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Terre promise pour les investisseurs «La région du Chablais offre indubitablement d’excellentes opportunités d’investissements». Quelle est la situation actuelle du Chablais en ce qui concerne les investissements dans l’immobilier ? constituent une excellente alternative, leur offrant un cadre idéal et de plus grands espaces, ceci à des prix moins élevés! C’est de toute évidence une région qui connaît depuis quelques années déjà un développement rapide, qui est dynamique sur le plan industriel et économique. Et qui dit entreprises, dit habitants, donc création de centres commerciaux, construction de nouveaux logements, etc. En dernier lieu, la phase de forte croissance que connaît le Chablais apparaît d’autant plus marquée que cette région était, pour ainsi dire, «en panne». La construction stagnait complètement depuis les années 90: il était temps que de nouveaux projets voient le jour et que le marché de la construction retrouve un certain allant... La région du Chablais offre indubitablement de nouvelles opportunités, un nouveau terrain d’investissements. L’année dernière, le montant des transactions réalisées par notre groupe seulement sur Monthey et Aigle s’élève à plus de 20 millions de francs. Actuellement, la demande est telle qu’on parvient à un stade où les investisseurs institutionnels - fonds de placement et caisses de pension - manquent d’objets dans lesquels investir et prennent alors eux-mêmes l’initiative de faire construire! Quels autres facteurs sont à l’origine de cet essor du Chablais ? Sous la pression de la pénurie de logements dans les villes de l’Arc lémanique, qui devient de plus en plus problématique, on observe une tendance de la population à se déplacer vers des régions jugées autrefois «décentrées». Ces gens aspirent également à une meilleure qualité de vie. Ils constatent rapidement que, moyennant quelques dizaines de kilomètres de déplacement en sus, les régions périphériques Par ailleurs, dans cette région, nous ne nous trouvons pas encore en période de spéculation, contrairement à d’autres régions de l’Arc lémanique. En résumé, le Chablais est une région très intéressante pour les investisseurs ? Cette région offre effectivement de nombreux atouts pour les investisseurs. La fiscalité y est de manière globale plus avantageuse qu’ailleurs, les coûts de construction/rénovation sont moins élevés, le prix d’achat est plus bas aussi, de même que tous les frais liés à la transaction tels que droits de mutation, etc. Ajoutons qu’en Valais, une plus grande partie des charges de l’immeuble peut être intégrée dans le bail, ce qui augmente d’autant la marge bénéficiaire entre rendement brut et rendement net. Sophie Genecand, responsable du service vente immeubles chez MK Léman et Vincent Collet, directeur de Chablais Immobilier Plus conciliants, les Valaisans? Le spectre d’un éventuel litige avec des locataires, ainsi que les procédures longues et complexes qui règlent ce type de conflits, constituent un frein certain à l’investissement. La crainte légitime de ne pas récupérer son dû fait bel et bien reculer bon nombre d’investisseurs potentiels... Or, en se penchant sur les chiffres, on constate que les relations entre locataires et propriétaires se révèlent nettement moins conflictuelles en Valais que dans d’autres régions comme Vaud et surtout, Genève. On dénombre en effet en Valais seulement 21 cas de litige sur 10’000 logements, soit près de... dix fois moins qu’à Genève (226 cas/10’000 logements)! Il n’existe pas d’explications scientifiques à ce fait, mais plusieurs hypothèses peuvent être avancées. Serait-ce la taille modérée des agglomérations qui favorise des rapports plus conviviaux entre les parties? Ou alors serait-ce une question de mentalité, les Valaisans appliquant l’adage «un bon arrangement vaut mieux qu’un mauvais procès»? Ou serait-ce tout simplement dû au fait que le marché est moins tendu? Peu importe, finalement: on retiendra que le Chablais est une région où il fait bon investir! Enfin, les objets réalisés actuellement présentent un standing plutôt élevé, ce qui permet d’avoir affaire à une catégorie de locataires relativement «sûre». 32