DP Festival St-Germain - La Strada et compagnies
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DP Festival St-Germain - La Strada et compagnies
CONTACT PRESSE Catherine Guizard 06 60 43 21 13 / [email protected] Que reste-t-il du Saint-Germain-des-Prés Baudelairien, humaniste, libertaire, créatif, indocile qui a toujours livré bataille contre le fléchissement de l’esprit critique et contre l’intolérance envers les idées et les hommes, contre la bourgeoisie catholique à jamais soucieuse de « récupérer » le poète des Fleurs du Mal et de mettre à l’index ce haut lieu de la libre pensée et de l’originalité ? Isée St. John Knowles, fidèle continuateur de la Société Baudelaire (instituée en 1872 par Catulle Mendès et d’autres amis du poète), pose cette question, retrouve ces Baudelairiens qui, du St Germain-des-Prés proustien au St Germain-des-Prés sartrien, ont été les fleurons de l’histoire libertaire de ce « village » et rappelle à la vie ceux qu’il a côtoyés : Raymond Duncan — frère d’Isadora et fondateur de l’Akademia rue de Seine — Sartre, Simone de Beauvoir, Jean-Louis Barrault, mais aussi les chiffonniers, les poètes et les rebelles qui ont apporté ce souffle d’héroïsme, de lyrisme et de fronde qui caractérisa St Germain-des-Prés Baudelairien. De concert avec le réalisateur José Pinheiro, 38 acteurs, les voix de Laurent Charpentier, Anne Delbée, Thierry Lhermitte, José Pinheiro, François Regnault, Pierre Santini, Isée St. John Knowles, la nuit de St Germain-des-Prés au Théâtre Mouffetard sera embrasée de fulgurations poétiques décochées par Baudelaire et, le temps de ce Festival, dispersera la nuée de fatuité qui couvre présentement le ciel de ce quartier. 3 créations SAINT-GERMAIN-DES PRÈS DANDY mercredi 13, Jeudi 14 et Samedi 16 Janvier 19h SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS POÈTE mercredi 13, Jeudi 14 et Samedi 16 Janvier 21h SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS REBELLE vendredi 15 Janvier 21h Théâtre Mouffetard 73, rue Mouffetard – 75005 Paris M° Monge – Parking : Patriarches – Bus : 47 – 84 – 89 www.theatremouffetard.com TROIS CRÉATIONS… SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS DANDY MERCREDI 13, JEUDI 14 ET SAMEDI 16 JANVIER À 19H En 1957, les artistes de l’Akademia Raymond Duncan s’apprêtent à célébrer le centenaire des Fleurs du Mal sur le thème du dandysme, en hommage aux Baudelairiens de Saint-Germain-desPrés qui, face à l’oppression, ont manifesté leur attachement profond à la liberté. Ainsi, un ami de Proust choisit de croire à l’innocence de Dreyfus, quitte à « se déshonorer aux yeux des autres » ; la fille du président de la Société Baudelaire, tué sous l’Occupation, décide d’outrepasser l’interdiction faite aux artistes juifs d’exercer leur profession en demandant à son amie, destituée de sa dignité par une étoile jaune, de l’accompagner au piano lors d’un récital donné à l’Akademia ; Sartre condamne l’autoritarisme soviétique qui aliène la liberté des peuples, mais dans le même temps, s’en rapporte à Baudelaire pour n’infliger aucune atteinte à l’idéal qui l’inspire encore. Cette force d’âme que rien n’a pu fléchir galvanise l’action de cette pièce satirique et magnifie le souvenir du village mythique de Saint-Germain-des-Prés. SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS POÈTE MERCREDI 13, JEUDI 14 ET SAMEDI 16 JANVIER À 21H En 1936, Mademoiselle Chanel est invitée par la Société Baudelaire de Saint-Germain-desPrés à concevoir un défilé de mode sur Les Fleurs du Mal. Mais devant les tentatives de contrôle d’une aristocrate antisémite qui se sert du défilé pour la compromettre, Chanel prend la décision d’annuler l’événement. En 1988, Sylvie, un jeune modèle pose devant