion sociale en interne. Les modalités de gestion externes sont : le CEA (19%), SEVO (8%), cabinet comptable (6%), autres solutions (6%). Ces associations employeurs ne se posent pas de question quant à leur situation vis‐à‐vis des règles du droit du travail : la moitié des répondants se pense parfaitement en règle, 4% sont dans le doute et 46% pensent être probablement en règle. Il n’y a aucun salarié pour la gestion/direction des associations elles‐mêmes. Sur les efforts de formation de la FDFR/95 en direction des bénévoles associatifs, le bilan est mitigé. Face à un mouvement presque exclusivement bénévole, et consciente de la charge de responsabilités qui pèse de plus en plus sur leurs épaules la FDFR/95 a mis en place depuis plusieurs années des dispositifs de formation et d’information des responsables associatifs. Les temps formels de rencontre et de formation ne rencontrent pas d’avis franchement négatifs. En revanche, une grosse majorité d’associations ne se sent pas concernée ou ne fréquente pas ces temps. Le frein le plus fréquemment évoqué est le manque de temps à consacré à de la formation, suivi par le manque d’envie. Pas concernés / ne fréquentent pas 56% Mitigé 12% Bonne opinion / utile 32% Figure 11 : Satisfaction devant les temps de formation Les documents de veille informative faisant le point sur un aspect de la gestion associative répondant à l’actualité du moment sont plus appréciés. Si un quart des adhérents juge ce travail inutile, 71% en apprécient l’utilité et les jugent pédagogiques. Utile / pédagogique 71% Mitigé 6% Inutile 23% Figure 12 : Satisfaction face à la veille informative Les critiques principales sur cette veille sont de deux ordres : la difficulté à retrouver l’information en temps utiles et le manque de réactivité de la fédération. V] Les moyens financiers Les Foyers Ruraux sont grandement autonomes financièrement. DDCS Région CAF Part du 30% 24% 19% 15% 10% 2%
budget 0
0
0 CG Autre Commune Participations des adhérents manifestations Cotisations Figure 13 : Part moyenne dans le budget des différents financeurs La source la plus importante de revenus pour nos associations reste les cotisations de leurs membres et les manifestations exceptionnelles (lotos, brocantes…). En règle générale, l’importance de la cotisation dans le budget global est inversement proportionnelle à celle des manifestations exceptionnelles. La participation des adhérents au coût de leur activité apparait comme une variable d’ajustement entre ces deux sources de revenus. Là où les cotisations sont basses et où il n’y a pas de manifestations de financement, les participations deviennent prépondérantes. Les adhérents sont donc inégaux devant le coût d’une activité. Presque toutes les associations reçoivent une aide financière de leurs communes mais le poids de cette aide est variablement apprécié. 80% des associations reçoivent une subvention du conseil général 95. Toutes les associations décrivent leur situation financière comme bonne, équilibrée, saine et stable. Une seule décrit une situation financière se dégradant du fait de baisses de subventions et évoque une certaine amertume à ne pas être plus aidée financièrement. Quelques associations relèvent malgré tout que cette situation saine repose sur des choix qui ne permettent pas forcément de mener à bien toutes les actions souhaitables/possibles. Deux associations s’interrogent sur l’avenir financier en regard du poids croissant du coût du travail (salaires + charges sociales mais aussi coûts induits : feuilles de payes, contrôles sociaux, risques de prud’hommes…). VI] Communication et visibilité En général, les associations communiquent surtout sur leurs événementiels (83% des répondants) mais aussi sur leurs activités récurrentes (67%). En revanche, ils sont peu nombreux à communiquer sur l’association en elle‐même (22%). En raison même du contenu de l’information, elle est surtout centrée sur les habitants (21 occurrences) et les adhérents (9 occurrences), voire la mairie (6 occurrences). Il semble qu’on ne pense pas spontanément à la communication vers les autres foyers (4 occurrences). Les cibles institutionnelles (CG, FD, DDCS…) sont absentes ou quasi‐absentes. Les vecteurs d’information privilégiés mêlent les traditionnels affiches/banderoles (18 occurrences), diffusion en boites aux lettres/tractage (16 