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Village d’environ 3500 habitants situé dans une région appelée La Dombes,
département de l’Ain. Surface de la commune « 2073 hectares ». Altitude 296
mètres.
Il est traversé par la route départementale 1083, et à environ 20 kms au Nord-Est de
Lyon en direction de Bourg en Bresse.
Lyon, Capitale des gaules, et de la région Auvergne Rhône-Alpes.
Bourg en Bresse, préfecture du département de l’Ain.
La Dombes, pays aux 1000 étangs est un refuge privilégié pour des milliers
d’oiseaux.
54 associations loi 1901 forment le très important et dynamique tissu associatif
corcéen. Tous les ans, le dernier dimanche de septembre, une grande foire fouille
est organisée et tous les ans, un tournoi international de basket ball anime le village
pendant deux jours. Un tournoi international de football vient compléter depuis la
notoriété de notre village.
SAINT ANDRE DE CORCY est partenaire avec deux communes voisines
(REYRIEUX et PARCIEUX) pour aider à se développer la commune Roumaine
d’UNGURAS qui est composée de trois villages et de deux hameaux formant ainsi
une population totale de 3370 habitants.
Un peu d’histoire…
SAINT ANDRE DE CORCY s’appelait autrefois « NEMEROSUM », le « boisé » puis
ensuite « CORCIACUM » « endroit cultivé sur une petite élévation »
Le village doit son origine à l’ancien château de Corcy (11ème siècle), possession
des sires de Villars et de Beaujeu, puis au 14ème des dauphins du Viennois, il fut
alors détruit et remplacé par le château de Montribloud.
Divisé en deux hameaux, l’église en haut et la croix blanche en bas, la commune
avait une vocation agricole.
Du 13ème au 18ème siècle de nombreux étangs encerclent les deux hameaux.
En 1789, et jusqu’après 1815, le village connaît sa période la plus néfaste et la plus
pauvre. La culture est misérable, le climat, l’humidité et les fièvres provoquent une
forte mortalité, la population passe de 500 à 300 habitants, l’espérance de vie est de
24 ans.
En 1851, un relais à chevaux s’installe sur la future place de la Croix Blanche.
En 1863, l’état accorde une subvention pour l’assainissement des étangs.
En 1866, construction de la voie de chemin de fer Sathonay—Bourg en Bresse.
En 1870, construction de la première gendarmerie – Place de la Croix Blanche
De 1870 à 1945, la population est stable. Le village connaît une vie paisible sans
bouleversements. Le village se développe à un rythme normal, construction de
l’école des filles puis de l’école des garçons.
En 1912, construction du bureau de poste sur la RN-83 entre la place de la Croix
Blanche et la Mairie.
De 1945 à 1960, 30 affaires ou commerces disparaissent tels que 11 cafés
restaurants.
De 1960 à 1975, Saint André de Corcy commence à prendre de l’importance, les
moyens de circulation l’ayant « rapproché » de l’agglomération Lyonnaise.
Sa vocation agricole perd de son importance au profit d’un développement industriel,
artisanal, commercial et tertiaire.
De 1975 à nos jours, le village subit une forte évolution démographique, 6% de la
surface est urbanisée. Création d’entreprises pour arriver aujourd’hui avec la zone
industrielle à environ 170 le nombre d’entreprises sur le village.
L’exploitation des étangs inscrit le village dans la première région piscicole de France
qu’est La Dombes. La production de poissons d’eau douce représentait, il y a
quelques années 1800 tonnes, soit 30% de l’élevage en France. Carpes, tanches,
brochets et gardons sont surtout destinés à l’exportation.
Une partie de la « récolte » de brochets alimente Lyon pour la fabrication de la
quenelle au brochet spécialitée culinaire Lyonnaise. Aujourd’hui, les rendements sont
réduits par du tonnage consommés par les oiseaux (cormorans… ).