le peintre Limouse pour un poème érotique des Fleurs du Mal. Alors que le peintre et président de la Société Baudelaire la questionne sur sa vie, la jeune femme fond en larmes et la séance de pose prend une tout autre tournure. Sylvie se confie et raconte à Limouse comment elle a rencontré l’un de ses amis, Roland. Grâce à ce jeune Baudelairien, elle s’était forgée une existence nouvelle comme mannequin et muse dont la prestance, sur les podiums de maison de couture, avait fait revenir à l’esprit de Roland les inspiratrices des plus beaux poèmes d’amour de Baudelaire. Elle avoue aussi à Limouse qu’elle a transmis à Roland un virus incurable. Le défilé crée désormais une passerelle entre un sujet d’inspiration pour Chanel et l’avenir idéalisé par Baudelaire que Limouse promet à Sylvie. Le cinéma se rapproche de l’action théâtrale pour accompagner l’héroïne « sur la mer des Ténèbres » jusqu’à l’ultime étape de son voyage, celle de sa libération et de sa réunion avec Roland. SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS REBELLE VENDREDI 15 JANVIER À 21H Jean-Louis Barrault retrouve Limouse à la hâte. Il apprend, entre autres, le saccage des archives de la Société Baudelaire à dessein de faire disparaître quelques dossiers sensibles incriminant d’anciens collabos. En souvenir de Sartre qui s’était élevé contre cette spoliation, Barrault propose une riposte. Avec Limouse, le président de la Société Baudelaire qui a consacré sa vie de peintre à l’interprétation des Fleurs du Mal, il forme le projet d’un récital mettant en scène une lecture sartrienne des poèmes de Baudelaire. S’instaure alors une alliance entre le théâtre, la poésie, la peinture et la musique pour soutenir une pensée qui, fidèle à la tradition séculaire de Saint-Germain-des-Prés baudelairien, prône l’offensive contre l’oppresseur et la délivrance des opprimés. Émilie Brakha NOTE D’INTENTION SUR LE FESTIVAL SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS BAUDELAIRIEN Un poème des Fleurs du Mal m’a toujours empli d’effroi : il fait entrer en action une horloge si implacable que rien ne l’apitoie, pas même la procrastination d’un poète. Puisqu’il est déjà trop tard, n’est-ce pas dérisoire d’aspirer à rattraper le temps perdu ? Pourtant, certains s’y sont Qu’espéraient-ils au juste ? risqués. Que Saint-Germain-des-Prés se ressaisisse ; qu’il prenne conscience de ses racines baudelairiennes, laissées en héritage par les « artistes et écrivains les plus illustres du siècle », selon Simone de Beauvoir ; qu’il redécouvre son héritage d’indocilité envers une bourgeoisie catholique à jamais soucieuse de « respectabiliser » Baudelaire pour le récupérer dans ses rangs ; qu’il s’émeuve de son héritage humaniste et libertaire, transmis depuis 1872 par des Baudelairiens qui ont livré bataille contre le fléchissement de l’esprit critique et contre l’intolérance envers les idées et les hommes. Quand, sur l’invitation de Sartre et de Simone de Beauvoir, j’avais embrassé la cause de Saint-Germain-des-Prés, j’étais certes loin d’imaginer que trois décennies plus tard, j’en exhumerais le passé baudelairien avec la plume du dramaturge. Néanmoins, de concert avec les 38 personnages qui interprèteront sur la scène du Théâtre Mouffetard SaintGermain-des-Prés Dandy, Saint-Germaindes-Prés Poète et Saint-Germain-des-Prés Rebelle, du 13 au 16 janvier prochain ; de concert aussi avec José Pinheiro, le réalisateur de nos séquences filmées, je rappellerai à la vie ces dandys et chiffonniers, ces poètes et ces rebelles qui ont composé l’épopée grandiose et ô combien ! exaltante de Saint-Germaindes-Prés Baudelairien. Exaltante, elle le sera de nouveau parce qu’ils disperseront, ne serait-ce que pour la durée d’un