occurrences) avec l’usage des technologies de l’internet : sites et blogs (18 occurrences) et mailing (11 occurrences). Pour les vecteurs plus confidentiels, 4 foyers disent utiliser les réseaux sociaux (surtout Facebook) et autant éditent un journal ou une lettre. Presse et bulletins municipaux sont cités 4 fois chacun également. Deux foyers utilisent les courriers postaux, un le calendrier du Parc Natural Régional, un enfin met en place des réunions d’infos. A la question « Cette communication vous parait‐elle adaptée ? Suffisante ? », les avis sont très partagés : 6 réponses plutôt négatives, 6 réponses plutôt positives et 3 avis jugeant les vecteurs adaptés mais l’effort de communication insuffisant. La question est aussi posée de savoir si c’est la communication qui est à questionner ou si la surabondance de propositions ne nuit pas au résultats de chacune en regard d’une population qui n’a pas nécessairement envie de sortir de chez elle après une semaine d’aller/retour sur les lieux de travail. Un répondant évoque également la possibilité de créer un site commun à tous les foyers. Il ressort également du questionnaire que 58% des foyers estiment n’avoir aucune visibilité sur les actions de valorisation du réseau menée par la FDFR/95. VII] Le Foyer Rural et sa fédération La fréquence de contact avec la FDFR/95 est plutôt faible, comme le montre le tableau ci‐
dessous. En outre, ils sont souvent déshumanisés au profit des technologies de communication. Une fois par an pour l’affiliation 33%
De 2 à 5 fois par ans 56%
Une fois par mois en moyenne 11%
Plus d’une fois par mois 0% Toutes les semaines 0% Figure 14 : Fréquence des contacts avec la FD Ces contacts se font en priorité sur des vecteurs virtuels (Gestanet, Site internet…) ou par le biais des salariés (téléphone, mail, contacts physiques). Avec les salariés 40% Avec les administrateurs 10% Par des supports virtuels 50% Figure 15 : Vecteurs de contacts Sur les 21 commentaires ouverts concernant la qualité de ces relations, 18 font état de bonnes, voir excellentes relations. Les mots les plus souvent cités sont : « répondent à nos demandes et interrogations », « professionnels et conviviaux », « de très bons conseils », « communication facile », « réponses promptes et adéquates », « constructifs », « apportent de réelles solutions ». Un foyer répond ne pas se sentir concerné par les actions de la FDFR/95. Un autre pointe l’absence de transmission sur ce que la FDFR/95 propose à ses adhérents. Les foyers qui ont recours aux services de la FDFR/95 le font sur des sujets très variés. La réponse apportée par la fédération est jugée satisfaisante dans 88% des cas. Dix‐huit foyers ruraux ont eu recours à la FDFR/95 sur différents sujets au cours de ces trois dernières années (50% des répondants). Pourcentage des Foyers ayant eu recours à la FDFR/95 sur des questions touchant •
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À un partenariat inter‐foyers 22% À la gouvernance de l’association 25% À des activités 22% À la gestion des ressources humaines 17% Aux finances de l’association 8% Satisfaction sur le traitement de la question par la FDFR/95 sur les réponses touchant (nb de satisfaits/nb total de recours) :
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au partenariat 6/7 à la gouvernance 8/9 aux activités 9/9 à la gestion des ressources humaines 5/6 Aux finances de l’association 2/3 L’avenir de la fédération est complexe et doit être pensé de manière multiforme. Il est très compliqué de trouver une priorité, voir un simple fil conducteur, dans les attentes des associations affiliées tant les demandes sont diverses. Pourcentage des foyers répondants souhaitant une présence accrue de la FDFR/95 sur des questions touchant :
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au partenariat 58% à la gouvernance 42% à la gestion des ressources humaines 36% à la communication et à la visibilité du réseau 53% aux finances 33% Axes d’intervention jugés les plus prioritaires
Gestion administrative Projet d’animation Statuts et Règlement Intérieur Communication externe au réseau •
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Axes d’intervention les plus sollicités
Gestion du personnel Développement de nouvelles activités Organisation d’événement inter‐foyers •
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