festival, la nuée de fatuité qui couvre présentement le ciel de leur quartier. Alors, comme par le passé, la nuit de Saint-Germain-des-Prés sera embrasée des fulgurations poétiques décochées par Baudelaire pour faire renaître l’espérance et ennoblir le sort des humiliés qui ne peuvent plus lutter. Isée St. John Knowles NOTE D’INTENTION SUR LA RÉALISATION CINÉMATOGRAPHIQUE Comment oser prétendre s’approprier en le « recyclant » le plus infime fragment des écrits de Charles Baudelaire ? En parler oui, on peut tout juste essayer… De toute façon, tout encouragement à le lire — poèmes, critiques, carnets et journaux intimes — est à considérer comme un cadeau donné et si possible reçu. Voilà en fait la seule intention, ce qui a été dit aux actrices et aux acteurs de ces séquences d’images qui se cherchent et autour desquelles rôdait l’insaisissable baudelairien. Il y a certainement différents chemins d’accès à tout ou partie de cette œuvre de génie. Je pense que l’un d’eux, conduisant à des impressions durables, passe moins par la compréhension que par une sorte d’imprégnation, d’assimilation de ce beau langage, de la mise à nu de ce cœur-là et de ses fusées. En vérité, ne sachant rien, n’ayant pas de vouloir, je me suis accroché à la passion folle, inconditionnelle et lyrique d’Isée St. John Knowles qui est un véritable illuminé de Baudelaire — jouissant d’un statut respectable, d’une considération notoire et d’une liberté de mouvements sans condition à travers l’Europe et peut-être même le monde entier ! Ce n’est pas le plus important de vous dire que je me suis abandonné à un goût immodéré de l’obstacle et que je suis sorti de ce tournage heureux, très heureux même… Non, ce n’est pas ça l’important, mais que vous vous précipitiez sur les textes de Baudelaire et qu’ils ne vous quittent plus, qu’ils vous fassent traverser la vie. Oui, c’est cela l’important, vivez avec ce trésor et faites-en ce que vous pourrez. Le dernier mot à Charles Baudelaire afin que tout ce charabia ne soit pas inutile : « Ceux qui savent me devinent, et pour ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas comprendre, j’amoncellerais sans fruit les explications. » José Pinheiro ISÉE ST. JOHN KNOWLES DRAMATURGE, METTEUR EN SCÈNE Repères biographiques Isée St. John Knowles, Fellow of the Royal Society of Arts, est né à Saint-Germain-desPrés en 1952. Il reçoit une formation musicale au Conservatoire National Supérieur de Paris, puis philosophique et littéraire à Pembroke College, Oxford. Parmi les Baudelairiens qu’il côtoie en ce temps-là figurent les derniers dépositaires d’une tradition particulière à Saint-Germain-des-Prés : l’art de dire la poésie de Baudelaire d’après les préceptes recueillis en héritage par ceux qui avaient entendu la voix du poète. Initié à cet art, il unit sa destinée à la vie de la Société Baudelaire, instituée à Saint-Germain-des-Prés en 1872 sous la présidence de Catulle Mendès. Auprès de Sartre et de Simone de Beauvoir, il combattra contre l’extinction de cette Société. En 1987, sous l’égide d’universitaires d’Oxford, il instaure à Chester, Angleterre, un musée consacré aux Fleurs du Mal à dessein de réhabiliter la mémoire de l’épopée baudelairienne de Saint-Germain-des-Prés. Ses entretiens avec l’ancien président de la Société Baudelaire, Limouse, sur la lecture sartrienne des Fleurs du Mal paraîtront prochainement. NOTICES BIOGRAPHIQUES FRÉDÉRIC GAY CÉCILIA WORD Comédien et metteur en scène, il a reçu l’enseignement, la formation et les conseils de Jean-Laurent Cochet, François Florent, Francis Huster, Françoise Engel, Jean Piat, Jean Davy et Michel Bouquet… Il a joué une cinquantaine de pièces aux côtés de : Gisèle Casadesus, Jean Davy, Georges Descrières, Alain Feydeau, Maurice Rich, Jean Luc Moreau, Zappy Max, Robert Castel, Michel Galabru, Jean Le Poulain… Il a mis en scène Paria (A. Strinberg), Sketches (H. Pinter), Jacques le fataliste et son maître (D. Diderot), Feu la mère de Madame (Feydeau)… Comédienne, metteur en scène et auteur dramatique, elle est sortie du cours Simon avec un premier prix (prix Marcel Achard). Elle débute avec Poiret et Serrault (Top à J. Poiret de G. et M. Carpentier, Noël à Paris de Pierre Tchernia). Au théâtre, elle joue avec Robert Hirsch, Darry Cowl, Jacques Jouanneau, Dany Carrel, Marcel Philippot, François Morel. Jean-Luc Moreau la met en scène dans Feydeau Folies. Puis c’est Mademoiselle se marie au th. MontmartreGalabru, Chasse à l’homme à Versailles (th. Grévin), Madame le rabbin (th. de l’Aire Libre). Au music-hall, l’Olympia avec William Sheller dans Les Démones Loulou qui tiennent l’affiche 4 ans à Paris puis le Bataclan et le Zénith avec Élie Kakou en 1997 (avec Chantal Latsou, Michel Drucker). À la télévision, en émissions quotidiennes avec le Théâtre de Bouvard, puis c’est La Classe de Guy Lux, Yacapa de Pascal Brunner, Collaro Show, En avant Tôôt (Collaro), Histoires d’en rire, Vincent à l’heure, Dimanche Martin, Le Village dans les nuages (C. Izard). Actuellement, elle prépare deux mises en scène (Love de M. Schisgal et Bactéries Blues d'E. Westphal). ARNAUD BRUYÈRE Il débute avec Fernand Ledoux dans le rôle de Damis dans Le Tartuffe… interprète Cléante dans L'Avare (Molière) avec Georges Chamarat et Lise Delamarre ; viennent ensuite des rôles aussi divers que Calliste (La Célestine), Valvert (Cyrano de Bergerac), Le Prince Jean (Robin des Bois), Passepoil (Le Bossu), Aramis (Les Trois Mousquetaires), le Roi (Hamlet) ou encore La Nourrice dans (Roméo et Juliette). On peut le voir à Paris dans Le Joueur d'Échecs d'après Stefan Zweig. Il joue également au cinéma auprès de Belmondo, Blier, Marielle, Maccione… DENISE DAX Grâce à Jean Cocteau, elle débute à 15 ans dans L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel au Théâtre de l’Oeuvre. Après des études de tragédie au Conservatoire National, elle interprète le répertoire classique : Musset avec Jean Poiret, Molière avec Michel Piccoli. Avec Michel Simon dont elle devient la compagne, elle joue Charmante Soirée de Jacques Deval et lui rend hommage dans un « one woman show ». Parallèlement au théâtre, sa carrière comprend le cinéma, la comédie musicale, le café-théâtre, la revue et la télévision. SERGE MARTINEZ Au théâtre, il passe par les grands auteurs classiques, Molière, Goldoni, Labiche, Courteline, Feydeau dans des rôles comme Scapin (Les Fourberies de Scapin), Sganarelle (Le Médecin malgré lui), Fabrizio (La Locandiera), Lui (La Peur des coups), Ventroux (Mais n’te promène donc pas toute nue !), à ceux du 20e siècle. Avec des créations comme Flamineo (R. Merle), En attendant l’incendie (M. Pavlova)… sous la direction de metteurs en scène tels que J. Ardouin, J. Negroni, J.S. Prévost. Au cinéma, il apparaît entre autres dans Camille Claudel (B. Nuyten), J’écris dans l’espace (P. Etaix), 48 heures par jour (C. Castel). À la télévision, dans les séries Maguy, Beaumanoir, Rue Carnot, série Passion. VALÉRIE LENTZNER FRÉDÉRIC ROGER Après avoir obtenu son diplôme d’avocate, Valérie Lentzner change de route. Formée au Studio 34 puis lors de différents stages (Guy Freixe, Brigitte Jaques-Wajeman, Sylvain Maurice…), elle a joué au théâtre sous la direction notamment de Francis Sourbié (Mangeront-ils de Victor Hugo, La maison de Bernarda Alba de Federico Garcia Lorca), de François Frapier Grand peur et misère du troisième Reich de Brecht), de Jacques Lorcey Le Misanthrope de Molière, de Raymond Segré Jeanne, histoire d’une fille de France de Joseph Delteil, de Patricia Marmoras Marivaux : côté femmes d’après Marivaux, de Joël Beaumont Pièce montée de Joël Beaumont. Après avoir joué au festival d’Avignon 2009, elle est actuellement en tournée avec L’atelier d’écriture de David Lodge (mise en scène d’Armand Éloi). A la télévision, elle joue dans différents téléfilms, et récemment interprète Colette dans Le clan des Pasquier de Jean Daniel Verhaegue. Elle participe également à de nombreuses lectures dont Les carrefours philosophiques mis en espace par Daniel Loayza au théâtre de l’Odéon. Il débute sous la direction de Bimont dans le Gros-René du Dépit amoureux (Molière). S'enchaînent ensuite le garde de Antigone (Anouilh), Michaude de François Villon, Blazius de On ne badine pas avec l’amour (Musset) Airolo de Mangeront-ils (Hugo), Marius de L’Autre Don Juan (Eduardo Mannet), le Chat des Contes du Chat perché (Marcel Aymé), Cassagne de Monsieur Chasse ou M. Perrichon dans Le Voyage de M. Perrichon (Labiche), M. Jourdain dans Le Bourgeois Gentilhomme (Molière), mais ses 5000 représentations du Petit Prince restent son cheval de bataille. PAMINA Depuis « La chanson de sa vie », le récital donné dans le cadre de l’exposition Yvette Guilbert à la Bibliothèque Nationale, jusqu’à « Aimons la vie » consacré à Marie Dubas, elle porte à la connaissance du public la chanson humoristique française à Paris (Musée de l’Armée, Musée Carnavalet, Nouveau Théâtre Mouffetard, Musée d’Orsay, etc.) et à l’étranger. Ses spectacles figurent dans "Cambridge Dictionary of International Biography“. En dix ans de collaboration artistique avec Irène Aïtoff, la pianiste et la confidente d’Yvette Guilbert, Pamina a présenté la célèbre diseuse dans toute son authenticité, fidèle à l’image ineffaçable qu’elle a laissée. PHILIPPE DAVENET Premier prix de piano du Conservatoire National de Paris, claveciniste soliste à la Comédie-Française (1980-88), responsable musical du Théâtre Hébertot (1983-85), soliste des Lundis littéraires de la Salle Gaveau (1986-88), il devient le pianiste d’Anne Sylvestre, de Jean-Laurent Cochet et fait une carrière internationale de pianiste et de compositeur. JEAN-LOUIS STANEK Au théâtre, il interprète des rôles du répertoire classique ou contemporain tels que Les Zeppelins de D. Flamand au Théâtre national de Chaillot, La Petite Molière d’Anouilh au Théâtre Gémier, Roméo et Juliette de W. Shakespeare, L’Ile des Esclaves de Marivaux au Jardin Shakespeare. Au cinéma, il a joué dans La Question de L. Heynemann, Les Charlots contre Dracula Junior de J-P. Desagnat, Edith et Marcel de C. Lelouch, La Vis de D. Flamand … et pour la télévision De guerre lasse de L. Grospierre, Les Colonnes du ciel de G. Axel… JOSEPH GALLET Il crée sa compagnie théâtrale en 1998 et monte différentes pièces de René de Obaldia, Carlo Goldoni ou encore de Boris Vian. En 2004 il passe le cap en co-écrivant sa première pièce Attention poule méchante! à laquelle succéderont deux autres comédies Sur la plage abandonnée... et Arrête ton cinéma! qui se joueront, entre autres, au Théo Théâtre, au Vingtième Théâtre, à la Comédie de Paris et actuellement au Funambule Montmartre. En parallèle de cette aventure collective, il poursuit une démarche personnelle en incarnant Woody Allen dans Une aspirine pour deux ainsi qu'en interprétant l'un des rôles principaux de la pièce Des pavés sur scène jouée au Théâtre Le Méry et au Festival d'Avignon où elle remporte le Prix de la presse en 2008. FRANCK JOURET Il incarne Georges dans Les Petits Aquariums de Philippe Minyana, mis en scène par Cyril Jarousseau, au théâtre Darius Milhaud à Paris (2007). En 2008, il joue Lucien Leclercq dans Le Renard et la grenouille de Sacha Guitry, mis en scène par Bernard Belin au théâtre Saint Honoré ; ainsi que L’aubergiste dans En vers et contre tous de Amine Kaci, au théâtre Le Petit Gymnase. En parallèle, il joue Franck dans La Mort en Échecs de Olivier Maille, au théâtre des Blancs Manteaux puis au théâtre Le Temple. PHILIPPE CABASSET Philippe Cabasset fait ses classes au cours d’art dramatique René Simon sous la direction de Cyril Jarousseau. Par ailleurs, il suit les cours de diction du vers dispensés par François Regnault. En 2002, il travaille au sein du service de presse de l’association Équinoxe présidée par Jeanne Moreau. A partir de 2003 en tant qu’assistant à la mise en scène, il collabore à la réalisation des longs métrages Narco, Da Vinci Code et Seuls Two, ainsi qu’à la préparation d’un épisode du Commissaire Moulin réalisé par José Pinheiro. Stagiaire régisseur général à la Comédie-Française, il s’investit dans le montage de la pièce Le Mariage de Figaro mise en scène et créée par Christophe Rauck (2007). MICHEL DURY Comédien, metteur en scène, auteur compositeur et, depuis 1985, responsable de la programmation du Théâtre de verdure du Jardin Shakespeare où il a monté La Locandiera de Goldoni, Roméo et Juliette de Shakespeare ou Lucrèce Borgia de Victor Hugo, entre autres. Il a joué les grands rôles du répertoire : Arlequin, Cléante, Trissotin, Sganarelle, Thomas Diafoirus, Harpagon, Géronte, Dom Salluste… sous la direction de Mario Francheschi, Daniel Royan, Jacques Ardouin, Maurice Audran ou JeanSimon Prévost. Comme metteur en scène, il a servi Molière, Racine, Regnard, Marivaux, Hugo, Musset, Courteline et Labiche. ROGER POULY Vous l’avez certainement vu en arrière plan, derrière son piano accompagnant Charles Trenet, ou encore Bobby Lapointe, Cora Vaucaire ou Jean-Roger Caussimon. Vous avez peut-être oublié sa silhouette de chef d’orchestre dans des émissions de variétés. L’homme a tracé son itinéraire dans la chanson française en jouant pour les plus grands. Le Berry Républicain, 2000 INFORMATIONS PRATIQUES BUREAU DE PRESSE Catherine Guizard La Strada & Cies 06 60 43 21 13 / [email protected] FESTIVAL SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS BAUDELAIRIEN écrit et mis en scène Isée St.John Knowles réalisation cinématographique José Pinheiro assistant mise en scène Philippe Cabasset lumières Jean Grison scénographie Jean-Luc Simonini musique Pamina, Roger Pouly, Philippe Davenet avec Frédéric Gay, Arnaud Bruyère, Denise Dax, Cécilia Word, Serge Martinez, Delphine Lascar, Valérie Lentzner, Pamina, Frédéric Roger, Philippe Davenet, Jean-Louis Stanek, Joseph Gallet, Franck Jouret, Philippe Cabasset, Michel Dury, Chryssa Florou, Natacha Bordaz, Cécile Coutin, Roger Pouly, Guillaume Delaunay, Emma Santini, Noémie Stevens, Ambre Vérot, Isée St. John Knowles … et les voix de Laurent Charpentier, Anne Delbée, Thierry Lhermitte, José Pinheiro, François Regnault, Pierre Santini, Isée St.John Knowles REPRÉSENTATIONS Saint-Germain-des-Prés Dandy mercredi 13, jeudi 14 et samedi 16 janvier à 19H Saint-Germain-des-Prés Poète mercredi 13, jeudi 14 et samedi 16 janvier à 21H Saint-Germain-des-Prés Rebelle vendredi 15 janvier à 21H PRIX DES PLACES 22€ plein tarif / 15€ tarif réduit (jeunes de – de 30 ans, personnes de + de 65 ans, demandeurs d’emploi) formule 2 spectacles 30€ PT/ 24€ TR formule 3 spectacles 42€ PT / 30€ TR RÉSERVATION 01 43 31 11 99 du mardi au samedi de 13H à 18H THÉÂTRE MOUFFETARD – 73 rue Mouffetard 75005 PARIS – métro place Monge www.theatremouffetard.com PRODUCTION The Baudelaire Society and Limouse Foundation Limited (GB) Festival parrainé par l’Akademia Duncan, New-York (USA) REMERCIEMENTS À La Comédie-Française, Didier Ludot, et Transpalux